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Allaiter un bambin? Pourquoi pas!

"Il n'existe pas de plus grande cause de sevrage que l'effet des opinions d'autrui sur nous"  -

“Il n’existe pas de plus grande cause de sevrage que l’effet des opinions d’autrui sur nous”  – Norma Jane Bumgamer

Depuis déjà plusieurs mois que je souhaite aborder le sujet. Et comme mes nombreuses années d’allaitement tirent maintenant à leur fin, il est grand temps que je le fasse! J’ai allaité mes deux plus vieux jusqu’à 15 mois, mon troisième jusqu’à 3 ans et j’allaite encore le petit dernier qui va bientôt avoir 3 ans lui aussi… Au total, si on ajoute mes trois grossesses, je terminerai bientôt ma onzième année d’allaitement et de pur attachement.

Allaiter un bambin, c’est parfois avoir l’impression de sortir du garde-robe. Surtout lorsque bébé a plus de 18 mois. Et sérieusement, 18 mois, je suis conservatrice… J’ai souvent eu l’impression de faire un “coming out” lorsque j’annonçais aux gens que j’allaitais encore mon enfant de 3 ans. Oui, il a des dents, il parle, il marche et il est capable de me dire ce que goûte mon lait.

La nature humaine est tellement bien faite qu’à cet âge la production s’adapte très bien aux besoins de l’enfant. Et il faut savoir que c’est tout à fait naturel d’allaiter un bambin puisque l’âge du sevrage non dirigé, c’est-à-dire quand l’enfant délaisse de lui-même l’allaitement, varie entre 2 et 7 ans. Et d’ailleurs, dans plusieurs pays du monde l’allaitement prolongé est culturellement plus accepté, notamment parce que la survie des enfants en dépend.

Le sevrage dirigé est quant à lui amorcé à partir du moment où l’on offre du lait autre que maternel à l’enfant. Et on dit que quatre mamans sur cinq vont sevrer leur bébé en raison de la pression sociale sans même s’en rendre compte. Les opinions et croyances au sujet de l’allaitement des ami(e)s, du conjoint, de la famille et du personnel de la garderie pèsent souvent dans la balance. La pression peut aussi être due au fait que le congé de maternité prend fin. Plusieurs mères croient à tort qu’il ne leur sera pas possible de concilier travail et allaitement et commence à sevrer l’enfant plusieurs semaines, voire plusieurs mois avant leur retour au travail. Or la logistique entourant la conciliation travail-allaitement est beaucoup plus simple qu’on le pense et il est toujours possible d’adapter l’horaire d’allaitement à l’horaire de travail. D’autant plus que l’enfant allaité est beaucoup mieux protégé contre les virus qui courent bien souvent à la garderie. Des recherches l’ont maintes fois démontré, il y a beaucoup moins de petits nez qui coulent ou de vilaines gastros chez les enfants nourris au sein. Et non, aucune préparation lactée ou autre lait n’arrive à la cheville du lait maternel! Il y a entre 12 et 15 éléments supérieurs dans le lait maternel qui sont impossibles à recréer.

Le lait maternel diminue aussi les risques que l’enfant souffre de leucémie, d’obésité, de diabète, d’asthme, d’eczéma, de maladie coeliaque, d’infections respiratoires, de troubles de comportement et j’en passe. Et, sans oublier le fameux QI (quotient intellectuelle) qui peut être augmenté de quatre à cinq points supplémentaires avec un allaitement à long terme. Donc, plus l’allaitement est long, plus on permet à l’enfant d’atteindre son plein potentiel d’intelligence. De plus, pour la maman, les risques de souffrir d’un cancer du sein ou des ovaires, de diabète de type 2, d’ostéoporose, d’arthrite rhumatoïde ou d’hypertension artérielle sont grandement diminués. C’est pas mal ça? Non?

Ces informations sont déjà connues et véhiculées par plusieurs médias : cours prénataux, guide pratique Mieux vivre avec votre enfant, sites internet, magazines, etc. En fait, depuis plusieurs années, les autorités de santé publique et autres organismes en faveur de l’allaitement travaillent très fort pour en promouvoir les bienfaits. Mais c’est un peu David contre Goliath. Les géants de l’industrie pharmaceutique et alimentaire qui fabriquent les préparations lactées dépensent des sommes faramineuses en marketing et en publicité. Fait encourageant, après avoir atteint des sommets, la popularité des préparations lactées est en perte de vitesse depuis le début des années 80. Mais la bataille est loin d’être gagnée. Il faut donc continuer à sensibiliser et à conscientiser les générations futures sur les bienfaits de l’allaitement pour que celles-ci ne se posent même plus la question à savoir si leurs enfants seront allaités ou pas.

En conclusion, il ne faut pas oublier que ces courtes années d’allaitement sont des moments-clés et privilégiés dans la vie de nos enfants. Le fait de leur offrir un sevrage naturel leur permet de développer leur indépendance à leur propre rythme et, par le fait même, de bâtir une solide confiance en soi.

Déficit d’attention, sautes d’humeur, obésité…et si votre enfant manquait de sommeil?

Les enfants qui ne dorment pas suffisamment sont plus à risques de souffrir de problèmes de mémoi

Les enfants qui ne dorment pas suffisamment sont plus à risques de souffrir de problèmes de mémoire et d’attention, d’obésité et même de dépression.

C’est ce que conclut une recherche publiée, à la mi-juin, par l’American Academy of Sleep Medicine (AASM). Une équipe de 13 médecins spécialistes du sommeil a analysé 864 articles scientifiques établissant un lien entre le nombre d’heures de sommeil et la santé chez les enfants. Pour la première fois de son histoire, la prestigieuse AASM y va de recommandations quant à la quantité de sommeil dont les enfants et adolescents ont besoin pour demeurer en santé.

Selon cette méta-analyse, voici donc le nombre d’heures de sommeil recommandé par tranche d’âge :

  • 4 à 12 mois : de 12 à 16 heures
  • 1 à 2 ans : de 11 à 14 heures
  • 3 à 5 ans : 10 à 13 heures
  • 6 à 12 ans : 9 à 12 heures
  • 13 à 18 ans : 8 à 10 heures

Sur le plan de la santé mentale, les enfants qui respectent ces recommandations auraient une meilleure mémoire, moins de problèmes de comportement, de régulation de leurs émotions et de difficultés d’apprentissage. Ils auraient aussi moins de risques de souffrir de dépression. Les adolescents qui dorment de huit à dix heures par jour auraient aussi moins tendance à s’automutiler ou à avoir des pensées suicidaires.

Les enfants et adolescents qui ne dorment pas assez risquent aussi d’être en moins bonne santé physique. Ils se blesseraient davantage et souffriraient en plus grand nombre d’obésité, de diabète et d’hypertension.

Ce qui ne veut pas dire qu’il faut laisser votre ado dormir jusqu’au milieu de l’après-midi sous prétexte que c’est bon pour lui. Les chercheurs en arrivent à la conclusion que dormir au-delà des recommandations est aussi néfaste pour la santé.

Afin d’arriver à instaurer une bonne hygiène de sommeil chez votre enfant, les médecins recommandent aux parents :

  • D’instaurer une routine avant l’heure du coucher;
  • De bannir les téléphones cellulaires, ordinateurs et consoles de jeux de la chambre à coucher;
  • D’empêcher l’exposition aux écrans des téléphones cellulaires, tablettes et autres gadgets électroniques avant le coucher. Ces appareils produisent une lumière bleue qui nuit à la sécrétion de mélatonine, l’hormone du sommeil.

Besoin d’un coup de pouce… Cliquer sur le lien pour obtenir la liste de nos suggestions de lecture pour que vos enfants, petits et grands, fassent leur nuit.

Bon sommeil à tous!

Biscuits ultra moelleux aux bananes…et sans noix pour l’école

Voici une bonne collation, facile à manger et nutritive pour les tou

Voici une bonne collation, facile à manger et nutritive pour les tout-petits mais qui plaira aussi aux plus grands. Ils sont faciles à transporter et ne contiennent pas de noix donc parfaits pour glisser dans la boîte à lunch. 

Biscuits ultra moelleux aux bananes

Donne 12 biscuits

1 tasse de céréale mixte de bébé “ajouter seulement de l’eau”

½ tasse de lait 3.25%

1 banane mûre

1 oeuf

½ c. thé vanille

¼ c.thé de cannelle

Une pincée de gingembre et de muscade

Mettre le four à 325°F. Mélanger tous les ingrédients dans un bol jusqu’à homogénéité. Tapisser une plaque à biscuits de papier parchemin. Mettre 2 c. à soupe du mélange sur la plaque pour faire un biscuit. Presser un peu la pâte. Cuire 30 à 35 minutes.

L’incroyable histoire d’Oscar et Félix – 2e partie : l’huile de chanvre a fait des miracles

[gallery bgs_gallery_type="slider" ids="2617,2616"] Avant et après en vidéo : [video width="

Avant et après en vidéo :

 

Premièrement, je dois mettre quelque chose au clair : mon conjoint et moi ne consommons, ni l’un, ni l’autre, quelque drogue que ce soit et la légalisation de la marijuana à but récréatif n’est pas notre combat.

Pour un parent, apprendre que son enfant est handicapé et qu’il aura toujours un retard mental et physique très lourd, c’est un deuil sans fin. Tu fais le deuil des rêves que tu caressais pour lui. Tu troques tes projets d’apprentissage de patin pour des visites chez le physiothérapeute. Tu changes de véhicule, non pas pour satisfaire un goût de luxe, mais pour pouvoir trimballer une chaise roulante. Tu travailles fort. Maudit que tu travailles fort pour ne pas éclater en sanglots chaque fois que tu vois un enfant ordinaire! Parce que nous, on a choisi de ne jamais dire “normal” pour décrire les enfants qui ne sont pas comme nos jumeaux. On préfère dire que les nôtres sont extraordinaires!

En janvier, lorsque Félix a été diagnostiqué épileptique et atteint du syndrome de West (spasmes infantiles), on nous a aussi appris qu’il porterait une couche toute sa vie, qu’il ne parlerait pas, ne mangerait pas seul et que son espérance de vie était de trois ans, maximum. Ça fesse! Ça fesse tellement fort que j’ai vomi dans la voiture sur le chemin du retour. Pour contrôler les spasmes (qui sont si violents que son diaphragme menaçait de se tordre et de le tuer), on lui a prescrit un anti-convulsif puissant mais bien connu : le Topamax. Comme l’épilepsie est une zone grise et qu’il n’y a jamais vraiment de statistiques précises et de résultats assurés, on savait que ça prendrait du temps. Beaucoup de temps avant que les spasmes soient contrôlés… Spasmes qui d’ailleurs arrivaient entre 10 et 20 fois par jour et duraient en moyenne huit minutes durant lesquelles Félix se tordait de douleur et entrait en difficultés respiratoires.

Après trois semaines, Félix avait perdu 2.5 livres (il était alors âgé de six mois et ne pesait que 11 livres) et était dans un état horrible.

Un légume. Mon fils, sous médication, était un légume.

Après six semaines, il avait commencé à perdre ses cheveux et toutes les étapes qui avaient été atteintes (tenir sa tête, sourire, se tourner) n’existaient plus. S’il ne dormait pas, complètement “stone”, il pleurait, chignait, s’agitait. Pour le calmer, on nous a alors prescrit du Clonazepam, un puissant sédatif. Parce que qui dit agitation, dit crise. Et qui dit crise, dit encore plus de dommages au cerveau. Devant la pharmacie, on s’est regardé et puis on a dit non. On ne voulait pas que Félix soit encore plus léthargique qu’il ne l’était et puis on a entrepris de faire des recherches. On a sonné à toutes les portes, envoyé des messages partout, demandé à tout le monde et puis un soir, une connaissance m’a parlé de l’huile de chanvre. Moi, je croyais que c’était illégal! NON!

Il existe une différence énorme entre l’huile de chanvre et l’huile de cannabis… Le THC (en d’autres termes, ce qui “gèle” dans la marijuana) est présent en si faible pourcentage qu’il ne compte pas. Le chanvre est médicinale tandis que le cannabis est récréatif. C’est un peu comme une bière sans alcool! L’huile de chanvre, en plus d’avoir démontré depuis que le monde est monde ses propriétés médicinales, est bourrée d’oméga-3, de fer, d’acides naturels et de toute une panoplie de vitamines…

On a donc décidé d’acheter du CBD (huile de chanvre) et de s’en servir comme supplément. Après seulement 24 heures, son appétit semblait vouloir revenir, il pleurait beaucoup moins et les crises étaient plus espacées! Quel soulagement!!! Après trois semaines, nous avons manqué d’huile (un problème avec notre bureau de poste) et la situation est redevenue alarmante… Nous avions donc la preuve que l’huile fonctionnait et qu’il ne s’agissait pas d’un hasard. Mais il avait toujours ses crises…

Le 28 février, un concours de circonstances a fait que nous avons oublié son Topamax à la maison et il a dû sauter deux doses… En revenant à la maison, comme il dormait à poings fermés (ce qui n’arrivait JAMAIS), nous avons décidé de le laisser dormir. Cette nuit-là, mon mari et moi avons pris la décision de ne plus lui donner sa médication et d’essayer de lui donner seulement l’huile. On a longtemps parlé, on a beaucoup pleuré et puis on s’est rendu à l’évidence.

Notre fils mourait sous nos yeux et on avait rien à perdre.

Le lendemain, il a fait son premier sourire en neuf semaines.

La semaine suivante, il avait pris 1.6 livres.

Le mois suivant, le neurologue s’est avoué abasourdi et a commandé une série de tests qui ont tous démontré que les convulsions s’étaient cachées. Que le fluide dans son cerveau ne creusait plus de tunnels. Que la maladie était non seulement stable mais que l’activité cérébrale avait décuplé.

Après 45 jours, l’opération qui visait à lui installer un tube à l’estomac (g-button) pour le nourrir a été annulée par le gastro-entérologue, le pédiatre et le neurologue.

Après 50 jours, Félix avait pris 10% du total de son poids. Il avait aussi grandi de presque deux pouces et passé du 1er au 26e rang centile.

Après 60 jours, il a rit, pour la première fois de sa vie. Il avait presque 10 mois.

Après 75 jours, les mots “spasmes infantiles” ont été retirés de son dossier médical.

Mon fils défie toutes les statistiques médicales et il n’est pas le seul. Est-ce que je crois que les médicaments sont essentiels? Oui. Est-ce que je crois que tous les médicaments sont mauvais? Non. Mais au fond, savons-nous VRAIMENT ce que nous donnons à nos enfants? Spécialement s’ils sont extraordinaires? La liste d’effets secondaires des médicaments est parfois si longue qu’un enfant qui a déjà une panoplie de problèmes est malheureusement susceptible d’en souffrir.

L’huile de chanvre est légale dans plus de 50 pays. Elle aurait plusieurs vertus. À elle seule, elle peut remplacer les anti-convulsifs, guérir les troubles anxieux et aider à contrôler les phobies sociales, redonner l’appétit aux patients qui souffrent de cancer, réduit (parfois même enraye) les tumeurs de façon spectaculaire… Et n’a aucun effet secondaire connu.

Félix qui ne prend maintenant aucun médicament reçoit trois fois par jour une dose de CBD sur sa suce.

Il n’a pas eu de crises ou de convulsions depuis 95 jours.

Félix et son frère Oscar sont nés prématurément à 32 semaines. Leur mère toxicomane a consommé de l’héroïne et des méthamphétamines durant la grossesse. Pour voir l’histoire de leurs premières semaines de vie cliquer ici.

Pour en savoir plus sur l’huile de chanvre, cliquer ici.

Gruau prêt à manger (ou à boire) pour les matins pressés

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Ah! Les matins de semaine! Celui qui ne court pas pour arriver à temps au travail ou qui a le temps de prendre son café et déjeuner tranquille est un magicien (ou contrôle le temps). C’était souvent mon déjeuner qui prenait le bord et je mangeais une barre granola qui n’est vraiment pas assez nutritive. J’ai, par la suite, découvert le gruau que l’on prépare la veille. Miracle! Je fais la recette pour moi et pour bébé. On se lève. Et hop! On sort le gruau déjà prêt à manger!. Les matins sont plus agréables depuis.

Gruau aux petits fruits

Ingrédients (1 portion pour adulte ou 2 portions pour bébé) :

1⁄2 t. de fruits décongelés (le mélange baies et cerises est le meilleur!)
1⁄4 t. de gruau minute
1⁄4 t. de yogourt nature
1⁄3 t. de lait de soya à la vanille léger
1 c. à soupe de graines de chia

Préparation:

Dans un contenant, mettre les fruits décongelés et les réduire en purée au pied mélangeur ou mélangeur électrique. Ajouter le reste des ingrédients et mélanger à la main cette fois. Mettre le contenant dans le réfrigérateur. Consommer le lendemain et/ou le surlendemain puisque ça se conserve très bien deux jours au réfrigérateur.

ASTUCE : Pas le temps de vous asseoir pour déjeuner! Aucun problème. Avant de mettre le contenant dans le réfrigérateur, repasser le mélange au pied mélangeur et vous avez un super smoothie!

21 janvier : la journée internationale des câlins!

Aujourd’hui le 21 janvier c’est la journée mondiale du câlin. Plus connu comme le "hug day", c

Aujourd’hui le 21 janvier c’est la journée mondiale du câlin. Plus connu comme le “hug day”, cette initiative est originaire des États-Unis. Il y a plus de 30 ans, c’est le révérant Kevin Zabroney qui a eu l’idée d’instaurer cette journée remplie de tendresse. Il trouvait qu’au mois de janvier les gens étaient maussades et manquaient d’amour. Est-ce que vous saviez que les câlins sont bons pour le moral, mais sont aussi bénéfiques sur la santé ? Il y a même des preuves scientifiques qui le démontrent:

  • D’après la société de neuroscience de Washington, suite à un câlin, notre corps libère de l’ocytocine ce qui nous fait ressentir un sentiment de bien être et réduit notre niveau de stress.
  • Ça aurait aussi un effet bénéfique sur les enfants et les ados. Des chercheurs de Berkley ont découvert que les câlins pouvaient rendre plus studieux. Dans le cadre de leur étude, les étudiants qui recevaient une caresse d’encouragement dans le dos de la part de leur professeur étaient deux fois plus portés à participer activement en classe.
  • Des chercheurs de l’université Carnegue-Melton de Pittsburgh, les câlins pourraient même prévenir certaines maladies. Sur un échantillon de 400 cobayes de l’étude, ceux qui recevaient chaque jour une marque d’affection contractaient moins de rhume que ceux qui avaient moins d’affection. Par ailleurs, le câlin réduit le rythme cardiaque, la tension et le flux sanguin.

Alors ce soir profitez-en pour câliner votre amoureux(euse) et vos enfants ! Pour le plaisir et le réconfort que ça procure, mais aussi pour leur santé ! 😉

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Source: a-qui-s.fr

 

Un chausson intelligent!

Lors des premières nuits d’un nouveau-né, combien de fois vous vous êtes levés pour vérifier

Lors des premières nuits d’un nouveau-né, combien de fois vous vous êtes levés pour vérifier si votre bébé respirait encore ou si son cœur battait normalement ? Plusieurs fois, j’en suis certain ! En tant que nouveau parent, il est fréquent de vivre du stress concernant l’état de santé général de notre enfant ou encore concernant le syndrome de mort subite du nourrisson.

Avec l’aide et le soutien financier de la « National Institues of Health », la compagnie Owlet a mis au point un gadget intelligent qui permet de mesurer différents paramètres vitaux des tout-petits : le chausson Owlet.

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Connecté à un téléphone intelligent via une application, il transmet les fréquences cardiaques et le niveau oxygénation de l’enfant en temps réel. Il vient aussi avec une base qui s’allume et émet des sons si le bébé est en difficulté. Jacob Colvin le fondateur de l’entreprise, affirme qu’il espère que cet appareil permettra aux parents de réaliser que quelque chose ne va pas avant qu’il ne soit trop tard.

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Le dispositif fonctionne de la même façon que les petits moniteurs que les médecins placent au bout des doigts, mais dans ce cas, c’est placé sur un chausson au pied du poupon.

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On peut acheter l’« Owlet Baby Heart Rate & Oxygen Monitor » pour environ 250.00$. C’est assez dispendieux si l’on compare à d’autres types de moniteurs déjà existants sur le marché. Ça comprend la base lumineuse et sonore, le capteur qui peut se placer sur 3 chaussons de grandeurs différentes afin de suivre la croissance du bébé jusqu’à ses 18 mois.

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En espérant que ce nouveau « gadget » permettra à certains parents de réduire leur stress et de mieux dormir !

Florence n’était pas une statistique

Florence, c’était une petite sœur, une grande sœur, une sœur de cœur, une nièce complice, un

Florence, c’était une petite sœur, une grande sœur, une sœur de cœur, une nièce complice, une collègue devenue une amie, une « partner » de kickboxing, une joggeuse, une « partner » de voyages, une nouvelle amie, une amie de longue date, une éducatrice devenue une famille pour certains jeunes, une amoureuse, une belle-sœur aimante, une rencontre mémorable faite en voyage, une cousine, une « matante » gâteau, une marraine pleine de promesses. Florence, même à 28 ans, c’était le bébé de mes parents. Peut-être la plus sage des quatre, surement celle qui savait le mieux comment ne pas se faire prendre. Florence, c’était tout cela et tellement plus encore. Ce n’était pas une statistique.

Seulement 10 femmes sur 25 000 ou 0,04 % feront une embolie pulmonaire alors qu’elles prennent une pilule de 3e génération. C’est 2 fois plus fréquent que chez les femmes qui prennent une pilule de 2e génération et de 4 à 5 fois plus fréquent que chez les femmes qui ne prennent aucune pilule contraceptive. En fait, c’est que les hormones contenues dans celle-ci peuvent, chez certaines femmes, épaissir le sang, causant ainsi des caillots qui bloquent la circulation sanguine. 10 femmes sur 25 000, ça peut sembler peu. C’est pourquoi il arrive trop souvent qu’on nous prescrive ce médicament en négligeant cet aspect. On considère que les bénéfices dépassent les risques…

Le problème, ce n’est pas qu’on continue de le prescrire malgré les risques associés. Oui la prise de pilule contraceptive comporte plusieurs bénéfices et je ne m’y connais pas assez pour dire si oui ou non on devrait continuer de l’utiliser. Là n’est pas la question. Ce que je dénonce, c’est que ces risques soient si méconnus. C’est qu’on utilise des statistiques pour prescrire un médicament sans informer suffisamment les femmes concernées, les privant ainsi du pouvoir de peser le pour et le contre et de juger elles-mêmes si les bénéfices dépassent les risques. Prescrire la pilule est devenu banal. S’informe-t-on suffisamment de leur historique médical et des facteurs de risques qui pourraient faire en sorte qu’un autre moyen de contraception devrait être privilégié? Ont-elles des problèmes d’insuffisance veineuse (varices), l’habitude de faire de longs vols en avion, des antécédents de troubles sanguins dans la famille, fument-elles? Prendre le temps de poser ces questions permettrait aux médecins de mieux diriger leurs patientes vers un moyen de contraception indiqué pour elles et comportant le moins de risques possible. Certains le font, mais trop ne le font pas.

Ensuite, si la patiente, bien informée, convient que la pilule contraceptive est indiquée pour elle, prend-on alors le temps de la sensibiliser aux symptômes de phlébite et d’embolie pulmonaire, alors que ce médicament la rend de 4 à 5 fois plus susceptible d’en être victime. Lui dit-on quels sont les symptômes à surveiller et ce qu’elle doit faire si elle les observe ? Cette étape ne devrait jamais être négligée. Elle peut sauver des vies.

Si je considère mon expérience personnelle et celle d’une dizaine de mes amies et connaissances qui voient toutes des médecins différents, aucune ne se souvient avoir été informée des signes de phlébite ou d’embolie pulmonaire ni même des risques de la pilule contraceptive alors que toutes la prennent ou l’ont pris à un moment de leur vie. Est-ce nous qui avons oublié ces mises en garde parce qu’elles datent de plusieurs années et n’ont jamais été renouvelées ou est-ce les médecins qui ont négligé de le faire? Cela démontre toutefois qu’il y a un gros manque. Trop souvent, on ne prend pas le temps de nous expliquer ou alors on le fait lorsqu’on prescrit la pilule pour la première fois, puis on y revient que lorsque la femme atteint 35 ans, âge où les statistiques sont plus alarmantes. Trop souvent, ce n’est que lorsqu’un autre membre de la famille fait une phlébite ou une embolie que l’on informe ces femmes des effets néfastes pouvant être rattachés à la prise ce contraceptif. Je comprends que les médecins sont débordés, que le système de santé a des lacunes et que leurs conditions de travail ne sont pas optimales, mais avec le pouvoir de prescrire des médicaments viennent de grandes responsabilités qui ne peuvent être négligées. Peut-être certains tiennent-ils pour acquis que nous savons. Eh bien non, plusieurs d’entre nous ne savent pas. Florence ne savait pas.

« Est-ce qu’elle prenait la pilule contraceptive? » C’est la première question que tous les médecins nous ont posée suite au décès de Florence. Oui, elle prenait une pilule de 3e génération. La réponse fait mal. Comment se fait-il que le lien semble si évident par après, mais qu’il ne l’était pas suffisamment pour nous en informer avant l’irréversible? Peut-être Florence, sachant tout cela, aurait-elle tout de même décidé de prendre la pilule, mais elle aurait été à l’affut des signes de phlébite et d’embolie pulmonaire qu’elle présentait et aurait pu être traitée à temps.

Ma sœur a participé à une course quelques jours avant son décès. Elle avait mal au mollet et a donc dû terminer sa course en marchant. Cette douleur était présente depuis quelques jours. Elle croyait que c’était musculaire. Elle en a parlé à des amies. Personne n’a pensé à une phlébite. Le soir avant son décès, elle a vu que son mollet était un peu enflé. Elle ne s’est pas alarmée. Elle a dû croire qu’elle s’était « claqué un mollet » en s’entrainant, comme c’était le cas l’an passé. Les signes étaient là, mais elle ne les connaissait pas. Elle n’a pas eu la chance de les reconnaitre et de se rendre d’urgence à l’hôpital. Elle n’était pas informée. Je ne l’étais pas non plus et j’ai pris la pilule pendant des années, comme bien des femmes de notre âge. J’aurais fait exactement comme elle, parce qu’à 28 ans, on ne s’inquiète pas d’un petit mal de mollet… Sauf quand quelqu’un a compris toute l’importance de nous informer comme il se doit.

Ce n’était pas musculaire. Florence avait une bombe dans le mollet. Un caillot de sang qui bloquait sa circulation et qui menaçait de se déloger et de continuer sa route jusqu’à ses poumons. Le 24 septembre, Florence a perdu connaissance pendant un court moment au travail. Elle n’a pas cru sa vie en danger. Elle avait 28 ans, était sportive, s’alimentait bien. Comme la jeune femme responsable et l’éducatrice spécialisée dévouée qu’elle était, elle a attendu qu’on vienne la remplacer avant de se rendre aux urgences où ma mère l’a rejointe. Elles ont plaisanté, puis elle est partie passer quelques tests. Mais il était trop tard. La bombe a explosé. Le caillot s’est délogé. Florence n’est plus, parce qu’un petit 10 sur 25 000 ne justifiait pas qu’on s’attarde sur les risques. Parce que prescrire la pilule contraceptive est devenu si banal.

Si nous avions su…
Jamais ces mots n’auront été si douloureux. C’est pourquoi nous avons choisi de partager avec vous ces informations. Parce que malgré tout le temps que nous passons à ressasser ces évènements dans notre tête, la dure réalité, c’est que nous ne pourrons pas la ramener. Tout ce que nous pouvons faire maintenant, c’est en parler pour conscientiser nos proches, ses proches. Pour que les femmes soient conscientes des risques et questionnent leurs médecins et pour que ces derniers les informent et insistent sur les signes à surveiller.

Florence, c’était des souvenirs d’enfance, des regards complices, des fous rires à la tonne, une oreille attentive, des paroles rassurantes, un amour inconditionnel, des anecdotes à n’en plus finir, des secrets bien gardés, des réponses « punchées », une présence malgré la distance, des projets de voyage à l’infini. Florence, c’était tout cela et tellement plus encore, mais certainement pas une simple statistique.

Pour ceux et celles qui se posent des questions et qui voudraient plus de réponses, je vous suggère quelques liens. Je ne suis pas une spécialiste, donc je vous invite à visiter ces pages. Notez que le Nuvaring et plusieurs autres contraceptifs hormonaux agissent comme la pilule contraceptive et comportent, semble-t-il, les mêmes risques.
*AVEP (Association des victimes d’embolie pulmonaire en France) Vous retrouverez plusieurs témoignages de familles ayant perdu un proche ou de victimes ayant subi une embolie et vivant avec les séquelles. On y parle des risques de la pilule contraceptive.
http://www.avep-asso.org/association
*Ces sites fournissent de l’information sur les causes, symptômes, traitements et sur la prévention des embolies pulmonaires. Ils mentionnent tous un lien entre la prise de pilule et les embolies pulmonaires.
http://sct.poumon.ca/diseases-maladies/a-z/embolus-embolie/index_f.php
http://www.allodocteurs.fr/maladies/poumons/embolie-pulmonaire/embolie-pulmonaire-comment-reagir_5912.html
http://www.pharmaciengiphar.com/maladies/poumons-et-respiration/embolie-pulmonaire/embolie-pulmonaire-un-caillot-dans-poumonshttp://www.automesure.com/Pages/pilule3.html

 

Source du texte: La page Facebook d’Ariane Aumont-Légaré

Ma recherche de produits écologiques pour enfants

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En tant que parent, on recherche toujours ce qu’il y a de meilleurpour nos enfants. On fait des essais… et malheureusement des erreurs. On se fie au bouche à oreille, à facebook, à google et j’en passe. Je suis la première à acheter des produits ridiculement trop chers afin d’avoir une paix de l’esprit et de pouvoir me dire que j’aidonné ce qu’il y a de meilleur à mes deux amours . Aujourd’hui, j’ai décidé de faire un billet sur des produits que je ne connaissais pas, les produits The Honest company. Pourquoi? Parce que ma plus jeune a fait une réaction la semaine dernière. Étienne et moi ne savions pas si la réaction était due aux couches, au savon ou auxlingettes. J’ai donc fait quelques recherches sur le net et j’ai découvert les produits pour bébé Honest. Pour être franche, j’avais déjà entendu parler de ceux-ci sur le net (Merci au blog TVTM de Virginie Roy), ainsi que dans les médias. La propriétaire étant l’actrice Jessica Alba, sa compagnie et ses produits ont fait souvent les manchettes. Je dois avouer que je n’étais pas portée à les acheter pour deux raisons:

1- Je devais les commander sur le net (des États-Unis)

2- Une belle starlette d’Hollywood avec une compagnie ne m’inspirait pas du tout confiance… Trop de sous pour de la publicité souvent fausse (Mea culpa! Je sais que ce sont des jugements totalement gratuits).

 

Bref, pour en revenir à la peau fragile de ma fille, j’ai fait les recherches et toutes semblaient dire que ces produitsétaient le summum pour nos tout-petits : biologiques, respectueux de l’environnement, sans produits chimiques nocifs etc. Je commençais sérieusement à me dire que je devais mettre mes jugements de côté et les essayer, ne serait-ce que pour voir s’ils allaient aider Anna. J’ai donc continué mes recherches et.. tadam… j’ai appris que la boutique “ Le Petit Cocon, située à St-Jean sur Richelieu, en avait!!! En quelques minutes Anna était habillée et prête à accompagner son impulsive de mère. Oh oui, produit Honest, nous allions vous tester!

Je connaissais déjà la boutique, qui est, selon moi, une des plus belles et qui offre une très grande variété de produitspour enfants. Je suis donc arrivée là-bas avec ma puce et ma liste de questions. Voici ce que j’ai appris concernant les produits.

La compagnie vise vraiment à éliminer les elements toxiques et nocifs de ses produits. C’est donc meilleur pour vos enfants ET pour l’environnement. Leurs produits sont à base de plantes et de produits vivants. L’emploi de pétrole est utilisé au minimum autant au niveau des produits pour bébés que dans les contenants et les emballages.

J’ai finalement testé les fameux produits… et je suis conquise!! Les réactions d’Anna ont disparu en 48h, sa peau et ses cheveux étaient doux (merci crème pour le corps et démêlant à cheveux), ses fesses n’avaient aucune rougeurs… Étienne et moi étions VRAIMENT contents. En plus, on ne se cachera pas que les motifs de couches sont tout simplement craquants (même Hayden a noté le fait que les motifs étaient très “COOL”) . C’est certain que la couche est un peu moins douce que les marques populaires, mais Anna ne semble pas en faire de cas. Je n’ai noté aucune fuite, elles sont donc bien absorbantes. Au niveau du corps, notre fille fait parfois des plaques d’eczéma, et je n’ai rien vu empirer avec le pain de savon (alleluia)!

Ah et avant de terminer, je voulais spécifier un point, ce billet n’est pas publié à cause d’une commandite, d’un rabais du magasin ou quoi que ce soit. Nous avons décidé de le faire pour aider les parents qui, comme nous, recherchent des produits bio et bons pour leurs enfants. Comme la boutique fait aussi la livraison à domicile, il est facile de pouvoir enfin encourager l’économie locale tout en essayant des produits bons pour la santé et l’environnement.

Pour plus d’infos : www.honest.com

NB Une poursuite à été intentée le 3 Septembre 2015 contre l’actrice et sa compagnie. Jonathan D. Ruban, un homme ayant acheté les produits, poursuit Jessica Alba en disant que ses produits ne sont finalement pas SI naturels que ça. C’est un dossier à suivre.. Est-ce vrai ou l’homme en question tente-t-il simplement de se faire des sous? Voyez plus de détails ici : http://www.thewrap.com/jessica-albas-honest-compan…

Choix santé pour la boîte à lunch

Soyons francs, il n'est pas de tout repos de faire un lunch pour l'école!
  • Trop de sucre

    Soyons francs, il n’est pas de tout repos de faire un lunch pour l’école!

    • Trop de sucre par là
    • Trop de sel aussi
    • Ohh les méchants OGM
    • Pas assez de fibres
    • S.O.S.: ARACHIDES EN VUE !!!

    Bref, de quoi nous donner bien des maux de tête. De plus, les idées ne se bousculent malheureusement pas lorsque vient le temps de parler des repas pour la boîte à lunch. Plusieurs d’entre-nous avons la fâcheuse habitude de mettre des repas “plattes” 🙂

    Vous savez, le fameux lunch “Sandwich, céleris/carottes, pommes, yogourt et barre tendre”. Aucun jugement ici, parce que quand vient le temps de préparer les boîtes à lunch, nous sommes les premiers à nous frapper la tête contre le mur et à choisir la fameuse option: FACILITÉ. Et ça inclus le repas mentionné ci-haut (Oui oui, honte à nous! De là le bonheur des repas chauds à l’école ; ).

    Voici un article publié par les supermarchés METRO, afin d’avoir de bonnes idées pour les lunchs de nos enfants : http://www.metro.ca/conseils-astuces/abc-cuisine/cuisiner-simplement/boite-lunch/idees-pour-boite-lunch-enfants.fr.html

    Bonne lecture 🙂

     

    Crédit photo : csss-iugs.ca