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Ode au chocolat

Oh! Chocolat, toi qui m’appelles sans arrêt! Que tu sois noir ou

Oh! Chocolat, toi qui m’appelles sans arrêt! Que tu sois noir ou blanc, en pépites ou en copeaux, garni de flocons d’érable ou de sel de mer, je t’aime. Que dis-je? Je t’adore. Tellement que je te mangerais tout cru. Ou en fondue.

 

Dire que quand j’étais petite, je n’aimais pas le chocolat. Sauf le chocolat de Pâques. Et juste les lapins vides. Je n’aimais pas les jeans non plus. Je préférais mes joggings rose bonbon.

Le chocolat, maintenant, ça me fait me sentir comme si j’étais dans mon ensemble de coton ouaté rose des chevilles au ras du cou : confortable et sans stress, à l’abri des intempéries émotionnelles, mais pas vraiment sexy.

Mon métabolisme m’a toujours assez bien servie. Sans arborer la selvitude d’un mannequin photoshopé, j’ai longtemps pu manger le triple de ce que mes amies mangeaient et me maintenir sous la barre critique du surpoids. Et Dieu sait que ce n’était pas parce que je dépensais des calories en bougeant. Le sport et moi, ça ne fait pas très bon ménage. Je déteste transpirer et je hais avoir froid, ce qui élimine la plupart des options.

Quand j’ai déménagé en appartement pour le cégep, je suis partie avec mes dix-sept ans et mes valises. Alors que plusieurs étudiants du collégial découvrent l’alcool, ma drogue à moi, c’était les pâtes et le chocolat. Il y a pire dans la vie, me direz-vous! Mais à long terme, ça s’accumule et ça rend aussi dépendant.

À ma première grossesse, je suis tombée dans une orgie de tomates. J’en mangeais huit fois par jour. Heureusement qu’elles poussaient dans ma cour, sinon je me serais ruinée. Aux trois autres grossesses, je me suis reprise en matière de cochonneries alimentaires. J’ai pris jusqu’à soixante livres sous différents prétextes : les études, la fatigue, la baisse de moral, la colère, l’éloignement, les « moi je suis faite comme ça, alors à quoi bon surveiller les quantités que je mange? », l’insomnie (vous savez, la nuit, quand on ne dort pas, la boîte d’Oréo crie très fort!)… J’ai perdu toutes ces livres chaque fois, bravo à moi!

Mais à l’approche de mes quarante ans, avec un emploi de fonctionnaire, un stationnement au centre-ville et une monoparentalité temporaire, je ne marche plus, je ne fais plus de karaté, je ne vais plus à la piscine et… je mange! Du chocolat, entre autres. Et les fonds d’assiettes de mes enfants, parce que j’ai appris que gaspiller, ce n’est pas bien pour la planète.

Depuis mes onze ans, j’ai aussi développé l’habitude de bouffer (là, on n’est plus au stade de manger en dégustant) sans arrêt pendant ma semaine. J’avais tellement mal à l’utérus et au dos que je préférais souffrir d’une indigestion.

C’est bien connu, la nourriture n’endort pas que les crampes menstruelles. Ça soulage aussi (lire : ça fait oublier temporairement) les émotions sombres. C’est rare qu’une salade au tofu fasse disparaître les blues. Les calories vides sont beaucoup plus efficaces! Je ne fais pas partie du fan-club des accros aux chips, et la bouteille ne m’interpelle pas plus qu’au cégep. Mais, j’ai de la misère à résister à la fraise fraîche trempée dans le chocolat, que la fraise y soit ou non. Je dois me parler fort pour remplacer le chocolat chaud triple crème fouettée à la cannelle avec des pépites de miel par un bon thé. Et le pot de Nutella, on n’en parle même pas.

J’aime manger équilibré. Et ça va de soi, j’aime être en santé. Mes enfants m’appellent parfois madame Tofu (il faudrait que je trouve des recettes de tofu au chocolat… ça doit exister!). J’ai la réputation d’une personne qui mange santé tout en me gâtant à l’occasion. Ces temps-ci, l’occasion se présente souvent.

Si au moins, ça me faisait du bien… Dès que je me brosse les dents, je recommence ma quête du goût du chocolat. Quand l’ennui se met de la partie, mes antennes à bouffe s’activent. Mon métabolisme se déglingue, ma culpabilité culmine. Vous imaginez le mauvais exemple que je sers à mes enfants sur un plateau de pâtisseries (oups… de crudités)? J’ai le cerveau en bouillie, l’énergie en chute libre, et, oh ?

Désolée, je dois y aller… le frigo m’appelle!

 

Je vais aller lui dire de se la fermer. Parce que les joggings roses, c’est bien beau (euh… non!), mais j’ai besoin de réapprendre à manger et à me gérer.

Les premières fois : Bébé et le beurre d’arachide

La fois où tu te décides ENFIN à essayer les maudites arachides.

La fois où tu te décides ENFIN à essayer les maudites arachides. On a tous eu quelqu’un dans notre entourage qui nous a raconté LA fois où son enfant a fait une crise d’allergie en plein restaurant et que s’il  n’avait pas réagi aussi vite, ça aurait pu être fatal…

 

Ben moi, ce n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde, ça fait que j’angoissais et faisais des boutons juste à l’idée d’essayer les noix!!! Alors là, ça fait au moins trois semaines que je me dis « OK fille, c’est aujourd’hui que ça se passe! ». Et bien, trois semaines plus tard… toujours rien! Comment appelle-t-on ça déjà ? Ah oui, la procrastination… Je suis excellente là-dedans!

Puis un bon matin, t’sais le genre de matin que tu te sens d’attaque, que ton gars s’est pas réveillé en hurlant, que tu sens l’odeur du café gentiment préparé par ton chum et que tu sens rugir en toi une énergie redoutable comme si tu étais invincible ?!? Il te manque juste en background la chanson Eye of the tiger pour te sentir comme Rocky Balboa! Ben c’était ce genre de matin, c’était  LA bonne journée pour tester!

J’étais tellement nerveuse qu’il n’était pas question qu’on reste habillé en pyjama :

-Let’s go mon amour, habille-toi! Pas question que je reste avec mes seins nus qui flottent dans mon pyjama. Nenon! Parce qu’un bonnet D… ça tient pas tout seul quand même! D’un coup qu’il faut partir rapido presto en ambulance!

Imaginez la tête de mon chum quand il m’a entendu dire ça. C’est comme si je venais d’actionner son bouton panique, lui qui est tellement calme normalement. Il m’a répondu :

– Ben là, Namour…  On serait peut-être mieux de se rendre directement en face de l’hôpital et l’essayer là-bas pour être plus safe!

-Inquiète-toi pas mon amour, la super MAMA a le contrôle de la situation.

Faque là, par précaution, je lui ai lu bien attentivement les effets secondaires possibles en cas d’une crise d’allergie, question que nous soyons bien préparés. Le Bénadryl sur le comptoir; le p’tit dans sa chaise haute :

-Aweille papa, c’est là que ça se passe!

Notre petit Lohan a adoré le goût du beurre de peanut. Heureusement pour nous, il n’a pas eu de réaction cette fois-là ni les suivantes! Je sympathise tellement avec les parents d’enfants allergiques. Je vous lève mon chapeau! Si j’étais dans votre situation, je serais sur les nerfs et ça me prendrait le dalaï-lama en personne, chaque soir, pour décompresser!

 

J’ai pris conscience que je m’inquiétais un peu trop. Maudit que c’est quelque chose pour nous, les parents, les PREMIÈRES fois de nos enfants. Il faut croire que c’est ça être parent!

 

Collation santé : Les boules d’énergie

Étant étudiante, les prochaines semaines seront dédiées aux exa

Étant étudiante, les prochaines semaines seront dédiées aux examens finaux, ce qui engendre l’absence imminente de mon temps dans la cuisine. Ainsi, je me suis laissée tenter par la création d’une recette de Boules d’énergie.

 

Pourquoi les Boules d’énergie ?

  • Parce qu’elles se congèlent à merveille ;
  • Parce qu’elles se préparent rapidement ;
  • Parce qu’elles nous apportent une belle source d’énergie ;
  • Parce que cette recette peut se préparer avec l’aide des petits.

Elles sont croquantes à souhait, grâce au beurre d’arachide naturel, en plus de combiner protéines et glucides, la combinaison clé pour une bouchée équilibrée. J’espère que vous allez apprécier !

 

INFOS

Nombre de portions : 20 boules

Temps de cuisson : 15 minutes

Temps de préparation : 10 minutes

 

INGRÉDIENTS

  • 1 tasse de dattes séchées dénoyautées
  • 1 tasse d’abricots séchés
  • 1 tasse d’eau
  • ¼ tasse de cacao en poudre

***C’est important, pour une question de goût, d’utiliser du beurre naturel et croquant pour cette recette!       De plus, le beurre d’arachide naturel contient un seul ingrédient : arachide grillée, on aime! ***

  • ½ tasse et flocons d’avoine à cuisson rapide
  • ½ tasse d’amandes naturelles

 

PRÉPARATION

1- Hacher finement les fruits séchés, réserver.

*** Les abricots doivent être hachés finement pour qu’ils se défassent bien à la cuisson. ***

2- Hacher finement les amandes, réserver.

3- Dans une petite casserole, porter à ébullition les dattes et les abricots dans l’eau et laisser bouillir pendant 3 minutes.

4- Baisser le feu et laisser cuire à feu moyen/doux pendant 8 minutes tout en brassant de temps à autre, ou jusqu’à ce que les fruits se défassent à la fourchette.

5- Laisser reposer 5 minutes.

6- Au pied mélangeur, réduire en purée lisse les fruits avec l’eau de cuisson restante. Ajouter le cacao et le beurre d’arachide.

7- Mélanger à l’aide de la spatule jusqu’à consistance homogène.

C’est à l’étape 8 que les petits peuvent nous aider! 

8- Ajouter les flocons d’avoine, les amandes hachées et la chapelure.

9- Avec les mains légèrement mouillées, façonner des boules de la grosseur d’une balle de golf.

*** Lorsqu’on se mouille les mains pour façonner les boules, elles collent moins. ***

10- Réfrigérer ou congeler dans un contenant hermétique.

 

ASTUCES

 

 Si la pâte devient trop dense suite à l’ajout de la chapelure, vous pouvez y ajouter un peu d’eau.

Les boules peuvent se conserver au congélateur et dans un contenant hermétique, de 2 à 3 mois.

Laisser simplement dégeler au moins 10 minutes avant de déguster!

 

Bon appétit !

Compte Instagram : jojoboisvert

 

 

Recette gourmande: Pain au gingembre et aux pêches

Ça fait plusieurs semaines que j’essaie de faire un pain aux pêc

Ça fait plusieurs semaines que j’essaie de faire un pain aux pêches qui goûte les pêches et je n’y arrive pas. La saveur de la purée est tellement délicate qu’elle disparaît avec la cuisson de mon pain. J’ai, par contre, créé une recette de pain au gingembre et aux pêches qui m’a fait oublier mon but de pain aux pêches. Il goûte un peu comme les pattes d’ours et le gâteau aux carottes. La purée de pêche n’est peut-être pas très présente au goût, mais elle donne un pain ultra moelleux. Je m’attends que, comme moi, vos bananes resteront un peu plus longtemps dans votre congélateur après avoir essayer ma recette de pain.

Pain au gingembre et aux pêches

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Ingrédients

1 ½ t. de farine tout usage non blanchie
1 c. à thé de poudre à pâte
1 c. à thé de bicarbonate de soude
½ t. de beurre non salé ramolli
¾ t. de cassonade
1 t. de purée de pêches (voir note)
½ t. de babeurre
1 c. à thé de vanille
1 c. à thé de gingembre frais râpé
1 œuf

Préparation

Chauffer le four à 350F.

Dans un bol, mélanger la farine, la poudre à pâte et le bicarbonate.
Dans un autre bol, mélanger la purée de pêche, le babeurre, la vanille, le gingembre et l’oeuf.
Dans un troisième bol, crémer le beurre et la cassonade au batteur électrique. Ajouter le contenu des 2 autres bols en alternance.

Verser la préparation dans un moule à pain (9 X 5 po) qui a été préalablement graissé.
Cuire votre pain 45 minutes ou jusqu’à ce qu’un cure-dent inséré au centre en ressorte propre.

Note
Je trouvais que la purée de pêche était trop liquide et je voulais un peu plus de consistance. C’est pour cette raison que j’ai introduit une pomme mystère dans ma purée. On ne la goûte pas du tout et la texture est plus intéressante.

Purée de pêches

(Donne 2 tasses de purée)

Pour faire ma purée, j’ai coupé en quartier 3 pêches et 1 pomme sans la pelure. J’ai déposé les fruits dans une casserole et j’ai mis environ ¼ t. d’eau dans le fond de ma casserole (assez pour couvrir le fond). J’ai couvert et cuit pour 10 minutes ou jusqu’à ce qu’un couteau passe facilement dans les quartiers. Utiliser le pied mélangeur pour faire une purée lisse.

Recette réconfortante: Soupe aux légumes

Avec les nuits qui se refroidissent et le soleil qui nous quitte un

Avec les nuits qui se refroidissent et le soleil qui nous quitte un peu plus tôt chaque soir, ma saison préférée arrive à grands pas! Pour moi, l’automne rime avec petits plats réconfortants et grosse doudou autour de soi. J’ai donc décidé de partager avec vous une soupe ultra rapide et réconfortante pour les jours plus froids.


Soupe aux légumes

(Donne environ 4 portions)

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Ingrédients

900 ml de bouillon de poulet
½ tasse de riz brun à grain long
796 ml de tomates en dés, égouttées
1 c. à thé de gingembre frais pelé et haché finement
1 c. à thé de jus de lime
1 gousse d’ail haché finement
1 tasse de légumes mélangés congelés (style macédoine)
Sel et poivre au goût

Préparation

Dans une casserole, mélanger tous les ingrédients et amener à ébullition.
Baisser le feu à moyen-doux et faire mijoter 20 minutes.

Si vous êtes du type riz ‘’al dente’’ le temps de cuisson est de 20 minutes. Si vous êtes plus du type riz bien cuit ou riz mou vous pouvez continuer la cuisson 10 minutes de plus.

* Vous voulez ajouter un peu de protéine ? Vous pouvez toujours ajouter un restant de poitrine de poulet ou vous pouvez mettre une poignée d’edamames congelés.

Rigidité alimentaire – L’enfer des lunchs

Quand j’étais jeune et qu’arrivait le mois d’août, j’adora

Quand j’étais jeune et qu’arrivait le mois d’août, j’adorais aller magasiner pour les articles scolaires. Il me semblait qu’un monde de possibilités s’ouvrait à moi avec tel cahier ou tel nouveau crayon. En devenant maman, j’entrevoyais le même monde de possibilités pour mon grand alors que nous allions circuler dans les rangées du Bureau en Gros pour passer à travers sa liste à lui.

Ce dont je ne me doutais pas à ce moment-là c’est que pour moi, le mois d’août amènerait autre chose que l’excitation des nouveaux cahiers et crayons; LA fameuse question que tout parent se pose : « qu’est-ce que je vais mettre dans son lunch? ».

Je ne sais pas pour vos enfants, mais pour le mien, la liste des items que je peux mettre dans son lunch est assez limitée. Il n’aime pas les légumes, les fruits doivent être très froids pour qu’il en mange. Ajoutons à cela le fait qu’il ne veut pas toujours manger ce qu’il a eu pour souper la veille. Bref, un beau casse-tête quotidien !

Fiston a consulté une nutritionniste qui l’a regardé manger ses lunchs, mais ne s’adressait jamais à lui, toujours à moi. J’ai eu droit à pleins de reproches sur la grosseur des morceaux et le type de légumes que je lui présentais. D’un commun accord avec fiston, nous avons abandonné la nutritionniste. J’ai choisi mes batailles et j’ai acheté des vitamines Flinstones pour « les enfants ne mangeant pas assez de fruits et de légumes ». Après tout, s’il y en a, manifestement mon fils n’est pas une exception, il y en a d’autres comme lui.

Je vous entends me dire d’essayer les compotes de fruits avec des légumes. Les compagnies ayant mis le dessin des carottes sur l’emballage, que pensez-vous que fiston a dit en regardant sa compote? Je vous le donne dans le mille : «il y a des légumes dedans, j’en veux pas !!!!!». J’y ai personnellement goûté, le goût de carottes n’est pas subtil pour deux sous et ce n’est pas fameux comme goût de manière générale non plus. Je me répète, mais vive les vitamines Flinstones!

Je dois vous paraître un peu « molle » comme mère d’opter pour les vitamines, je plaide coupable. Je choisis mes batailles comme je le disais plus haut. Pourquoi abandonner les légumes ? Mon fils a une particularité qui le différencie des autres : il est autiste. Le diagnostic du trouble du spectre de l’autisme vient presque automatiquement avec une rigidité alimentaire. Ce faisant, en plus de vouloir offrir des lunchs complets et variés je dois composer avec des rigidités alimentaires et une sensibilité aux textures. Si pour vous faire des lunchs est une corvée répétitive, pour moi c’est un enfer quotidien de septembre à juin.

Les rigidités alimentaires font partie de notre quotidien. Nos familles et nos amis se sont familiarisés avec cette notion et ça va bien à l’heure des repas. Par contre, à l’école, avec les surveillants de dîner, ce n’est pas toujours évident. Oui, les mêmes lunchs reviennent souvent. Oui, parfois mon enfant va même refuser de manger son repas en raison de la texture de l’aliment une fois passé au four à micro-ondes. Je peux passer n’importe quelle viande ou poisson à fiston si c’est entre deux pains hamburgers, mais l’école ne voit que les deux pains hamburgers. Des notes dans l’agenda s’en suivent sur le fait que son menu n’est pas assez varié.

Je compense donc en mettant plusieurs « à côté » sur lesquels il peut se rabattre au cas où : du yogourt, des morceaux de fromage, une 2e compote, des biscuits à l’avoine et pépites de chocolat faits avec de la pâte de légumes (une maman s’essaie). Donc tous les jours il a un méga sac à lunch, tous les groupes alimentaires sont présents et je sais qu’il n’aura pas le ventre vide si jamais le four à micro-ondes avait « détruit » le repas principal.

La saison de l’anxiété parentale face aux lunchs et aux notes dans l’agenda qui viennent parfois avec est de retour. Courage, il ne reste que 15 semaines avant la pause de confection des lunchs au Temps des Fêtes 😉

J’ai testé : Les pâtes Konjac…le nouveau secret minceur

[gallery bgs_gallery_type="slider" ids="2776,2778"] J'ai une dent sucrée. Je ne peux passer une

J’ai une dent sucrée. Je ne peux passer une journée sans en manger. Merci à ma maman qui trempait ma suce dans du sirop de maïs!!! Surtout, ne la juger pas! C’était une autre époque… Et puis, je suis une grande fille. Ça ne m’avance à rien de blâmer ma mère. C’est donc en adulte mature et responsable (bon, pas toujours mais ce n’est pas le sujet aujourd’hui…), que je me suis mise à arpenter les allées d’épiceries en quête de nouveaux produits pour m’aider à réduire ma consommation de sucre…et celle de Fiston, qui visiblement a hérité de ma dent sucrée…

Pourquoi? Parce que plusieurs études le confirment. Parce qu’après le tabac, le sucre est maintenant l’ennemi public #1. Et avec raison. On en retrouve partout (essayez pour voir de trouver un pain sans glucose-fructose…) même dans le sel! Et plus ça va, plus on se rend compte que le sucre est bien plus dommageable pour la santé que le gras. Voici ce qu’en dit, la Clinique Extenso, l’une des meilleures référence en matière de nutrition au Québec :

Il n’est pas nécessaire d’attendre la confirmation clinique des dangers du sucre pour en diminuer sa consommation. Il est assez clair que la consommation élevée de sucre amène des risques plus élevés d’embonpoint et d’obésité (…) et par le fait même, de diabète, d’hypertension et de maladies cardio-vasculaires.

L’Organisme Mondial de la Santé recommande à ce que moins de 10% de l’apport énergétique total provienne des sucres ajoutés. Pour une personne consommant 2000 calories par jour, cela correspond à un maximum de 50 grammes de sucres ajoutés ou l’équivalent d’une cannette et demie de boisson gazeuse ordinaire (…) L’American Heart Association, quant à elle, recommande aux femmes de consommer un maximum de 100 calories (environ 25 g) provenant des sucres ajoutés et aux hommes un maximum de 150 calories (environ 38 g)

Ma dernière découverte : les pâtes Konjac

Des pâtes très très très faibles en calories, en glucides et en gras, sans sodium, sans sucre et qui contiennent beaucoup de fibres! Un produit tellement parfait qu’en lisant l’étiquette nutritionnelle, j’ai cru avoir la berlue! On qualifie même le Konjac du dernier secret minceur! Le Konjac est une plante qui agit comme coupe-faim. On lui attribue même des vertus détoxifiantes. Mais allais-je m’ennuyer de mes bons vieux spaghettis? La réponse est non! Les pâtes Konjac sont bonnes au goût et ont même passé le test haut la main avec Fiston! Seule bémol, elle ne contiennent ni vitamines ni minéraux. Elles doivent doit donc être intégrées dans un régime alimentaire équilibré. J’ai acheté mes pâtes de marque Candra à la Clinique Idéal Minceur de Ste-Rose, à Laval. Il est aussi possible de les commander en ligne. Les pâtes Konjac NuPasta sont en vente depuis peu dans certaines épiceries du Québec. Elles sont offertes en version spaghetti, fettuccini ou cheveux d’ange. Leur prix est également plus élevé que les pâtes traditionnelles.

Recettes avec pâtes Konjac de NuPasta

Pour tout savoir sur le Konjac et la perte de poids

 

Recette du week-end – Poulet BBQ…qu’on peut même réduire en purée

Durant l’été, mon BBQ se fait aller comme jamais. Pas de vaisselle et pas de chaleur insupportab

Durant l’été, mon BBQ se fait aller comme jamais. Pas de vaisselle et pas de chaleur insupportable pour rien dans la maison. Pour cette recette, je me suis laissée influencer par la belle température pour vous faire découvrir une marinade rapide et délicieuse qui goûte l’été. Et qui, je l’espère, réchauffera votre week-end, Dame Nature ayant l’air d’être occupée à autre chose…

La recette de base donne environ 3/4 de tasse de purée pour bébé. Il ne vous reste qu’à augmenter le nombre de cuisses et la quantité de marinade en fonction du nombre de convives. Une recette qui vous permettra donc de satisfaire les estomacs et les papilles de tous les membres de la famille.

Poulet dans une marinade au yogourt

Recette de base pour deux cuisses de poulet ou ¾ de tasse de purée

Ingrédients:

2 cuisses de poulet sans la peau

1 petite gousse d’ail

1\4 de tasse de yogourt nature

1\4 de tasse de coriandre hachée

2 c. à thé de jus de citron

Préparation:

Dans un bol, mélanger le yogourt, la coriandre hachée, le jus de citron et l’ail.

Mettre les cuisses de poulet dans un plat ou un sac qui se ferme hermétiquement (style Ziploc, pour ne pas les nommer).

Ajouter la marinade dans le plat ou le sac et faire mariner plusieurs heures, idéalement toute la nuit.

Cuire les cuisses sur le BBQ pour ensuite les réduire en purée ou les servir entières.

ASTUCE – Si vous n’avez pas de BBQ ou qu’il est encore dans le garage ou le cabanon, vous pouvez toujours faire cuire votre poulet sur une plaque au four à ‘’broil’’ pendant 15 minutes.

Recette de purée pour les petits palais difficiles

Cette recette de purée est toujours celle que je choisis quand je veux que mon bébé mange tout. L

Cette recette de purée est toujours celle que je choisis quand je veux que mon bébé mange tout. La texture est parfaite pour les petites gencives sensibles durant la poussée des dents et juste assez goûteux pour les palais difficiles quand vient le temps d’introduire le poisson à leur alimentation. Vous pouvez aussi doubler la recette et la servir en version adulte sur des craquelins, c’est super bon!

Purée de saumon, oignon et avocat

Donne environ 1 tasse

Ingrédients:

  • 225g de saumon
  • 1 petit oignon jaune
  • Une pincée d’aneth
  • 1 gros avocat

Préparation:

  • Préchauffer le four à 400°F.
  • Couper l’oignon en rondelles. Mettre l’oignon dans du papier d’aluminium et refermer hermétiquement en papillote. Placer sur une plaque et cuire au four 10 minutes.
  • Pendant ce temps, préparer le saumon et le saupoudrer de la pincée d’aneth.
  • Sortir la plaque avec la papillote d’oignon et y déposer le saumon.
  • Remettre la plaque au four et continuer la cuisson des oignons avec le saumon pour 10 minutes.
  • Réduire en purée le saumon, l’oignon et l’avocat au pied mélangeur.

ASTUCE : Si vous congelez les restants tout de suite, l’avocat ne brunira pas.