Cinq côtés positifs à inscrire votre enfant au hockey
1— Discipline : Il faut non seulement patiner, mais aussi écouter les directives de son coach. Mon fils de cinq ans, enfin prêt à rentrer à la maternelle, a deux années de hockey derrière la cravate. Il sait qu’il doit écouter et suivre les directives du responsable. Mon aîné, pour sa part, a maintenant compris que s’il n’écoute pas les directives, son équipe au complet peut en subir les conséquences. La discipline et l’encadrement constituent l’extension de l’éducation parentale.
2— Les amitiés : Que ce soit dans des camps d’été, lors de tournois ou en saison régulière, les enfants tissent des liens rapidement. L’esprit sportif et le sentiment d’appartenance à un groupe sont tellement bénéfiques pour les enfants! Sans nous oublier, chers parents de sportifs. Que nous soyons accompagnés d’un café bien chaud en matinée ou d’une bière en fin de soirée, nous tissons des liens à force de vivre les émotions engendrées par les victoires ainsi que les défaites de notre chère progéniture.
3-Les road trips : Oh oui, vous allez vous promener! Bonjour les tournois à Québec, Drummondville, Saint-Hilaire et les villes dont j’ai oublié le nom! C’est un vrai bonheur de partir avec les sacs de hockey vers de nouvelles aventures. Sans oublier les fameux tailgates, qui sont plus agréables les uns que les autres.
4— L’épanouissement personnel : Lorsque votre enfant sortira du vestiaire les épaules bien droites, sourire fendu jusqu’aux oreilles parce qu’il a gagné une belle médaille. Lorsqu’il accomplira les meilleurs jeux de sa jeune carrière de hockeyeur et qu’il vous en parlera avec les yeux brillants de bonheur. Lorsqu’il marquera en faisant son premier top corner. Lorsqu’il fera la passe sur le but gagnant du match. Je pourrais continuer pendant des heures parce que votre enfant ne cessera de se surpasser et de s’améliorer.
5— De précieux souvenirs : Mon fils de huit ans a déjà commencé à me dire : « Tu te rappelles maman quand… » Nos souvenirs sont ce qu’il y a de plus précieux. Je discutais avec un autre parent durant la saison et il m’a dit tout simplement : « Je ne me rappelle pas la victoire ou la défaite, mais je me rappelle ma gang de gars. Je me rappelle les nuits à l’hôtel avec toute mon équipe, maudit qu’on avait du fun! » Voilà les traces que le hockey laissera dans la vie de vos enfants.
Peu importe tout le négatif qui peut parfois ressortir durant la saison, le hockey est notre sport national. Transmettons-le à nos enfants, mais transmettons le beau! C’est à nous d’en faire une expérience positive et mémorable.
Geneviève Dutrisac
J’ai besoin de rêver
Le titre de ce billet m’est venu lorsque je nettoyais mon comptoir
Le titre de ce billet m’est venu lorsque je nettoyais mon comptoir après le souper. Mes garçons se chamaillaient, produisant un vacarme incroyable. Ma fille criait sans arrêt MAMANNNN et mon conjoint était alité suite à une opération mineure. Nul besoin de vous dire que j’avais juste l’envie pressante d’appuyer sur STOP. Pour que tout puisse se figer l’espace d’un moment. Que je reprenne mon souffle, que je reprenne patience.
Je ferme mes yeux et m’évade. Je revois nos dernières vacances à ne rien faire excepté jouer, manger, se baigner. Pas de routine, les enfants s’endorment devant la télévision, je m’en fous, je suis en vacances! MAMANNNN! Oh! oui, retour à la réalité, je suis dans ma cuisine avec mes trois charmants rejetons cornus. Je prends une gorgée de vin et me voilà transportée dans un vignoble en Italie, à déguster différents cépages loin du stress quotidien. On parle italien autour de moi. Cette langue est si belle malgré le fait que je n’en comprends pas deux mots. « Allez, maman! On va dehors! » Oh! oui, c’est vrai!
J’habille les deux plus jeunes : la petite dernière a l’air de Maggie dans les Simpsons, une vraie étoile! Lorsqu’elle enfile son habit de neige, elle ne peut pratiquement pas bouger, mais je dois absolument pelleter! J’installe la petite dans le traîneau, les garçons se chamaillent toujours, mais cette fois, dans la neige! Et me voilà encore en train de rêver. J’habite une maison au bord de la mer dans un pays où il fait toujours chaud. Je suis assise, me berçant au son des vagues et je n’ai d’autres choses à faire que d’écrire ou de peindre. Les enfants font des châteaux de sable. Pouf! Je cligne des yeux et je vois les enfants qui font un fort dans la neige.
Je suis en sueur dans mon habit de neige. La petite est clairement ennuyée, mais je dois absolument déneiger le merveilleux banc de neige que la charrue m’a laissé. Une fois terminé, je rentre faire la routine du dodo. Trop rapidement, trop brusquement. Mais je suis vidée, je n’ai plus d’énergie.
Je me fais couler un bain pour décompresser. Je m’engouffre dans cette eau trop chaude et me voilà transportée au spa avec mon amoureux. Nous faisons des in and out dans l’eau chaude, dans l’eau froide. Nous n’en avons que faire des vraies techniques de détente. On se fait masser par des mains inconnues, mais nous sommes côte à côte, dans un état de tranquillité. Pouf! Oh! Oui, je suis dans mon bain!
Je prends le dernier livre de Patrick Sénécal en mains et je l’observe. Telle une vraie lunatique, je l’observe comme si le livre lui-même allait me raconter son histoire. En l’espace d’un moment, me voilà soudain devenue une auteure célèbre. Je gagne très bien ma vie en écrivant des histoires les plus rocambolesques les unes que les autres. Je ne dois rien à personne, je vis de mon imaginaire. Pouf! Oh, je suis bien trop fatiguée pour lire. Je me lave et vais m’allonger dans mon lit.
Je regarde mes courriels et je tente de résister à ouvrir le message reçu de Vrbo. Un site de location de maison partout dans le monde. Et puis zut! Je clique dessus et me voilà transportée à Bali avec ma petite meute. Dans ce coin de paradis si exotique. Un autre clic et me voilà à Hawaii. Oh et puis bof! Je suis fatiguée.
Peut-être ai-je trop voyagé ce soir, maintenant je rêve à demain. Une journée paisible à la maison entourée des gens que j’aime. Je me tourne pour coller l’homme que j’aime, il n’a aucune idée de tous les endroits que j’ai pu visiter ce soir.
J’aime autant avoir les pieds sur terre que mes idées en l’air. Je suis une rêveuse professionnelle et comme je dis à mes enfants : il est important d’avoir des rêves! Parfois ils se réaliseront et d’autres fois non, mais laissez-vous bercer par vos rêves. Vos rêves vous appartiennent et souvent, ils vous serviront de motivation.
Et après tout, il ne coûte rien de rêver!
Geneviève Dutrisac
Une maman aventurière !
Pour plusieurs, avoir un enfant signifie mettre fin aux voyages, aux activités extrêmes et aux grandes aventures. Pour Morgan Brechler, 25 ans, c’est tout le contraire. Cette maman américaine n’a pas froid aux yeux et prend part à plusieurs sorties en plein air avec sa fille Hadlie âgée de trois ans. On ne parle pas de simple petite randonnée, mais plutôt d’escalade et de camping sauvage. Elle désire offrir à sa fille le cadeau d’être en harmonie avec la nature. C’est un mode de vie qui sort de l’ordinaire, mais très intéressant.
Morgan n’a pas peur de partir en voyage avec sa fille. Jusqu’à maintenant elles ont visité le Mexique, le Grand Canyon, Joshua Tree et Hawaï.
Voici quelques magnifiques clichés de ce duo d’exploratrices mère-fille :
Vous pouvez suivre leurs aventures en suivant le compte Instagram de Morgan @morganbrechler
Ça fait rêver, non ?!