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Que diraient-ils?

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Parfois, souvent, je réfléchis à ce que diraient ceux qui sont partis. Que pensent-ils de nous et de nos vies?

Je crois que parfois, il leur pousse des cheveux blancs et ils auraient sûrement envie de nous dire tout ceci :

Aie de la gratitude pour ce qui est dans le moment présent; tu seras plus heureux, moins insatisfait, plus zen

Reconnais-toi, vois le chemin parcouru, sois fier et fais-en le point de départ de tes ambitions futures.

Reconnais ceux qui t’aiment comme tu es, honore leur présence dans ta vie. Le bon vieux « Traite comme tu veux être traité ».

Tu as la chance immense de te réveiller tous les matins, pas moi. Par tes choix, chacune de ces journées peut être merveilleuse dans les petites choses. Écoute et fais confiance à ton cœur; ta tête te joue des tours, te conforte dans tes peurs et l’orgueil te mène trop souvent. Ce que pensent les autres ne doit pas commander ta vie, sois aux commandes de ta vie.

Nos amis ou membres de famille décédés diraient sûrement : Mon doux que tu te compliques la vie pour rien. Il n’y a pas de compétition réelle entre humains, nous créons tout ça.

Nous avons tous des talents, exploitons-les et soyons heureux de ceux des autres.

Ils nous diraient : Change tes lunettes de bord, ça presse! Tu es devant un univers de possibilités, c’est la chance de ta vie, saute, contourne les barrières, fais des choix et assume-les! Amuse-toi!

Ils nous diraient de faire des choix de vie qui honorent notre corps, ce cadeau reçu à la naissance, celui qui nous permet de tout réaliser. Nous avons une seule santé, ne la perdons pas!

Ils ont sûrement parfois un peu honte de nous. Honte de nos choix de comportements, honte de notre manque de délicatesse, d’empathie envers nous et les autres. Personne ne devrait se sentir mal ou de trop en votre présence. En fait, je suis convaincue qu’ils ne nous culpabiliseraient pas, ils constateraient simplement ce qui est. Ils portent constamment les lunettes roses, pas celles de la naïveté, celles de l’envie d’être bien, de se réaliser pleinement selon notre chemin de vie.

Quand je pense à ce qu’ils diraient, je pense aussi à ce qu’ils me disaient. Mon cœur les voit et les entend toujours. Ceux qui sont chers à mon cœur me valorisaient dans leurs paroles, mais surtout dans leurs gestes. C’est le plus important dans la vie pour se sentir aimer au-delà des mots.

 

Marie-Josée Gauthier

 

Être mère, en apparence c’est simple : En réalité, ça ne l’est pas du tout!

Être mère, c'est supposé être un truc naturel, inscrit dans notr

Être mère, c’est supposé être un truc naturel, inscrit dans notre génétique; une belle grande ligne droite pavée d’amour et d’instinct. Notre corps est conçu pour porter un enfant, le nourrir et veiller à sa survie. Comme mère, un peu comme la maman ours, notre tâche principale, une fois l’expulsion terminée et la zone cicatrisée, est d’amener notre petit à l’âge adulte dans un état physique et mental socialement acceptable.

 

Les étapes sont simples :

  • puberté;
  • calcul du cycle menstruel;
  • acte sexuel;
  • nausées;
  • déchirures;
  • allaitement (ou pas);
  • postpartum;
  • Kegel;
  • abonnement aux protège-dessous ou à la rééducation périnéale si Kegel n’a pas fonctionné;
  • manque de sommeil;
  • perte de libido ou prise de poids (et souvent les deux !);
  • chasse aux CPE/garderies, bis (ou pas).

ÇA, c’est la voie rapide, le SUPPOSÉ mode d’emploi. BÉBÉ FA-FA.

 

Je suis maman depuis quatre ans et je constate que ces étapes d’apparence toutes simples sont en réalité pas simples du tout. Elles sont parsemées d’éléments intrusifs comme la fatigue, l’angoisse, l’insécurité, les microbes, les judicieux conseils de celles qui ont “réussi”, les doutes, la culpabilité et les pressions sociales. Je réalise qu’un mode d’emploi pour mère, ben, ça n’existe pas.

 

Être une maman en 2016, c’est être laissé à soi-même;
Tout en étant bombardée d’informations contradictoires ou de commentaires douteux:

« Donnes-y des probiotiques, ben non, y’est ben trop p’tit! »

« Faut faire du cododo pour le rassurer, mais oublie pas d’acheter la barrière à 60 piasses pour pas l’effoirer »

« Couche-le sur le ventre, no-non, faut le virer su’l dos! 
Me semble que sa tête tourne pas ben ben, t’as-tu pensé aller voir un ostéo?»

« T’es ben trop mère poule!»

 

*******Pour les 18 ans et plus, prière d’insérer ici le mot FUC* suivi du mot YOU.*******

 

Quand j’ai décidé d’être mère, j’espérais être une Gwyneth ou une Jacynthe pour faire du Zumba-bébé et du portage toute la journée. Je voulais faire mes purées et mon pain, bannir le gras trans et faire mon savon maison. Je voulais me lever à cinq heures pour méditer, faire du Country Heat pour être en super forme et bien préparer ma journée. Je voulais choisir mes vêtements le soir, avoir un ventre plat et faire partie de ces mères sexy qui portent des vêtements propres et du mascara.

Avant, je ne savais pas qu’une maman, ça se couchait les cheveux sales pour dormir plus longtemps et je n’appréciais pas la chance que j’avais d’aller à la toilette la porte fermée. C’est le jour où tu réalises que tu fais l’amour aussi souvent que tu payes ton compte de taxes que tu te rends vraiment compte dans quoi tu t’es embarquée. Fin du monde? Bien sûr que non. Besoin d’une petite tape dans le dos et d’un réalignement de chakras? S’il vous plaît, oui pour tout ça et bis.

Alors, à tous les experts marketing qui inventent des familles parfaites sorties d’un remix de Lassie et à tous les sites Internet qui nous donnent des recettes de collations santé à base de Kale et de cacao bio, je dis thanks, but no thanks.

Dites-nous que les cernes c’est normal et que le désordre et le découragement aussi. Montrez-moi des vraies mamans, cutes et échevelées, qui ont de vraies routines qui pourraient m’inspirer. Je veux voir des images de fillettes pas peignées qui portent des bas dépareillés, des garçons pleins de terre et des repas à base d’œufs brouillés!!!

Et à vous, très chères matantes, mères, grand-mères, autres mères, infirmières,
Dites-nous qu’on est belles, qu’on est bonnes, qu’on est capables pis qu’on fait ça comme il faut,
parce que certains matins, c’est juste de ça dont on a besoin.

Doit-on toujours être le méchant beau-père ou la méchante belle-mère ?

Les années ont passé et l'adolescence est apparue avec tout ce qui

Les années ont passé et l’adolescence est apparue avec tout ce qui vient avec. Être le beau-père d’un jeune garçon de quatre ans qui écoute Caillou, ce n’était pas si compliqué. Mais être le beau-père d’un adolescent en puissance, en recherche de liberté, d’autonomie et d’expériences nouvelles, c’est une autre paire de manches.

 

Quand les problèmes apparaissent et que ce n’est pas le tien, on dirait que ça vient te chercher un peu plus. Les vêtements qui trainent partout par terre, la vaisselle qui traîne dans sa chambre avec des mousses indescriptibles qui jonchent le plancher, ses vêtements propres au lavage, sa douche d’eau chaude de 25 minutes! En voulez-vous d’autres exemples d’adolescents en pleine crise de recherche d’identité ?

J’ai la chance d’avoir une conjointe qui me permet d’être un papa et d’avoir un rôle de papa avec son fils. Ce qui aide aussi, c’est que son propre papa n’est plus présent depuis quelques années. Cela n’empêche pas le fait que je ne serai jamais son père et qu’il le sait. Il n’a jamais osé m’en faire mention quand mes décisions ne faisaient pas son affaire. Il se contente d’un silence, mais ce silence est certainement mieux que le tant redouté « Tu n’es pas mon père ». Je touche du bois, ces cinq mots, je n’ai jamais eu à les affronter.

 

Être beau-père ce n’est pas facile! Mais c’est possible.

Voici donc mes conseils aux beaux-pères lecteurs de ce texte

 

Prenez du temps seuls avec eux pour faire des activités de leur goût.

Si vous avez des enfants à vous, faites les mêmes activités avec votre beau-fils ou belle fille qu’avec vos propres enfants.

Agissez avec eux comme vous agissez avec vos enfants.

Ne vous gênez pas pour mettre vos limites, comme vous le feriez avec les vôtres.

Soyez ferme, mais surtout soyez-le d’une manière égale pour tous.

Dites-leur que vous les aimez.

Soyez là pour les moments importants de leur vie.

 

Vous verrez qu’à long terme, vous y gagnerez tous!

5 trucs pour survivre avec un ado

L'adolescence est une période tumultueuse et difficile à vivre, et ce, pas seulement pour les enfa

L’adolescence est une période tumultueuse et difficile à vivre, et ce, pas seulement pour les enfants! Être parent d’un ado est la chose la plus bizarre et terrifiante au monde!

 

Tu ne sais jamais comment réagir et interagir avec ce tyran qui vit dans ta maison et t’en fait voir de toutes les couleurs ?!? Alors pour vous, chers parents, voici…

 

5 trucs pour survivre avec un ado


1- Le nourrir
L’ado a toujours faim. Il n’est jamais rassasié! Il faut absolument lui donner à manger! Je vous assure qu’avec l’estomac plein, il sera vraiment de meilleure humeur. Prévoyez avoir toujours à disposition du gruau, des pâtes ou du riz. Un truc qui colle bien dans le ventre!

Avec un peu de chance, il aura même de l’énergie!

2- L’écouter
L’ado argumente tout le temps. Et surtout : il a raison! Et il trouve que vous êtes la personne la plus ignorante du monde… Objectif : Garder le dialogue ouvert avec un être fermé!!! Waou! Tout un défi, n’est-ce pas ? Alors, inspirez, expirez, et laissez donc croire à cet enfant qu’il a raison! Après tout, c’est peut-être vrai ? Écoutez ses arguments et acceptez de vous remettre en question.

Vous allez gagner une grosse dose d’admiration!

3- Lâcher prise
L’ado fait tout le temps des trucs vides de sens… C’est facile quand ça arrive aux enfants des autres, mais on dirait que lorsque c’est le mien (celui qui est sorti de mon ventre, mon ptit bébé que j’aime tant)… je ne suis capable de rien! Ce n’est pas mon cerveau qui réagit, se sont mes entrailles! Pourtant, je vous assure que si vous voulez survivre… il faut lâcher prise!

 

Comment ?

  • Allez prendre l’air! Mes chiens n’ont jamais autant marché que depuis que j’ai trois ados à la maison! 
  • Sortez! Allez au cinéma, au théâtre, allez voir des concerts (criez comme une folle, sautez, dansez!), allez souper avec vos amis… Bref, l’ado n’a pas le monopole des sorties, vous l’avez aussi! Vivez votre vie!
  • Décompresser! Buvez un bon verre de vin ou une ptite frette, allez fumer une cigarette, mettez la musique à fond et dansez dans le salon!

Tous les moyens sont bons pour vous aider à lâcher prise : c’est vital!

4- Bannir sa chambre
L’ado a toujours une chambre en bordel! Toujours! Ça pue et il y a du stock partout. Parfois tu ne sais pas comment il fait pour traverser la pièce sans se blesser. Son bureau n’est plus un endroit où il fait ses devoirs, submergé par le linge, les emballages et les bébelles… Les livres et les cahiers sont dans le lit accompagnés de boites de biscuits et de résidus de chocolats… Quand j’ouvre cette porte, l’odeur nauséabonde, c’est mon enfant qui sent ça??!, me lève le cœur et le chaos me donne envie de pousser un hurlement sans fin! Alors… Je n’ouvre plus la porte! C’est SA chambre. Qu’il se débrouille. Qu’il fasse son ménage, lave son linge, range ses trucs… Je ne veux plus voir ça.

Et s’il vient pleurer qu’il n’a plus rien à se mettre… je le retourne dans la pièce bannie!

5- Couper le wifi
Un ado collabore peu. Parfois, nous n’avons pas le choix que d’utiliser les grands moyens. Sans crier, sans se fâcher, sans négocier. Je coupe le wifi à 22h tous les soirs. Je coupe le wifi quand il me manque de respect, m’envoie promener ou qu’il est insolent. Je coupe le wifi si ses notes baissent à l’école.

Je remets le wifi quand sa chambre est ENFIN ramassée, quand le repas est prêt, quand je reviens de la job, quand l’épicerie est rangée, quand les chiens sont nourris…

C’est incroyable le nombre de choses que mon ado est capable de faire pour avoir accès au net! Alors pourquoi s’en priver?!

 

J’espère que vous vous en sortez avec vos ados, je sais à quel point c’est parfois difficile au quotidien. On se sent souvent démunis. Mais dîtes-vous qu’il vous reste seulement quelques années à vivre avec ce drôle de phénomène qui finira par prendre son envol et vous manquer… Me manquer ? Vraiment ?? Vous croyez ???

 

Lâchez pas chers parents !!!

Conseils d’un enfant à sa maman, son papa et son professeur…

Je vous reproduis, ici, un texte qui m'a été offert par une enseignante de l'école de Fiston et q

Je vous reproduis, ici, un texte qui m’a été offert par une enseignante de l’école de Fiston et qui fait du bien à mon coeur de maman. J’ignore malheureusement qui en est l’auteur. Mais je le garde en permanence sur mon frigo, histoire de me ramener à l’essentiel 🙂

Maman, papa, professeur…

1 – Ne me gâte pas. Je sais très bien que je ne peux obtenir tout ce que je veux.

2 – N’oublie pas que j’essaie, mais que je ne réussis pas toujours.

3 – N’aie pas peur d’être ferme avec moi. J’aime mieux ça : je me sens en sécurité.

4 – Ne me laisse pas former de mauvaises habitudes. Je dois compter sur toi pour les détecter quand je suis jeune.

5 – Ne me fais pas sentir plus petit que je suis. Cela me fait agir stupidement pour montrer que je suis grand.

6 – Ne me corrige pas inutilement en public, si tu le peux. Je comprends beaucoup mieux quand tu me parles doucement dans l’intimité.

7 – Ne me protège pas trop des conséquences. Je dois parfois apprendre de la façon la plus dure.

8 – Ne me dit pas que mes erreurs sont des péchés : cela fausse mon sens des valeurs.

9 – Ne sois pas fâché quand je te dis : “Je te hais”. Ce n’est pas toi que je hais, mais ton pouvoir de commander.

10 – Ne répète pas toujours la même chose. Si tu agis ainsi, je devrai me protéger en faisant la sourde oreille.

11 – Ne fais pas de promesse que tu ne peux pas tenir. Je suis très déçu quand les promesses sont brisées.

12 – N’oublie pas que je ne peux pas m’exprimer aussi bien que je le voudrais. C’est pourquoi je ne suis pas toujours très précis.

13 – Ne discute pas trop de mon honnêteté. Si tu me fais peur, je te raconterai des mensonges.

14 – Ne sois pas de ceux qui changent toujours d’idées. Je suis confus et je perds confiance en toi.

15 – Ne me repousse pas quand je te questionne. Si tu fais cela, je devrai trouver des réponses ailleurs.

16 – Ne me dis pas que mes craintes sont stupides. Elles sont horriblement réelles.

17 – Ne me dis pas que tu es parfait ou infaillible. Cela me donne un grand choc quand je découvre le contraire.

18 – Ne crois pas qu’il est indigne de demander pardon. Des excuses honnêtes me rapprochent tendrement de toi.

19 – N’oublie pas que j’aime faire des expériences. Je ne peux vivre sans elles. Sois patient.

20 – Ne te préoccupe pas trop de mes malaises. Ils m’apportent souvent l’attention dont j’ai besoin.

21 – Ne me donne pas tout sans que j’aie à faire quelques efforts. Je dois apprendre que rien de valable ne s’obtient sans persévérance.

22 – N’oublie pas que je grandis rapidement. C’est difficile de suivre, mais essaie.

Kit de survie pour travailleurs autonomes en cas de maladie grave

Lorsque j’ai reçu mon diagnostic de cancer, et que les questions d

Lorsque j’ai reçu mon diagnostic de cancer, et que les questions des enjeux financiers ont émergé, j’ai commencé à me renseigner… Et c’est là, que les « Avoir su ! » et les « J’aurais donc dû » ont commencé à germer, comme de la mauvaise herbe, dans mon compte bancaire.

Donc pour faire suite à mon dernier article sur le coût de la vie quand la maladie vient jouer dans le budget familial, comme une boule dans un jeu de quilles… Voici le kit de survie pour les travailleurs autonomes afin de protéger votre famille de certains « STRIKES » indésirables de la vie.

Mais attention, ce kit ne se veut pas exhaustif! Ces conseils sont simplement tirés de « faits vécus »…

Assurance-emploi

  • Trop peu de travailleurs autonomes savent qu’il existe un programme de l’assurance-emploi pour travailleurs autonomes. Ce programme permet, en cas de maladie grave, de recevoir des prestations maladies pendant un maximum de 15 semaines… Ça vaut la peine de s’y inscrire… Pensez-y bien!

Infos sur l’assurance-emploi pour travailleurs autonomes

Assurance hypothécaire

  • Aussi assurez-vous d’avoir souscrit une assurance hypothécaire. En cas de maladie grave, vous serez dispensés de payer vos mensualités pour la durée de votre arrêt. (Cela permettra aussi de ne pas reporter la pression financière de la maladie sur votre conjoint(e))

Assurances collectives et invalidité

  • Si vous n’avez pas d’assurances collectives avec votre syndicat ou via votre conjoint(e), il existe des organismes et des fondations qui ont des programmes d’aides financières ponctuelles, pour les personnes souffrant de cancer, et en situation précaire, pendant les traitements. Renseignez-vous auprès des travailleurs sociaux de votre CLSC. Mais rassurez-vous, le gros des traitements et soins sont pris en charge par la RAMQ.
  • Il est également possible de souscrire une assurance invalidité avec votre carte de crédit. Là encore, ça peut aider de ne pas à avoir à repayer son solde de carte de crédit!
  • Les plus prévoyants d’entre vous souscriront un contrat d’assurance invalidité. Plusieurs produits financiers de ce type sont disponibles sur le marché. Voyez avec un planificateur ou un conseiller financier.

Contrat de vie commune

  • Si vous avez un conjoint(e) de fait et que donc vous ne vous êtes pas promis d’être là l’un pour l’autre dans la santé ET la maladie. Sachez que personne ne peut prévoir comment la maladie peut affecter votre amour. Il arrive plus souvent qu’on ne le croit que le pouvoir de l’amour ne soit pas aussi puissant sur longévité de votre relation que la maladie. Et devoir mener de front une bataille contre le cancer et une séparation vous mettra dans une situation vulnérable pour les questions d’argent et de partage des biens. Et j’imagine que je ne vous apprends rien en vous disant que votre ex-conjoint(e) n’a aucune obligation légale d’être généreux, clément ou juste envers vous, MALGRÉ la maladie… À moins que vous ayez, pendant les beaux jours de votre relation, définit dans un contrat de vie commune, les termes et conditions de votre séparation. Vous pourriez même y inclure une clause spécifique « en cas de maladie grave ».

Voilà.

Alors, sans revendiquer le qualificatif de « spécialiste de la question », j’espère, du moins, prêcher par le mauvais exemple!

Pour en lire plus sur mon quotidien avec le cancer, visitez www.laviecontinuemalgretout.com

Comment cesser de répéter, répéter, répéter

Chez nous, à l'heure du bain (un exemple parmi tant d'autres), on a essayé...
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      Chez nous, à l’heure du bain (un exemple parmi tant d’autres), on a essayé…

        • La consigne claire : “Arrête d’arroser partout!”
        • Le rappel mais formulé différemment (au cas où ce n’était pas si clair que ça finalement)
        • Les explications : “N’arrose pas partout dans la salle de bain, ça fait des dégâts et on peut glisser.”
        • À la positive au lieu de la négative: “L’eau doit rester DANS le bain.”
        • On a essayé d’ignorer, de se fâcher, de mimer, de parler chinois et même de faire une devinette… “L’eau doit rester dans leeeeeeee???”

      Et donc tout ça fonctionnait une fois sur dix…pendant cinq minutes. C’est à croire qu’on parlait pour rien. Que pour lui, on était des perroquets avec une mémoire de poisson rouge. Jusqu’à ce qu’on AGISSE. Mot-clé ici à entourer de flèches clignotantes. Ne pas confondre avec punir ou sévir. Par exemple : “Fiston, pour être dans le bain,  tu dois être assis et l’eau doit rester dedans. Ça veut dire que tu ne te lèves pas debout et je ne veux pas d’eau sur les murs. Si les règles du bain ne sont pas respectées, tu ne peux pas être dans le bain. À partir de maintenant je ne répète plus (juste dire cette phrase me fait du bien!). Compris?”

      Évidemment, sa réponse est oui… Et évidemment, en tant que Céline Dion du “testage” de limites, il a fait son travail. On a dû le sortir du bain une première fois. Puis la deuxième fois, c’était terminé le bain pour cette soirée-là. On ne se perdait plus dans les explications. Tout ce qu’on a ajouté d’un ton calme et ferme était: “La consigne était claire. Tu as choisi de sortir du bain.” C’est tout. Maintenant il nous écoute de lui-même quand on donne une consigne et il les respecte beaucoup plus. Qu’il pleure, rit, crie, fasse le bacon…c’est comme ça. Je ne me fâche même plus. Avez-vous déjà vu un procureur dire à un juge après l’annonce de la sentence: “Mais monsieur le juge, ça ne lui dérange pas d’aller en prison, on devrait choisir une autre sentence…” Moi non plus. Nous sommes le reflet de la société pour nos enfants. Nous nous devons d’assumer nos choix, les bons comme les mauvais avec les conséquences qui en découlent. J’accroche une voiture avec la mienne, je m’excuse et je paie les réparations. Je cours sur le bord de la piscine, je dois sortir. Je donne un coup de bâton pendant une partie de hockey, j’ai une punition. Je brise un livre de la bibliothèque, je le répare. J’arrive en retard au travail, je termine plus tard. Je fais la file à la caisse et je me rends compte que j’ai oublié un item, je refais la file. Je fais de la peine à quelqu’un, je m’en excuse et je fais quelque chose de gentil. Je fais un dégât, je le ramasse. J’oublie mon parapluie, je serai mouillé, etc. Ce sont des conséquences de la vie et non des punitions. Ça fonctionne à l’inverse aussi: j’arrive toujours à l’heure à mon arrêt d’autobus, j’arrive à temps au travail, j’ai ma paie. Je fais mon travail de façon efficace, j’ai plus de temps pour mes loisirs. Je respecte les limites de vitesse, je conserve mon argent. Je mets mes vêtements d’hiver, je reste au chaud. Je suis polie, j’ai droit à des sourires. Et toutes ces règles, pas besoin de me les répéter constamment.

      Alors, gardons notre voix et notre énergie pour autre chose que de répéter constamment et prenons un bon bain relaxant! 😉

Des sites pour trouver de vraies aubaines $$$

Ce ne sont pas toujours de véritables aubaines que l'on retrouve dans les magasins

Ce ne sont pas toujours de véritables aubaines que l’on retrouve dans les magasins entrepôts, souvent appelés «outlets», qui poussent comme des champignons partout au Québec depuis quelques années. En fait, plus ça va, plus les rabais vraiment intéressants pour le portefeuille se font rares. Même le “Boxing Day” n’est plus ce qu’il était !

Mais à MFMC, on aime bien dénicher les meilleurs endroits pour faire des affaires d’or. Voici donc, en quelques clics, comment savoir où vous procurer à peu près tout ce dont vous avez besoin à une fraction du prix.

modemontreal.tv

Acheter à rabais mais aussi local, c’est ce que permet le site modemontreal.tv ! Sous l’onglet «Calendrier», vous pouvez voir tous les événements mode pour un mois donné. Boutiques éphémères, ventes d’échantillons, d’atelier ou de fin de saison, tout est là ! Et en plus ces vêtements sont soient entièrement confectionnés à Montréal ou fabriqués à l’étranger mais pensés ici. Bref, tous issus de la créativité montréalaise. On adore !

http://www.modemontreal.tv/calendrier

montrealaubaines.ca

C’est l’un des secrets les mieux garder des chasseurs d’aubaines ! On n’a qu’à cliquer sur les onglets entrepôt, liquidation ou en ligne pour avoir la liste complète des ventes en cours. L’onglet “Calendrier” permet, là aussi, de voir toutes les ventes pour la journée, la semaine ou le mois. Vous pouvez même vous abonner à leur page Facebook ou à leur infolettre pour être informé en temps réel des événement à venir. Avertissement : vous risquez de devenir accro !

http://montrealaubaine.ca/index.php/fr/

lesventes.ca

Sans contredit notre préféré !!! Le plus complet et le mieux structuré. Le site a été fondé, il y a 5 ans, par des chasseuses d’aubaines. Vous pouvez y faire une recherche par type de ventes mais aussi par marque, par région et par catégorie. Hyper intéressant, les onglets “Aujourd’hui” et “Cette semaine” qui vous permettent de bien planifier votre magasinage de la journée ou de la semaine. Vous pouvez vous abonner à leur page Facebook et à leur infolettre. Une application mobile est également disponible. 

http://www.lesventes.ca/

Conseils à suivre

Dans une vente de liquidation ou d’entrepôt, on ne magasine pas de la même façon. Histoire d’en profiter au maximum et de limiter les frustrations, voici quelques conseils à suivre :

  • Les cartes de crédit ou débit ne sont pas toujours acceptées. Alors, on apporte de l’argent comptant. En plus, ça vous aidera à respecter votre budget.
  • Si possible, portez des chaussures et des vêtements qui s’enlèvent et s’enfilent rapidement ou que vous n’aurez même pas à enlever. Mesdames : leggings, t-shirt, camisole vous éviteront les longues files d’attente à la salle d’essayage. Messieurs : des boxers qui ne dévoilent pas trop pourront vous sauver bien du temps.
  • Éviter d’apporter un gros sac fourre-tout qu’on risque de vous confisquer à l’entrée. Ça vous évitera de perdre de précieuses minutes pour le récupérer.
  • Les ventes sont finales la plupart du temps. Alors, assurez-vous de bien essayer et de bien inspecter les items avant de passer à la caisse.

Bonne chasse aux aubaines 🙂

Vélo en famille: conseils de sécurité

Avec le beau temps, plusieurs parents ont sorti les vélos de la remise. Voici donc quelques conseil

Avec le beau temps, plusieurs parents ont sorti les vélos de la remise. Voici donc quelques conseils de sécurité pratiques concernant les casques de vélos, les remorques et les sièges de vélos pour enfant.

Un casque pour les petits et les grands
On le sait, les chutes à vélo peuvent causer de graves blessures et peuvent même entrainer la mort. Même si nous avons l’habitude d’enfiler un casque de vélo sans trop y penser, il y a quelques conseils à suivre afin de s’assurer qu’il est bien ajusté et qu’il sera vous protège en cas de chute. Dans un premier temps, lorsque vous portez un casque et attachez-le. Même lors de courtes distances. Si le casque n’est pas attaché, vous le perdrez et vous n’aurez plus aucune protection en cas de chute.

casque

Un casque bien ajusté doit :
– être est placé au milieu de la tête. Mesurez la largeur de 2 doigts entre les sourcils et le casque.
-Avoir les sangles tendues formant un Y sous le lobe de l’oreille.
-Permettre de passer un doigt entre la sangle et le menton une fois le casque attaché.
-Ne pas basculer ou bouger une fois placer sur la tête.
-Ne pas être trop serré ou être inconfortable.

Les enfants ne doivent rien porter sous leur casque: ni casquette ni barrettes, car cela en modifie l’ajustement. De plus, les queues de cheval doivent être attachées à la base du cou sous le casque.

Avant d’acheter un nouveau casque, assurez-vous que le casque a été approuvé par l’un des organismes suivants : CSA, CPSC, ASTM, EN ou SNELL. Quand le nom d’un de ces organismes est apposé à l’intérieur du casque ou sur l’emballage, cela garantit que le casque répond à des normes de performance, dont la résistance à l’impact.

La SAAQ ne recommande de ne pas d’acheté un casque usagé. Il pourrait avoir été endommagé et avoir perdu de son efficacité.

Remorques à vélo
remorque
Pour profiter des joies du vélo en famille, plusieurs parents ajoutent à leur vélo des remorques pour faire des balades avec leurs enfants. Voici quelques conseils pour plus de sécurité.

Pour rendre la remorque plus visible, il est conseillé d’installer un fanion à l’arrière de la remorque du vélo. De plus, lors de l’installation, il est important de suivre les instructions d’installation et les conseils de sécurité du fabricant.

Lorsque vous venez d’installer la remorque, prenez le temps de faire quelques essais routiers. Comme la remorque ajoute une charge supplémentaire, il est possible que ça modifie sa maniabilité et le freinage. Pour se faire, chargez la remorque ou le siège de vélo avec un poids proche de celui de votre enfant (ex. : avec un sac de pommes de terre). Commencez par de courts trajets dans des rues calmes et testez les virages et le freinage.

Siège de vélo pour enfant
siege
Par mesure de sécurité, il est fortement conseillé de choisir un siège muni d’un appui-tête et d’un protège-jambe. Il faut aussi s’assurer que le modèle du siège est compatible avec sa bicyclette. D’ailleurs, il faut toujours s’assurer que le poids du bébé ne dépasse pas le poids maximal du siège.

Un enfant installé de façon sécuritaire dans un siège de vélo devrait :
-Avoir un casque bien ajusté
-Être dans une position dans laquelle il a le dos droit, les épaules soutenues et les pieds reposant sur le repose-pied.
-Sa tête appuyée sur l’appui-tête
-Bien attaché par les ceintures bien ajustées.