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Un début d’année en COVERGIRL

L’année 2019 a commencé avec une tonne de nouveautés pour moi.

L’année 2019 a commencé avec une tonne de nouveautés pour moi.

Je ne commencerai pas à vous énumérer une par une les choses qui me sont arrivées (bah ! Sûrement dans d’autres articles… haha !), mais une des invitations vraiment cool que j’ai reçues provenait de la compagnie COVERGIRL.

Oui, oui, COVERGIRL… une des plus grandes marques de cosmétiques m’a invitée, moi, Maïka Desnoyers, à me rendre à Toronto afin de découvrir la nouvelle gamme Simply Ageless qui vient tout juste de sortir.

Ça fait que je suis arrivée à l’aéroport, avec mon petit sac et des étoiles dans les yeux de pouvoir assister à cet évènement avec des rédactrices en chef de magazines tels que Elle Québec, Véro et Clin d’œil, ainsi qu’avec la blogueuse Caroline Elie. Bref, j’étais entourée de bien belle personne inside out.

Ce dont je ne me doutais pas à ce moment, c’est que j’allais revenir de ce petit voyage, totalement changée grâce au panel de trois femmes qui nous ont été présentées par COVERGIRL.

Vous savez, parfois, on se rend quelque part et on ne sait pas encore que dans les heures qui vont suivre, quelque chose en nous changera. C’est ce qui allait m’arriver.

Comme je vous expliquais plus tôt, je ne suis pas familière avec les voyages de presse et les panels qui sont présentés pour discuter des produits présentés.

En arrivant dans la salle le matin, on nous a présenté trois femmes que je ne connaissais pas encore :

  • Sangita Patel, qui est animatrice à ET Canada. Elle est aussi un des nouveaux visages des nouveaux produits Simply Ageless.
  • May Musk, une superbe femme intelligente qui est mannequin pour la marque COVERGIRL… à 70 ans ! Oh ! C’est la maman d’Elon Musk (PDG de Tesla Motors). Elle est aussi un des nouveaux visages de Simply Ageless.
  • UkonwaOjo, qui est CMO de la compagnie Coty et qui est inspirante comme ce n’est pas croyable.

Alors que je pensais que le panel allait discuter des nouveaux produits Simply Ageless, j’ai plutôt rencontré trois femmes de carrière et de cœur qui nous ont parlé de leurs valeurs, de leur façon de voir la vie et des raisons pour lesquelles elles se sont associées avec COVERGIRL.

Pour vrai, j’ai même enregistré l’ensemble de la conférence parce que c’était juste parfait.

On nous a par la suite présenté les nouveaux produits de la gamme :

  • Cache-cernes
  • Fond de teint liquide
  • Fond de teint compact

Le fond de teint est un 3 en 1. Il comporte un FPS 28 qui est vraiment important. Il protège la peau contre les attaques du soleil afin de lutter contre le vieillissement de celle-ci. Il contient la technologie de soin de la peau Olay et contient de l’acide hyaluronique (qui est souvent présent dans les crèmes anti-âge).

Mes impressions ? J’ai beaucoup aimé le cache-cernes qui est assez couvrant et qui cache bien le bleu des cernes (ben oui… mes cernes sont bleus comme les vôtres haha !)

Pour ce qui est du fond de teint, j’étais sceptique parce que je déteste quand on a l’air embaumée. Pour vrai ! T’sais, quand on croise quelqu’un et qu’on voit le fond de teint, ce n’est pas quelque chose que je trouve beau.

J’en ai parlé avec Amélie Duchesne, qui est une maquilleuse super connue et qui est aussi une des maquilleuses de COVERGIRL. Elle m’a expliqué comment bien le mettre. Elle m’a donc mis le fond de teint liquide au niveau des joues et du haut du front. Pour ce qui est de la zone nez, menton et entre les deux yeux, elle a utilisé le fond de teint compact qui est plus épais et qui permet de cacher les rougeurs.

Tout ça pour dire que je suis repartie à Montréal par la suite et que six heures plus tard, j’avais complètement oublié qu’elle m’avait appliqué un fond de teint. Ma peau respirait et n’avait pas l’air de craquer.

Pour moi, ça, c’est 100 % gagnant et les produits feront partie de ma routine de maquillage.

Oh ! Et avant que j’oublie, les produits COVERGIRL ne sont pas testés sur les animaux.

Ça aussi, c’est OUI !

Pour terminer, je vous laisse avec une chose que UkonwaOjo a dite qui a résonné en moi, parce que ça me représentait tellement et que ça doit représenter plusieurs d’entre vous :

« Les femmes doivent apprendre à se faire confiance. Avez-vous déjà remarqué que lorsqu’on propose à une femme de sortir de sa zone de confort, de prendre les devants, la plupart du temps… elle va accepter, mais va commencer par dire qu’elle n’est peut-être pas la meilleure pour la tâche, qu’elle n’a peut-être pas les qualités nécessaires, etc.

Si une personne vous choisit, vous fait confiance et qu’elle a pris la décision de VOUS choisir, souriez et accepter‑le. Pensez-vous vraiment qu’une personne vous aurait choisie si elle n’avait pas confiance en vous ? Si elle ne savait pas que vous pouviez réussir haut la main la tâche demandée ? Ce n’est pas normal qu’un inconnu ait plus confiance en vous que vous-mêmes. Et ça, c’est typiquement féminin et ça doit changer. »

Je me suis rendue à Toronto pour discuter maquillage et beauté, et je suis tombée sous le charme d’une marque qui propose qualité et respect et qui est inspirante. Bravo COVERGIRL !

 

Lettre à monsieur Minassian

Cher pap

Cher papa,

Je t’ai vu, la semaine passée, poursuivi par les journalistes, les traits tirés, le regard vide.

J’ai ressenti un profond malaise. Lorsque tu berçais ton fils, lorsqu’il a fait ses premiers pas, tu étais loin de croire qu’un jour, il allait faucher la vie d’une dizaine d’innocents. Loin de penser que des centaines de personnes allaient en être affectées. Un tel geste laisse des traces, profondes.

Que te voulaient ces journalistes? Qu’espéraient‑ils? Une réponse? Une explication? Un coupable?

Donner la vie, devenir parent ne doit pas signifier soutenir tous les gestes de nos enfants.

Il faut être parent soi‑même pour le comprendre. Je voudrais mes filles si parfaites, hélas, elles sont loin de l’être… Au fond, qui l’est? Malgré tous mes efforts, elles commettent des impairs. Dois-je en être tenue responsable? Où est la limite?

Hier, je considère que les journalistes ont franchi cette limite.

Monsieur Minassian, je me permets de croire que vous avez toujours souhaité le mieux pour votre fils. Que vous lui avez enseigné ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas. Assurément, ce n’est pas vous qui étiez au volant de cette fourgonnette. Alors pourquoi vous pourchasser?

Bref, j’ai éprouvé de la compassion envers vous. On aime et on éduque nos enfants de notre mieux. Parfois, ça tourne mal.

Monsieur Minassian, je vous souhaite de trouver la paix puisque vous comptez aussi parmi les victimes.

On a parfois tendance à l’oublier.

 

Karine Lamarche