Archives mai 2016

Sauce à spaghetti rapide, facile et nutritive

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Toute famille québécoise qui se respecte a SA recette de sauce à “spagat” qui, bien-sûr, est LA meilleure! Mais laissez-moi vous secouer dans vos traditions et vous proposer une nouvelle recette facile qui plaira à tous…même à ceux qui ne mangent que la sauce à spaghetti de leur mère! Et comme il n’y a aucun ingrédient à couper, elle se fait en deux temps trois mouvements.

Ingrédients:

1 kilo de viande hachée (préférablement du boeuf)
1 sac de légumes pour spaghetti congelés
1 boîte de 796ml de tomates en dés
1 boîte de 540ml de tomates en dés
1 boîte de 156ml de pâte de tomates
1 carton (genre Tetra Pak) ou boîte de 910ml de sauce tomate
2 tasses de haricots noirs écrasés
3 gousses d’ail émincées ou écrasées
3 clous de girofle
1 feuille de laurier
1 c. à soupe d’origan

Préparation:

Faire cuire la viande dans une grande casserole.
Ajouter les légumes et l’ail.
Cuire jusqu’à ce que les légumes soit décongelés.
Ajouter tous les autres ingrédients.
Laisser mijoter environ 4 heures.

Pour bébé, mettre la sauce dans un robot culinaire et réduire en une purée lisse.

ASTUCE : Je mets toujours les clous de girofle et la feuille de laurier dans un coton à fromage pour pouvoir les retrouver facilement quand il est temps de les enlever de la sauce.

Famille et cellulaire – Quand faut-il le mettre à “off” ?

Ah! Les téléphones cellulaires ! Qu'on les aime ou non, ils sont là pour rester. Il faut dire qu'

Ah! Les téléphones cellulaires ! Qu’on les aime ou non, ils sont là pour rester. Il faut dire qu’ils sont très utiles et, en toute franchise, on ne voudrait plus s’en passer. Mais les dommages qu’ils peuvent causer sont de plus en plus étudiés par les scientifiques qui, cette fois, se sont penchés sur leur impact sur la famille. Heureusement, on nous donne aussi des solutions pour trouver un juste équilibre.

Selon cette récente étude menée par un organisme américain qui prône une saine utilisation des nouvelles technologies auprès de 1240 parents et adolescents, la dépendance au téléphone cellulaire (ou du moins la place démesurée qu’ils peuvent prendre parfois dans nos vies) est un problème bien réel :

  • Un adolescent sur deux (50%), et plus d’un parent sur quatre (27%), se disent dépendants de leur téléphone cellulaire.
  • Deux parents sur trois (66%) trouvent que leur ado passe beaucoup trop de temps sur son téléphone cellulaire. Et fait surprenant, plus de la moitié des ados (52%) sont d’accord avec leurs parents.
  • Près de la moitié des parents (48%) et près du trois quarts des ados (72%) ressentent le besoin de répondre immédiatement aux textos ou autres notifications qu’ils reçoivent.
  • Près de sept parents sur dix (69%) et près de 8 ados sur 10 (78%) vérifient leur téléphone cellulaire toutes les heures.

Vous vous reconnaissez ? Surtout, pas de panique. À MFMC, nous savons à quel point le téléphone cellulaire peut être source de conflits. Et comme parent, il est important de choisir ses batailles. Alors, afin de (re)trouver votre équilibre, voici trois situations où les chercheurs nous conseillent de fermer (ou du moins mettre hors de portée) les téléphones cellulaires de tous les membres de la famille :

  • Pour des raisons de sécurité, par exemple, lorsque nous marchons dans la rue ou conduisons une voiture. Ça peut paraître simpliste mais si on se fie aux plus récentes statistiques, bien des automobilistes ne l’ont pas encore compris!
  • Lorsque nous sommes en situation d’apprentissage à l’école, au travail ou en train de faire des devoirs. Les téléphones cellulaires créent une trop grande distraction et nuisent à l’assimilation de nouvelles connaissances.
  • Lors des repas ou de toute autre activité sociale, les chercheurs soulignent l’importance de développer et nourrir nos habiletés relationnelles indispensables au bien-être et à la santé.

On vous conseille même d’en parler en famille. Pourquoi ne pas vous réunir pour établir les règles qui conviendront à votre réalité familiale ? Car chaque famille est différente mais tous, adultes comme enfants, avons besoin d’écoute et d’attention pour nous épanouir et grandir. Et ça, aucune application ne peut encore le faire !

 

 

 

Un quiz pour faciliter votre conciliation travail-famille

Chers parents, saviez-vous que cette semaine (du 09 au 15 mai 2016) c'est la Semaine québécoise de

Chers parents, saviez-vous que cette semaine (du 09 au 15 mai 2016) c’est la Semaine québécoise des familles et que le gouvernement veut vous rendre hommage ? Mais qu’est-ce qu’une famille en 2016 ? Comme elle a maintenant plusieurs formes, c’est sous le thème Plein de familles, plein de réalités que se dérouleront les festivités.

Pour connaître l’horaire des activités dans votre région : http://www.quebecfamille.org/la-semaine-des-familles/repertoire-des-activites.aspx

Vous pouvez également répondre à un quiz, qui en fonction de votre réalité familiale, vous propose des pistes de solution afin de faciliter votre conciliation travail-famille.

Quiz : http://www.quebecfamille.org/reconcilions-travail-et-famille/par-ou-commencer.aspx

Parce que la famille est peut-être de moins en moins traditionnelle mais nous sommes encore nombreux à y accorder beaucoup d’importance.

Et vous, vous en pensez quoi ?

Voici quelques faits intéressants pour alimenter votre réflexion :

  • Au Québec, chaque année, près de 38,000 femmes (et autant d’hommes, probablement) deviennent parents pour la première fois.
  • Selon les dernières données de Statistiques Canada, les familles recomposées représentent 16 % des familles québécoises, les familles monoparentales 29 % et celles vivant en union libre plus de 38 %. Au Canada, près de 10 % des couples de même sexe ont des enfants.
  • Dans une majorité de familles, les revenus proviennent des deux adultes de la maisonnée. Les défis reliés à la conciliation travail-famille sont, de ce fait, présents pour un grand nombre d’entre elles.
  • Près de 700 municipalités du Québec se sont dotés d’une Politique familiale municipale cherchant à tenir compte de la diversité et des besoins des familles de leur milieu.

On a hâte de vous lire !

 

 

Chili végé bon pour la famille…et la digestion de bébé

Le cumin est une épice que l’on devrait tous intégrer à notre alimentation puisqu’il facilite

Le cumin est une épice que l’on devrait tous intégrer à notre alimentation puisqu’il facilite la digestion et diminue les ballonnements. Pour les bébés ayant certaines difficultés avec leur système digestif lors de l’introduction des aliments solides, c’est un bon coup de pouce pour qu’ils se sentent mieux. De mon côté, j’ai vu une différence dans les douleurs abdominales de mon bébé après les repas qui contenaient du cumin.

Chili végétarien

Ingrédients:

1 c. à thé d’huile d’olive

1⁄3 de tasse de poivrons rouges  coupés en dés

1⁄3 de tasse d’oignons coupés en dés

1⁄3 de tasse de carottes coupés en dés

1⁄3 de tasse de céleri coupés en dés

1⁄8 de tasse de coriandre fraîche

20 tomates cerises

1 c. à thé de cumin

1 c. à thé de jus de lime

2 tasses de haricot noir

Préparation:

Mettre l’huile dans une casserole, y ajouter le poivron rouge, l’oignon, les carottes et le céleri.

Faire cuire 8 minutes ou jusqu’à ce que les légumes soient tendres.

Ajouter le cumin aux légumes et faire cuire 30 secondes.

Dans un robot culinaire, mettre les haricots, les tomates, la coriandre fraîche, le jus de lime, les

légumes et réduire le tout en purée.

ASTUCE : Si c’est la première fois que votre bébé mange un repas avec du cumin, je vous conseille de

commencer par la moitié seulement et d’augmenter graduellement la quantité.

Bonne fête à toutes les mamans…d’un papa reconnaissant

Bonne fête à toutes les mamans. Toutes, sans exception…
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    Bonne fête à toutes les mamans. Toutes, sans exception…

    • celles qui voulaient des enfants;
    • celles qui n’en voulaient pas;
    • celles qui ont refusé d’allaiter envers et contre tous;
    • celles qui ont allaité et celles qui ont essayé;
    • celles qui ont accouché en peu de temps;
    • celles qui ont cru ne jamais s’en sortir vivantes;
    • celles qui ont crié, hurlé, pleuré;
    • celles qui ont joué du bain, du ballon, de la marche et du massage;
    • celles qui ont quand même fini par cracher : « faites-moi la péridurale au plus criss! »;
    • celle qui n’en ont eu qu’un seul;
    • celles qui en auraient toujours un de plus… pis un autre… pis encore un autre;
    • celles qui regrettent;
    • celles qui remercient le ciel chaque jour;
    • celles qui ont mis leur carrière sur « pause » pour avoir une famille;
    • celles qui ont mis leur famille sur « pause » pour avoir une carrière;
    • celles qui ont réussi à concilier les deux;
    • celles qui ont échoué dans la conciliation;
    • celles qui sont toujours en couple;
    • celles qui se sont ramassées toutes seules;
    • celles qui ne connaissent même pas le père;
    • celles que le père ne sait même pas;
    • celles qui se réalisent dans leur rôle de mère;
    • celles qui ne réalisent pas qu’elles sont mères;
    • celles qui prennent le temps de jouer avec leurs enfants;
    • celles qui préparent les lunchs;
    • celles qui ont leurs enfants pour remplir un vide;
    • celles qui font le vide quand elles sont avec leurs enfants;
    • celles qui ont retrouvé leur vie d’avant parce que leurs enfants, rendus grands, ont quitté la maison;
    • celles qui attendent toujours ce grand moment;
    • celles qui ont compris qu’il n’arriverait jamais;
    • celles que ça arrange, dans l’fond;
    • celles qui ont fumé pendant leur grossesse;
    • celles qui ont bu pendant leur grossesse;
    • celles qui se sont droguées pendant leur grossesse;
    • celles qui n’ont rien fait de tout ça, mais qui ont quand même accouché d’un bébé malade;
    • celles qui s’inquiètent parce que leur enfant vit une passe difficile;
    • celles qui s’inquiètent même si leur enfant ne vit rien de difficile;
    • celles qui s’inquiètent parce que leur enfant ne vit rien;
    • celles qui se reconnaissent dans les comportements de leur enfant;
    • celles qui ont des vergetures;
    • celles qui ont gardé les quelques livres en trop;
    • les maudites qui n’ont rien gardé de tout ça;
    • celles qui ont adopté;
    • celles qui sont fatiguées;
    • celles qui pleurent en silence dans la douche suite à un découragement passager;
    • celles qui se disent : « avoir su »;
    • celles qui regrettent s’être déjà dit : « avoir su »;
    • celles qui sont autoritaires;
    • celles qui sont bonnes négociatrices;
    • celles qui disent être une bonne mère;
    • celles qui le pensent vraiment;
    • celles qui se disent être une mauvaise mère;
    • celles qui le pensent vraiment;

    Toutes celles-là et toutes les autres aussi. Vous toutes, avez un point en commun : vous êtes des mères de famille, des phares toujours prêt à aider un des membres à retrouver son chemin par soir de tempête. Vous êtes nos inspirations à nous, les pères de famille. Nous apprenons de vous. Laissez-vous gâter et soyez fières de ce que vous êtes, de ce que vous faites. Bonne fête des mamans.

Des sites pour trouver de vraies aubaines $$$

Ce ne sont pas toujours de véritables aubaines que l'on retrouve dans les magasins

Ce ne sont pas toujours de véritables aubaines que l’on retrouve dans les magasins entrepôts, souvent appelés «outlets», qui poussent comme des champignons partout au Québec depuis quelques années. En fait, plus ça va, plus les rabais vraiment intéressants pour le portefeuille se font rares. Même le “Boxing Day” n’est plus ce qu’il était !

Mais à MFMC, on aime bien dénicher les meilleurs endroits pour faire des affaires d’or. Voici donc, en quelques clics, comment savoir où vous procurer à peu près tout ce dont vous avez besoin à une fraction du prix.

modemontreal.tv

Acheter à rabais mais aussi local, c’est ce que permet le site modemontreal.tv ! Sous l’onglet «Calendrier», vous pouvez voir tous les événements mode pour un mois donné. Boutiques éphémères, ventes d’échantillons, d’atelier ou de fin de saison, tout est là ! Et en plus ces vêtements sont soient entièrement confectionnés à Montréal ou fabriqués à l’étranger mais pensés ici. Bref, tous issus de la créativité montréalaise. On adore !

http://www.modemontreal.tv/calendrier

montrealaubaines.ca

C’est l’un des secrets les mieux garder des chasseurs d’aubaines ! On n’a qu’à cliquer sur les onglets entrepôt, liquidation ou en ligne pour avoir la liste complète des ventes en cours. L’onglet “Calendrier” permet, là aussi, de voir toutes les ventes pour la journée, la semaine ou le mois. Vous pouvez même vous abonner à leur page Facebook ou à leur infolettre pour être informé en temps réel des événement à venir. Avertissement : vous risquez de devenir accro !

http://montrealaubaine.ca/index.php/fr/

lesventes.ca

Sans contredit notre préféré !!! Le plus complet et le mieux structuré. Le site a été fondé, il y a 5 ans, par des chasseuses d’aubaines. Vous pouvez y faire une recherche par type de ventes mais aussi par marque, par région et par catégorie. Hyper intéressant, les onglets “Aujourd’hui” et “Cette semaine” qui vous permettent de bien planifier votre magasinage de la journée ou de la semaine. Vous pouvez vous abonner à leur page Facebook et à leur infolettre. Une application mobile est également disponible. 

http://www.lesventes.ca/

Conseils à suivre

Dans une vente de liquidation ou d’entrepôt, on ne magasine pas de la même façon. Histoire d’en profiter au maximum et de limiter les frustrations, voici quelques conseils à suivre :

  • Les cartes de crédit ou débit ne sont pas toujours acceptées. Alors, on apporte de l’argent comptant. En plus, ça vous aidera à respecter votre budget.
  • Si possible, portez des chaussures et des vêtements qui s’enlèvent et s’enfilent rapidement ou que vous n’aurez même pas à enlever. Mesdames : leggings, t-shirt, camisole vous éviteront les longues files d’attente à la salle d’essayage. Messieurs : des boxers qui ne dévoilent pas trop pourront vous sauver bien du temps.
  • Éviter d’apporter un gros sac fourre-tout qu’on risque de vous confisquer à l’entrée. Ça vous évitera de perdre de précieuses minutes pour le récupérer.
  • Les ventes sont finales la plupart du temps. Alors, assurez-vous de bien essayer et de bien inspecter les items avant de passer à la caisse.

Bonne chasse aux aubaines 🙂

Des idées de sorties pour ce week-end! (07 et 08 mai)

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Géo Rallye ave

Géo Rallye avec GPS dans le Vieux-Québec

Composé de 15 caches réelles et virtuelles, ce circuit pédestre vous guide sur les traces de l’histoire, du patrimoine, de l’architecture, de l’art public. Plaisir garanti ! À faire en famille ou entre amis !

Où ? Vieux-Québec

Quand ? Samedi et dimanche de 10h à 17h

Coût ? 10$ par personne / 25$ pour une famille de 4

http://ilotdespalais.ca/activites/georallyes-avec-gps/

Escalade intérieur pour petits et grands (à partir de 5 ans)

Un  essai d’escalade dans un des plus grands centres d’escalade et activités en hauteur au monde! Horizon Roc vous offre de vous amuser en hauteur peu importe votre niveau d’habileté physique. Parois et parcours pour tous les niveaux. Peut être suivi d’un passage dans l’Acro-Parc avec un tarif spécial. Réservation requise : 514-899-5000.

Où ? Montréal

Quand ? À partir de 9 heures selon les disponibilités

Coût ? Différents forfaits disponibles

http://horizonroc.com/fr/jeunes/bienvenue-aux-jeunes-et-a-leurs-parents/

Festival Petits bonheurs

Ce rendez-vous culturel des touts-petits, qui a débuté fin avril, bat encore son plein dans plusieurs municipalités. Son but : faire connaître aux  tout-petits différentes disciplines artistiques et leur permettre d’explorer le monde de la création.

Où ? Montréal, Laval, Longueuil, Lanaudière, Abitibi-Témiscamingue

Quand ? Voir le site internet pour l’horaire des différentes activités. Des réservations sont parfois nécessaires.

Coût ? Gratuit ou souvent minime

http://www.petitsbonheurs.ca/

TAZ – Roulodôme intérieur

Les samedis et dimanches, les matinées sont réservées aux enfants de 13 ans et moins. Et le roulodôme est vraiment un endroit sécuritaire et super stimulant même pour les touts-petits. C’est la destination idéale quand on cherche un endroit pour faire de l’activité physique avec les enfants les jours de pluie. La connexion internet gratuite et de très bonne qualité. Des fauteuils sont mis à la disposition des parents qui sont, d’ailleurs, nombreux à s’y installer avec leur ordinateur portable pour travailler.

Où ? Montréal

Quand ? Samedis et dimanches de 10 heures à 13 heures…mais vous pouvez rester après 13 heures si vous le voulez.

Coût ? De 11$ à 16,50$ (taxes incluses); forfait famille disponible

BON À SAVOIR : Il faut ajouter le coût de location de l’équipement si nécessaire. Le casque est obligatoire pour tous. Vous pouvez louer casque et protecteurs sur place. Ils ont quelques trottinettes à trois roues et vélos à deux roues sans pédale pour les touts-petits mais, comme ils sont en petite quantité, on vous recommande d’apporter les vôtres. Vous pouvez aussi apporter vos vélos (style BMX), patins à roues alignées, trottinettes et planches à roulettes.

http://www.taz.ca/

Le Viking (montagne russe alpine) et le Dragon (tyrolienne double)

Où ? Mont St-Sauveur

Quand ? Samedis et dimanches de 11 heures à 16 heures

Coût ? De 10,99$ à 34,99$ (différents forfaits disponibles)

http://www.montsaintsauveur.com/fr/le-viking-et-le-dragon

Bon week-end en famille !

Bonne fête m’man! Je t’aime! – ton fils Étienne

[gallery size="full" bgs_gallery_type="slider" ids="2132,2131,2130,2128"] C’est la fête des m

C’est la fête des mères ce dimanche, et la compagnie Procter & Gamble y est allée d’un solide coup d’éclat avec leur magnifique publicité en vue des Jeux Olympiques de Rio.

Pour voir la vidéo de P&G https://www.youtube.com/watch?v=MQ3k6BFX2uw

Évidemment, je n’ai pas pu m’empêcher de penser à ma maman et à tout ce qu’elle a fait (et continue de faire) pour que je puisse avoir la vie que j’ai aujourd’hui.

Je suis vraiment fier d’être ton fils. Je me souviens du jour où je t’ai annoncé que je voulais jouer au football. Le regard dans tes yeux disait tout. Tu étais terrifiée. Faut dire que je mesurais 4’11’’ et pesait 88 livres (sans farce). Mais tu m’as dit de foncer. Tu te disais peut-être que j’allais me planter, mais tu n’en as jamais parlé et grâce à ça, j’ai pris confiance en moi.

Tu vois, je ne t’en parle jamais, mais je me souviens de tout. Je me souviens de nos conversations après les matchs, où on allait se chercher à manger au McDo ensemble avant d’aller rejoindre le reste de la famille à la maison. Je me souviens de la journée où je t’ai dit que je voulais quitter la maison pour aller étudier aux États-Unis. J’avais 16 ans… ça t’a brisé le coeur. Mais je me souviens que tu n’as rien dit et de tout ce que tu as sacrifié pour que je réalise mon rêve.

Malgré la distance, vous trouviez le moyen d’être là à chaque match. Pour un petit gars complètement déboussolé et qui ne savait pas parler anglais, je ne vous dirai jamais assez à quel point ça m’a aidé. Mon point d’ancrage familial, je l’ai toujours eu grâce à vous deux. (Petite parenthèse: mes parents sont mariés depuis 39 ans! En 2016, ça ne se voit plus souvent!)

Et tu es encore là, après les hauts et les bas (et Dieu sait qu’il y en a eu des bas), avec ta bonne humeur, ta patience et ton positivisme… et tes cheveux gris de plus à cause de moi.

Je ne suis pas toujours le fils exemplaire, je le sais. Des fois j’oublie d’appeler. Des fois je suis tellement occupé que je suis impatient avec toi. Mais toi tu es toujours là quand même, contente de me parler. Je veux que tu saches qu’on est chanceux de t’avoir Véro et moi. Bonne fête des mères! Je t’aime m’man.

Miroir miroir…ma famille, mon reflet – Texte: Émilie Vincent

Je me souviens de cette fameuse peine d’amour à l’adolescence, celle qui enlève toute saveur a

Je me souviens de cette fameuse peine d’amour à l’adolescence, celle qui enlève toute saveur aux aliments, qui transforme les secondes en heures et qui nous projette dans une autre dimension ou notre âme en peine somnole le temps que notre insupportable douleur s’apaise. On devient alors spectateur de notre vie, à l’extérieur de nous-même…absent.

Il m’arrivait d’éclater en sanglots, sans crier gare et de constater, en essuyant mes yeux embrouillés de larmes que mes parents pleuraient avec moi, en silence.

Le poids de ma douleur était alors moins lourd à porter puisqu’il était partagé avec mes alliés, ma famille. C’était tellement réconfortant de sentir que, malgré mes jeunes 17 ans, j’étais prise au sérieux. Mes parents étaient parvenus à comprendre ce que je vivais selon ma perception, malgré que du haut de la leur, ils savaient très bien que je m’en remettrais et que ce n’était qu’une question de temps. Voilà une grande leçon d’empathie que l’on m’enseignait en reconnaissant ce que je vivais selon ma perception, sans tenter d’ajouter une morale à mon histoire, de rationaliser ma peine ou de me conseiller diverses façons de me changer les idées. Simplement comprendre ma douleur en se branchant à ma vision de la vie. Mon monde s’écroulait mais je ne serais pas seule à le reconstruire. Nous étions une famille.

C’est dans ce genre d’épreuve que le mot « famille » prend tout son sens.

Les plus grandes leçons de vie que mes parents m’ont enseignées, je les ai apprises en les observant, tout simplement. Je m’appropriais tout ce que j’aimais et j’en faisais un bout de ma personne. Mes parents ont pu me laisser bâtir mon être en toute liberté, sans crainte, car ils avaient mis toutes les plus belles pièces à ma disposition. Je n’avais qu’à choisir parmi le lot de valeurs qui s’offraient à moi. Je crois que c’est pour cette raison que, malgré mes nombreux détours, ils ont toujours eu confiance que je reviendrais sur le droit chemin.

Tout ce que mes parents me faisaient vivre et qui me rendait heureuse, j’avais envie de le partager aux autres en leur faisant vivre à mon tour. Le fait que mes parents m’acceptent comme j’étais m’a rendu tellement ouverte aux autres ! J’ai appris à m’écouter et à dire non en observant ma mère respecter ses propres limites. J’ai appris à me détacher de la haine et me tourner vers le pardon en observant mon père aimer et s’aimer assez pour ne pas entretenir de haine en lui. J’ai appris à apprécier la vie dans toute sa simplicité en voyant mes parents arborer la leur avec un émerveillement qui se renouvelait au quotidien, comme si rien n’égalait la chance qu’ils avaient d’être qui ils étaient, sans chercher à posséder davantage ou à faire plus.

C’est en voyant mon entourage incarner les vertus qu’ils prônaient que j’ai pu en ressentir pleinement les bienfaits et que j’en ai compris l’importance.

En tant que parent, la plus grande richesse que nous pouvons léguer à nos enfants, c’est d’être le meilleur de nous-même, sur le plan intérieur.

Arrêtons de nous concentrer sur ce que nos enfants pourraient améliorer et reportons cette énergie sur nous, pour devenir de meilleures personnes intérieurement.

C’est en nous observant nous relever après être tombés que nos enfants assimileront la résilience.

C’est en nous observant reconnaître nos erreurs et nous reprendre que nos enfants développeront l’humilité.

C’est en assumant l’humain imparfait que nous sommes et en reconnaissant l’être digne d’amour en notre enfant parfois turbulent et agité que nos enfants apprendront à s’accepter et à aimer sans exiger.

C’est en écoutant nos enfants sans jugements qu’ils auront envie de nous écouter en retour.

C’est en s’émerveillant devant nos enfants et en reconnaissant qu’ils ont beaucoup à nous apprendre qu’ils auront envie d’apprendre de nous.

Cessons un peu de demander aux autres et donnons ! Cessons un peu d’exiger aux autres et soyons !

Nos enfants imitent ce qu’ils voient. Ils sont un miroir de nos propres failles, certes, mais aussi de nos grands dons et de nos qualités profondes. Réalisons que notre plus grande influence sur nos enfants passe par la manière dont nous appliquons nos propres enseignements à notre quotidien. Éduquer positivement, c’est être au meilleur de sa personne à chaque jour.

Émilie Vincent

Quand le cancer s’invite dans le chaos – Convalescence : Mode d’emploi

Qu’on se l’avoue. Une maman, c’est un maillon fort dans le bon

Qu’on se l’avoue. Une maman, c’est un maillon fort dans le bon fonctionnement de la chaîne familiale. Alors quand elle est en convalescence, ou temporairement non fonctionnelle, et qu’il n’y a pas d’autre adulte pour prendre le relais dans les rouages du quotidien, ça perturbe grandement l’engrenage de la routine avec les enfants.

Bien que cela ne me dérange pas que la mécanique familiale ne soit pas parfaitement huilée, il n’en reste pas moins qu’il faut que la machine continue de fonctionner… 

Alors que faire quand Maman ne peut pas jouer son rôle comme avant parce qu’elle vient de subir une mastectomie partielle et qu’elle a des consignes postopératoires à respecter ?

Et bien, la réponse est simple. Lorsque le maillon fort est fragilisé, il faut repenser la participation de chacun au quotidien pour maintenir le bon fonctionnement de l’ensemble. 

Les restrictions médicales de Maman sont une occasion de prôner et de mettre à l’œuvre le travail d’équipe. Une occasion pour responsabiliser les enfants quant à la routine de la maisonnée. Une occasion de réinventer nos rituels, et de faire preuve d’ingéniosité pour que cette réadaptation familiale forcée se fasse sans friction et dans la bonne humeur. Après tout, l’adaptation n’est-elle pas le propre de la vie et de la survie ? Et puis, je pense qu’il n’est jamais trop tard, ni trop tôt pour apprendre. Apprendre ensemble de façon ludique comment composer avec cette nouvelle réalité qu’est la maladie de maman.

Une de ces nouvelles réalités est que je n’ai pas le droit de porter des charges plus lourdes qu’un annuaire téléphonique pendant huit semaines. Est-ce que cela s’applique au répertoire électronique ? Car je doute de pouvoir facilement trouver un annuaire version papier de nos jours. Quoiqu’il ait encore son utilité pour rehausser les chaises des enfants. Peu importe. Je suis certaine qu’un annuaire téléphonique est plus léger que mon fils. Et mon fils lui a encore besoin des bras de maman. Souvent. Très souvent. Jamais trop souvent à mon goût… sauf peut-être lorsque je dois également monter les sacs d’épicerie à notre appartement du 3e étage. D’ailleurs, les sacs d’épicerie, ça aussi c’est plus lourd qu’un annuaire téléphonique. Mais pour ce point, heureusement, il existe une belle invention qui s’appelle : la livraison à domicile ! Facile et sans frais.

Par contre pour mon fils, je crois que le sevrage des bras de maman a sonné son heure. Mais Maman reste toujours la meilleure pour donner de l’amour. Même sans les bras. Car j’ai toujours ma bouche pour faire des attaques de bisous. Mes mains pour chatouiller jusqu’aux éclats de rires. Et ma voix pour bercer vos petits cœurs de joie de vivre. Au fond, une maman a toujours une boîte à outils pleine de solutions pour répondre aux besoins de ses enfants.

Une maman, ça vient sans mode d’emploi comme une boîte de Lego, car une maman, ça se réinvente au gré des humeurs de ses enfants. Une maman, ça se construit au fil du temps et des aventures de la vie de famille. Une maman, ça prend la forme que ses petits architectes d’enfants lui donnent. Une maman, c’est une pièce unique pour chacun de ses enfants. Une maman ça vient sans mode d’emploi mais avec une garantie à vie !

Comment être heureux dans son chaos ? La réponse des scientifiques

Demander à n'importe quel parent ce qu'il souhaite le plus pour son enfant et il vous répondra, pr

Demander à n’importe quel parent ce qu’il souhaite le plus pour son enfant et il vous répondra, presqu’invariablement, qu’il soit heureux !

Or, des chercheurs auraient fait une avancée majeure dans l’identification des gènes du bonheur. Et on parle ici d’une recherche hyper sérieuse et approfondie : près de 200 chercheurs répartis dans 17 pays ayant étudié les variations génétiques liées au bien-être, à la dépression et au neuroticisme* de près de 300 000 personnes.

*Nous avons, nous aussi, appris ici un nouveau mot. Le neuroticisme est une tendance persistante qu’ont certains individus à expérimenter des émotions négatives comme l’anxiété, la colère, la culpabilité ou la déprime.

Et semble-t-il que c’est principalement dans le cerveau, la moelle épinière, les glandes surrénales et le pancréas que ça se passe et que les chercheurs ont pu observer des différences entre les gens heureux et ceux qui le sont moins. Autrement dit, certaines personnes seraient génétiquement plus disposées au bonheur que d’autres !

Mais rassurez-vous, ça ne veut pas dire que c’est une fatalité et qu’on ne peut rien faire ! Ce qui est intéressant, c’est que cette découverte pourrait permettre éventuellement d’améliorer les traitements contre, par exemple, la dépression ou l’anxiété. Aussi, et ce sont les chercheurs eux-mêmes qui le précisent dans leur étude, l’environnement joue un rôle tout aussi important que la génétique dans le sentiment de bien-être d’un être humain. On a donc beaucoup plus de pouvoir qu’on le pense sur notre niveau de bonheur et celui de nos enfants !

Maintenant, comment on fait ça augmenter notre niveau de bonheur ? Et bien, c’est qui nous emmène à vous parler de la plus longue étude jamais réalisée sur le sujet. Menée par la très prestigieuse Université Harvard, elle est en cours depuis 1937 !!! Le résultat final n’est donc pas encore connu mais un des chercheurs a décidé de briser le silence en novembre dernier. Qu’est-ce qui en ressort ? Et bien, oubliez l’argent, la gloire, l’apparence physique et la maison propre et bien rangée. Le dénominateur commun des gens heureux et en santé, c’est…(roulement de tambour)…la qualité des relations qu’ils entretiennent avec leur entourage ! Relations réelles et nourrissantes, on s’entend. Autrement dit, les amis Facebook et les relations de couple ou d’amitiés que vous “endurez”, ça ne compte pas.

Et pour ce qui est de nos enfants, nous ne vous apprendrons rien en vous disant que nous sommes leurs modèles et qu’ils apprennent, d’abord et avant tout, en nous imitant. Alors, on donne l’exemple ! On lâche nos écrans, on les se serre dans nos bras, on les écoute, on s’intéresse à leur monde, on s’arrange pour devenir des adultes matures, épanouis et responsables et tout le monde s’en portera mieux. Ce sera encore le chaos mais heureux ! Et selon les chercheurs, c’est ce qu’il y a de plus important 🙂