Mon côlon ô combien irritable

Une des affaires désagréables qui m’arrive fréquemment est d’avoir l’air d’être huit mois enceinte. Déjà que je n’suis pas bâtie sur un frame de chat, je n’ai nullement besoin de simuler cacher un ballon sous mes chandails. Ce problème, il s’appelle le syndrome du côlon irritable (SCI).

Je ne suis pas médecin, mais sous prétexte que j’en souffre depuis presque 10 ans, que mon père en a souffert presque toute sa vie et que je soupçonne que le côlon de ma trois ans soit la raison de ses cacas mous, je t’en passe un papier que je sais de quoi je parle ! En gros, le SCI est un trouble médical qui affecte la partie inférieure du tube digestif, sois l’intestin grêle et le gros intestin.

Parce que j’ai des troubles gastriques, je ne compte plus le nombre de fois où j’ai interrompu mes journées de travail, où j’ai annulé ma présence à un événement et où j’ai préféré me blottir dans mon lit avec mon pad de chaleur au lieu d’aller jouer au parc avec mes enfants. De ce fait, avril étant le mois de la sensibilisation au syndrome du côlon irritable, il va sans dire que j’ai sauté sur l’occasion quand on m’a approché pour tester les probiotiques Align® et écrire sur mon expérience. Vous savez ben’trop combien j’aime parler des sujets qui font grimacer les gens ! 💩

Là, je m’apprête à vous parler de caca pis c’pas sexy, je le sais. On joue à un jeu : imagine ton acteur ou ton actrice fétiche, celui ou celle qui te fait vibrer en d’dans, qui te donne chaud. Pardonne-moi, mais je vais casser ta belle image mentale de votre balade main dans la main sur la plage, en te disant ben frette de même que ta personne fétiche, elle fait caca. Des fois, elle fait caca mou et d’autres fois, elle est constipée. Tout le monde fait caca. Fak, on en revient, OK ?! Ainsi, les symptômes du SCI peuvent se traduire comme suit :

  • Des douleurs et des crampes au ventre, qui disparaissent souvent avec l’évacuation de gaz ou de selles.
  • De la constipation ou de la diarrhée, parfois en alternance.
  • Des ballonnements et des flatulences (les pets pis moi, on ne fait qu’un).
  • Une « activité intestinale » bruyante (borborygmes).
  • Un besoin parfois urgent d’aller à la selle.
  • Une sensation d’évacuation incomplète des selles.
  • Du mucus dans les selles.

Ça n’sonne pas cool, hein ?!

En règle générale, j’suis en bonne santé. Je ne fume pas, je n’ai pas touché une goutte d’alcool depuis 14 mois et je ne prends aucune drogue. Cependant, ma flore intestinale pis moi, nous ne sommes pas ben ben amies. Je dois souligner que je l’ai négligée un peu depuis les dernières années, donc je la comprends de me faire souffrir une fois de temps en temps (lire ici quotidiennement !). Une belle flore intestinale gentille et saine peut facilement être affectée par les rebondissements de la vie : un régime alimentaire, des changements de routine, un voyage ou notre cher compagnon des temps modernes, EL’STRESS.

Il y a quelques mois à peine, j’étais au boulot et j’avais du sang et du mucus dans mes selles en plus d’un terrible mal de ventre. Mes collègues m’ont supplié d’aller à l’urgence et en arrivant là-bas, j’ai hurlé ma vie quand le doc s’est mis à me tâter la bedaine. Conséquemment, on m’a envoyé faire une échographie et une radiographie. Lorsque les résultats sont sortis, on m’a amenée devant l’écran blanc où étaient étalées les photos de mes entrailles… et où une vingtaine de médecins et d’infirmières étaient plantés, sans mots. Le gastroentérologue s’est mis à m’expliquer DEVANT TOUT LE MONDE qu’il n’avait jamais vu un intestin aussi bloqué que l’mien. Genre, j’aurais pu me noyer dans mon caca. No wonder que mon côlon est irrité !

Lorsque la honte et le cirque ont quitté la pièce, le doc m’a expliqué que je devais manger plus de fibres, faire attention à mon alimentation en général, réduire le stress, faire de l’exercice et prendre des probiotiques. Finalement, j’suis repartie à la maison avec un p’tit papier aide-mémoire, où c’était écrit en pattes de mouche de médecin « Align® ». Ça m’avait grandement aidé pendant les semaines qui ont suivies.

Si je peux vous recommander une deuxième affaire, ce serait d’aller consulter votre médecin. Il vaut mieux prévenir et savoir ce qui se passe dans notre corps, puisqu’on en a rien qu’un après tout. Pour ma part, ce billet m’a aussi rappelé que je devais prendre rendez-vous pour une nouvelle coloscopie. Ça, ce n’est pas le plus beau film que vous verrez dans votre vie (genre, se voir l’intérieur de l’intestin sur une mini-TV en noir et blanc datant des années ’50, le tout sous sédation), mais ce sera le plus important.

En tant que mère de deux enfants, entrepreneure névrosée, épouse dévouée, amie absente, mais aimante, j’n’ai carrément pas le temps de vivre une minute de plus avec les soucis gastriques qui me suivent depuis trop longtemps. À partir de là là, maintenant, je recommence à faire attention à moi. À être douce avec moi-même et à donner à mon corps, tout l’amour qu’il mérite.

Aujourd’hui, j’écris peut-être ce billet en tant que messagère rémunérée de Probiotique Align®, mais je vous assure que si je ne croyais pas en ce produit, je ne serais pas ici pour vous en parler #expérimentéeduprobiotique

J’vous laisse, ça sonne à la porte. C’est probablement ma caisse de produits qui arrive !! Je vous reviens dans un mois pour vous raconter mon expérience. Pis toi ma belle Flore, attache-toi serrée parce que tu t’apprêtes à rencontrer la bactérie probiotique la plus magnifique qui soit : la Bifidobacterium longum de sous-espèce infantis 35624, unique à Align®.

Prout. S’cusez-là.



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