Archives février 2016

Et si les pères pouvaient sentir bouger bébé comme s’ils étaient « enceints »?

On a beaucoup vu circuler sur les réseaux sociaux la vidéo dans laquelle des hommes portent un di

On a beaucoup vu circuler sur les réseaux sociaux la vidéo dans laquelle des hommes portent un dispositif pour ressentir les douleurs de l’accouchement. Par contre, est-ce que ce serait possible que les pères puissent sentir bouger bébé comme s’ils étaient « enceints »?

Pour certaines, la grossesse est un état de grâce et pour d’autres, c’est plutôt un mal nécessaire. Par contre, ce moment où les futures mères ressentent pour la première fois les mouvements de leur bébé est un moment merveilleux. Ces petits sauts ressentis dans le ventre permettent de rendre le bébé vraiment tangible. Par contre, les papas n’ont pas la chance de vivre ces petits moments précieux. Ces mouvements commencent à se faire sentir vers la 19e ou 20e semaine de grossesse. Les sensations décrites par les femmes sont souvent comparées un chatouillement, un doux bisou, des bulles, un petit coup de pied ou de papillons. La compagnie Huggies a voulu que les futurs papas puissent ressentir ces sensations.

Avec l’aide de l’agence Ogilvy & Mather Argentine, Huggies a développé une ceinture permettant aux futurs papas de vraiment ressentir la même chose que leur compagne enceinte. Le fonctionnement est simple : La future maman porte une ceinture qui est connectée avec une autre ceinture portée par son conjoint. Lorsque la ceinture, placée sur le ventre de la maman, reçoit un mouvement ou une vibration venant du bébé, c’est automatiquement reproduit sur le ventre du père via sa propre ceinture. Voici une vidéo de l’expérience :

La bonne nouvelle pour les hommes, c’est que cette ceinture leur donne l’impression de porter un enfant, mais ne vient pas avec les envies de pipi, les nausées et les vergetures ! 😉

 

 

 

 

Cours de coiffure pour papas!

Samedi dernier, à Trois-Rivières, a eu lieu pour la première fois un cours 101 de

Samedi dernier, à Trois-Rivières, a eu lieu pour la première fois un cours 101 de “peignures” s’adressant aux papas et à leur progéniture. En effet, même si le salon de coiffure peut sembler intimidant pour les hommes, plusieurs pères ont passé leur samedi à apprendre à faire de belles coiffures à leur petite princesse sous les conseils d’un professionnel. Ils ont appris comment démêler les cheveux sans que ça tire, comment faire une belle queue de cheval ainsi que plusieurs types de tresses.

Le coiffeur Patrice Visage a pensé offrir ce nouveau service à son salon après avoir vu une vidéo d’un père utilisant un aspirateur pour faire une queue de cheval à sa fille. Il s’est dit qu’il y avait de l’éducation à faire chez les hommes afin qu’ils aient une certaine base et qu’ils soient plus à l’aise.  En espérant que les trucs qu’ils ont appris permettront de faciliter les matins pressés!

Voyez un reportage d’Ici Radio-Canada sur l’évènement: http://ici.radio-canada.ca/regions/mauricie/2016/02/28/001-atelier-coiffure-d-brosse-papa-fillette-trois-rivieres.shtml

Seriez-vous intéressé à suivre un cours de ce genre?

Le fils de mon père

J'ai beau essayer de trouver dans mes souvenirs le moment où on m'aurait expliqué, lorsque j'étai

J’ai beau essayer de trouver dans mes souvenirs le moment où on m’aurait expliqué, lorsque j’étais enfant, je ne trouve pas. Je crois bien que ce moment n’a jamais eu lieu, qu’au lieu de m’expliquer, on m’a laissé comprendre. Je fais peut-être erreur, mais si tel est le cas, je n’ai quand même mémoire que d’avoir compris par moi-même que « Mononc » Luc et « Mononc » Raymond était un couple. Un couple comme papa et maman. Je vous arrête tout de suite, la raison pour laquelle j’ai compris n’est pas parce que « j’ai vu ». D’ailleurs, je n’ai pas mémoire d’avoir assisté à quelques effusions amoureuses que ce soit. Mais j’ai compris. L’amour, ce n’est pas juste de mettre ta langue dans la bouche de quelqu’un et de tourner dans le sens des aiguilles d’une montre. Ce n’est pas non plus juste de balader ta main sur la fesse ou la cuisse de ton partenaire. L’amour c’est dans les mots, mais surtout c’est dans les gestes. J’ai compris à la manière qu’ils avaient de dire « me passerais tu le jus d’orange », à la façon qu’ils attendaient d’avoir boutonné leur manteau tous les deux avant d’ouvrir la porte d’entrée toute grande sur un janvier venteux. C’est dans les sourires, c’est dans les clins d’œil, c’est dans le pas qui ralentit pour attendre l’autre sans que le sourcil ne se lève d’exaspération.

Souvent, je songe à mes grands-parents, au fait qu’un de leurs fils aime les hommes. Je n’étais pas là pour assister au « coming out » de mon oncle bien évidemment, mais je n’ai jamais perçu quoi que ce soit dans l’affection, l’amour et le respect qu’ils portaient à leur fils (et à son époux) qui aurait pu me faire croire qu’ils le rejetaient. Pour moi, c’était normal, qu’un homme aime un homme, parce que dans cet énoncé-là, il y a le mot « aime » et qu’aimer, c’est normal.

Des années plus tard, assise dans la voiture stationnée de ma mère, alors qu’elle était à la banque, mon frère depuis la banquette arrière m’a annoncé qu’il était homosexuel. Pas une grande surprise pour être honnête. Quand tu grandis avec quelqu’un, tu en arrives à le connaitre aussi bien que toi-même. Ses goûts, ses préférences, y’a des choses qui se savent sans qu’elles ne soient expliquées. Pas un choc, mais je me souviens très bien que dans mon cœur, j’ai eu de la peine. Je n’en avais que faire du sexe de la personne qu’il allait aimer. C’est du jugement des autres dont j’ai eu peur immédiatement. Je me souviens que ça m’avait fait mal en dedans et que je lui avais dit que moi au fond, j’avais simplement peur que ça soit difficile pour lui en générale dans la vie, à cause de son orientation sexuelle et ça, ça me rendait triste pour lui. J’avais peur que des portes se ferment, j’avais peur que ça chuchote, que ça soit méchant tout bas et tout haut. C’est niaiseux au fond, par amour pour lui, j’ai installé des craintes en moi.

Puis il l’a annoncé à mon père. Bon, il l’a annoncé à ma mère aussi, mais disons que pour un fils, je m’imagine que de l’annoncer à son père, premier modèle masculin, ça doit être une tâche plus difficile. Quand mon frère raconte l’histoire de son « coming out » à notre père, j’en reste toujours un peu émue et bouleversée. Pas parce que mon père a bien réagi, pas parce que ses mots ont été doux, calmes et rassurants, lorsqu’il lui a dit: « C’est correct, tout ce qui compte pour moi c’est que tu sois heureux mon gars », mais bien parce que mon frère faisait maintenant partie du faible pourcentage d’homosexuels ayant eu la chance d’avoir un parent qui les accepte.

Comme son oncle avant lui, mon frère a eu la chance d’évoluer dans une famille aimante, qui a accepté (à bras ouverts devrais-je dire) qui il est. Comme  je suis maintenant la maman de deux garçons, je me demande toujours comment je réagirais si l’un d’eux m’annonçait son homosexualité. On a beau être ouvert d’esprit, il semble que lorsque quelque chose nous arrive à nous, tout change et pas toujours pour le mieux. Je me dis que je suis comme mon père au fond, tout ce que je veux c’est qu’ils soient heureux. Je veux les aimer, les comprendre, les regarder et les encourager avec tant de vivacité et tant de conviction que si un jour ils ont quelque chose à m’annoncer, qu’ils puissent le faire sans pudeur. Sans attendre. Sans avoir peur. Si un jour mes enfants m’annoncent qu’ils aiment quelqu’un du même sexe, je vais les accueillir, les respecter, mais surtout, je vais saluer et applaudir le courage qu’ils ont eu de venir me trouver.

Mon frère, qui occupe un emploi au sein de la communauté LGBT et qui performe toujours au Cabaret Mado entre deux dossiers de Fierté Montréal, a la chance de pouvoir performer dans toutes les sphères de sa vie, parce qu’il n’a pas eu à se cacher, à avoir honte, à mentir. L’amour inconditionnel c’est ça. C’est une mère qui affiche fièrement sur le manteau de la cheminée la photo de sa fille au bras de sa femme. C’est un employeur qui ne questionne pas l’orientation sexuelle de ses employés et qui les pousse plutôt à donner le meilleur d’eux-mêmes, en les épaulant coûte que coûte. C’est une grand-mère qui est fière de la promotion du copain de son petit fils. L’amour inconditionnel, celui qu’on étale partout et dont on se vante lorsque nos enfants sont si petits qu’ils tiennent dans le creux de nos bras, celui qui nous fait promettre à nos enfants « je t’aimerai toujours quoi qu’il arrive » alors qu’ils ouvrent à peine les yeux pour la première fois, cet amour-là, c’est mon père qui accompagne son fils à un gala et qui lui dit fièrement, des étincelles dans les yeux : « Elle est belle ta robe, mon gars!

Quand je serai grande, je veux avoir des poules !

C’est quoi la vie aujourd’hui ? Est-ce que c’est vraiment de c

C’est quoi la vie aujourd’hui ? Est-ce que c’est vraiment de courir le matin avec les enfants pour être certains d’être à temps au coin de la rue pour l’autobus ? De passer d’une à deux heures sur la route chaque jour pour se rendre au travail, de gérer les dossiers et le stress au bureau et de vite revenir à la maison à temps, avant la fermeture du service de garde ? De faire le souper en vitesse, de manger, faire les devoirs, les bains et le dodo ? De voir ses enfants seulement deux heures par soir ?

Je suis essoufflé de cette vie-là moi… Je suis à bout de souffle et énormément déçu de ne pas pouvoir profiter du moment présent et des beautés du quotidien autant que je le voudrais. Pour être honnête, j’ai souvent le goût de tout lâcher. Pas que je n’aime pas mon travail, au contraire. J’ai un emploi super stimulant, qui me passionne, je rencontre des gens que j’adore et où j’apprends tous les jours. J’ai un compte Facebook et Instagram et je me promène sur les réseaux sociaux de temps en temps. Mais oui, souvent, j’aurais vraiment le goût de revenir à la base … Je suis probablement une extra-terrestre dans une vie moderne qui n’en peut plus des cellulaires, des tablettes, des écrans … Mais où sont passées les vraies relations humaines ?

On parle beaucoup ces temps-ci dans les médias du stress, de la vie qu’on ne veut pas, de certains changements que l’on pourrait faire. J’étais à l’épicerie hier soir, et en attendant à la caisse, j’ai lu la première page du Journal de Montréal qui racontait qu’une famille avait tout quitté pour aller s’installer en campagne, dans les champs, là où la vie va moins vite et où ils peuvent faire leur élevage de vache comme bon leur semble. Oui,c’est du travail, mais ils n’ont plus d’horaires, plus d’autoroutes à franchir pour aller au boulot et surtout, ils sont dehors ! Ils profitent …  Ils se sont donné le coup de pied que ça prenait pour avoir la vie qu’ils voulaient. Pourquoi on ne ferait pas la même chose ? Pas nécessairement une vie sur une ferme, je suis consciente que ce n’est pas pour tout le monde, mais au moins, se donner le coup de pied nécessaire pour avoir la vie qu’on veut.

Et bien moi, je pense que je ne suis pas née dans la bonne époque ! J’aurais aimé avoir beaucoup d’enfants, rester à la maison pour cuisiner et coudre moi-même le linge de ma famille, aller ramasser les œufs de mes poules, aller cueillir les légumes de mon jardin, accrocher mon linge à l’extérieur, pas de télévision, pas de cellulaire. Juste la nature, juste la vraie vie. Je suis consciente que ça ne devait pas toujours être facile, que c’était beaucoup de travail et que ceux et celles qui ont vécu cette époque vont me dire qu’on est tellement chanceux aujourd’hui d’avoir toutes les commodités qui nous rendent la vie plus facile. Mais est-ce qu’il y aurait une façon d’avoir le juste milieu ? Je pense que oui. Revenons à de vraies conversations, de vraies émotions, de vraies relations, du vrai temps de qualité, la vraie vie finalement ! Prenons les bonnes décisions, celles que nous voulons pour notre bien-être et celui de notre famille.

Ce printemps, je ferai un jardin dans ma cour, je vais m’installer une corde à linge et le projet d’avoir un tout petit poulailler est en train de faire son bout de chemin dans ma tête. Et vous ? Qu’allez-vous faire pour réaliser vos rêves et échapper au stress du quotidien ?

5 activités gratuites mais pas plates à faire durant la relâche!

C’est vendredi et c’est pour plusieurs le début de la semaine de relâche! Voici donc 5 idées

C’est vendredi et c’est pour plusieurs le début de la semaine de relâche! Voici donc 5 idées d’activités complètement gratuites qui raviront petits et grands lors de son long congé!

On lâche son fou à la TOHU!

tohu1 Du 29 février au 5 mars prochain, pendant toute la semaine de relâche scolaire, la TOHU vibrera d’énergie et bourdonnera d’activités. L’habileté physique est à l’honneur cette année avec le Festival Montréal Joue. Équilibre, dextérité, mouvement et cirque, de joyeux défis attendent petits et grands. Jouer dans la neige, s’éclater autohu2x jeux d’adresse extérieurs, se réchauffer à l’intérieur avec des jeux vidéo et de société, vivre une initiation à différentes disciplines de cirque ou s’amuser à la zone pour les t
out-petits, c’est le temps de lâcher son fou à la TOHU!
Lieu : La TOHU située au 2345, rue Jarry Est, Montréal
Dates : Du 29 février au 5 mars
Horaire : De midi à 17 H
Site web : http://tohu.ca/fr/programmation/evenement/2015-2016/semaine-de-relache/

On joue dans l’eau!
Pour contrer la petite déprime de l’hiver et pour vraiment se sentir dans le sud, pourquoi ne pas visiter la piscine municipale de votre ville! C’est une activité que les enfants et les ppiscinearents adorent. Sortez vos maillots, sautez à l’eau et vous vous sentirez presque comme à Cayo Coco! Certaines villes allongent les heures d’ouverture des piscines publiques pour la relâche. Allez consulter le site internet de votre municipalité pour plus de détails !

Balade dans les bois!
boisLe Bois de l’Équerre est l’un des derniers grands espaces naturels encore accessibles au nord de ville de Laval. Cet écosystème d’une superficie de 225 hectares. En famille, en couple ou seul, le Bois de l’Équerre est un endroit idéal pour faire de la marche en forêt et de l’observation d’oiseaux. Durant la relâche, le parc offre de l’animation près des mangeoires d’oiseaux et sur les sentiers. Même la location de raquette pour les parents et les enfants est gratuite. Quelle belle façon de passer un beau moment en plein air!
Lieu : Le Bois de l’Équerre est situé au 49 rang de l’Équerre, Laval
Dates : Du 27 février au 6 mars
Horaire : Prêt de raquette gratuit de 9h00 à 15h00 et départ des randonnées avec animation à midi, 13h00 et 14h00.
Site web : http://www.boisdelequerre.org/activites-de-fevrier-2016/

Faites votre cinéma!
La Régie du cinéma organise les Rendez-vous popcorn ! Ce dimanche 21 février, il y aura à la Cinémathèque québécoise, une série d’activités gratuites, destinées aux enfants de 4 à 15 ans. En voici un échantillon :

– KERMESSE POPCORN | cinemaFoyer Luce-Guilbeault | Dès 9h30
Jeux interactifs sur iPad, atelier de stop-motion et pixilation, dessin et bricolage en présence de Ti-Guy-la-lune et Daniel Blanchette.
– TECHNIQUE DE COMBAT À LA CAMÉRA | Bistro SAQ
Création d’une scène de combat avec Jean-François Gagnon, fight master et concepteur de cascades.
10h | Atelier 8-10 ans
13h | Atelier 11-15 ans

– FONOFONE | Salle Fernand-Séguin
Sonorisation d’un court extrait de film à l’aide d’une application de création musicale.
11h30 | Atelier 5-7 ans
13h | Atelier 8-10 ans

– FILMS EN FOLIE | Salle Fernand-Séguin | 10h
Une profusion de courts métrages québécois + discussion animée par La Régie du cinéma + des prix de présence ! 8 ans et plus.

-LA GUERRE DES TUQUES | Salle de projection principale | 10h30
En présence de l’équipe du film, et des mascottes Ti-Guy Lalune et Daniel Blanchette

-AURÉLIE LAFLAMME – LES PIEDS SUR TERRE | Salle de projection principale | 13h30
En présence des acteurs et de l’équipe du film
Date : Dimanche le 21 février
Lieu : À la Cinémathèque québécoise, 335 Boulevard de Maisonneuve Est. Renseignements : 514 842-9763
Horaire : de 9h30 à 16h00
Site web : http://rvcq.quebeccinema.ca/evenements/rendez-vous-popcorn 

Vive la lumière! mtl lumiere
Jusqu’au 5 mars se déroule le festival Montréal en lumière. Sa programmation offre plusieurs activités familiales gratuites pour la famille comme des jeux géants et une glissade de 110 mètres!

Lieu : À la Place des Festivals et à l’Esplanade de la Place des Arts de Montréal
Dates : Du 18 février au 5 mars
Horaire : Veillez consulter le site web pour l’horaire, car celui-ci est variable selon les activités proposées.
Site web : http://www.montrealenlumiere.com/

Petits conseils pour bien répondre à la fameuse question : « Comment on fait les bébés? »

« Comment on fait les bébés? » est probablement la question la plus redoutée par les parents!

« Comment on fait les bébés? » est probablement la question la plus redoutée par les parents! Comment expliquer « le miracle de la vie » à nos enfants en étant honnête, mais sans être trop explicite ! Voici quelques conseils :

Respirez par le nez!
Pas de panique, on respire par le nez! Il faut essayer de rester calme.  C’est tout à fait normal qu’un enfant se pose des questions à ce sujet. Si jamais vous êtes trop mal à l’aise, cherchez les bons mots ou que vous voulez consulter votre conjoint(e), n’hésitez pas à dire à l’enfant que vous avez besoin de temps pour répondre à sa question. Par contre, il est important de revenir sur le sujet ultérieurement. Il est préférable de fournir une réponse sensée avec un certain délai que de répondre n’importe quoi, n’importe comment.

La technique du « miroir » : on lui retourne la question!
Avant de donner trop de détails, il est important de savoir ce que l’enfant sait déjà et où il en est dans sa tête. Pour ce faire, on lui retourne donc la question : « Toi, comment crois-tu que l’on fait les bébés ? » Sa réponse vous donnera un excellent point de départ pour construire votre réponse. En bas âge, souvent une réponse vague du genre « lorsqu’un papa et une maman s’aiment beaucoup, ils se font des câlins d’amoureux » le rassurera. Plus vieux ou s’il en connait déjà plus, il est important de lui donner les bons renseignements et de le rassurer. N’hésitez pas à utiliser les termes justes pour désigner les parties du corps comme les parties intimes. Laissez tomber les choux et les abeilles! La sexualité est quelque chose de normal et s’interroger à ce sujet fait partie du développement normal des enfants. Le mieux, c’est d’établir un climat de confiance et de communication avec les enfants.

S’informez!
Si vous êtes parents, on se doute bien que vous avez une idée de comment se font les bébés, mais pourquoi pas s’informer sur l’éducation sexuelle.  Vous pouvez consulter les sites internets suivants:

Il existe aussi plusieurs ouvrages comme la série de livres de la sexologue Jocelyne Robert « Ma sexualité de 0 à 6 ans », « Ma sexualité de 6 à 9 ans » et « Ma sexualité de 9 à 11 ans » parue en 2015 aux éditions de l’homme. De plus, les rayons des bibliothèques débordent d’ouvrages sur le sujet,  vous trouverez assurément  de la lecture pertinente.

Il n’y a personne qui connait votre enfant comme vous ! Faites-vous confiance et ça se passera bien!

 

Dans les p’tits pots

J'ai toujours été un peu « grano » mais surtout, toujours été heureuse dans la cuisine. Depu

J’ai toujours été un peu « grano » mais surtout, toujours été heureuse dans la cuisine. Depuis la naissance des jumeaux en juin dernier, j’ai tout lu (j’exagère à peine) ce qu’on pouvait lire sur les avantages de faire ses petites purées soi-même. En éliminant l’intermédiaire, on réduit non seulement à zéro les agents de conservation, on s’assure aussi de pouvoir congeler nos purées et donc, de sauver beaucoup de sous au bout du compte! J’ai fait plusieurs expériences, pour trouver des recettes qui se conservaient super bien (jusqu’à trois semaines) mais aussi dont la texture ne serait ni trop fibreuse, ni trop lisse. Comme Oscar mange bien et en est au troisième groupe mais que Félix en est encore qu’au deuxième, les purées se devaient donc de plaire aux deux! J’utilise un mélangeur de marque Ninja (1000 watts) et concocter 14 plateaux de 15 cubes me prend environ 1 heure, épluchage inclus! Voici donc nos 10 préférées que j’ai divisées en 2 groupes, puisque pour s’assurer que bébé dorme la nuit, on évite bien évidemment les purées ultras sucrées le soir ! (Les portions de chaque aliment sont à parts égales. )

Journée 
Banane / Mangue / Épinards
Poire / Kale / Pomme (on ajoute du Quinoa)
Carotte/ Pomme / Poires
Citrouille / Banane / Mangue (on ajoute du Quinoa)
Pomme / Carrotte mauve / Épinards

Soirée 
Haricots verts / Carottes / Figues
Épinards / Poire / Haricots verts
Carottes / Citrouille / Figues
Dates / Patate douce / kale
Épinards/ Patate douce / carottes

À noter que vous pouvez ajouter de la dinde ou du boeuf, préalablement bien cuit, égoutté et passé au malaxeur, mais pour assurer la bonne conservation des aliments et réduire le risque de contamination croisée, la viande devrait s’ajouter dans la purée avant le repas.

Bon appétit !

Un « couteau » pour enfant!

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Couteau fruitLes enfants sont curieux lorsqu’on cuisine et ils ont souvent envie de mettre la main à la pâte! Mais en tant que parent, ça peut être stressant ! On a peur des brulures et surtout des coupures ! Une artisane québécoise a créé un objet qui réduit le stress des parents et qui permet aux enfants de faire comme les grands!

L’artisane québécoise Stéphanie Meloche a désigné un couteau en bois qui tranche les aliments, mais pas les petits doigts! Fait de bois recyclé, il peut couper des aliments tendres comme des fruits, des légumes ou du pain ! Ce couteau de bois est fabriqué à la main et est conçu spécialement pour la motricité des enfants et en plus il est facile d’entretien. Il suffit de laver le couteau après chaque utilisation avec de l’eau chaude et du savon et de le sécher. Une unité se vend 16.00$ en ligne au ateliersaintcerf.com. Ce n’est pas trop cher pour encourager une compagnie d’ici et initier vos enfants à la cuisine!Emballage couteau

Tirer les vers du nez des enfants : 5 Questions différentes à poser aux enfants lorsqu’ils reviennent de l’école!

Lorsque les enfants reviennent de l’école, on leur pose toujours la question : « Pis? Comment

Lorsque les enfants reviennent de l’école, on leur pose toujours la question : « Pis? Comment ça s’est passé à l’école aujourd’hui? » Souvent cette réponse est suivie d’un « bien » lancé nonchalamment ! Évidemment, on ne veut pas que nos enfants se sentent en plein interrogatoire, mais si jamais vous avez envie d’avoir plus de détails concernant les journées de votre enfant voici quelques idées de questions ouvertes qui amèneront une meilleure discussion.

  1. De quoi as-tu ri aujourd’hui à l’école ?
    C’est une belle façon de découvrir les petites et les grandes aventures qui se passent à l’école. De plus, c’est super mignon de les entendre raconter des situations qu’ils ont vécues. Pus souvent qu’autrement ce n’est pas super clair, mais ce n’est pas grave parce que ça vous fera rire aussi !
  2. À quoi as-tu joué à la récréation ? Et avec qui ? 
    L’école ce n’est pas que les devoirs et  les leçons !  Avec cette question peut-être que vous en apprendrez plus sur ses activités préférées. Vous saurez aussi s’il a de nouveaux amis ou s’il se passe de la bisbille dans la cour d’école !
  3. Quelle question as-tu posée en classe aujourd’hui ? 
    Il a posé une question concernant les maths ou le français, ça peut vous permettre de bien réviser au moment des devoirs.
  4. Quelle note donnerais-tu à ta journée ? 
    Il suffit d’établir une échelle facile à comprendre pour les enfants. Par exemple, une échelle de 1 à 5, 1 étant j’ai envie de pleurer et 5 c’était une journée extraordinaire.  C’est une façon facile de sonder l’humeur de nos enfants en plus de leur enseigner comment extérioriser leurs émotions !
  5. Dis-moi une chose que ton professeur t’a dit aujourd’hui ?
    Ça amène aussi les enfants à réfléchir à leur journée. Vous ne saurez pas tout ce qui s’est passé dans la journée, mais vous en découvrirez une petite parcelle !

L’habitude de poser différentes questions aux enfants à leur retour de l’école ou d’une activité quelconque leur démontre que vous tenez à eux et surtout que ce qui se passe dans leur vie vous intéresse. En espérant que ces petites questions vous aideront à en apprendre plus sur les journées passées à l’école de vos tout petits et à les découvrir sous une nouvelle facette.

Lettre à mon fils

Mon chéri, Laisse-moi te raconter le récit de ta naissance. C'est probablement la plus belle hi

Mon chéri,

Laisse-moi te raconter le récit de ta naissance. C’est probablement la plus belle histoire que je n’aurai jamais à raconter. Comme tu t’es fait attendre!  Ton papa et moi étions si impatients de te rencontrer. C’est après 41 semaines et deux jours à te porter en moi que, le 4 janvier 2016 à 23h16, tu es enfin venu au monde. Cette date restera marquée dans ma mémoire à tout jamais. La toute dernière prédiction d’un lot de 64! Tu te feras sans doute casser les oreilles par ton Papy toute ta vie, car c’est lui qui a su deviner ta date de naissance et ton sexe! Ton Papy, c’est un vrai monsieur Minou, il a mérité son titre!

Alors, le 4 janvier 2016… C’était une nuit douce, il ne faisait pas très froid pour un dimanche de janvier. Le ciel était clair et rempli d’étoiles.  À ce point-ci, tu prenais beaucoup de place dans mon ventre, j’avais pris presque 40lbs! Il n’y avait pas un truc de grand-mère que je n’avais pas essayé pour te faire sortir plus vite! Manger des ananas, des repas épicés, marcher des kilomètres et des kilomètres avec Soda, prendre des bains, tirer mon lait…  Mon amie Sarah m’avait envoyé par courriel la vidéo d’une séance de yoga, elle m’a suggéré d’essayer ça. Je lui ai répondu que je ne croyais plus aux trucs, que tu allais sortir quand tu serais prêt. Je lui ai quand même dit que je tenterais le coup et que, si ça fonctionnait, je lui devais un souper au resto! Eh bien! ce soir-là! vers 20h00, j’ai exécuté la fameuse séance de yoga. Non sans peine! J’étais un béluga, mais je l’ai fait jusqu’au bout. Ensuite, j’ai pris un bain chaud en écoutant des chants amérindiens apaisants et je t’ai parlé, ma grenouille. Je t’ai dit que j’avais très hâte de te prendre dans mes bras, de voir ton visage, de sentir ta peau. Je t’ai dit que j’étais prête pour toi, que ton papa aussi se mourait de te rencontrer. Je t’ai dit que, même si ça me faisait un peu peur, nous allions être une équipe du tonnerre pendant l’accouchement. J’ai essayé de te dire à quel point je t’aimais déjà, mais j’espère que tu l’as plutôt ressenti, parce qu’il n’y a simplement pas de mot assez fort.

Je suis allée me coucher, calme et sereine. Je n’ai pas eu le temps de fermer les yeux. Quelques minutes plus tard, à 11h00 pm, j’ai perdu mes eaux. Une partie en fait, parce que j’ai continué de perdre de bonnes quantités de liquide pendant plusieurs heures par la suite!  Ma première pensée a été pour Sarah, je me suis promis de l’emmener manger dans un vraiment bon restaurant!! Je suis descendue et j’ai crié à ton papa ”My water broke!”. Il s’est dépêché à venir me rejoindre et s’est tout de suite mis à préparer notre départ vers la maison de naissance.  Il me faisait rire, tout nerveux, mais en contrôle en même temps. Il nous a préparé des cocktails de fruit pour célébrer en attendant les contractions, et l’on a entamé un film.On ne l’a pas fini parce que tout a commencé et on s’est mis en direction. On a quitté la maison avec de grands sourires en se disant qu’à notre retour, nous serions trois. On est arrivés à la Maison de Naissance du Boisé de Blainville vers 3h30 am. Les contractions douloureuses ont vraiment commencé vers 9h00 am.  Jusque là, c’était tolérable. À partir de là, je me demandais comment j’allais me rendre à l’accouchement. Tu vois, en prenant la décision d’accoucher en maison de naissance, je n’avais pas accès à la péridurale pour soulager la douleur des contractions. Toutes mes amies qui ont des enfants me trouvaient folle. À ce moment-là, j’ai compris pourquoi et je m’en suis voulu de ne pas les écouter! Ma sage-femme me massait, m’aidait à mieux respirer, mais, plus le temps passait, plus les contractions étaient rapprochées, longues et douloureuses. Vers 15h00, en constatant que je n’étais pas dilatée à plus de 3 centimètres, j’ai rendu les armes et j’ai demandé à être transférée à l’hôpital pour une péridurale. Ton papa a été tellement merveilleux. Il nous a conduits jusqu’à l’hôpital de St-Jérôme, m’a montée à l’étage des naissances en chaise roulante alors que j’étais en train de mourir de douleur. Une heure plus tard, vers 16h30, je recevais enfin la piqure magique. Je suis redevenue sympathique, je riais, je racontais des blagues. J’avais soif, tellement soif. Ton papa me donnait de l’eau à la paille aux trente secondes.

Tout allait bien jusqu’à ce que je commence à faire de la fièvre. De la fièvre qui n’allait qu’en augmentant et qui me donnait froid, tellement froid. Ton petit coeur commençait à avoir de la misère à suivre, chaque contraction le faisait ralentir. Même avec l’aide du pitocin, je ne dilatais pas assez vite. À 22h00, j’étais toujours à 6 centimètres et extrêmement fiévreuse. Tout mon corps tremblait violemment malgré les couvertures épaisses qui me couvraient. C’est là qu’à cause d’un risque d’infection, on nous a annoncé qu’on devait me préparer pour une césarienne. À 22h30, j’étais étendue sur une civière, claquant des dents, roulant vers le bloc opératoire. Ton papa a dû se changer, il avait l’air d’un docteur et je crois qu’il aimait bien ça! Il est resté auprès de moi pendant l’opération. Je grelotais toujours de tous mes membres. On m’a fait une anesthésie locale, on m’a informé que j’allais sentir les chirurgiens travailler, mais que je n’aurais pas mal. Seulement, je n’ai pas gelé comme il faut. J’ai eu mal, très, très mal. J’ai tout senti, de la première incision au moment où ils t’ont sorti de mon ventre. J’ai crié comme un animal pendant toutes les cinq minutes qu’a duré l’opération. Ton papa me tenait la main, je croyais lui briser les doigts tellement je le serrais fort. On a entendu le médecin dire que tu étais sorti. Le regard de ton papa était cloué au mien, et quand tu as émis ton premier cri, nos 4 yeux se sont remplis de larmes de bonheur. On t’a amené vers nous, j’ai croisé ton regard pendant une fraction de seconde avant que l’on t’emmène faire des tests pour être certain que tu étais en bonne santé vu les complications. Ton papa ne t’a pas quitté une seconde. Moi, on m’a fait respirer dans un masque pour m’endormir et terminer l’opération.

Je me suis réveillée deux heures plus tard dans la salle de réveil du bloc opératoire. La première chose que j’ai demandée était de te voir. On m’a dit que je ne pourrais pas être amenée à ma chambre tant que je n’arrivais pas à bouger mes orteils. Jamais je n’ai travaillé aussi fort pour bouger mes foutus orteils! Au bout d’une demi-heure, j’ai demandé à ce que l’on appelle ma chambre pour me donner des nouvelles de toi. L’infirmière a eu une très courte conversation avec un autre membre du personnel, a affiché un grand sourire avant de m’annoncer que tu étais en parfaite santé et que ton papa et toi étiez en pleine séance de peau à peau. Mon coeur s’est immédiatement allégé. J’ai dû patienter une autre demi-heure en mangeant des chips de glace avant que mes orteils se décident enfin à donner signe de vie, et on m’a finalement amenée à ma chambre. La première chose que j’ai vue et qui a fait fondre mon coeur comme une glace au soleil, c’est le visage rempli d’amour et de soulagement de ton papa en posant ses yeux sur moi. La deuxième chose,  c’est la lumière qui émanait de lui en te tenant collé contre sa peau. Avoir été debout, mes genoux auraient flanché pour cause d’un trop-plein de bonheur.  Ton papa t’a déposé sur moi,  et là, tout a changé. Tout est devenu coloré, lumineux, magnifique. Mon fils d’à peine 3 heures, tu venais de m’apprendre le sens de la vie, rien de moins.

Ma famille mon chaos change de look!

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Nous sommes contents et très fiers de vous présenter le nouveau look de Ma famille mon chaos.  Le site a changé d’apparence tout en gardant sa mission première: partager notre chaos familial. Depuis le début de ce projet, vous nous avez permis de développer une relation privilégiée avec vous. Chaque jour grâce à ce lien, on se sent moins seul et ça nous rassure !  Merci infiniment de nous suivre !