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Cet été, on part à Balcon World!

[gallery size="full" bgs_gallery_type="slider" ids="2314,2313,2311,2307,2310"] C'est ce que disai

C’est ce que disait ma mère quand on restait à la maison plutôt que d’aller en voyage durant la saison estivale  : “Cet été, on prend nos vacances à Balconville!”

Compte tenu de la faiblesse du dollar, nous serons nombreux, cet été, à demeurer aux alentours ou à prendre des vacances au Québec. Et savez-vous quoi ? Ce n’est pas grave. Il faut arrêter, comme parent, de se mettre de la pression. Ce n’est pas parce qu’on ne va pas à Disney World, qu’on ne peut pas avoir du plaisir! C’est donc à mon tour, cette année, de dire à fiston : “Cet été, mon Coco, on prend nos vacances à Balcon World! Et tu vas voir, on ne va pas s’ennuyer!” Je partage donc avec vous ma liste de bonnes adresses. Et je déclare la Fabrique à souvenirs d’enfance de l’été 2016 officiellement ouverte!

Passeport Vacances

Ne cherchez plus le petit guide rempli de coupons que je m’empressais de me procurer avant le début de l’été. Après 25 ans d’existence, le célèbre Guide POM est passé à l’ère numérique. Donc, plus de version papier mais un site internet encore plus généreux en coupons rabais. On a même ajouté un outil de recherche par catégorie, thème ou région. En vous créant un compte, vous aurez également accès au planificateur de vacances qui, à la date voulue, vous fera parvenir les coupons rabais de la région que vous vous apprêtez à visiter. On me dit qu’il y a de nouveaux coupons rabais s’ajoutent chaque jour. Vous pouvez également les imprimer autant de fois que vous le voulez. La chasseuse d’aubaines en moi jubile!!!

Jouer les touristes à YUL

Même si notre budget vacances est limité et qu’on y habite ou y travaille, pourquoi ne pas s’offrir une nuitée dans un hôtel de Montréal? Après tout, pas besoin d’aller très loin pour se sentir en vacances. Pour les enfants, ce sera la fête. Et pour les parents, il suffit, bien souvent, de prendre un verre sur le bord d’une piscine pendant que les enfants y pataugent pour se sentir ailleurs. Tourisme Montréal a même fait une liste des hôtels montréalais où séjourner en famille. On vous propose également quatre itinéraires à faire en famille. Et grâce au Laisser Passer Famille qu’on vous remettra à votre arrivée à l’hôtel, vos enfants auront des billets d’entrée gratuits pour plusieurs activités dont le Biodôme et le Centre des Sciences. Et le billet d’avion ne vous coûtera pas cher 😉

La Ronde

Confidence. Je n’aime pas La Ronde. Je n’aime pas les politiques qui nous interdisent d’y apporter notre lunch. Ce qui nous oblige, par le fait même, à manger de la malbouffe ou à casser la croûte à l’extérieur du site sur une table à pique-nique avec vue imprenable sur le stationnement. C’est sans compter le prix exorbitant des billets. Mais, pour le bonheur de fiston, je me ferai violence. Nous irons donc à La Ronde cet été. Et si je vous en parle maintenant, c’est que vous avez jusqu’au 30 mai pour profiter de l’offre spéciale sur le Passeport-Saison qui, pour moins cher qu’un billet pour une journée  vous donne droit à un accès illimité pour tout l’été et une foule d’autres privilèges y compris le stationnement. Même après le 30 mai, si vous prévoyez visiter La Ronde plus d’une fois cet été, le passeport-saison demeure une bonne affaire.

Bonnes vacances à Balcon World ! 😉

 

Les cours “prépapa” : le cri du coeur d’un papa 2.0

Laissez-moi vous raconter mon premier cours prépapa. Comme L’héritier a maintenant cinq ans, câ€

Laissez-moi vous raconter mon premier cours prépapa. Comme L’héritier a maintenant cinq ans, c’était il y a… laissez-moi calculer… cinq ans. Moi, futur père de famille, angoissé de ce nouveau rôle, ne sachant pas du tout c’que ça implique et n’ayant jamais pris un bébé dans mes bras de toute mon existence… me v’là dans un cours prépapa pour me faire expliquer la vie. En fait, SA vie; celle du p’tit qui s’en vient. J’avais besoin d’être rassuré et « coaché ».

Contrairement à ce qu’on pourrait penser, mon plus gros choc n’a pas été lorsqu’on m’a parlé de tous les fluides impliqués dans un accouchement ni quand j’ai réalisé que l’idée de couper le cordon moi-même me levait le cœur; le moment où j’ai vraiment avalé ma gomme, c’est au moment où la madame du CLSC qui se prenait pour une monitrice de camp de vacances a séparé les gars des filles. J’avais déjà l’impression de m’en aller dans une thérapie de groupe, pas besoin d’en rajouter. Je venais de perdre tous mes repères… qui m’aidaient à repérer que bien peu de choses.

À partir du moment où l’on se retrouve entre gars, je remarque que ceux qui s’adressent à nous le font plus len-te-ment et utilisant des mots sim-ples pour ne pas dire sim-plets. Et tout d’un coup, c’est l’apothéose : on nous parle avec des termes de sports (!). J’avais l’impression d’avoir Michel Bergeron dans’ face. « Toi pis ta blonde vous formez une équipe et là, c’est vos séries éliminatoires. » « Si vous voulez gagner la coupe, faut travailler ensemble pis suivre le plan de match ».

Ce que j’ai éprouvé est dur à expliquer; un hybride entre la peur et l’euphorie. D’un côté, j’comprenais pas c’qui m’arrivait et de l’autre, j’pouvais pas croire qu’aucun de mes amis ne vivait ça avec moi. C’était complètement absurde. Un peu plus pis on nous fournissait un « cass’ » qui tient deux canettes de bière reliées à notre bouche par de longues pailles.

C’est à ce moment-là qu’on nous a demandé de parler au groupe de nos craintes, nos peurs par rapport à la paternité. C’est quand on pense avoir tout entendu que le vrai contenu arrive. « Moi, y’est pas question que je me lève la nuit. » « Moi, non plus; qu’à s’en occupe, moi j’travaille. » J’en croyais pas mes oreilles, mais en même temps, ça me rassurait beaucoup sur ma condition; L’héritier est bien tombé. Quand on compare, on se console. Et dans ce cas-ci, j’pourrais dire : quand on se compare, on s’isole. Parce que j’avais pus le goût de participer; j’me suis refermé comme un coquillage qui se fait tâter la palourde.

L’intervenant a alors pris la parole pour nous enfoncer encore plus dans l’irréel en nous expliquant (lentement et dans un langage de professeur de maternelle) que notre blonde allait avoir une montée d’hormones qui allait venir « fucker » un peu son système. « Les gars, ça va être très important de comprendre votre coéquipière et d’être plus patient avec elle pour pas faire de gaffe sur le terrain, pour pas la bousculer. Si vous sentez que la pression monte trop, allez prendre une longue marche dehors pour laisser retomber la poussière et éviter de faire une niaiserie » J’avais l’impression de me retrouver en pleine intervention dans un groupe d’hommes agressifs. J’étais autant à ma place qu’un fédéraliste à la St-Jean-Baptiste.

Heureusement pour moi, mon clavaire s’est terminé et j’ai retrouvé L’amoureuse pour la suite du cours. On allait enfin parler des vraies choses; j’allais apprendre et être rassuré. Ben croyez-le ou non, nous avons très rapidement passé par-dessus tout ce qui est accouchement, allaitement… pour se rendre à l’essentiel : comment donner le bain et comment fabriquer soi-même des jouets à son bébé à l’aide de quelques accessoires que nous avons déjà tous à la maison. On aurait dit une vieille chronique des saisons de Clodine…

J’ai longuement réfléchi après cette première séance qui fut la seule, soit dit en passant- parce que, comme vous à la lecture ceci, j’ai trouvé ça absurde, ridicule et autres synonymes. J’étais fâché d’avoir perdu mon temps comme ça. Le cours prépapa qu’on m’avait promis ne m’avait pas été livré. J’avais absolument rien appris d’utile.

Et puis, j’ai eu peur. Peur parce que si on nous a expliqué comment fabriquer des mobiles avec des cintres en métal pis des bas, c’est clairement que la misère est plus présente que je pensais. Et y’en a donc pour qui ces trucs se sont avérés très utiles. Et j’ai eu peur pour une autre raison tout aussi préoccupante : si le CLSC d’Hochelaga-Maisonneuve a senti la nécessité de s’adresser aux gars en choisissant des termes sportifs pour qu’ils saisissent l’importance de contrôler leur pulsion, de s’occuper davantage de leur blonde et d’être plus compréhensifs… c’est probablement parce qu’il y en a qui ont besoin de se faire dire ça dans des mots simples, des hommes qui sont encore des Ovila Pronovost dans l’âme. Triste constat.

On pense qu’on est rendu au Papa 2.0, mais le sommes-nous tous? Si oui, qu’est-ce qui explique que plusieurs gars ont peur de prendre leur bébé de peur de lui faire mal et vont attendre qu’il ait au moins deux ans pour véritablement jouer avec? Si oui, qu’est-ce qui explique que c’est rarement des mères qui oublient leur enfant dans l’char? Si oui, qu’est-ce qui explique que certains papas de ma génération me voient comme un demi-Dieu pour m’être occupé seul pendant douze jours de L’héritier quand il avait deux ans afin de permettre à L’amoureuse d’accepter un contrat loin de la maison? Pourtant, j’ai rien accompli de spécial; j’ai juste été un papa.

À tous ceux qui se considèrent 2.0, soyez fiers de l’être, expliquez aux autres ce que c’est, racontez-leur vos bonheurs, vos craintes, vos réussites. Plus on va en parler, plus on va en faire la promotion, plus les hommes vont s’impliquer et plus les enfants vont en bénéficier. À ceux qui se considèrent de la première génération, ben embarquez dans le mouvement avec nous. C’est plus excitant d’embarquer à bord du bateau plutôt que de rester sur le quai. Laissez tomber vos vieux principes et vos vieilles mentalités. Vous allez voir; c’est pas toujours facile, ça nous remet souvent en question, mais nous sortons de ça de meilleures personnes, un meilleur chum, un meilleur papa. Pis c’est en faisant ça, les boys, qu’on va gagner la coupe! Na-na-na-na, na-na-na-na, hey-hey-hey, goodbye!

Astuces pour voyager en avion avec nos tout-petits

Astuces pour voyager en avion avec nos tout-petits

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Astuces pour voyager en avion avec nos tout-petits

Je suis allée deux fois en avion en famille. Une fois avec Évan qui avait deux ans et demi, et il y a quelques semaines avec Évan qui a quatre ans et Justin qui a un an et demi. Je ne peux pas dire que j’étais très zen avec l’idée… OK, j’étais vraiment stressée par les millions de moments d’attente qui sont inclus dans le tout inclus et j’avais autant de « T’imagines si…? » Les deux fois, je me suis passé la réflexion suivante : est-ce que j’apporte du chloroforme juste au cas où? Ne vous inquiétez pas, j’ai trouvé d’autres solutions. Voici ma liste de tout ce qu’il vous faut dans l’avion.

À apporter

  • Des valises sur roulettes : Les enfants adorent nous imiter et comme bagage de cabine, c’est merveilleux. Pour mon plus jeune, c’était finalement le contenu du sac à couches. Ça leur permet aussi de dépenser de l’énergie à l’aéroport et d’être submergés de : « Aaaw! Regarde-le donc s’il est cute avec sa valise presque aussi grosse que lui! »
  • Écouteurs : Des écouteurs coussinés pour écouter de la musique lorsqu’il y a du bruit ou encore pour jouer sur une tablette silencieusement.
  • Nouveaux jouets : Voici un truc de pros! Ne placez pas tous les jouets au même endroit. Sinon, votre enfant va tout sortir, jouer cinq minutes et se désintéresser. Cachez-en un peu partout et pensez au retour. Aussi, attendez le plus possible des signes d’impatience avant de donner un jouet et donnez le plus intéressant en dernier (oui, je parle ici de la tablette ou de votre téléphone… essayez de les lui troquer contre un dessin une fois qu’il l’a dans les mains pour voir! Ou de lui donner une voiture quand les appareils électroniques seront déchargés!) N’oubliez pas de rester encadrant : « Je te donne la voiture quand on aura attaché ta ceinture. Regarde, la lumière l’indique. »
  • Crayons : À l’encre, à mine, de bois, de cire, etc. Si vos enfants sont comme les miens, ils vont tôt ou tard fouiller partout et tout perdre. Et un stylo pour remplir les papiers-sans-se-tromper-sinon-on-paye-20 $ — de-frais-même-si-on-a-moins-quatre-heures-de-sommeil, est plus rare que…… dans l’avion.
  • Bonbons : C’est le temps d’écouler vos restants d’Halloween! Bon, ce n’est pas la collation la plus santé, mais c’est festif et on est en vacances! Les jujubes sont parfaits pour déboucher les petites oreilles au décollage et à l’atterrissage. Truc de pros! Faites plusieurs petits sachets de bonbons, vous aurez donc des munitions cachées pour plus tard et vous vous sentirez moins coupable en rationnant leurs portions de sucre.
  • Vêtements de rechange : Pour les enfants (pas besoin d’explication) et pour vous aussi idéalement. Dans mes « T’imagines si… », il y a avait celui‑ci : « T’imagines si Justin est assis sur moi et que sa couche déborde?! » ou encore « T’imagines si Évan vomit sur toi?! » Truc de pros! Deux mots (fait vécu…) : Tourista fraternelle. N’oubliez pas le retour!
  • Petits sacs de plastique : Vendus en petits rouleaux au magasin du dollar dans la section des animaux, ils sont non parfumés et vendus en paquets de cinq. Ils ne prennent pas de place et vous en placez dans votre bagage à main, dans le sac à couches, dans la poussette, etc. Que ce soit pour jeter les couches sans odeur, placer les déchets dans l’avion, mettre des vêtements souillés ou encore quand fiston a mal au cÅ“ur alors que vous êtes les prochains à passer aux douanes cubaines, c’est ultra pratique!
  • Collations : Quand les enfants pleurent dans l’avion, c’est presque toujours à cause de la faim ou de la fatigue. Les collations vous sauveront la vie lors d’attentes interminables pour le repas qu’ils n’aimeront finalement pas. Vous pouvez vérifier avec votre compagnie aérienne, mais habituellement, vous pouvez apporter plusieurs aliments dans l’avion. Évidemment, les compotes et les liquides ne sont pas acceptés. Encore là, j’ai apporté dans plusieurs petits sacs des noix et des fruits séchés, beaucoup de céréales, deux pommes, des petits poissons au cheddar, et rendue à destination, j’ai pris des céréales en sachets du buffet pour le retour.
  • Lingettes humides : Comment faisait-on pour vivre sans lingettes avant d’avoir des enfants? Comme pour les sacs, apportez‑en à l’infini. Pour laver les mains, la bouche, la tablette de repas et bien sûr pour changer les couches.
  • Un piqué : Si vous devez changer des couches, le piqué est essentiel. On n’a pas la même notion d’hygiène partout…
  • Accessoires pour bébés : Apportez-en plusieurs exemplaires de chaque type. C’est comme une loi non écrite, bébé trouvera la pire place pour y lancer sa suce… et non, la lingette ne suffira pas!
  • Médicaments : Benadryl, Gravol et Tylenol, pour ne pas nommer de marques… Ce sera votre trio de prédilection en cas de besoin. N’oubliez pas de vérifier les quantités de liquide s’il y a lieu.
  • Doudous : Il fait quand même frais dans un avion et votre enfant va probablement vouloir ou plutôt avoir besoin de faire une sieste. Apportez une doudou légère de préférence afin de pouvoir la réutiliser une fois rendus à destination. J’aime prendre un paréo, c’est grand, léger et ça ne prend pas beaucoup d’espace.
  • Verres anti-dégâts et pailles : Dans l’avion, les breuvages sont servis dans des verres de plastique remplis à ras bord. Turbulences, votre voisin d’en face qui redresse ou baisse son siège et voilà : vous avez déjà besoin de lingettes, de vêtements de rechange et de sacs de plastique!
  • Bavoir : Un bavoir en plastique souple, ça se lave et ça sèche facilement, c’est le top!
  • Chloroforme : Finalement, apportez-en pour endormir les gens qui se plaignent de vos enfants! 😉

À faire

  • Réserver des sièges d’avions qui se suivent : Un petit extra qui vous sauvera bien des tracas.
  • Vérifier les horaires des trajets : Pour nos enfants, décoller tôt le matin a vraiment bien fonctionné. Les enfants regardaient le paysage autant dans l’avion que dans l’autobus et ils ont réussi à dormir quand même.

Je vous invite à visiter les tableaux Pinterest de Parents confiants, pour encore plus de suggestions de jeux et d’activités pour combler les moments d’attentes.

Bon voyage!

 

Avez-vous survécu ?

Au moment d'écrire ces lignes, nous sommes le 26 décembre, 22h38 ! Êtes-vous encore debout ? Voic

Au moment d’écrire ces lignes, nous sommes le 26 décembre, 22h38 ! Êtes-vous encore debout ? Voici un petit résumé de nos premiers 3 jours de congé.

Le 23 décembre, c’est la dernière journée de travail de maman qui a très hâte de ne pas régler le réveille-matin le lendemain. C’est la dernière journée et non la moindre. Il n’y a pas eu assez de 24 heures dans cette dernière journée pour tout faire. Il y a les dossiers au bureau à terminer, les cadeaux qui ne sont pas encore enveloppés, sans compter le rendez-vous de la plus grande chez le médecin avant qu’il quitte pour ses propres vacances et le rendez-vous au garage !

Le 24 décembre, le réveille-matin ne sonne pas, mais les enfants sont bien réveillés. Aussitôt, elles sont dans notre lit à essayer de nous convaincre que le matin de la veille de Noël, elles ont le droit à un premier cadeau … que c’est important parce que de toute façon elles vont en recevoir plein d’autres dans les 48h qui vont suivre. Quinze minutes plus tard, le lit ressemble plus à un bac de recyclage avec toutes les boîtes ainsi que les papiers d’emballage. Oui maman a cédé, elle-même plus excité que ses deux grandes filles de leur donner le cadeau qui est emballé depuis si longtemps ! Un gros 15 degrés la veille de Noël, c’est assez spectaculaire. Les rafales de vent l’étaient tout autant. Que dire d’un abri d’auto qui se soulève…ça c’est paniquant ! Une veille de Noël, pas de manteau, à tenir des poteaux et une toile au vent, c’est très original! Une fois le tout réparé, allez hop à la douche, on est reçus chez grand-maman pour le réveillon.

Les enfants reçoivent leurs présents, les parents prennent un verre et danse avec les plus vieux et à minuit, grand-maman nous offre son buffet du temps des fêtes. Au menu, sandwichs pas de croûte, salades, fromages et viandes froides. Nos premières sandwichs pas de croûte … mais pas les dernières, croyez-moi ! Encore trop de nourriture, grand-maman nous offre d’en rapporter un peu à la maison. La soirée se termine et les enfants sont au lit à 3h00 du matin.

On a de la chance, nos filles sont des dormeuses. Le matin, ou plutôt le midi du 25 décembre, les enfants se lèvent en nous suppliant encore une fois d’ouvrir les cadeaux que le gentil père Noël a mis sous le sapin. Et comme le jour de la marmotte, notre lit ressemblait étrangement, encore une fois à un bac de recyclage avec les boîtes et le papier. À l’heure où nous sommes tous les quatre sortis du lit, c’était l’heure de dîner alors comme le veut la tradition, il faut manger les restants du buffet de Noël de la veille … au menu, sandwichs pas de croûte, salades, fromages et viandes froides. Vite, nous sommes attendus pour la soirée de Noël avec papi. La routine, les petites bouchées, la musique, les cadeaux, les jeux et le dodo aux alentours de 23h00. Comme il y avait encore des restants, nous nous sommes gentiment offerts pour en rapporter à la maison. Le menu; sandwichs pas de croûte, salades, fromages et viandes froides.

Ce matin, 26 décembre, jour du «Boxing Day», nos filles se lèvent avec la surprenante idée d’aller courir les boutiques pour profiter des nombreuses cartes cadeaux qu’elles ont reçues. Mais quelle bonne idée ! Après avoir déjeuné, après avoir ramassé les boîtes et les papiers laissés par les enfants qui ouvraient les nombreux cadeaux laissés dans l’entrée la veille. C’est à ce moment que je me suis rendu compte qu’il fallait vite diner, si l’on voulait avoir le temps d’aller faire la file dans le stationnement du centre commercial. Qu’est-ce qui est rapide à manger ? Les restants de Noël de la veille … au menu; sandwichs pas de croûte, salades, fromages et viandes froides. Après avoir passé 3h à se trouver un stationnement, à avoir fait la file dans les boutiques et à avoir besoin d’un lot de patience pour sortir du centre commercial, nous voilà sur la route, sur le chemin de la maison, où nous attend une belle soirée calme et paisible. Les filles, exténués dorment pendant tout le trajet et elles sont expertes pour dépenser leur énergie aussi vite qu’elles ont vidé leur carte cadeaux une fois arrivées à la maison ! Petit souper tranquille, soirée en famille à jouer avec les cadeaux et malgré tout, à 23h08, les enfants ne dorment toujours pas, toujours dans leur lit en train de probablement repenser à leur trois jours de course folle.

J’ai l’air ici d’une maman exténuée, qui a seulement couru pendant trois jours et qui n’a pas vu le temps passé. Il y a un peu de tout ça, oui. Mais il y a aussi une maman qui a vu les étoiles dans les yeux de ses filles, une maman qui a été émue de découvrir qu’elles ont tellement grandi et une maman qui a profité de chaque moment avec sa famille. C’est ça l’important. Peu importe la vitesse à laquelle la vie vous fait courir, il faut prendre le temps de vivre et de réaliser que cette vie, elle est belle.

Aujourd’hui, 27 décembre, devinez ce qu’on a mangé pour dîner ? 😉

L’annonce d’une grossesse est toujours un moment vraiment spécial. Imaginez lorsque Darth Vader s’en mêle !

L’annonce d’une grossesse est toujours un moment vraiment spécial. Imaginez lorsque Darth Vader

L’annonce d’une grossesse est toujours un moment vraiment spécial. Imaginez lorsque Darth Vader s’en mêle !

Un couple d’Américains, était en vacances à Disney World, lorsque Taylor a découvert qu’elle était enceinte. Comme son conjoint Bryan est un fan fini de « Star Wars », elle a eu l’idée folle de lui annoncer de façon très surprenante.

Elle s’est rendue à la « Jedi Trainig Academy » et elle a dit à un employé : « Je vais avoir l’air d’une cinglée mais hier soir j’ai appris que j’étais enceinte et j’aimerais le dire à mon mari. Ce serait incroyable si des personnages de Star Wars pouvaient m’aider à le faire. » Comme à Walt Disney tous les rêves deviennent réalité, voici ce qui s’est passé en vidéo.

Taylor et Bryan souhaitent être de meilleurs parents que Darth Vader. Ça ne devrait pas être trop difficile ! Toutes nos félicitations et meilleurs vœux à ce couple !

Activités gratuites, mais pas plates à faire à Montréal !

Il n’y a pas encore de neige, mais ce n’est pas une raison pour ne pas planifier quelques sortie

Il n’y a pas encore de neige, mais ce n’est pas une raison pour ne pas planifier quelques sorties à faire en famille durant le congé des fêtes ! On a répertorié pour vous quelques idées de sorties gratuites à faire à Montréal :

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La carriole de Saint-Élie-De-Caxton : Activité gratuite organisée par le festival Noël dans le parc, en collaboration avec Saint-Élie-de-Caxton et présentée par l’Avenue, la véritable carriole de Saint-Élie-de-Caxton sillonnera l’avenue du Mont-Royal pendant le mois de décembre. S’inspirant du concept développé par Fred Pellerin dans son village natal, les passagers seront accueillis à bord par des conteurs qui raconteront des histoires plus merveilleuses les unes que les autres. Voici le lien pour plus de détails et l’horaire : http://www.mont-royal.net/fr/evenements/la-carriole-de-saint-elie-de-caxton

 

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Les pères Noël débarquent au Musée Stewart : depuis trois ans, une joyeuse bande de pères Noël se donne rendez-vous sur l’île Sainte-Hélène. Jusqu’au 10 janvier, les familles sont invitées à découvrir ces figurines attachantes et à participer à des activités emballantes. S’ajoute cette année un somptueux château de poupées dont les personnages s’animent au son de la musique. De plus, les enfants pourront participer à une série d’activités comme des ateliers de bricolage, de la lecture de contes et des projections de films! Détails au http://www.stewart-museum.org/fr/les-peres-noel-debarquent-au-musee-stewart-104.html

 

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Les villages de Noël de Montréal: À la TOHU, vous trouverez plusieurs activités gratuites qui seront offertes du 17 décembre au 3 janvier comme du patinage et l’illumination quotidienne d’un arbre de Noël géant. Si ça vous intéresse plus de détails au http://www.noelmontreal.ca/

 

activites04Source: La place des festival (Photo:Ulysse Lemerise / OSA)

Luminothérapie: Ces temps-ci, la température est plutôt grise et morose. Le quartier des spectacles à une activité gratuite qui saura remédier à la situation en illuminant votre journée. En effet, la place des Festivals devient du 10 décembre au 31 janvier un grand terrain de jeux interactif. Pour le plaisir des petits et les grands, 30 bascules lumineuses et sonores sont installées. En se balançant de haut en bas sur les basculent, vous créerez de tonalités tant sonores que lumineuses. http://www.quartierdesspectacles.com/fr/activite/7…

 

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Le grand marché de Noël de Montréal à la Place des Arts : Sur l’esplanade de la Place des Arts, du 12 décembre au 2 janvier il y a un grand marché de Noël offrant des activités et du divertissement pour tous. Le marché prétend être un petit « Walt Disney » en plein cÅ“ur de Montréal. Plusieurs activités sont organisées pour les enfants et leurs parents. Voici quelques exemples d’activités qui seront gratuites sur le site : des prestations de cantiques de noël interprétés par des chorales invitées, des lectures de contes, un Igloo à karaoké, un atelier de lutins, une structure géante représentant une montagne de jouets ainsi que de jolies maisonnettes en bois, colorées pour jouer à cache-cache, se promener et dessiner. http://marchenoelmontreal.ca/

 

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Montréal en Fêtes : Présenté dans le Vieux-Montréal et au Vieux-Port, l’évènement profite d’un cadre enchanteur pour offrir gratuitement, aux enfants et aux adultes, des activités familiales qui feront vivre la magie du temps des fêtes. Vous pourrez voir gratuitement des films en plein air, participer à une course aux cadeaux et discuter en direct avec le vrai père Noël à l’aide d’un téléphone magique ! Voici un lien pour la programmation complète : http://www.montrealenfetes.com/

Profitez de vos vacances, mais surtout, passez du temps de qualité en famille! Joyeuses fêtes!

Le retour des lunchs

Fin juin, la cloche sonne. Youpi, c'est le temps des vacances! Plus de devoirs! Plus de leçons, mai

Fin juin, la cloche sonne. Youpi, c’est le temps des vacances! Plus de devoirs! Plus de leçons, mais surtout plus de lunchs! Un véritable party parental à la grandeur du Québec!

Fin août, la cloche sonne. Après 2 mois à végéter de façon quasi professionnelle, mes fistons retournent enfin en classe! La vie est bien faite tout de même: autant je pouvais crier à droite et à gauche qu’il était temps que l’école finisse, autant je suis heureuse du retour à la routine. Oh oui, j’en suis heureuse!

Ce qui est fascinant, c’est que ces 2 mois de répit ont permis à mon cerveau de complètement effacer l’écÅ“urantite aiguë de juin. Entamant ma 9 année en tant que superviseure de contenu de boîte à lunch, je me répète encore naïvement que cette année ce sera différent.

Je me rappelle ce temps pas si lointain où mon aîné faisait son entrée à la maternelle. Que j’étais énervée de faire son premier petit lunch! D’ailleurs, si vous en êtes à cette étape, profitez-en, car j’ai le regret de vous annoncer que ça ne durera pas. Même pas de préambule, je vous annonce ça direct comme ça. La lune de miel du lunch est un état de bonheur temporaire. Si vous faites les lunchs de vos enfants en juin avec la même allégresse qu’en août, je vous lève mon chapeau! Vous méritez votre auréole et un passage direct au ciel!

Mais pourquoi ça ne durera pas? Simplement parce qu’une année scolaire compte 180 jour, donc 180 lunchs multipliés par le nombre d’enfants d’âge scolaire. Cent quatre-vingts lunchs avec toutes les restrictions possibles et inimaginables: Lunchs froids seulement, lunchs chauds les lundis et mercredis, zéro déchet, pas de yogourt, pas de compote, barres tendres maison seulement, rien qui fait des miettes… alouette! Sans compter les variantes alimentaires propres à chaque enfant. Car ce n’est pas vrai qu’ils mangent tous le même sandwich au jambon avec de la mayonnaise et une tranche de fromage… oooooh que non! Il y a la variante avec moutarde et laitue, celle pas de jambon juste du fromage, celle coupée en 4 carrés, celle en 2 triangles rectangle, celle en 4 triangles isocèles, mais surtout celle « non maman, j’avais dit pas coupée! »

C’est donc à bout d’imagination culinaire et pour contrer ces multiples irritants gênant ma zénitude parentale, que j’ai choisi, l’an passé, de faire appel à la technique militaire. Ne portez pas plainte à la DPJ, aucun jeune n’a été molesté ou traumatisé pendant les quelques semaines qu’a duré l’opération « Fais ton lunch comme un grand ».

L’idée derrière cette vaste opération touchant le 2/3 des enfants de ma maisonnée est simple: Sous la supervision du Caporal Maman (moi), les recrues se sont vu mettre au défi de réaliser leur propre lunch dans un délai de 10 minutes avec les ingrédients mis à leur disposition. Quantité suffisante et équilibre des groupes alimentaires étaient les points à évaluer. Cette opération a connu un succès monstre pendant… un gros 3 semaines! Peu à peu, les recrues se sont mis à trouver des excuses du genre « le devoir de maths est à remettre demain absolument maman! » ce qui a mené l’ensemble de l’opération vers un cuisant échec.

Malgré tout, je vis d’espoir alors si vous faites partie des parents qui font les lunchs de leurs enfants en juin avec le même enthousiasme qu’en août, envoyez-moi vos trucs, c’est urgent! En attendant, Caporal Maman va changer sa tactique en lançant dès le début de l’année scolaire l’opération « Fais ton lunch comme un grand même si t’as un devoir de maths à remettre demain absolument maman ».

Rien faire ? Et pourquoi pas ?

«C’est long !!! » <span clas

«C’est long !!! »

Première journée des vacances, enfin! Pas de réveille-matin, pas de lunch à faire, la paresse est au rendez-vous! Sauf que cette année, vous vous êtes promis d’être proactif durant vos vacances. Pas question de passer deux semaines enfermé dans la maison à faire le grand ménage en profondeur, du classage de papiers importants laissés sur le bureau depuis trop longtemps et le triage des supers bricolages amassés tout au long de l’année scolaire de vos merveilleux enfants. Vous savez, tout ce qu’on remet à plus tard en se disant que bientôt ce sera les vacances et qu’on aura du temps pour le faire? Et bien pas cette année, oh que non! Ce sera pour le prochain long congé…à Noël! Cet été, vous voulez vous amuser et en profiter!

Vous avez fait une liste d’activités toutes les plus intéressantes et éducatives les unes que les autres. Lundi, magasinage avec les enfants pour leur faire plaisir (et à vous aussi, évidemment). Mardi, jour de pluie, alors cinéma et crèmerie. Mercredi, pique-nique au parc et petite saucette aux jeux d’eau du quartier. Jeudi, c’est LA sortie de la semaine au Parc Safari. Et pour la première fois cette année, parce que les enfants sont assez grands, vous décidez de faire le Safari en auto. Vous savez ce chemin sinueux avec des museaux qui passent par vos fenêtres en y laissant de la bave au passage…

On arrive maintenant au vendredi et vous êtes épuisés. Mais ce n’est pas grave, une petite journée de repos va vous faire du bien. Après tout, des vacances c’est fait pour refaire le plein d’énergie ! Et ce week-end, ce sera le camping, alors il vous faut des forces pour affronter la glacière, les sacs de couchage, les feux de camps et les moustiques.

Donc, vous vous installez confortablement au soleil avec un bon livre, un petit verre à la main et vous entendez au loin : «Mamaaannnn, on a rien à faire !» Et bien oui, cette phrase bien connue par tous les parents de ce monde vient de s’inviter chez vous. Cet invité indésirable qu’on appelle l’ennui se pointe souvent la binette lorsque nos enfants n’ont rien d’organisé. Et je vais vous avouer que parfois, il est le bienvenu chez nous.

Je m’explique. Nos enfants ont parfois besoin de s’ennuyer! Ils sont encadrés et stimulés à l’école, ils ont des devoirs à faire, leur horaire est trop souvent chargé avec des cours de soccer, de musique, de danse, de gymnastique, de hockey ou d’anglais. Leur cerveau n’arrête jamais. Quelle n’est pas leur surprise lorsqu’ils n’ont plus rien à faire. La stabilité a quitté pour faire place à l’aventure! Attention, je ne dis pas ici qu’il ne faut pas planifier d’activités en famille, au contraire! Mais, vos enfants ont parfois besoin de s’ennuyer pour favoriser leur sens de l’initiative et leur autonomie. Ils ont besoin de décider eux-mêmes ce dont ils ont envie de faire. Quel beau cadeau nous pouvons leur offrir en leur apprenant à être autonome, en choisissant seul une activité à faire pendant que maman se repose. Ils doivent apprendre à s’inventer des jeux et à voyager dans leur imagination. C’est la plus belle destination au monde pour un enfant.

De plus, si vous avez des bacs de jouets rangés depuis longtemps, c’est le bon moment pour les sortir. Ça leur fera un peu de nouveauté parmi leurs jouets habituels. Profitez-en aussi pour ranger des jeux qui sont sortis depuis trop longtemps. Ce sera votre arme secrète lorsque l’ennui décidera de revenir faire son tour chez vous…

Attention, embarquement immédiat, destination : Monde imaginaire !

 

Crédit photo : magicmaman.com

Grosse journée au camp de jour!

Combien de fois, en tant qu’éducatrice, j’ai entendu de la part

Combien de fois, en tant qu’éducatrice, j’ai entendu de la part d’un parent qui vient reconduire son enfant à la garderie, cette belle phrase : «Oh mon dieu, c’est le chaos, je ne sais pas comment vous faites pour passer la journée ici !». Vos enfants sont des petits êtres plein d’énergie et c’est exactement pour cette raison que les éducatrices ont choisi ce merveilleux métier.

Les enfants passent des journées bien remplies à la garderie et ils s’y plaisent. Il y a les amis, les jouets, les activités, les jeux extérieurs, sans oublier la belle relation que votre enfant entretient, la plupart du temps, avec son éducatrice. Cette même éducatrice qui, entre deux bouchées au déjeuner pense à planifier l’activité qui fera briller les yeux de votre enfant. C’est vrai, il ne faut pas oublier la petite Léa qui commence tout juste à être propre, au petit Lucas qui a de la difficulté avec quelques mots et à Antoine qui ne peut se séparer de sa doudou. Parce que chaque enfant est unique, chaque enfant vit à son propre rythme et qu’il faut le respecter. C’est justement là où je veux en venir. Que ce soit au bureau, sur le chantier, dans la salle des enseignants ou dans votre voiture, votre tête bout d’informations toute la journée. Et bien votre enfant aussi ! Entre deux camions rouges, pendant que votre enfant écoute son ami lui raconter qu’il s’est fait un bobo sur le pied, juste avant d’aller se laver les mains, le cerveau de votre petit trésor assimile de l’information importante. Pendant qu’il dîne avec ses amis et qu’il goûte à de nouveaux aliments, pendant qu’il fait la sieste et même pendant qu’il s’habille pour aller jouer dehors, il apprend. Et il apprend beaucoup ! Et tout ça, c’est sans parler du bruit.
Fermez vos yeux quelques instants et imaginez –vous dans une pièce, avec du bruit qui atteint entre 65 et 95 décibels, pendant 8 heures.

«Vite ! Dépêche-toi ! Aller, on va être en retard !» Ces phrases si familières vous disent quelques choses ? Dans la vie mouvementée des familles occupées, ces mots sont écrits en grosses lettres rouges sur la porte de l’entrée, malheureusement. Mais c’est plus fort que nous, n’est-ce pas ? Tout ce stress, nos enfants aussi le vivent. Nos petites progénitures mettent leur salopette, leur manteau, leur tuque, leurs mitaines et leurs bottes le matin avant de quitter la maison. Ils les enlèvent en arrivant à la garderie pour les remettre pour aller jouer dehors après la collation pour ensuite les enlever de nouveau pour rentrer dîner. Oh oui, il faut tout remettre avant de quitter la garderie le soir ! Tout ça en entendant comme musique de fond : « Vite, on a pas encore souper ! Dépêche-toi, ta sœur m’attend dans l’auto … ! Je ne veux pas que tu te couches trop tard! »

Malgré leur énergie, qui nous semble inépuisable, votre petit ange a besoin de repos. À un certain moment, le cerveau de votre enfant a besoin d’une pause, comme vous. Pensez à ces moments où vous songez à vos vacances, en souhaitant avoir du temps pour relaxer. Votre enfant aussi aime rester en pyjama quelques heures de plus le matin. Il a besoin de ne pas avoir d’horaire fixe pendant quelques temps.

Nul besoin d’avoir des vacances planifiées à l’avance ou un budget de millionnaire pour passer du bon temps. Profitez-en pour faire des folies, pour sortir de votre zone de confort. Pour faire des choses que vous ne faites pas habituellement. Pour faire des journées cocooning, collés sur vos enfants. Pour manger des crêpes et du pain doré … pour souper ! Pour aller marcher en montagne et crier que vous êtes les rois du monde rendus au sommet. Vos enfants vont se souvenir de ces moments spéciaux avec vous. Ce sera des souvenirs imprimés à jamais dans leur cerveau qui sera maintenant reposé et prêt à refaire le plein de connaissances, au retour à la garderie.

Vous serez de mon avis si je vous dis que nos petits amours ont un horaire aussi chargé que le nôtre, à leur niveau à eux et que nous devons leur faire le cadeau de prendre une pause. Prendre des vacances, en famille, tout le monde ensemble.

Je vous souhaite à tous, de très belles vacances familiales, du temps pour vous et beaucoup de folies !