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La vie est comme une boîte de chocolats

La mère de Forrest Gump disait que la vie est comme une boîte de chocolats : on ne sait jamais su

La mère de Forrest Gump disait que la vie est comme une boîte de chocolats : on ne sait jamais sur quoi on va tomber…

 

Je suis plutôt de cet avis. Alors, en cette période des Fêtes, où tout le monde s’offre des boîtes de chocolats de toutes sortes, j’aimerais faire mon coming out : JE N’AIME PAS LE CHOCOLAT!!! Excepté le chocolat au lait avec ben, ben des noisettes, et les Kinder Surprise…

 

Sauf que quand c’est ton oncologue qui t’offre ce Kinder Surprise de la vie, ben, le chocolat est plutôt amer, et ta surprise… elle est de taille. Et elle est tout aussi inutile que n’importe quelle bébelle pondue dans ces œufs qui incarnent à eux seuls les tares de notre société de consommation.

 

Alors voilà, c’est dit. Depuis le 22 décembre de l’an passé, mon aversion pour le chocolat inclut les Kinder Surprise.

 

Malgré le mauvais goût que ce diagnostic m’a laissé dans la bouche, il n’était, cependant, pas question que j’en fasse une crise de foi (oui, de foi!). Surtout pas avant la bûche de Noël. Surtout pas devant mes enfants.

 

Et puis, comme les fêtes de fin d’année, c’est le temps où l’on prône l’amour et l’entraide, je me suis, bien entendu, empressée de partager la nouvelle avec mes enfants et mon entourage. Oui, oui, il y a un an, à trois jours de Noël, j’annonçais à mes enfants que j’avais un cancer.

 

J’en entends déjà certains sonner les cloches : pourquoi n’as-tu pas attendu après les Fêtes pour annoncer la nouvelle, vu le risque de gâcher la magie de Noël?

Parce qu’il est vrai que l’on est moins SONNÉ d’entendre le mot cancer APRÈS avoir trinqué tous ensemble « À notre santé » au Nouvel An?!

 

Bon, je vous l’accorde : recevoir un diagnostic de cancer à trois jours de Noël, c’est comme croquer dans une fève de cacao, ça manque de raffinement. Mais même si cette nouvelle avait été enrobée de caramel mou, elle n’aurait pas été plus digeste…

 

Alors, voilà comment, il y a un an, pour Noël, j’ai offert à mes enfants LA VIE en cadeau. La vie telle qu’elle est. Emballée d’un ruban rose.

 

Et vous savez quoi? On a passé un merveilleux Noël tous les trois.

Dans la joie, la gaieté, l’amour et la vie…

 

Parce qu’au fond, c’est quoi la magie de Noël… si ce n’est un état d’esprit?

 

Pour moi, l’esprit de Noël, c’est les rituels que l’on s’invente, qui nous ressemblent et nous rassemblent. Toutes ces intentions et ces attentions que l’on déploie pour préserver la féérie dans les yeux de ceux qu’on aime.

 

Et sincèrement, je crois que j’ai réussi ce défi, malgré une année à vivre le cancer.

Car mes enfants croient encore au Père Noël. Mais surtout, ils ont réalisé que c’est Noël tous les jours dans les bras de leur mère.

 

Puis moi, j’ai compris que je n’ai pas besoin d’aimer le chocolat pour aimer la vie.

 

P.S. Si ça vous fait plaisir de m’offrir du chocolat malgré tout, ne vous en faites pas, mes enfants se feront une joie de TOUS les manger!

 

Pour en lire plus sur mon quotidien avec le cancer, visitez www.laviecontinuemalgretout.com

 

 

Ode au chocolat

Oh! Chocolat, toi qui m’appelles sans arrêt! Que tu sois noir ou

Oh! Chocolat, toi qui m’appelles sans arrêt! Que tu sois noir ou blanc, en pépites ou en copeaux, garni de flocons d’érable ou de sel de mer, je t’aime. Que dis-je? Je t’adore. Tellement que je te mangerais tout cru. Ou en fondue.

 

Dire que quand j’étais petite, je n’aimais pas le chocolat. Sauf le chocolat de Pâques. Et juste les lapins vides. Je n’aimais pas les jeans non plus. Je préférais mes joggings rose bonbon.

Le chocolat, maintenant, ça me fait me sentir comme si j’étais dans mon ensemble de coton ouaté rose des chevilles au ras du cou : confortable et sans stress, à l’abri des intempéries émotionnelles, mais pas vraiment sexy.

Mon métabolisme m’a toujours assez bien servie. Sans arborer la selvitude d’un mannequin photoshopé, j’ai longtemps pu manger le triple de ce que mes amies mangeaient et me maintenir sous la barre critique du surpoids. Et Dieu sait que ce n’était pas parce que je dépensais des calories en bougeant. Le sport et moi, ça ne fait pas très bon ménage. Je déteste transpirer et je hais avoir froid, ce qui élimine la plupart des options.

Quand j’ai déménagé en appartement pour le cégep, je suis partie avec mes dix-sept ans et mes valises. Alors que plusieurs étudiants du collégial découvrent l’alcool, ma drogue à moi, c’était les pâtes et le chocolat. Il y a pire dans la vie, me direz-vous! Mais à long terme, ça s’accumule et ça rend aussi dépendant.

À ma première grossesse, je suis tombée dans une orgie de tomates. J’en mangeais huit fois par jour. Heureusement qu’elles poussaient dans ma cour, sinon je me serais ruinée. Aux trois autres grossesses, je me suis reprise en matière de cochonneries alimentaires. J’ai pris jusqu’à soixante livres sous différents prétextes : les études, la fatigue, la baisse de moral, la colère, l’éloignement, les « moi je suis faite comme ça, alors à quoi bon surveiller les quantités que je mange? », l’insomnie (vous savez, la nuit, quand on ne dort pas, la boîte d’Oréo crie très fort!)… J’ai perdu toutes ces livres chaque fois, bravo à moi!

Mais à l’approche de mes quarante ans, avec un emploi de fonctionnaire, un stationnement au centre-ville et une monoparentalité temporaire, je ne marche plus, je ne fais plus de karaté, je ne vais plus à la piscine et… je mange! Du chocolat, entre autres. Et les fonds d’assiettes de mes enfants, parce que j’ai appris que gaspiller, ce n’est pas bien pour la planète.

Depuis mes onze ans, j’ai aussi développé l’habitude de bouffer (là, on n’est plus au stade de manger en dégustant) sans arrêt pendant ma semaine. J’avais tellement mal à l’utérus et au dos que je préférais souffrir d’une indigestion.

C’est bien connu, la nourriture n’endort pas que les crampes menstruelles. Ça soulage aussi (lire : ça fait oublier temporairement) les émotions sombres. C’est rare qu’une salade au tofu fasse disparaître les blues. Les calories vides sont beaucoup plus efficaces! Je ne fais pas partie du fan-club des accros aux chips, et la bouteille ne m’interpelle pas plus qu’au cégep. Mais, j’ai de la misère à résister à la fraise fraîche trempée dans le chocolat, que la fraise y soit ou non. Je dois me parler fort pour remplacer le chocolat chaud triple crème fouettée à la cannelle avec des pépites de miel par un bon thé. Et le pot de Nutella, on n’en parle même pas.

J’aime manger équilibré. Et ça va de soi, j’aime être en santé. Mes enfants m’appellent parfois madame Tofu (il faudrait que je trouve des recettes de tofu au chocolat… ça doit exister!). J’ai la réputation d’une personne qui mange santé tout en me gâtant à l’occasion. Ces temps-ci, l’occasion se présente souvent.

Si au moins, ça me faisait du bien… Dès que je me brosse les dents, je recommence ma quête du goût du chocolat. Quand l’ennui se met de la partie, mes antennes à bouffe s’activent. Mon métabolisme se déglingue, ma culpabilité culmine. Vous imaginez le mauvais exemple que je sers à mes enfants sur un plateau de pâtisseries (oups… de crudités)? J’ai le cerveau en bouillie, l’énergie en chute libre, et, oh ?

Désolée, je dois y aller… le frigo m’appelle!

 

Je vais aller lui dire de se la fermer. Parce que les joggings roses, c’est bien beau (euh… non!), mais j’ai besoin de réapprendre à manger et à me gérer.

Sucettes glacées au chocolat et à la menthe

Avec la découverte des mojitos, il y a quelques années, j’ai décidé comme plusieurs d’entre

Avec la découverte des mojitos, il y a quelques années, j’ai décidé comme plusieurs d’entre nous de cultiver de la menthe. Maintenant que mon petit plant de menthe a envahi ma plate-bande au complet, je ne sais plus quoi en faire. Parce que mojitos ou pas, ça fait quand même beaucoup de menthe! Donc, j’ai décidé de faire des sucettes au chocolat et à la menthe.

Donne six sucettes.

Ingrédients

1t. de lait au chocolat

2c. à soupe de feuilles de menthe coupées en petit morceaux

Préparation

Mélanger le lait et la menthe.

Transvider dans des moules pour sucettes glacées et le tour est joué!

ASTUCE : Pour une version plus adulte, vous pouvez remplacer ½ tasse de lait au chocolat par du Baileys. Mais attention de les laisser hors de portée des enfants! 😉

La « Chasse aux œufs »

Avant que les petits se bourrent la face, pourquoi ne pas les faire courir un peu afin de mériter l

Avant que les petits se bourrent la face, pourquoi ne pas les faire courir un peu afin de mériter leurs gâteries chocolatées. Pour ce faire, rien de mieux qu’une « chasse aux œufs ». Voici quelques idées pour qu’elle soit réussie :

  • Une couleur par enfant
    Afin d’être juste pour tout les participants de la chasse aux œufs, cachez un nombre égal d’œufs de différentes couleurs. Ensuite, attitrez une couleur par enfant. De cette façon, ils en auront chacun le même nombre et vous évitez la jalousie et la chicane!
  • Indices et petits défis
    Évidemment, il faut adapter la difficulté de la chasse selon l’âge des enfants. S’ils sont très jeunes, au lieu des traditionnels indices vous pourriez leur faire faire de petits défis. Par exemple, faire la danse des canards ou bien imiter la poule, sauter comme un lapin etc. Vous comprenez l’idée 😉 Vous pourriez aussi tracer un chemin au sol menant à différentes cachettes en déposant des petites pattes de lapin découpées dans du papier ou des petits chocolats. Les enfants n’auront qu’à suivre ces traces pour trouver leurs surprises!
  • Chasse inversée
    Et si c’était les adultes qui devaient trouver les œufs? Demandez aux enfants de cacher les chocolats que les adultes devront trouver! Ils adoreront cette nouvelle « twist » à la tradition!
  • Au-delà du chocolat
    Même si les gâteries de chocolat sont normalement les récompenses d’une chasse aux œufs, vous pourriez décider de varier les récompenses. Par exemple, vous pourriez cacher des petites peluches, des pièces de monnaie, des ballons à gonfler, des petits bijoux, des barrettes, des petites voitures ou des Legos! Pour respecter la thématique de Pâques, vous pourriez placer ces petits cadeaux dans des œufs de plastiques. Faciles à trouver et très peu couteux, les enfants seront vraiment contents de découvrir ce qui se cache dans ces petits œufs colorés!

Joyeuses Pâques à tous!

 

 

 

 

 

 

Il est temps de rire un peu!

On a beau vanter les côtés bénéfiques du chocolat noir, ça prend quelques années avant de s'ha

On a beau vanter les côtés bénéfiques du chocolat noir, ça prend quelques années avant de s’habituer à son goût 🙂

 

Dans certaine situation, chercher à comprendre peut s’avérer être une totale perte temps.

 

Incroyable! Bébé fait semblant d’avoir mal afin d’éviter de se faire couper les ongles.

 

Ces enfants ne devraient JAMAIS avoir le droit de conduire… même une voiture électrique!

 

Fou rire assuré