Archives janvier 2016

​Un homme choisit le prénom de sa fille et sa femme découvre la raison 2 ans plus tard!

Un couple de nouveaux parents de Blacktown près de Sydney en Australie a fait les machettes sur le

Un couple de nouveaux parents de Blacktown près de Sydney en Australie a fait les machettes sur le web dernièrement pour une situation assez particulière. Lorsque leur fille est née, ils étaient à la recherche d’un nom original et joli. Le papa a proposé «Lanesra». La maman a adoré ! Elle a trouvé que le nom était innovateur, doux et poétique. La petite fille a donc hérité de ce prénom atypique. Ce n’est que deux ans plus tard que le papa a dévoilé le pot aux roses. En effet, l’origine du nom est simplement le nom de son équipe de soccer préférée «Arsenal » épelée à l’envers. La mère était mystifiée !

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De vraies photos de mamans!

Maintenant avec les réseaux sociaux, nos vies sont souvent mises en scène. On contrôle notre imag

Maintenant avec les réseaux sociaux, nos vies sont souvent mises en scène. On contrôle notre image afin de donner l’illusion d’une vie parfaite ! L’actrice américaine Olivia Wilde, qui a donné naissance à son fils Otis en avril 2014, a créé un mouvement «d’égoportraits-vérité». En effet, l’actrice a publié une photo d’elle au naturel et décoiffée. Elle a intitulé cette photo « Keep The Kid Alive » qui se traduit en français « Gardez l’enfant en vie ».

Suite à cette publication, plusieurs autres jeunes mamans ont décidé de se révéler sur le vrai jour. Elles ont pris des photos qui illustrent à merveille ce qu’est réellement la maternité.

En voici un échantillon :

Est-ce que ça ressemble à ça par chez vous?!

Babypod : Un tampon qui diffuse de la musique pour les fœtus!

Juste au moment où l’on pensait que la technologie ne pas aller plus loin, une compagnie commerci

Juste au moment où l’on pensait que la technologie ne pas aller plus loin, une compagnie commercialise le Babypod. Le Babypod est un petit haut-parleur qui une fois qu’il est placé à l’intérieur du vagin, à la manière d’un tampon hygiénique, diffuse de la musique pour les bébés à naître. C’est un institut espagnol nommé Marquès qui a développé ce dispositif.

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Les parents ont maintenant une toute nouvelle façon de communiquer avec leur futur enfant. On recommande de faire de petites séances d’écoute d’environ 10 à 20 minutes à la fois. Connecté à votre iPhone, vous pouvez diffuser la musique de votre choix.On espère que votre enfant aura les mêmes goûts musicaux que vous. 😉

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Sur le site internet de la compagnie, il atteste que les bébés réagissent à l’écoute de la musique en réalisant des mouvements du corps, de la bouche et/ou de la langue. Rien ne sert de faire écouter de la musique à votre bébé avant 16 semaines puisque le foetus ne peut que pas entendre avant quatre mois.

Le Babypod est disponible en ligne et a été vendu à des milliers de femmes aux États-Unis, en Espagne, en Inde, en Allemagne, au Royaume-Uni, au Japon, en Australie, en France et ailleurs dans le monde. Une unité se vend environ 120 euros.

En décembre dernier, en Espagne, un groupe de femmes enceintes ont assisté à un concert spécial. Le tout premier concert pour fœtus a été organisé par Babypod pour promouvoir son produit. Chaque mère portait un dispositif afin de diffuser la musique de la chanteuse Soraya Arnela qui était sur scène.

Voici des images de l’évènement :

Seriez-vous intéressés à essayer le Babypod?

​Un homme sage-femme!

Normalement, on s’étonne de voir des femmes pratiquer des métiers typiquement masculins, mais vo

Normalement, on s’étonne de voir des femmes pratiquer des métiers typiquement masculins, mais voilà maintenant qu’un homme pratiquera un métier très féminin : sage-femme ! Vous avez bien lu, on dit sage-femme, même si l’on parle d’un homme. À la fin de sa formation, Louis Maltais, un étudiant à L’UQTR, deviendra le premier sage-femme au Québec.

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Louis Maltais, de Saguenay Source Photo : Facebook/Annabelle Caron

 

On ne masculinise pas le mot sage-femme, car le mot femme dans l’expression, fait référence à la femme enceinte et non pas à la personne qui exerce le métier. Voilà pourquoi on peut l’utiliser pour désigner un homme.

Depuis 1999,l’Université du Québec à Trois-Rivières est le seul endroit qui forme des sage-femmes au Québec . Les sages-femmes ont pour compétences d’accompagner les futures mères et sa famille du début de la grossesse jusqu’à 6 semaines après la naissance. Elles sont des professionnelles de la santé, expertes de la grossesse et de l’accouchement normal qui répondent au besoin des femmes d’accoucher en sécurité et en toute confiance, et ce, dans le lieu de leur choix.

Louis avoue que les patientes sont souvent surprises de voir arriver un homme, mais elles ont rarement de vraies réticences. Tout ce qu’il veut c’est qu’elles se sentent en sécurité et il aimerait développer des relations de confiance avec sa future clientèle. Louis Maltais est encore en stage jusqu’au mois de mai à la Maison des naissances Colette-Julien de Mont-Joli. C’est seulement dans deux ans, qu’il obtiendra son Baccalauréat et son titre officiel de « sage-femme ».

Vous pouvez entendre une entrevue que Louis Maltais a accordé à Info-Réveil : http://ici.radio-canada.ca/emissions/info-reveil/2014-2015/archives.asp?date=2016/01/04&indTime=1879&idmedia=7404724

Seriez-vous à l’aise d’avoir un homme comme sage-femme?

Une femme allaite dans le métro et ça crée des remous!

Cette vidéo a fait le tour de la planète et est devenue virale. Tournée dans le métro de Londres

Cette vidéo a fait le tour de la planète et est devenue virale. Tournée dans le métro de Londres, on y voit un homme en colère qui demande à une maman qui allaite d’arrêter de nourrir son bébé, car il est mal à l’aise. Il va même jusqu’à demander à la mère de changer de wagon. Heureusement après un moment, un homme intervient et défend la jeune femme. Comme les gens présents dans le métro, vous serez soulagés d’apprendre qu’il s’agit d’une expérience sociale mettant en scène des comédiens, organisée par le groupe Trollstation dans le but de sensibiliser la population.

C’est en allaitant dans les lieux publics que les femmes contribuent à ce que cette pratique normale soit plus acceptée socialement. Plusieurs femmes sont mal à l’aise à l’idée d’allaiter à l’extérieur de leur maison ou dans les endroits publics. C’est dommage, car c’est un geste naturel qui ne devrait pas être jugé.

Au Québec, l’allaitement en public est un droit protégé par la Charte des droits et libertés de la personne. Cette dernière, interdit toute discrimination qui aurait pour effet d’empêcher une personne d’avoir accès aux lieux publics, tels les établissements commerciaux, les hôtels, les restaurants, les théâtres, les cinémas, les parcs, les terrains de camping, et d’y obtenir les biens et les services qui y sont offerts.(Article 15) De plus, tout enfant a droit à la protection, à la sécurité et à l’attention que ses parents ou les personnes qui en tiennent lieu peuvent lui donner. (Article 39) C’est à partir de ces articles que la Cour suprême du Canada a déjà statué en faveur de l’allaitement maternel dans les lieux publics.

Êtes-vous toujours à l’aise d’allaiter dans les endroits publics?

L’art de faire des lunchs!

Faire les lunchs des enfants est sûrement l’une des tâches les plus routinières d'un parent. Pa

Faire les lunchs des enfants est sûrement l’une des tâches les plus routinières d’un parent. Pas dans le cas de Beau, un papa de San Francisco. Il a trouvé le moyen de faire des boites à lunch des enfants un “art”. Malgré le fait, qu’il est le papa de trois enfants et qu’il a un travail à temps plein, il prend le temps de créer des lunchs colorés, santés, amusants et très originaux. En s’inspirant de différents thèmes comme les dinosaures, les films de Disney ou le football, il sculpte, colore et assemble les aliments. Il est devenu une vraie vedette des réseaux sociaux, en plus de participer à plusieurs émissions de télé comme Good Morning America et The Steve Harvey Show. Son but avec le projet « Lunch box dad » est de prouver aux parents que la préparation des lunchs peut être amusante et aide à connecter avec les enfants.

Voici quelques-unes de ses réalisations :

Vous aimeriez faire des boites à lunch comme celles-ci à vos enfants ? Allez visiter son site web pour des conseils, astuces et recettes ! http://www.lunchboxdad.com Vous pouvez aussi le suivre sur Instagram ou Facebook @lunchboxdad

18 ans plus tard, que sont devenus les premiers septuplés?

Pouvez-vous vous imaginer mettre au monde des septuplés ? S'occuper d'un seul bébé n'est déjà p

Pouvez-vous vous imaginer mettre au monde des septuplés ? S’occuper d’un seul bébé n’est déjà pas une chose facile, alors sept, semble mission impossible !

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Bobbi McCaughey fut la première femme au monde à donner naissance à 7 enfants vivants et en bonne santé.

Comme c’était du jamais vu à l’époque, cette famille fut médiatisée et ils sont devenus très populaires. Bill Clinton avait même appelé en personne pour les féliciter. La famille avait aussi été invitée à participer à l’émission d’Oprah Winfrey.

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De plus, la communauté s’était organisée pour aider les McCaughey et les nouveau-nés en leur offrant plusieurs dons. Par exemple, on leur a offert une maison, des couches gratuites pendant deux ans, une « van » et même un an de macaroni au fromage. Aujourd’hui, la famille McCaughey occupe toujours la même maison et elle continue à utiliser la même fourgonnette pour se déplacer. Découvrez ce que Kenny, Kelsey, Natalie, Brandon, Alexis, Nathan et Joel sont devenus !

Florence n’était pas une statistique

Florence, c’était une petite sœur, une grande sœur, une sœur de cœur, une nièce complice, un

Florence, c’était une petite sœur, une grande sœur, une sœur de cœur, une nièce complice, une collègue devenue une amie, une « partner » de kickboxing, une joggeuse, une « partner » de voyages, une nouvelle amie, une amie de longue date, une éducatrice devenue une famille pour certains jeunes, une amoureuse, une belle-sœur aimante, une rencontre mémorable faite en voyage, une cousine, une « matante » gâteau, une marraine pleine de promesses. Florence, même à 28 ans, c’était le bébé de mes parents. Peut-être la plus sage des quatre, surement celle qui savait le mieux comment ne pas se faire prendre. Florence, c’était tout cela et tellement plus encore. Ce n’était pas une statistique.

Seulement 10 femmes sur 25 000 ou 0,04 % feront une embolie pulmonaire alors qu’elles prennent une pilule de 3e génération. C’est 2 fois plus fréquent que chez les femmes qui prennent une pilule de 2e génération et de 4 à 5 fois plus fréquent que chez les femmes qui ne prennent aucune pilule contraceptive. En fait, c’est que les hormones contenues dans celle-ci peuvent, chez certaines femmes, épaissir le sang, causant ainsi des caillots qui bloquent la circulation sanguine. 10 femmes sur 25 000, ça peut sembler peu. C’est pourquoi il arrive trop souvent qu’on nous prescrive ce médicament en négligeant cet aspect. On considère que les bénéfices dépassent les risques…

Le problème, ce n’est pas qu’on continue de le prescrire malgré les risques associés. Oui la prise de pilule contraceptive comporte plusieurs bénéfices et je ne m’y connais pas assez pour dire si oui ou non on devrait continuer de l’utiliser. Là n’est pas la question. Ce que je dénonce, c’est que ces risques soient si méconnus. C’est qu’on utilise des statistiques pour prescrire un médicament sans informer suffisamment les femmes concernées, les privant ainsi du pouvoir de peser le pour et le contre et de juger elles-mêmes si les bénéfices dépassent les risques. Prescrire la pilule est devenu banal. S’informe-t-on suffisamment de leur historique médical et des facteurs de risques qui pourraient faire en sorte qu’un autre moyen de contraception devrait être privilégié? Ont-elles des problèmes d’insuffisance veineuse (varices), l’habitude de faire de longs vols en avion, des antécédents de troubles sanguins dans la famille, fument-elles? Prendre le temps de poser ces questions permettrait aux médecins de mieux diriger leurs patientes vers un moyen de contraception indiqué pour elles et comportant le moins de risques possible. Certains le font, mais trop ne le font pas.

Ensuite, si la patiente, bien informée, convient que la pilule contraceptive est indiquée pour elle, prend-on alors le temps de la sensibiliser aux symptômes de phlébite et d’embolie pulmonaire, alors que ce médicament la rend de 4 à 5 fois plus susceptible d’en être victime. Lui dit-on quels sont les symptômes à surveiller et ce qu’elle doit faire si elle les observe ? Cette étape ne devrait jamais être négligée. Elle peut sauver des vies.

Si je considère mon expérience personnelle et celle d’une dizaine de mes amies et connaissances qui voient toutes des médecins différents, aucune ne se souvient avoir été informée des signes de phlébite ou d’embolie pulmonaire ni même des risques de la pilule contraceptive alors que toutes la prennent ou l’ont pris à un moment de leur vie. Est-ce nous qui avons oublié ces mises en garde parce qu’elles datent de plusieurs années et n’ont jamais été renouvelées ou est-ce les médecins qui ont négligé de le faire? Cela démontre toutefois qu’il y a un gros manque. Trop souvent, on ne prend pas le temps de nous expliquer ou alors on le fait lorsqu’on prescrit la pilule pour la première fois, puis on y revient que lorsque la femme atteint 35 ans, âge où les statistiques sont plus alarmantes. Trop souvent, ce n’est que lorsqu’un autre membre de la famille fait une phlébite ou une embolie que l’on informe ces femmes des effets néfastes pouvant être rattachés à la prise ce contraceptif. Je comprends que les médecins sont débordés, que le système de santé a des lacunes et que leurs conditions de travail ne sont pas optimales, mais avec le pouvoir de prescrire des médicaments viennent de grandes responsabilités qui ne peuvent être négligées. Peut-être certains tiennent-ils pour acquis que nous savons. Eh bien non, plusieurs d’entre nous ne savent pas. Florence ne savait pas.

« Est-ce qu’elle prenait la pilule contraceptive? » C’est la première question que tous les médecins nous ont posée suite au décès de Florence. Oui, elle prenait une pilule de 3e génération. La réponse fait mal. Comment se fait-il que le lien semble si évident par après, mais qu’il ne l’était pas suffisamment pour nous en informer avant l’irréversible? Peut-être Florence, sachant tout cela, aurait-elle tout de même décidé de prendre la pilule, mais elle aurait été à l’affut des signes de phlébite et d’embolie pulmonaire qu’elle présentait et aurait pu être traitée à temps.

Ma sœur a participé à une course quelques jours avant son décès. Elle avait mal au mollet et a donc dû terminer sa course en marchant. Cette douleur était présente depuis quelques jours. Elle croyait que c’était musculaire. Elle en a parlé à des amies. Personne n’a pensé à une phlébite. Le soir avant son décès, elle a vu que son mollet était un peu enflé. Elle ne s’est pas alarmée. Elle a dû croire qu’elle s’était « claqué un mollet » en s’entrainant, comme c’était le cas l’an passé. Les signes étaient là, mais elle ne les connaissait pas. Elle n’a pas eu la chance de les reconnaitre et de se rendre d’urgence à l’hôpital. Elle n’était pas informée. Je ne l’étais pas non plus et j’ai pris la pilule pendant des années, comme bien des femmes de notre âge. J’aurais fait exactement comme elle, parce qu’à 28 ans, on ne s’inquiète pas d’un petit mal de mollet… Sauf quand quelqu’un a compris toute l’importance de nous informer comme il se doit.

Ce n’était pas musculaire. Florence avait une bombe dans le mollet. Un caillot de sang qui bloquait sa circulation et qui menaçait de se déloger et de continuer sa route jusqu’à ses poumons. Le 24 septembre, Florence a perdu connaissance pendant un court moment au travail. Elle n’a pas cru sa vie en danger. Elle avait 28 ans, était sportive, s’alimentait bien. Comme la jeune femme responsable et l’éducatrice spécialisée dévouée qu’elle était, elle a attendu qu’on vienne la remplacer avant de se rendre aux urgences où ma mère l’a rejointe. Elles ont plaisanté, puis elle est partie passer quelques tests. Mais il était trop tard. La bombe a explosé. Le caillot s’est délogé. Florence n’est plus, parce qu’un petit 10 sur 25 000 ne justifiait pas qu’on s’attarde sur les risques. Parce que prescrire la pilule contraceptive est devenu si banal.

Si nous avions su…
Jamais ces mots n’auront été si douloureux. C’est pourquoi nous avons choisi de partager avec vous ces informations. Parce que malgré tout le temps que nous passons à ressasser ces évènements dans notre tête, la dure réalité, c’est que nous ne pourrons pas la ramener. Tout ce que nous pouvons faire maintenant, c’est en parler pour conscientiser nos proches, ses proches. Pour que les femmes soient conscientes des risques et questionnent leurs médecins et pour que ces derniers les informent et insistent sur les signes à surveiller.

Florence, c’était des souvenirs d’enfance, des regards complices, des fous rires à la tonne, une oreille attentive, des paroles rassurantes, un amour inconditionnel, des anecdotes à n’en plus finir, des secrets bien gardés, des réponses « punchées », une présence malgré la distance, des projets de voyage à l’infini. Florence, c’était tout cela et tellement plus encore, mais certainement pas une simple statistique.

Pour ceux et celles qui se posent des questions et qui voudraient plus de réponses, je vous suggère quelques liens. Je ne suis pas une spécialiste, donc je vous invite à visiter ces pages. Notez que le Nuvaring et plusieurs autres contraceptifs hormonaux agissent comme la pilule contraceptive et comportent, semble-t-il, les mêmes risques.
*AVEP (Association des victimes d’embolie pulmonaire en France) Vous retrouverez plusieurs témoignages de familles ayant perdu un proche ou de victimes ayant subi une embolie et vivant avec les séquelles. On y parle des risques de la pilule contraceptive.
http://www.avep-asso.org/association
*Ces sites fournissent de l’information sur les causes, symptômes, traitements et sur la prévention des embolies pulmonaires. Ils mentionnent tous un lien entre la prise de pilule et les embolies pulmonaires.
http://sct.poumon.ca/diseases-maladies/a-z/embolus-embolie/index_f.php
http://www.allodocteurs.fr/maladies/poumons/embolie-pulmonaire/embolie-pulmonaire-comment-reagir_5912.html
http://www.pharmaciengiphar.com/maladies/poumons-et-respiration/embolie-pulmonaire/embolie-pulmonaire-un-caillot-dans-poumonshttp://www.automesure.com/Pages/pilule3.html

 

Source du texte: La page Facebook d’Ariane Aumont-Légaré

Des jeux qui pourraient vous coûter cher!

J’imagine comme dans bien des familles votre iPad est devenu le jouet préféré de vos enfants. E

J’imagine comme dans bien des familles votre iPad est devenu le jouet préféré de vos enfants. Est-ce qu’ils connaissent votre mot de passe «App Store»? Si oui, ça pourrait vous couter très cher.

Les médias ont relaté le cas de Faisall Shugaa un jeune Anglais âgé de 7 ans qui aurait acheté pour 4 000 livres sterlings (équivalent de 8 000$ canadiens) en jouant au jeu Jurrassic World, et ce sans que son père ne soit au courant. Ce dernier a découvert le pot aux roses lorsqu’il a tenté de payer des fournisseurs avec sa carte de crédit et que le paiement fut refusé, car il dépassait sa limite.

Capture d’écran du jeu Jurrassic World

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C’est entre le 13 décembre au 18 décembre que son fils a fait environ 60 achats des «Dino Bucks» qui lui permettait d’avancer et de débloquer des personnages supplémentaires. Le papa, Mohamed Shugaa 32 ans, n’était pas au courant que son fils avait téléchargé cette application et qu’il connaissait son mot de passe. Choqué, il s’est plaint à Apple, qui après plusieurs démarches ont décidé de lui accorder une promesse de remboursement.

Voici un reportage sur ce fait divers : http://video.fayobserver.com/Dad-Shocked-After-7YearOld-Spends-6000-Playing-Games-on-iPad-30149195

Pour éviter que quelque chose de semblable vous arrive vos mieux changer facilement quelques paramètres sur votre iPhone ou iPad:

Est-ce que ça vous est déjà arrivé ?

10 trucs faciles (et un peu inusités) pour ne plus jeter de la bouffe!

Le panier d’épicerie coûte de plus en plus cher aux familles canadiennes ! En 2016, on prévoit

Le panier d’épicerie coûte de plus en plus cher aux familles canadiennes ! En 2016, on prévoit que cette tendance sera maintenue. En effet, le taux d’inflation alimentaire dépassera même le taux d’inflation général en 2016. Selon les prévisions du Food Institute de l’Université de Guelph en Ontario les produits alimentaires subiront une augmentation de 2% à 4%. Cette nouvelle augmentation est estimée à environ 350$ par famille. On a donc déniché pour vos quelques trucs pour mieux conserver les aliments et nous éviter de jeter de la nourriture :

trucs-bouffe011. Oignons : les oignons sont à la base d’à peu près toutes les recettes. Pour les conserver, il est recommandé de les mettre dans un vieux bas de nylon (propre) en prenant le soin de faire un nœud entre chaque oignon. Ils sont à l’air frais et bien espacé ce qui prolongera leur durée de vie.

Source de la photo: demotivateur.fr/


trucs-bouffe022. Bananes : pour éviter qu’elles ne noircissent trop rapidement, enveloppez la tige de vos bananes avec du film alimentaire (communément appelé du « Saran wrap »).


trucs-bouffe033. Pommes de terre : les pommes de terre doivent être conservées dans un contenant à l’abri de la lumière pour éviter qu’elles ne germent. De plus, évitez de les conserver avec les oignons ou les pommes.


trucs-bouffe044. Sauce tomate : lorsque l’on cuisine, on se retrouve souvent avec des cannes de tomates à moitié vides. Pour éviter de les gaspiller, il suffit que les mettre dans un sac pour congélation. Faites évacuer l’air et tracer de petites portions en séparant la sauce avec vos doigts. Vous aurez toujours sous la main de petites quantités de sauce prête à être intégrées dans vos repas.


trucs-bouffe055. Les herbes fraîches : les herbes fraîches ajoutent vraiment beaucoup de saveurs et de fraicheur à nos plats. Pour les conserver, mettez-les au frigo dans un contenant en plastique ou un sac hermétique (Ziploc) en prenant soin de mettre un papier absorbant humidifié. Sinon, vous pouvez aussi les congeler dans un bac à glaçons. Pour ce faire,vous n’avez qu’à hacher les herbes et les mettre dans un des carrés avec de l’huile.


trucs-bouffe066. Légumes verts : les légumes verts croquants comme le brocoli et le céleri se conservent plus longtemps, il suffit de les emballer avec du papier d’aluminium.

Source de la photo: demotivateur.fr/


trucs-bouffe077. Ananas : pour conserver un ananas plus longtemps, il faut couper les feuilles et le retourner la tête en bas. De cette façon, les sucres sont redistribués à l’intérieur du fruit et l’ananas se conservera donc plus longtemps.

Source de la photo: demotivateur.fr/



trucs-bouffe088. Contenant de verre : les contenants de verre sont à privilégier. Ils sont plus faciles à laver et ils ne se tachent pas. De cette façon, la nourriture placée à l’intérieur sera mieux préservée.


trucs-bouffe099. Fruits rouges : pour éviter que vos fraises ou vos framboises moisissent, vous n’avez qu’à les rincer dans une portion de vinaigre pour dix portions d’eau. Cela éliminera de petits micro-organismes et les fruits rouges resteront beaux plus longtemps.


trucs-bouffe1010. Les œufs : les œufs crus peuvent être congelés, mais pas dans leur coquille. Les blancs d’œufs peuvent être congelés «tels quels», il suffit de les mettre dans un sac à glissière (Ziploc) ou dans un contenant hermétique. Pour les œufs entiers, il faut bien mélanger le blanc et le jaune avant de les congeler. Les jaunes d’œufs quant à eux épaississent ou coagulent lorsque congelés. Pour prévenir la formation de granules dans le jaune, il suffit d’y ajouter un peu de sel (1/8 de cuillère à table pour ¼ de tasse d’œufs).

 

Des jumeaux qui ne sont pas nés la même année !

Nés à trois minutes d’intervalles, des jumeaux ne partagent pas la même année de naissance. Es

Nés à trois minutes d’intervalles, des jumeaux ne partagent pas la même année de naissance. Est-ce que c’est possible ? Eh bien oui ! Voici l’explication : à l’hôpital « Zion Médical Center », une petite fille nommée Jaealyn est née à 23h59 le 31 décembre 2015 tandis que son frère jumeau Luis est né à 12h02 le 1er janvier 2016. Ce duo de bébés se partage le titre de dernier bébé de l’année et celui de premier bébé de l’année de San Diego. À la naissance les bébés mesuraient 18,5 pouces (47 cm) et Jaelyn pesait 4 livres et 15 onces (2,24 kilos) et son frère 5 livres et 9 onces (2,52 kilos). Les deux bébés et la maman sont en santé. Félicitations et nos vœux de bonheur à la famille ! Voici des photos des nouveaux nés :