Atchoum! Le festival des allergies saisonnières

C’est fait, elles sont de retour : les allergies saisonnières.

 

Allergies, merci de m’empêcher de dormir, soit moi, soit mon chum (quand ce n’est pas un, c’est l’autre). Vous mettez du piquant dans nos vies 😊

Éternuer la nuit, c’est irritant! Dormir aux côtés de quelqu’un qui éternue, insupportable!

 

Sérieusement, seules les victimes de ce mal saisonnier me comprendront.

 

Le fameux moment, celui où tu ressens les premiers picotements dans tes yeux, dans ton nez… L’instant où tu résistes de tout ton être à te frotter les paupières (car tu sais qu’une fois que tu auras frotté tes jolis yeux, ce sera fichu)…

 

Cet instant.

 

Tu le fais. Tu frottes de tes paumes entières afin de soulager tes yeux qui, tu le sais, seront rougis des heures durant.

 

C’est fait. Tes yeux coulent. Ton nez aussi.

 

Les mouchoirs deviendront tes alliés pour les prochaines semaines. Ces semaines où tu devrais plutôt t’extasier devant la nature bourgeonnante.

 

Tous les antihistaminiques de ce monde ne sont jamais parvenus à étouffer les désagréables symptômes accompagnant le réveil printanier. S’ils y parviennent, ils amènent, la plupart du temps, leur lot d’effets secondaires.

 

Dormir debout.

 

Ne plus pouvoir porter tes lentilles.

 

Avoir la nausée.

 

Ne plus pouvoir conduire de machinerie lourde (je vous le jure, c’est écrit sur la boîte!)

 

Ne me parlez pas d’acupuncture; j’ai horreur des aiguilles!

 

Depuis quelques années, j’ai abdiqué. Curieusement, et heureusement, elles sont moins agressives.

 

Malgré tous les désagréments que vous me causez, allergies saisonnières, je vous aime d’amour.

Je vous aime, car votre retour est synonyme de beau temps et de température estivale

Et ça, ça vaut bien quelques mouchoirs!

 

 

Karine Lamarche



Commentaires