Archives avril 2016

Les p’tites têtes 

Au quotidien, les enfants sont une véritable source de propos cocasses en plus d’être des petits

Au quotidien, les enfants sont une véritable source de propos cocasses en plus d’être des petits experts dans l’art de transformer une situation banale en véritable « sketch d’humour ». C’est en s’inspirant de son quotidien et d’anecdotes familiales divertissantes que Manuel Gasse a écrit un livre Les p’tites têtes.
garçons En fait le sous-titre du livre est “Tranches de pain quotidien d’un papa normal (ou presque)” . Ça décrit très bien ce qu’est le livre! Étant le père de Lévi, Éli-Yan, Marik et Philibert (ouf 4 gars! ) , l’auteur avait de la matière en masse pour écrire son livre. Même si on ne connait pas personnellement les 4 petits garçons, on s’attache profondément à eux.

Le format du livre convient tout à fait au style de vie des parents. Les 200 anecdotes sont courtes et écrites en tableaux séparés qu’on peut lire dans le désordre, en continu ou en petites « portions ». Ça se lit très bien entre deux « lifts », la préparation d’une lasagne et une brassée de lavage. Les anecdotes sont vraiment savoureuses et très drôles. Elles vous décrocheront assurément un sourire et même parfois un gros rire ! Le livre est parsemé d’illustrations amusantes de l’artiste Mathieu Potvin.

C’est un livre qui plaira autant aux papas qu’aux mamans, car ils s’y reconnaitront assurément. C’est une belle idée cadeau pour la fête des Mères et la fête des Pères qui approchent!

Livre Les p’tites têtes : Tranches de pain quotidien d’un papa normal (ou presque) des éditions Québec Amérique en librairie (24,95 $ ).

Bonne lecture!

Véro & Louis : une nouvelle fondation pour aider les autistes

La Fondation Véro et Louis Plutôt aujourd’hui, lors d’une conférence de pre

La Fondation Véro et Louis
Plutôt aujourd’hui, lors d’une conférence de presse, La Fondation Véro et Louis a été lancée par Véronique Cloutier et Louis Morissette. Cette fondation a pour mission de « construire et administrer une ou des maisons pouvant accueillir et subvenir aux besoins, de façon permanente, de personnes âgées de plus de vingt et un ans vivant avec un trouble du spectre de l’autisme. »  Ils ont choisi de se consacrer à cette mission parce qu’ils ont fait le constat qu’ils n’y pratiquement aucun service aux personnes autistes âgées de vingt et un an et plus. «Au fil de nos recherches, on s’est aperçu qu’il n’existait pas de maisons où les autistes adultes pouvaient vivre. Il existe des services jusqu’à 21 ans, mais après ils sont laissés à eux-mêmes. Il y a des maisons de répit, mais il n’y a pas d’endroits où ils peuvent vivre leur vie d’adulte de façon autonome dans le bonheur, la dignité, et l’amour», a expliqué Véronique Cloutier.

GuylaineC’est la lecture du livre  Deux garçons à la mère qui a fait naitre l’idée de la fondation. Ce fut donc naturel de nommer l’auteure du livre Guylaine Guay marraine de la fondation. Cette dernière confie que : « En écrivant Deux garçons à la mère, j’ai senti que ce tout petit livre de 148 pages allait changer nos vies… mais je ne me doutais pas à quel point ! Je suis si heureuse que Véro et Louis s’impliquent dans cette cause qui me tient tant à coeur. Construire une maison, c’est formidable, mais plus formidable enco
re est de mettre en lumière la réalité des adultes autistes et leurs familles. Le tout dans le respect, le plaisir et la joie. Il n’y a pas de mot assez fort pour exprimer ma gratitude. Un merci gros comme l’Univers devra suffire! C’est une belle et grande aventure qui débute, merci de participer à notre bonheur . Vive la différence! »

Pour arriver à ouvrir une maison autour de 2019, ils doivent amasser beaucoup d’argent. En plus d’offrir 4 représentations spéciales au profit de la fondation, à compter d’aujourd’hui, 2$ par billets vendus du spectacle Les Morisette seront remis à la Fondation Véro et Louis. Si jamais vous avez envie de contribuer à la collecte de fonds, vous pouvez le faire sur le site de la fondation fondationverolouis.com ou via le téléphone au 1 844 FVL-DONS. Vous pouvez aussi aller télécharger la chanson On écrit sur les murs du groupe RAFFY dont les profits de la vente de la chanson seront versés à la fondation.

Le mois de l’autisme
La date de l’annonce de cette nouvelle fondation n’a pas été choisie au hasard. En effet, tous les ans depuis 1984, en avril, c’est le mois de l’autisme. Ce mois à pour but de sensibiliser et d’informer la population sur les troubles du spectre de l’autisme.

L’autisme
Le trouble du spectre de l’autisme fait partie de l’ensemble des troubles neurodéveloppementaux décrit dans le DSM-V. Il s’agit d’un trouble habituellement présent dans la petite enfance, mais qui peut apparaitre de façon plus évidente au moment de l’entrée à l’école. Le trouble du spectre de l’autisme se caractérise par des difficultés importantes dans deux domaines, soit la communication et les interactions sociales et les comportements, activités et intérêts restreints ou répétitifs.

Le portrait clinique peut grandement varier d’une personne à une autre. Chacune présente une combinaison unique de signes et de symptômes. Le degré d’atteinte est différent selon l’âge, les caractéristiques cognitives et comportementales et la présence de conditions associées. Les manifestations peuvent également changer avec le temps. Les personnes autistes représentent un groupe tellement hétérogène qu’on dit souvent qu’il y a autant de formes d’autisme que de personnes autistes.

L’autisme en chiffres
Les études les plus récentes estiment que le taux de prévalence des personnes autistes varierait entre 90 et 120 individus sur 10 000, soit environ 1% de la population. L’estimation de la prévalence du TSA au Canada, incluant les enfants et les adultes, est de 1 sur 94.

En 2010-2011, on comptait 8 318 enfants ayant un TSA scolarisés dans le secteur public. En 5 ans, soit entre 2005 et 2011, le nombre d’élèves autistes scolarisés dans le secteur public au Québec a doublé. C’est aujourd’hui la catégorie d’élèves handicapés ou en difficulté d’adaptation ou d’apprentissage (EHDAA) la plus représentée au Québec.

Initiation des enfants à la course à pied

La course à pied est rendue un sport super populaire! On en entend parler beaucoup dans les médias

La course à pied est rendue un sport super populaire! On en entend parler beaucoup dans les médias et on peut voir tout les statuts Facebook de nos amis coureurs ! En plus, d’être une excellente façon de se mettre en forme, la course à pied réduit le stress et permet de profiter du grand air. Pour toutes ces bonnes raisons, pourquoi ne pas initier vos enfants en les inscrivant au Grand club de course.

Le grand club de course propose d’initier les enfants à la course à travers des périodes d’entrainement et de jeu. Le programme de 8 semaines est progressif et conçu dans le respect du développement moteur de l’enfant de l’adolescent. Il y a 2 niveaux pour le 5 à 11 ans. Le premier c’est le niveau débutant pour permettre aux enfants de s’initier à certaines techniques de course dans le but de réussir à courir 1km sans interruption. Le deuxième niveau s’adresse aux enfants de 5 à 11 ans qui peuvent courir 1 km sans interruption et qui veulent améliorer leur performance grâce à des entrainements l’fun et garder le plaisir de la course. Si vos enfants sont plus vieux, il existe aussi un troisième niveau qui s’adresse au 12 à 15 ans.

Le Grand club de course est en pleine période d’inscription et ils offrent des cours dans plusieurs villes comme Laval, Lévis, Montréal, Québec, Saguenay, Val-D’Or et Ottawa. Les couts d’inscription varient entre 105 et 120$ par enfant pour 8 semaines de cours.

C’est une super belle idée activité pour dépenser l’énergie de vos enfants en plus de leur inculquer des habitudes de vie saine!

Voici un reportage sur le Grand club de course fait par Ici Radio-Canada : http://ici.radio-canada.ca/regions/quebec/2015/04/17/011-club-course-tout-petits.shtml

Quand les enfants quittent le nid familial

Vos enfants sont grands et quittent le nid familial, pour certains c’est une excellente nouvelle,

Vos enfants sont grands et quittent le nid familial, pour certains c’est une excellente nouvelle, mais pour d’autre c’est aussi un grand changement même un choc. Pas de panique, voici quelques petits trucs pour vous aider dans cette transition.

Se donner du temps
Le départ des enfants est souvent synonyme de tristesse et de stress. C’est tout à fait normal. Leur départ laisse un grand vide en plus de forcer les parents à faire face à une nouvelle étape de leur vie. Vous devez prendre conscience de ce sentiment de solitude. Les statistiques démontrent qu’environ 35% des parents souffrent du « syndrome du nid vide ». Ce syndrome est une dépression qui peut s’apparenter à la dépression post-partum. Durant cette période, les parents ont un sentiment d’abandon et ont l’impression qu’ils ne sont rien en dehors de leur rôle de parent.  Donnez-vous le temps de vivre votre peine et de vous habituer à votre nouvelle situation. Si jamais vous avez des symptômes de dépression sévères qui persistent, consultez un professionnel de la santé comme un psychologue afin de vous aider à traverser cette épreuve.

 S’entourer
Pour vous aider à combler le vide créé par le départ de l’enfant, rapprochez-vous de vos parents et amis. C’est une belle occasion de prendre plus de temps pour voir différentes personnes négligées au profit des enfants. Organisez des réunions de famille et des soupers d’amis. La compagnie des autres vous permettra de vous sentir bien entouré et moins seul. Les enfants partis, c’est aussi un excellent moment pour se rapprocher de son conjoint.

Se tenir occupé
Profitez de ce moment pour vous inscrire à un nouveau cours, pratiquer votre sport favori, faire de l’artisanat, des rénovations, peu importe. Voyez dans cette nouvelle liberté la possibilité de vous réaliser.

 Garder un bon contact avec ses enfants
Même s’ils n’habitent plus chez vous, ils resteront à jamais vos enfants. C’est le moment de conserver le lien fort qui vous unit en plus de créer une nouvelle relation plus mûre. Il est important de respecter la nouvelle indépendance du jeune adulte, mais de rester disponible pour lui. Il est conseillé d’établir avec lui des moments opportuns pour vous parler ou même vous voir, que ce soit des rendez-vous au restaurant sur les heures de lunch, une conversation par Facetime, un souper du dimanche soir ou une visite dans son nouveau lieu de vie. Il suffit de trouver la formule qui convient à tout le monde.

En terminant, faites leurs confiances! Toutes ces années où vous leur avez inculqué des valeurs et des règles de vie n’auront pas été en vain. Vous verrez à quel point ils deviendront des adultes accomplis et responsables. Et ça, ce sera un à cause de vous! 😉

 

Choses à savoir sur les camps de vacances

On vient tout juste de commencer à apprécier les minces percés de rayons de soleil du printemps,

On vient tout juste de commencer à apprécier les minces percés de rayons de soleil du printemps, qu’il faut déjà penser à l’inscription des enfants au camp de vacances pour l’été qui s’en vient. Voici quelques informations pour vous faciliter la vie et surtout vous protéger lors du choix d’un camp.

Contrat
Évidemment une fois l’inscription de l’enfant faite, il est important que vous ayez une copie de contrat. Ce contrat doit contenir tous les détails de l’entente soient:

  • vos nom et coordonnées
  • ceux du camp
  • la description des services
  • les heures d’ouverture et de fermeture
  • les dates où l’enfant fréquentera le camp
  • le coût total des services et le coût à l’heure, à la journée ou à la semaine
  • les modalités de paiement
  • la mention expliquant les modalités d’annulation du contrat.

Paiements
Sachez que les camps ne peuvent pas demander un paiement avant le début du séjour de votre enfant et ils doivent vous permettre de faire au moins deux versements.

Annulation
Si le camp n’est pas encore commencé et que vous avertissez le camp par écrit, l’annulation doit se faire sans frais ni pénalité. On vous recommande de faire parvenir votre avis d’annulation par courrier recommandé.

Si jamais vous retirez votre enfant après le début du camp, vous devez vous attendre à payer les services déjà reçus. Selon la loi, le camp est dans le droit d’exiger une pénalité. Celle-ci doit correspondre à la plus petite de ces deux sommes : 50 $ ou 10 % du prix des services qui n’ont pas été fournis.

Camps certifiés
Vous ne savez pas trop par où commencer pour trouver le bon camp pour vos enfants. On vous suggère de consulter le site de l’Association des camps du Québec au http://camps.qc.ca/. Le site est vraiment bien fait et facilite vraiment la recherche du camp parfait.

Voici quelques références supplémentaires :
http://www.opc.gouv.qc.ca/actualite/conseil/article/camps-de-jour-camps-de-vacances-a-savoir-avant-dinscrire-vos-enfants/

Le jour où tout change

Ce jour où les mauvaises nouvelles fusent de partout... Ce jour où l’on t'annonce que tu devras

Ce jour où les mauvaises nouvelles fusent de partout… Ce jour où l’on t’annonce que tu devras changer de milieu de travail alors que tu y pratiques depuis quelque temps. Eh oui, ce jour fut le mien malheureusement. Depuis la fin du congé de maternité de bébé numéro 4, j’étais confortable dans mes pantoufles. Depuis plusieurs années j’avais l’impression de rouler sur le « cruise control ».  J’avais acquis une belle expérience et toute une expertise en post-natalité, en support à l’allaitement et en vaccination. Et puis tout à coup, grâce aux merveilleuses coupures dans notre réseau de la santé « pouf » tout s’écroule et l’on m’oblige à continuer ma vocation dans un autre milieu. Un champ clinique pour lequel je n’ai aucun intérêt et très peu de connaissance.

Et oui, je suis de la génération Y*, cette génération aux familles éclatées et aux petits poumons roses emboucanés par la fumée secondaire de leurs parents. La génération nommée Y tout simplement parce qu’elle suit la génération X. Notre génération a déjà connu toute une histoire. Elle a pu bénéficier de certains congés préventifs, de beaux congés de maternité et parentales et de garderie à 5$, 7$ et à je ne sais même plus combien. Notre génération est celle dont plusieurs parents commençaient leur vie dans une usine, une compagnie ou dans les instances gouvernementales et ils y restait jusqu’à leur retraite à 60 ans. Nos parents ont aussi connu les coupures, les relocalisations, l’hypothèque à 16% d’intérêt et les maisons à 20 000$.

Nous de notre côté, nous avons connu le début de l’informatique et de l’internet en passant par les walkmans à cassette aux super VHS. Nous sommes l’éclosion d’une grande ouverture sur le monde par les voyages en sac à dos loin, la mondialisation et le désir d’apprendre d’autres langues. Mais, ce qui m’embête le plus de notre génération c’est le changement de milieu de travail continuel. En passant par les fusions au public, par les faillites ou encore les changements de structure et de propriétaire au privé. Nous avons déjà connu plusieurs employeurs dans notre courte vie de travailleur. Nous voulons une stabilité dans le meilleur des mondes en travaillant près de la maison de 8h00 à 16h00 , 5 jours sur 7, et ce, de semaine svp. Je pense que le plus grand défi est attribuable à la conciliation travail-famille, et ce, tout en étant super actif et reconnu dans notre milieu de travail. Pour les femmes, nous sommes les « superwomen » de notre époque. Nous voulons la belle vie de famille en banlieue,  la job valorisante et un bon salaire. En optant pour une planification des naissances rapprochée, la porte de sortie est simple pour éviter de retourner au travail trop rapidement ou trop longtemps. Mais tôt ou tard, les enfants vieillissent et le retour à la vie routinière du travail devient un incontournable. Dodo, boulot, métro, lavage, bouffe, épicerie, ménage, devoirs, garderie, école, réunion et  taxi entre les arénas, les gymnases, la piscine… Ouff c’est essoufflant! Puisque nous sommes plus actives et supposément plus en santé que celles d’avant,  nous sommes probablement la génération qui devra travailler jusqu’à 70 ans. Il est évident que nous serons plus en forme pour travailler longtemps, longtemps que ceux qui nous ont précédés.

La génération Y est celle qui aspire en permanence à un équilibre entre sa vie privée et professionnelle pour se réaliser pleinement. Nous vivons dans le « ici et maintenant » et voulons que tout arrive rapidement. Le fossé générationnel qui nous sépare des autres générations s’explique par une accélération du changement et par l’apparition des nouvelles technologies de l’information et de la communication. Bonne nouvelle, l’Église et l’armée ont moins d’influence sur nous que sur les générations passées. Ce qui domine notre monde est attribuable à l’internet, la télévision, les réseaux sociaux, les blogues, les cellulaires intelligents et les écrans tactiles.

Nous sommes des jeunes ambitieux qui ne manquent pas d’audace. Je n’ai pas peur pour notre génération malgré toutes les coupures des instances gouvernementales, CPE, écoles, hôpitaux et j’en passe…

Mais ce jour où tout change, ce peut être un message que la vie nous envoie qu’il y a quelque chose de mieux encore pour nous. Ce jour où j’ai perdu mon équilibre, j’ai vidé mon bureau le cœur gros en remerciant le ministre de la Santé pour ses coupures dans le réseau en me disant que le destin m’envoyait un message et que je ne devais pas baisser les bras…

*Génération Y 1980-1995

Des idées de sorties pour ce weekend! (2-3 avril)

Voici des suggestions d’activités que vous pourriez faire en famille ce weekend : <st

Voici des suggestions d’activités que vous pourriez faire en famille ce weekend :

papillonsPapillons en liberté
Avec les enfants, amusez-vous à retrouver sous le feuillage des plantes tropicales des chenilles étonnantes de diversité. Qu’elles soient vertes, jaunes ou bleues, en costume rayé ou ocellé, couvertes de cire, de poils ou d’épines, les chenilles rivalisent d’astuces pour se protéger des prédateurs… et vous surprendre!

 

 

arbraskaArbraska
Les parcs d’Arbraska ont ouvert leurs portes le 25 mars dernier. Les petits et les grands prendront plaisir à découvrir le parcours d’expédition en plein air d’Arbraska. Balades aériennes en tyrolienne, filets à grimper, lianes de Tarzan, des centaines d’activités écologiques, ludiques et sécuritaires attendent les plus intrépides aux parcs de Rawdon, Rigaud et St-Grégoire.

 

 

Festival Beauceron de l’érable erable
Le Festival Beauceron de l’Érable, c’est plus de 50 000 personnes qui participent chaque année aux journées d’animation à travers la Beauce. Ce weekend, il y aura des coulées de tire, une grande glissade, des jeux gonflables, des mascottes, un spectacle extérieur de « Gribouille Bouille et Bonbon d’amour », des tasses de chocolat chaud et un camion de pompier à explorer.

 

trainTrain du cirque
Les enfants, accompagnés de leurs parents, ont l’opportunité de vivre une expérience fascinante dans l’univers des chemins de fer et de monter à bord de plusieurs véhicules exposés. Jusqu’au 30 avril 2016, deux magnifiques maquettes de trains miniatures réalisées par Guy Beausoleil et Jacques Brouillette font vivre l’effervescence d’un convoi de cirque. La voiture-lit Neville, du Canadien Pacifique, permet de découvrir le mode de transport du personnel et des artistes de la troupe du cirque au siècle dernier. De plus, quelques animaux et personnages du cirque se sont également cachés sur les différents véhicules et un maître de piste convie les enfants à prendre part à une série d’activités : jonglerie, assiette chinoise et diabolo.Bon weekend!