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Nos pharmacies à bout de souffle – Texte: Cindy Barbier

Si vous travaillez dans le milieu de la santé, vous devez être comme moi : à bout de souffle, le

Si vous travaillez dans le milieu de la santé, vous devez être comme moi : à bout de souffle, les batteries vides, les émotions à fleur de peau et impatiente d’avoir une accalmie. Comme ma collègue collaboratrice, Nancy Pedneault, les pharmacies ont usé d’imagination, d’ingéniosité et de débrouillardise pour s’ajuster à toutes les mesures sanitaires sans affecter le service aux patients. Je suis technicienne en pharmacie depuis onze ans et je veux souligner le travail de mes collègues ATP et pharmaciens.

Nous avons tous poussé un soupir de découragement lorsque nous avons appris que nous allions distribuer les autotests Covid. Nous avons déjà beaucoup à gérer avec la vaccination contre la grippe, la Covid et autres vaccins, les nouveaux services que les pharmaciens peuvent offrir et les droits qu’ils ont acquis, ce qui fait que la charge de travail a augmenté drastiquement. Nous avions déjà de la difficulté à tout terminer pour la fin de la journée.

Les pharmaciens ont vu leurs droits professionnels augmenter avec la loi 31 qui leur donne le droit de prescrire certains médicaments (selon certains critères), faire des ajustements de médications dans certains traitements, la vaccination et j’en passe. Sans compter tout le travail qu’ils avaient avant et qui était déjà énorme. Avec tout ça, des tâches ont été déléguées aux techniciens. Nous ne faisons pas que compter des pilules.

PANDÉMIE MONDIALE. Restrictions sanitaires. Règlements imposés. Nouvelles mesures implantées. RUPTURE DE STOCK. Dans le milieu de la pharmacie, rupture de stock ou B/O de médicaments, c’est « normal ». Les ruptures de masques, visières, gants, alcool, antiseptiques, c’est très inhabituel. Nous sommes déjà habitués de gérer des situations ou des patients stressés ou inquiets, mais très rarement violents. Aujourd’hui, c’est devenu presque « normal ».

Concernant la vaccination contre la Covid, de nombreux pharmaciens ont répondu à l’appel pour aider le gouvernement. Très rapidement, nous nous sommes rendu compte que c’était toute une gestion et de l’organisation. Vacciner les patients, créer les dossiers patient, récolter les informations de santé, entrer les actes de vaccination dans chaque dossier patient et inscrire la vaccination dans le système gouvernemental, tout en respectant les consignes sanitaires, c’est tout un casse-tête. Nous avons vu et entendu tellement d’histoires tordues de personnes qui ont tenté de se faire vacciner avant que leur tour soit arrivé. Des bagarres, oui. Des « si je te donne x $, me vaccines-tu ? » Des menaces. Je pourrais continuer longtemps. Malgré tout, nous avons continué à travailler avec le sourire et le respect. Dans les groupes Facebook de pharmacie, nous demandions conseil, nous nous sommes beaucoup entraidés, ce qui a facilité notre travail par moment.

Nous avons développé des services plus personnalisés, amélioré d’autres aspects comme la livraison plus fréquente et sans contact, et certaines pharmacies ont même des services au volant. Nous avons toujours travaillé à améliorer la qualité de nos services avec soin, précautions et en priorisant les besoins de nos patients. Quand nous avons commencé à être capables de jongler avec tous ces nouveaux éléments, les autotests sont arrivés.

Laissez-moi vous dire une chose : les autotests sont devenus le papier de toilette. C’est la folie. Non, non ! C’EST LA SAPRISTI DE FOLIE. Nous sommes informés quelques jours avant le début de la distribution que nous allons être les chanceux à les donner. L’AQPP fait une conférence urgente pour informer nos pharmaciens du déroulement de cette fameuse distribution. Le lendemain, petite réunion de travail, on explique le tout, ça semble bien organisé. Nous allons recevoir une boîte de 108 tests par jour, super facile à entrer dans le système informatique, simple à expliquer aux patients : « Vous avez droit à une boîte par mois. Une boîte contient cinq tests, si vous faites un test et qu’il s’avère positif, aller dans un centre de dépistage pour confirmer le résultat et isolez-vous. Bonne journée. »

Nous recevons les tests. Tout excités.

Lundi 20 décembre, la pharmacie ouvre, il y a une file de 20 à 30 personnes. Oh boy ! J’ai même pas servi mon premier patient que ma pharmacienne me dit : « Je viens de recevoir un message texte d’une collègue. Il paraît que c’est la panique partout. » Je me dis que ça doit être exagéré ou isolé. Une heure plus tard, les 108 tests sont tous distribués. Le téléphone ne cesse de sonner, soit pour la vaccination de la troisième dose ou savoir s’il nous reste des tests. Le reste de la journée, nous avons dû négocier avec la surprise, la crainte et la colère des gens. Nous les rassurons que le lendemain, nous allons en recevoir d’autres, c’est ce que le gouvernement nous a dit.

Mardi, aucune livraison. Pas besoin de dire comment la journée a été.

Mercredi, aucune livraison. Là, je commence à angoisser. Les patients deviennent impatients, nous traitent de voleurs, de les cacher, nous nous faisons menacer si nous ne donnons pas de tests, même si on explique que nous n’en avons pas. Nous recevons de faux transferts de pharmacie pour des patients qui veulent des tests en pensant que ça faciliterait leur cas. Des livreurs se font intercepter à l’extérieur pour demander des tests. Des patients poussent d’autres patients en disant qu’eux sont plus importants parce qu’ils ont telle ou telle maladie.

COMBLE DU MALHEUR, la conférence de presse de mercredi soir. « NOUS N’AVONS PAS ASSEZ DE TESTS POUR TOUT LE MONDE. » Sérieux ?! Quatre jours avant, c’était un discours totalement différent qui nous avait été donné.

Aujourd’hui, 23 décembre, j’ai reçu une livraison en fin de journée, mais j’ai passé la journée à recevoir des insultes. Devinez comment ma journée de demain va se dérouler. Je dois avouer que je suis à bout de souffle. J’appréhende ma journée de demain, veille de Noël.

Au nom de tout le personnel des pharmacies, s’il vous plaît, restez respectueux. Nous ne sommes pas responsables de ces délais. Nous sommes informés de la même façon que vous, par les médias. Souvent, nous apprenons quelque chose, car c’est vous les patients qui nous en informent. Alors, s’il vous plaît, nous faisons notre travail avec passion. Nous sommes heureux et fiers d’aider durant cette pandémie, mais là, ça commence à être trop. Si vous avez des enfants qui ont reçu des boîtes, ne venez pas en chercher d’autres, laisser ceux qui n’ont pas votre chance en avoir.

J’adore mon métier, j’adore mes patients, mais il y a des jours où c’est plus difficile. Derrière ce masque, ce sarrau, il y a une personne qui travaille d’arrache-pied, qui est fatiguée, qui fonctionne à la caféine, qui a une famille comme vous, qui est inquiète comme vous, qui vit probablement des moments difficiles, qui ne va peut-être pas aller voir sa famille à Noël par mesure de sécurité et par choix personnel comme vous, qui a peut-être un membre de la famille très malade, qui a des émotions comme vous, mais surtout qui est humaine.

Alors, une dernière fois, s’il vous plaît, restez calmes et soyons respectueux.

Joyeux Noël et bonne année 2022 !

 

Cindy LB

Ne pas oublier la règle numéro 4

Ça s’est passé samedi matin. Je m’étais levé tôt, pour fair

Ça s’est passé samedi matin. Je m’étais levé tôt, pour faire changement. Normalement, je n’ai pas beaucoup d’énergie et je dors beaucoup.

Je m’étais dit que j’allais faire un petit spécial pour aller dans un magasin à grande surface, tôt, au lieu d’y aller pendant la semaine.

J’ai commencé à paniquer à mon arrivée dans le stationnement. J’ai eu de la misère à me trouver un espace de stationnement et mon cœur battait à pleine vitesse. J’ai donc pris une pause à l’extérieur avant d’entrer. J’avais peur de faire face à beaucoup de gens une fois à l’intérieur.

Lorsque je me suis senti un peu plus calme, j’ai décidé d’entrer.

Règle numéro 1 : Ne pas trop regarder les gens.

Tout n’allait pas trop mal, mais mon champ de vision avait rétréci. Ma vision s’était embrouillée un peu.

Règle numéro 2 : Me concentrer sur ma mission.

Ma mission était d’acheter seulement ce dont j’avais besoin. J’avais une liste afin de me faciliter la vie.

Règle numéro 3 : Ne pas perdre de temps.

J’avais décidé d’accélérer le pas, même si je boitais un peu et que ma jambe gauche me faisait mal.

Règle numéro 4 : Prendre mon médicament de secours ou sortir.

J’ai toujours mon médicament de secours avec moi, à prendre en cas de perte de contrôle. Je n’en étais pas encore à ce point.

Ça se passait moyen et je tenais le coup. Les allées larges étaient presque vides et pas du tout achalandées. Dans des allées étroites, j’étouffe!

Boom! Attaque d’anxiété dans le coin des fruits et légumes! Dans ce département, il y avait plein de gens et j’avais de la misère à passer. Mon champ de vision a rétréci encore davantage. Mon rythme cardiaque a augmenté. Ma respiration est devenue de plus en plus rapide. J’essayais de prendre de bonnes respirations pour diminuer mon stress, mais soudainement, ça a commencé à me tirer à droite, dans le visage. Là, je le savais, mon visage allait commencer à devenir tout croche.

Alerte! Règle numéro 4. J’ai décidé de sortir. Donc je me suis dirigé vers la caisse avec la file d’attente la plus courte. Je n’avais même pas pris le temps de mettre ma tuque et mes gants pour sortir. Instantanément, une fois dehors, j’ai commencé à mieux respirer. Mon champ de vision s’est élargi et est devenu de plus en plus clair. La tension dans le côté droit de mon visage a diminué tranquillement. Sur le chemin du retour à la maison, tout allait mieux, mais je ressentais beaucoup de fatigue.

Je tenais vraiment à vous expliquer ce symptôme très sévère du TSPT. Il s’agit d’un signe physique à ne pas négliger si l’on souffre de cette blessure.

Carl Audet

 

Maîtriser l’allergie…

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Moments privilégiés hier avec mon adolescente…

Quand je le lui avais annoncé, elle était super contente. Elle manquerait l’école. Je passe la chercher. La vie moderne : « Texte-moi quand tu seras là! » Je suis souvent las. Comme la majorité de mes blagues, elle roulerait des yeux. Je suis souvent perdu aussi. Je comptais trop sur une compagne pour élever ma progéniture. Je sais, un peu vieux jeu. J’ai beaucoup mûri depuis. Au moins sur le plan du partage de toutes les tâches.

Sa mère est morte, je ne les partage plus.

Nous allons à la clinique pédiatrique. Pour des tests d’allergie. La deuxième plaie d’Égypte moderne (tout juste après le TDAH). Celle des aliments Transformer. Les siennes sont plus faciles à gérer. Les fraises, kiwis et… bananes. Bananes, sérieux! Je n’avais jamais entendu ça avant. Que certains y étaient allergiques. Au moins, ça ne limite pas trop les repas familiaux. Ni les sorties. Quoi que, certains restaurateurs aiment mettre de la couleur dans tous les plats. Fleurs, fruits. Le rouge, c’est coloré. Ça fait concept passion. Étouffe-toi avec!

Premiers contacts seuls à seuls avec le tigre. Elle roule encore des yeux. « Tacos ». C’est son nouveau patois pour ce genre de choses inutiles que je dis. Tout. Je crois que je vais beaucoup l’entendre aujourd’hui. « À quelle heure le rendez-vous? » Le tout formulé sur le ton du PDG qui a un agenda chargé. Nous sommes appelés, presque à l’heure. Je donne mon contenant. Eh oui, il faut apporter les aliments à tester. Encore chanceux que des fraises se trouvent désormais à l’année. Jadis, elles n’étaient disponibles qu’au temps de leur récolte. Elles n’étaient pas Transformer. Mûries dans le transport.

Il y avait moins d’allergies…

Le Dr Tremblay a plein de questions. Avec son fort accent du Lac. Genre : « Elle a été allaitée? Jusqu’à quel âge? » Tout homme amoureux peut répondre à la première. L’autre… je réponds avec assurance, l’âge normal, deux ou trois ans! Il me regarde, dubitatif. Je comprends que ce n’est pas l’âge normal. Il notera autre chose au dossier. Je ne suis pas ce genre de père. Qui peut donner par cœur toutes les étapes. Les premiers mots, les premiers pas, etc. Je me souviens seulement que j’ai perdu pendant un temps la disponibilité de mes jouets (utilisés avec le consentement de leur propriétaire, toujours).

Bonnes nouvelles, les réactions sont minimes. Ma fille pourra réintroduire tous les aliments proscrits. Par étapes, du plus Transformer (c’est-à-dire des fruits cuits) au plus naturel. Elle est surtout contente pour les fraises.

Je devrais aller la reconduire à l’école. Elle y serait à temps pour terminer un cours.

Mais je vais plutôt faire ce que j’aurais aimé faire, à son âge. Foxer, loafer (sécher l’école). Avec elle. « Tu n’as pas des trucs à acheter? » La clinique est dans un des centres commerciaux principaux de la région. Elle adore magasiner.

« J’aimerais bien avoir un coton ouaté… » Elle les emprunte habituellement à des garçons. Et, en ce moment, elle a « cassé » avec son chum. Encore. Je le pense, sans rouler des yeux.

− Il veut ravoir les siens?

− Non, juste ne plus les porter…

Nous faisons quelques boutiques. Je pousse pour des matériaux techniques. Polyester. Avec des commentaires de parent. « Ça reste chaud même quand c’est mouillé. » Elle roule des yeux. Nous en trouvons deux. Elle les essaye. Elle hésite. Le noir, le gris…

– Prends les deux!

Elle ne roule pas des yeux, ils brillent…

michel

 

J’ai testé – Les contenants FUEL pour les lunchs

Ma Famille Mon Chaos m’a donné comme mission d’essayer les contenants Fuel. Comme je n

Ma Famille Mon Chaos m’a donné comme mission d’essayer les contenants Fuel. Comme je n’ai jamais eu la chance de trouver des contenants pour les lunchs qui ont du sens et ne coulent pas, j’étais contente de pouvoir faire l’essai de ces plats.

Les plats que j’ai reçus sont: l’ensemble de boîte à lunch (contenant à sandwich, à trempette et la boîte à jus), l’ensemble à condiment et le contenant à collation Snack Pod.

Tout de suite en les recevant, ils ont eu le premier test ultime, le bébé! En quelques secondes, mon petit bout de nerfs faisait virevolter les plats partout et les traînait de tout son poids sur la céramique. Résultat, ils sont encore comme neufs. Le seul qui a eu quelques écorchures sur le rebord a été traîné sur le ciment.

Souvent, les compagnies de plats en plastique disent que leurs contenants vont au lave-vaisselle, mais avec restrictions (peuvent seulement aller dans le panier du haut). J’ai donc mis tous les contenants Fuel dans mon panier du bas. Ils en sont ressortis propres, intactes et prêts à être utilisé. Le seul bémol est le couvercle du contenant à trempette qui a tordu un peu, mais en le replaçant il est redevenu droit.

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Aussitôt, je me suis préparée un lunch pour le lendemain avec mes nouveaux contenants Fuel. Moi et mon copain avions quelques doutes sur l’efficacité du contenant à sandwich. Comparativement au sac Ziploc, il semble trop grand pour mon petit sandwich. À l’heure du dîner, j’ai été agréablement surprise de voir mon sandwich intact et même plus froid qu’à l’habitude.

Le contenant à trempette est vraiment fabuleux. C’est ma découverte de cette expérience. On peut faire toutes les combinaisons de notre imaginaire. Beurre d’arachides/pommes, fromage à la crème/craquelins, humus/carottes, etc… C’est facile d’utilisation avec son petit couteau intégré dans le couvercle et d’une bonne grandeur autant pour les enfants que pour les adultes. La double paroi de ce contenant garde bien le froid. Par contre, ce n’est pas un contenant qui se dit thermos, il ne garde pas le froid à ce point.

Pour la boîte à jus, elle fonctionne très bien, comme la plupart des boîtes à jus. J’ai trouvé un peu bizarre que la paille soit carrée les premières fois, mais avec le temps on s’habitue. Ce qui est intéressant c’est sa forme rectangulaire qui s’insère bien dans la plupart des boîtes à lunch. On optimise l’espace de notre sac au maximum.

Le contenant à collation Snack Pod a un bloc réfrigérant (ice pack) que l’on visse à l’intérieur de son couvercle. Ultra pratique pour les yogourts avec petits fruits et les compotes. J’ai bien aimé avoir mon contenant toujours froid sans être obligé de le mettre dans le réfrigérateur. Je l’ai utilisé à plusieurs reprises pour mettre la collation de mon bébé quand je partais à l’aventure.

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condiments

Malheureusement, l’ensemble à condiment ne m’a pas convaincu. Aussitôt que j’ai ouvert les couvercles, les anneaux en plastique d’étanchéité sont tombés… et ils n’ont jamais arrêté de tomber. Je comprends que le but est un nettoyage facile du couvercle, mais j’ai déjà perdu l’anneau d’un de mes contenants. Le contenant est encore efficace, mais ils n’est plus aussi étanche que les deux autres. Sinon, pour apporter trempette et vinaigrette, c’est un bon format.

 

 

 

Finalement, les contenants Fuel sont très efficaces et ils n’ont jamais coulé dans ma sacoche.

Je les aime tellement que je m’en suis acheter quelques-uns de plus. Je les recommande à tous!

J’ai testé : Les pâtes Konjac…le nouveau secret minceur

[gallery bgs_gallery_type="slider" ids="2776,2778"] J'ai une dent sucrée. Je ne peux passer une

J’ai une dent sucrée. Je ne peux passer une journée sans en manger. Merci à ma maman qui trempait ma suce dans du sirop de maïs!!! Surtout, ne la juger pas! C’était une autre époque… Et puis, je suis une grande fille. Ça ne m’avance à rien de blâmer ma mère. C’est donc en adulte mature et responsable (bon, pas toujours mais ce n’est pas le sujet aujourd’hui…), que je me suis mise à arpenter les allées d’épiceries en quête de nouveaux produits pour m’aider à réduire ma consommation de sucre…et celle de Fiston, qui visiblement a hérité de ma dent sucrée…

Pourquoi? Parce que plusieurs études le confirment. Parce qu’après le tabac, le sucre est maintenant l’ennemi public #1. Et avec raison. On en retrouve partout (essayez pour voir de trouver un pain sans glucose-fructose…) même dans le sel! Et plus ça va, plus on se rend compte que le sucre est bien plus dommageable pour la santé que le gras. Voici ce qu’en dit, la Clinique Extenso, l’une des meilleures référence en matière de nutrition au Québec :

Il n’est pas nécessaire d’attendre la confirmation clinique des dangers du sucre pour en diminuer sa consommation. Il est assez clair que la consommation élevée de sucre amène des risques plus élevés d’embonpoint et d’obésité (…) et par le fait même, de diabète, d’hypertension et de maladies cardio-vasculaires.

L’Organisme Mondial de la Santé recommande à ce que moins de 10% de l’apport énergétique total provienne des sucres ajoutés. Pour une personne consommant 2000 calories par jour, cela correspond à un maximum de 50 grammes de sucres ajoutés ou l’équivalent d’une cannette et demie de boisson gazeuse ordinaire (…) L’American Heart Association, quant à elle, recommande aux femmes de consommer un maximum de 100 calories (environ 25 g) provenant des sucres ajoutés et aux hommes un maximum de 150 calories (environ 38 g)

Ma dernière découverte : les pâtes Konjac

Des pâtes très très très faibles en calories, en glucides et en gras, sans sodium, sans sucre et qui contiennent beaucoup de fibres! Un produit tellement parfait qu’en lisant l’étiquette nutritionnelle, j’ai cru avoir la berlue! On qualifie même le Konjac du dernier secret minceur! Le Konjac est une plante qui agit comme coupe-faim. On lui attribue même des vertus détoxifiantes. Mais allais-je m’ennuyer de mes bons vieux spaghettis? La réponse est non! Les pâtes Konjac sont bonnes au goût et ont même passé le test haut la main avec Fiston! Seule bémol, elle ne contiennent ni vitamines ni minéraux. Elles doivent doit donc être intégrées dans un régime alimentaire équilibré. J’ai acheté mes pâtes de marque Candra à la Clinique Idéal Minceur de Ste-Rose, à Laval. Il est aussi possible de les commander en ligne. Les pâtes Konjac NuPasta sont en vente depuis peu dans certaines épiceries du Québec. Elles sont offertes en version spaghetti, fettuccini ou cheveux d’ange. Leur prix est également plus élevé que les pâtes traditionnelles.

Recettes avec pâtes Konjac de NuPasta

Pour tout savoir sur le Konjac et la perte de poids

 

Jeux de société pour toute la famille : testés et approuvés!

Les jeux de société sont super tendances en ce moment. Voici donc notre top 5 de jeux testés et a

Les jeux de société sont super tendances en ce moment. Voici donc notre top 5 de jeux testés et approuvés qui plairont autant aux enfants qu’aux parents. Une belle façon de réunir toute la famille!

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Dobble : C’est un vrai classique ! Dobble est un jeu d’observation et de rapidité dans lequel tous les joueurs jouent en même temps. Ce n’est donc pas trop compliqué et la petite dernière ne se désintéressera pas en attendant son tour ! Dans un jeu, il y a 55 cartes comportant chacune 8 symboles, 5 variantes… et c’est parti ! Quelle que soit la variante choisie, il faut repérer plus vite que vos adversaires le seul et unique symbole identique entre deux cartes puis nommez-le à haute voix. C’est possible d’y jouer de 2 à 8 joueurs et ça s’adresse aux 6 ans et plus. C’est vraiment très simple et le meilleur dans tout ça c’est qu’on peut jouer pour une courte période de temps de 10 minutes entre deux tâches ou beaucoup plus longtemps si le cœur vous en dit. De plus, son format de poche et parfait pour le trimbaler lors des sorties au restaurant, dans la voiture ou chez les grands-parents ! Il se détaille autour de 20.00$, un « must » !

 

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À la bouffe : À la bouffe est un petit jeu d’observation et de rapidité original ou l’on peut jouer entre de 2 et 5 personnes. Il s’adresse aux enfants de 5 ans et plus, mais on peut facilement y jouer à tous les âges, y compris entre adultes. On lance d’abord un dé pour déterminer le dessert de départ et l’on doit suivre la réglisse du regard jusqu’à l’autre bout. Puis on passe à la carte suivante avec ce nouveau dessert. Le plus rapide à saisir le dernier dessert du parcours l’emporte. La première personne à collectionner 5 desserts gagne la partie ! Vous pourrez trouver ce jeu pour environ 25.00$.

 

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Time Line : L’ouvre-boîtes a-t-il été inventé avant ou après l’ampoule électrique? Dans Timeline « inventions », c’est à ce genre de questions que vous serez confrontés à chaque fois que vous voudrez poser l’une de vos cartes. Ici, un seul objectif: être le premier à avoir correctement posé toutes ses cartes. Ça s’adresse à un public de 8-10 ans et plus. C’est vraiment amusant et super instructif, même les adultes en apprendront beaucoup. Les cartes sont contenues dans un petit boitier super pratique ce qui le rend facile à transporter. Ça se retrouve sur les tablettes des magasins pour 25.00$.

 

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Les sardines : C’est un jeu d’observation tout ce qu’il y a de plus classique. Les joueurs ont quelques secondes pour observer les petites sardines dans leur jeu, les mémoriser et ensuite ils doivent les retrouver dans la boîte ! Les images sont vraiment mignonnes et ça s’achète pour moins de 20.00$.

 

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Speed Cups : Chaque joueur reçoit 5 petits gobelets de couleurs différentes. Tous les joueurs jouent en même temps. Une fois qu’une carte est retournée, le but est de reproduire l’ordre des couleurs tel que représenté sur la carte, et ce le plus rapidement possible. Le premier qui finit appuie sur une sonnette. Vous allez voir c’est vraiment très amusant et fous rires garantis lorsque les gobelets voleront dans tout les sens. Si jamais la petite clochette vous tape sur les nerfs, il suffit de la remplacer par un objet comme un dé ou une petite voiture. Le premier qui finit doit l’attraper le plus rapidement possible au lieu de faire retentir un « ding ». On peut y jouer de 2 à 4 personnes âgées de 5 ans et plus! Vous devrez débourser 30.00$ si vous voulez acquérir une boite de ce jeu.