Archives janvier 2016

Mon cœur saigne!

Mon cœur saigne... Oui, à chaque fois que je pense aux coupures dans notre réseau de la santé mo

Mon cœur saigne… Oui, à chaque fois que je pense aux coupures dans notre réseau de la santé mon cœur saigne. Il saigne, parce que d’abord je me sens comme un numéro, littéralement comme le numéro 61 888. Mon coeur saigne, encore plus, parce que je trouve que ce sont les clients qui en souffrent le plus. Tout d’abord, je n’aime pas dire clients. Ce sont plutôt les mamans, les papas, les enfants, les bébés, bref toutes les familles que je côtoie chaque semaine. Ce sont ces mères, qui m’appellent en urgence le soir à 21h00, celles qui ont accouché la veille et qui sont sorties le lendemain. Ce sont ces mères, qui ont quitté leur maison avec un beau ventre rond et qui y sont revenues trop rapidement avec un beau bébé tout neuf. Ces familles ne sont pas toutes prêtes à vivre l’arrivée de ce petit être cher. Souvent ces parents ont suivi les cours prénataux, ont lu sur le sujet et ont navigué sur les différents forums de discussion, mais la rétention de l’information en période prénatale est estimée à environ 5% et celle immédiatement après l’accouchement est aussi de 5%. Il manque donc un gros 90% de choses à savoir lors de la sortie de l’hôpital. Normalement, le CLSC prend le relais de 24 à 72 heures. Ce sont donc les infirmières qui doivent pallier. Elles se rendent à domicile afin de tenter de compléter l’information que les mères ont reçue en période prénatale. Malheureusement, ces infirmières ont un temps très limité avec les nouveaux parents. Elles doivent faire preuve de rendement et laisser de côté une partie de leur empathie. Ce sont ces infirmières, qui entrent dans l’intimité des familles, ce sont elles qui ne peuvent pas élaborer autant qu’elles le voudraient sur les questions qui leur sont posées, parce qu’elles ont 2 ou 3 autres familles à voir dans la même journée. De plus, les visites ne doivent pas dépasser les 60 minutes « règlementaires ». Tout ça, c’est sans compter la paperasse à remplir, les tableaux, les statistiques et j’en passe.

Par manque d’effectif, nous avons déshumanisé les suivis postnatals. En fait, je ne devrais pas dire par manque d’effectif, mais plutôt par manque de budget. Des infirmières dévouées pour leur travail, il y en a des milliers. Si elles ont choisi ce métier, c’est avant tout parce que c’est plus qu’une vocation pour elles. Il s’agit plutôt d’un besoin profond d’aider, de supporter, d’écouter et de soigner. Elles doivent être polyvalentes et avoir une panoplie de connaissances sur plusieurs sujets. Elles doivent souvent jouer le rôle de nutritionnistes, de psychologues, de travailleuses sociales, etc. Elles ont la capacité de s’adapter en jouant le rôle d’un caméléon dans les différentes situations dans lesquelles elles se retrouvent.

Qu’arrive-t-il lorsque l’infirmière quitte la maison après leur courte visite et que l’allaitement de la patiente ne se passe pas très bien et que le bébé affamé hurle sa vie? Je vais vous le dire ce qui arrive moi. Ce genre de situation engendre des parents désespérés, qui font des appels à l’aide de tous bords, tous côtés. Ils appellent info-santé, se rendent à la pharmacie, retournent sur les forums de discussion et j’en passe. Dans le meilleur des scénarios, ils finissent par trouver un numéro d’urgence d’une ressource communautaire en allaitement la plus près. C’est régulièrement à ce moment-là que le téléphone sonne chez moi. Oui, parce que moi de jour, je suis l’infirmière qui fait les visites à domicile et de soir je suis la conseillère clinique dévouée de l’entraide maternelle qui répond aux appels d’urgence. Je les écoute, je les rassure et parfois je les visite en urgence. Si je ne peux pas me déplacer personnellement, j’essaie de leur trouver une marraine d’allaitement disponible ayant sensiblement vécu les mêmes problématiques. Malheureusement, certains parents en perte de moyens, ne connaissant pas les ressources communautaires en allaitement, se tournent trop souvent vers le fond d’une armoire pour récupérer l’échantillon de lait en poudre reçu gratuitement à l’hôpital gracieuseté d’une compagnie pharmaceutique riche à craquer.

Donc, pourquoi ces parents en arrivent-ils là ? Ils sont dans cette situation, parce que le personnel de l’hôpital et du CLSC est surchargé, parce que les formations en allaitement des infirmières sont pratiquement inexistantes et parce que le réseau communautaire est appauvri. Voilà pourquoi ! Lorsqu’on parle de couper les visites postnatales à domicile et les cours prénataux, mon cœur saigne encore plus. Aux yeux du gouvernement, ce ne sont pas des services essentiels. Grave erreur! Est-ce qu’il faut attendre que l’hospitalisation des bébés augmente parce qu’ils ne sont plus allaités faute de support ? Ou encore que le taux de dépressions postnatales et que l’isolement social de nos familles augmentent ? Notre système de santé souffre et nos services communautaires en allaitement sont toujours aussi pauvres. Si seulement notre gouvernement pouvait comprendre qu’en coupant directement les services postnataux et le support en allaitement, ces coupures entraîneront plus de coûts sur le moyen et le long terme. Les Américains ont déjà fait plusieurs études sur les coûts de santé qu’ils épargneraient si davantage de bébés étaient allaités pour au moins 12 mois. Les études révèlent que plus de 9 milliards de dollars par année pourraient être sauvés. Alors, oui moi je crois que le support aux familles est important pour un gage de réussite au niveau de l’allaitement et de la santé de nos touts petits, mais aussi au niveau des compétences et du support aux parents.

Photos d’enfants qui s’endorment n’importe où!

Les enfants sont de vraies petites boules d’énergie! Il faut toujours les surveiller pour en pas

Les enfants sont de vraies petites boules d’énergie! Il faut toujours les surveiller pour en pas qu’ils commettent des bêtises. D’un autre côté lorsque le sommeil arrive, ils sont souvent pris au dépourvu et se retrouvent à s’endormir n’importe où dans n’importe quelle situation.

Voici la preuve en photo :

Être la mère d’un homme

Être une mère, c’est pas vraiment pour toujours. Évidemment, on porte notre enfant dans notre c

Être une mère, c’est pas vraiment pour toujours. Évidemment, on porte notre enfant dans notre cœur et lui, nous porte dans le sien. Cependant, la job de maman ça dure un gros vingt ans max. Pis j’suis rendue là. Mon fils a 19 hivers et ça m’effiloche la fibre maternelle un brin.

On s’est rencontré lui pis moi par l’entremise de son père. C’était une belle nuit de Vodka où j’ai misé à la roulette russe avec mon ovule et que j’ai gagné. Évidemment j’ignorais ma luck quand j’ai pissé sur le p’tit bâton trois semaines plus tard. J’étais sûre d’être piégée.

J’ai appelé Morgentaler à l’aide, comme d’habitude. Mais le fœtus, en snoro, a germé et vrillé jusqu’à mon oreille interne. «Allo!» qu’il a dit. Han? Quoi? Heu… Allo! que j’lui ai répondu. «Tu peux pas me jeter, c’est moi!» qu’il a ajouté. Heille… qu’est-ce que vous vouliez que je fasse? J’étais une toute croche qui se sentait pas prête pantoute pour ça. Lui, y’était certain que je serais adéquate, semble-t-il. Pis y’est super bright, mon gars. Fait que, je l’ai écouté.

La Player’s Light est partie faire un tour aux oubliettes pis l’acide folique a pris le dessus. J’ai laissé ma bedaine ballouner jusqu’à me ramener les épaules vers l’arrière pis j’ai acquis des RÉER. Je me suis ensuite projetée vers l’avenir, le nombril droit devant. J’allais être LA mère. Et il serait MON fils. À jamais unis par le lien du sang! Rhaaaaaa!

Quand il m’est arrivé dans les bras après une bien bizarre d’expérience pour un être humain, on se le cachera pas, je l’ai reconnu tout de suite. Même avec le nez tout effoiré d’avoir passé dans le tunnel de la vie. À ce moment, j’suis devenue tout pour lui. Et il était tout pour moi. Plus fusionnel que ça, tu te transformes en un alliage de chair et de couches Pampers.

Pendant environ quatorze ans, notre vie ensemble a consisté à jouer. On s’est amusé à se faire des faces, des coucous! et des bous! On a joué à la cachette, aux Duplo, aux Legos. On s’est diverti à lire le nom des rues, à écrire dans la neige et à additionner les plaques d’immatriculation. On s’est déguisé, chamaillé, chatouillé. On a poussé des p’tites autos, lancé des frisbees, kické des ballons. On a tué les méchants dans Baldur’s Gate et pris soin de poissons rouges et de ratons. On a ramassé des roches et chassé des vagues. On s’est tapé moult games de cartes et de planches jusqu’à ce qu’inévitablement, je perde ma progéniture aux jeux de ses copains beaucoup plus cools que les miens.

Je suis assez fière d’avoir compris que je ne pouvais pas garder le fruit de mes entrailles tributaire de mon amour inconditionnel. J’ai vite saisi que ce temps privilégié avec mon fils m’était compté et qu’un jour, il aurait à quitter mon sein. Je devais nourrir son ego autant qu’encourager son autonomie. Sinon, il allait se retrouver à vivre encore dans mon sous-sol à quarante ans, pis ça, c’est pas un cadeau à faire à son héritier.

Sachant ça, j’ai profité de chaque occasion pour renifler le top de sa tête comme une droguée jusqu’à ce qu’il pogne l’adolescence. Rendu là, il puait tellement que ça pas été dur de lui donner son indépendance. C’est ben fait la nature quand même, hein?

Nous deux, on s’est mué en meilleurs colocs, ever!! Complices comme des brigands, un peu négligés dans le ménage et jamais vraiment de chicanes. On regardait des émissions en soulignant les défauts de scénarisations, on marchait sur la rue avec de grandes enjambées si rapides que personne ne pouvait nous suivre et on se lâchait des insides de la mort.

Puis un jour, on s’est séparé, lui et moi. C’était fini. Je venais de perdre mon bébé, mon enfant, ma raison d’être et ma plus longue relation avec un mec. Ça aura duré moins de vingt ans.

Bien sûr, on se donne des nouvelles. Il va bien. Il se réalise comme jeune adulte avec son propre appart, sa blonde, ses boulots, ses études. On se voit de temps en temps pour que j’lui donne un peu de cash, jaser d’affaires qui nous font sentir plus smattes que les autres, pis se faire rire un peu, mais c’est pas tout à fait pareil.

Devenir la mère d’un homme, c’est vivre une peine d’amour annoncée, une mélancolie mêlée de fierté, un spleen heureux.

Pis à chaque fois que j’lui dis bye-bye, j’me mets sur la pointe des pieds pour essayer de lui voler une p’tite sniffe de son dessus-de-tête.

Question de me donner un fix jusqu’à la prochaine fois…

 

Auteure: Christine Foley alias auteure masquée

Texte provenant du https://auteuremasquee.wordpress.com/

Un toutou a eu droit à un traitement royal!

Lorsqu’une petite fille de 3 ans a oublié son lapin en peluche à l’hôtel Adare Manor en Irlan

Lorsqu’une petite fille de 3 ans a oublié son lapin en peluche à l’hôtel Adare Manor en Irlande, le personnel a eu une idée originale! Ils ont décidé de partager les “folles” aventures du petit lapin sur Facebook afin de le réunir à nouveau avec sa jeune propriétaire.

Suivez les aventures du lapin ci-dessous :

Une maman compare son bébé à plusieurs objets du quotidien!

Je ne connais aucun parent qui n’a jamais dit : « les enfants grandissent tellement vite ! » Il

Je ne connais aucun parent qui n’a jamais dit : « les enfants grandissent tellement vite ! » Il y a une maman qui a une idée assez originale pour se rappeler à quel point sa fille Alexandra était petite. La petite,née à 37 semaines de grossesse, pesant 2,46 kilos, est la troisième enfant de la famille. Sa maman Jen savait qu’elle serait sa dernière et c’est pourquoi elle a voulu documenter sa croissance. Elle a même impliqué sa plus vieille Elizabeth. D’ailleurs, cette dernière croit que prendre des photos de sa petite sœur est le jeu le plus amusant qui soit!

Voici ce que donnent les photos :

Une vedette d’Hollywood défend l’allaitement en public!

Alyssa Milano est connue pour avoir tenu le rôle d'une sorcière nommée Phoebe Halliwell dans la s

Alyssa Milano est connue pour avoir tenu le rôle d’une sorcière nommée Phoebe Halliwell dans la série culte des années 90 « Charmed ». Dernièrement, elle fait plutôt fait parler d’elle pour avoir défendu l’allaitement en public.

Maman d’Elizabella 16 mois et de Milo 4 ans, elle ne se gêne pas pour partager avec ses 660 000 abonnés sur Instagram des photos d’elle allaitant sa petite dernière. Elle a reçu plusieurs commentaires négatifs suite à ses publications.

Voici quelques-unes de ses photos :

Invitée à la populaire émission The Wendy Williams Show l’actrice est revenu sur cette polémique. Voici ce qu’elle avait à dire : « J’ai été surprise par les réactions et j’ai aussi été étonnée qu’on me nomme porte-parole pour l’allaitement. C’est un rôle que j’aime et qui me donne des responsabilités. C’était assez choquant de voir qu’on m’a jugé sur quelque chose d’aussi naturel »

L’animatrice Wendy William n’a pas aimé la position d’Allyssa, en déclarant “ne pas avoir besoin de voir ça”.

Surprise de la réaction de l’animatrice, Allyssa Milano a répondu : « D’un point de vue biologique, les seins ne sont pas faits que pour des choses sexuelles. C’est nous qui avons modifié cette image » Elle a même soulevé le fait que les médias ne sont pas choqués par les clichés de Miley Cyrus dans lesquels elle cache à peine ses seins.

Voici un extrait de l’émission :

Play Snow : un igloo amusant et sécuritaire!

L’inventeur Éric Villiard est un ancien membre de l’équipe canadienne de ski alpin. Après tro

L’inventeur Éric Villiard est un ancien membre de l’équipe canadienne de ski alpin. Après trois participations à une série de compétitions internationales, il attrape la mononucléose et manque sa chance d’aller aux Olympiques. Une fois sa carrière de skieur terminée, il retourne à l’université et obtient des diplômes en administration, marketing et en finance. Même s’il ne pouvait plus être un athlète d’hiver, Éric a conservé sa passion pour l’hiver et la neige. L’idée de créer cet igloo lui vient de cette passion, mais aussi d’un évènement traumatisant qu’il a vécu lorsqu’il était enfant. À l’âge de 10 ans, un igloo s’est effondré sur lui. C’est son père qui l’a secouru et par le fait même sauvé la vie. Il a donc voulu créer quelque chose de sécuritaire pour ses enfants.

Un bébé ému par la voix de sa maman!

A-DO-RA-BLE : C’est le seul mot qui peut décrire cette vidéo ! Complètement absorbé par la voi

A-DO-RA-BLE : C’est le seul mot qui peut décrire cette vidéo ! Complètement absorbé par la voix de sa maman, le petit Leland passe de la joie aux larmes. Faut dire que la maman à une voix magnifique ! Cette vidéo tournée au Tennessee aux États-Unis est devenue virale très rapidement. Si vous avez envie d’entendre la chanson originale, il s’agit de la chanson « Good Good Father » du groupe Housefires.

Guide pratique : Décongélation, cuisson et réchauffage des aliments au micro-ondes

Rapide et efficace, nous sommes tous d’accord pour dire que le four micro-ondes nous sauve réguli

Rapide et efficace, nous sommes tous d’accord pour dire que le four micro-ondes nous sauve régulièrement la vie ! Par contre, il y a quelques précautions à prendre, lorsque l’on décongèle, cuit ou réchauffe des aliments au micro-ondes. Saviez-vous que chaque année, au Canada, il y a à peu près 4 millions de cas d’intoxication alimentaire ?

Voici les recommandations que Santé Canada à publié le 23 novembre dernier :

Décongélation

  • Lisez toutes les instructions sur l’emballage de l’aliment pour vous assurer qu’il peut être cuit au four à micro-ondes. Cuisez les aliments surgelés (sans d’abord les décongeler) uniquement si l’étiquette porte la mention « ne pas décongeler ». Autrement, décongelez les aliments complètement avant de les faire cuire.
  • Avant de faire décongeler un aliment dans le four à micro-ondes, retirez le plateau de styromousse, le carton de congélation ou le contenant et l’emballage n’allant pas au four à micro-ondes et placez-le sur une assiette ou dans un contenant propre à ce type de cuisson.
  • Conservez les aliments dans le réfrigérateur avant et après les avoir décongelés. Ne laissez pas d’aliments à la température ambiante plus de deux heures, car les bactéries peuvent croître rapidement à cette température.
  • Ne recongelez jamais des aliments qui ont été décongelés au four à micro-ondes.

Cuisson

  • Lisez les directives de cuisson indiquées sur l’étiquette des aliments et suivez-les à la lettre, y compris la durée de cuisson au four à micro-ondes et le temps de repos (pour cuire l’aliment davantage) après l’avoir fait chauffer. Ne faites jamais cuire de volaille entière, comme la dinde, au four à micro-ondes.
  • Ne cuisez jamais de produits surgelés de volaille crue panée, comme les pépites, les bâtonnets ou les burgers, dans le four à micro-ondes puisqu’une cuisson inégale pourrait ne pas détruire toutes les bactéries nocives.
  • Cuisez les aliments tout de suite après la décongélation. Ne cuisez pas d’aliments congelés et décongelés en même temps. Remuez de temps à autre pendant la cuisson afin qu’il ne reste aucune partie froide.
  • Coupez les aliments en petits morceaux et disposez-les uniformément pour éviter qu’ils ne se chevauchent. Désossez la viande.
  • Utilisez des contenants et des emballages allant au four à micro-ondes.
  • Si vous faites cuire de la viande, insérez un thermomètre numérique pour aliments dans plusieurs des parties les plus épaisses pour en vérifier la température. Lavez votre thermomètre à l’eau chaude savonneuse entre chaque vérification afin d’éviter la contamination croisée.
  • Les aliments cuits ne présentent aucun danger lorsque leur température interne atteint les températures suivantes :
    • Les produits de bœuf haché doivent être cuits à 71 °C (160 °F).
    • Les préparations alimentaires contenant de la volaille, des œufs, de la viande ou du poisson doivent être cuites à 74 °C (165 °F).

Réchauffage des restes

  • Faites réchauffer les restes jusqu’à ce qu’ils soient fumants. Utilisez un thermomètre numérique pour vous assurer que la température atteint 74 °C (165 °F) au centre de l’aliment.
  • Faites réchauffer uniquement les portions que vous allez manger immédiatement. Évitez de remettre des restes réchauffés au réfrigérateur.

En espérant que ça pourra épargner quelques maux de ventre à toute votre famille!

Source: http://canadiensensante.gc.ca/recall-alert-rappel-…

Un chausson intelligent!

Lors des premières nuits d’un nouveau-né, combien de fois vous vous êtes levés pour vérifier

Lors des premières nuits d’un nouveau-né, combien de fois vous vous êtes levés pour vérifier si votre bébé respirait encore ou si son cœur battait normalement ? Plusieurs fois, j’en suis certain ! En tant que nouveau parent, il est fréquent de vivre du stress concernant l’état de santé général de notre enfant ou encore concernant le syndrome de mort subite du nourrisson.

Avec l’aide et le soutien financier de la « National Institues of Health », la compagnie Owlet a mis au point un gadget intelligent qui permet de mesurer différents paramètres vitaux des tout-petits : le chausson Owlet.

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Connecté à un téléphone intelligent via une application, il transmet les fréquences cardiaques et le niveau oxygénation de l’enfant en temps réel. Il vient aussi avec une base qui s’allume et émet des sons si le bébé est en difficulté. Jacob Colvin le fondateur de l’entreprise, affirme qu’il espère que cet appareil permettra aux parents de réaliser que quelque chose ne va pas avant qu’il ne soit trop tard.

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Le dispositif fonctionne de la même façon que les petits moniteurs que les médecins placent au bout des doigts, mais dans ce cas, c’est placé sur un chausson au pied du poupon.

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On peut acheter l’« Owlet Baby Heart Rate & Oxygen Monitor » pour environ 250.00$. C’est assez dispendieux si l’on compare à d’autres types de moniteurs déjà existants sur le marché. Ça comprend la base lumineuse et sonore, le capteur qui peut se placer sur 3 chaussons de grandeurs différentes afin de suivre la croissance du bébé jusqu’à ses 18 mois.

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En espérant que ce nouveau « gadget » permettra à certains parents de réduire leur stress et de mieux dormir !

Cette pub risque d’être la meilleur de ce 50e Super Bowl!

Préparez des ailes de poulet et sortez les bretzels, le 7 février prochain, ce sera le 50e Super B

Préparez des ailes de poulet et sortez les bretzels, le 7 février prochain, ce sera le 50e Super Bowl. Ce sera encore cette année, le moment où de nouvelles publicités envahiront les ondes. Depuis 2006, la compagnie Doritos organise le concours « Crash the Super Bowl ». C’est une compétition qui invite les consommateurs à produire leur propre annonce mettant en vedette des Doritos. Les participants courent la chance de voir leur création diffusée lors du Super Bowl et d’empocher 1 million de dollars. Chaque année, plus de 4500 inscriptions ont été soumises. Cette publicité mettant en scène un mari mangeant des Doritos à l’échographie a attiré notre attention.

Cette publicité surnommée « Ultrasound », fait maintenant partie des 50 derniers finalistes. Provenant de l’Australie, ce sont les seuls concurrents à ne pas provenir des États-Unis.

Si nous pouvions choisir le gagnant, ça aurait certainement notre vote !