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Merci, encore !

Quand l’Action de grâce est arrivée au Québec cette année, je

Quand l’Action de grâce est arrivée au Québec cette année, je n’avais pas le goût de fêter. Dans ma famille, cette journée n’a jamais été une tradition… traditionnelle. Pas de dinde qui prend 24 heures à dégeler, pas de repas de parenté dont on ressort avec une bedaine de père Noël tellement on a mangé… La fin de semaine de l’Action de grâce américaine a suivi. La fameuse Thanksgiving U.S.  Et là, je me suis dit quil y avait tout de mêle quelque chose à retenir de ces fêtes, au-delà du côté commercial et de la pression de pondre l’assiette instagrammable la plus impressionnante.

J’ai donc décidé de transmettre l’essence de ces jours fériés à mes enfants, et de créer notre propre rituel. Qu’on applique toute lannée.

Jai proposé à mes enfants de partager un merci par personne pendant le souper. C’est à la mode, la gratitude, et ça fait du bien à l’âme !

Moi-même, j’écris presque chaque jour trois gratitudes dans un cahier que je réserve pour cette activité. Chaque jour, trois mercis que j’envoie dans l’univers, et qui ne doivent jamais se répéter. Au début, c’est facile ! Merci à ma famille, à mes amis ; merci pour mon travail, pour l’air que je respire ; merci pour la santé, pour les câlins de mes enfants…

Après un bout, ça prend un peu plus d’imagination et de réflexion. Merci d’avoir des fenêtres dans ma maison pour faire entrer la lumière. Merci à la caissière à l’épicerie pour son sourire quand j’avais besoin d’un petit remontant. Merci à moi-même d’avoir osé prendre des décisions courageuses. Merci à mes chaussures qui me tiennent au chaud…

Disons que trois gratitudes par enfant, multipliées par quatre, plus moi… on ne s’en sortirait pas ! Alors j’ai proposé une gratitude par personne. Et ils ont embarqué !

Résultat ? Les enfants réclament le temps des gratitudes dès 7 h le matin ! Plusieurs fois par jour ! Lèvent la main à l’heure des repas : « Maman ! C’est mon tour ! J’ai un huitième merci ! » Et dire que parfois, on a l’impression que les enfants ne seront reconnaissants que quand ils seront parents à leur tour.

On a droit à des mercis très touchants (Merci de nous avoir donné la vie, on est choyés d’être nés dans notre famille ! Merci d’avoir pris soin de mon petit frère quand il était malade, ça nous a tous réconfortés…) On en entend aussi de toutes les couleurs : merci aux zombies de ne pas m’avoir dévorée aujourd’hui, ça me permet de rester en vie et de manger des macaronis ! Merci parce que. Pas plus compliqué que ça. Merci à mon ami d’avoir invité mes amis pour que je puisse jouer avec mes amis. Merci de nous encourager à dire nos mercis !

Des fois, ils choisissent la facilité : merci maman pour le bon repas ! Mais déjà, je trouve ça beau qu’ils prennent conscience de l’effort qu’il y a derrière leurs assiettes remplies de couleurs et de vitamines. Ça les encourage même à m’aider à préparer les repas et à laver la vaisselle, parce que tout à coup, ils se rendent compte que ça ne se fait pas tout seul ! Et moi, ça me donne le goût de leur dire merci. Merci de m’aider ! Merci de dire merci !

Ça vous tente, comme tradition ? Ça ne coûte rien, ça tient les petites bouches occupées à l’heure du souper (lire : ça limite les chicanes !) et en plus, les mercis, ça fait des petits ! Alors je vous invite à ajouter le mot « encore » à vos remerciements. Merci, encore : vous inviterez ainsi encore plus de beau et de bon dans votre existence!

 

Nathalie Courcy

 

L’Action de grâce

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Nous sommes le jour de l’Action de grâce, c’est surtout journée fériée au travail pour la majorité des gens au Québec. À la maison, c’est une journée d’automne de repos… Le temps est maussade, les couleurs sont bien présentes, mais je sens qu’on commence à ressentir le manque de soleil et son énergie. Nous sommes en mode cocooning. Un peu de ménage, un peu de cuisine et beaucoup de relaxation seront les projets de la journée. Il ne faut pas se sentir coupable, beaucoup de boulot sur la liste des « Faut qu’on » a été accompli par ma blonde au cours de la fin de semaine.

Je dis « par ma blonde » parce que c’est pas mal sa réalité depuis le début septembre : elle fait toutes les tâches seule. Pas parce que j’ai décidé de faire la grève des tâches de la maison, mais parce que je suis en convalescence à cause d’un virus qui s’est attaqué à mon foie. Une bête malchance dont on ne connaît pas la cause, que les conséquences.

Je me suis retrouvé hospitalisé pendant treize jours suite à des maux de ventre très intenses qui ont débuté pendant nos seules vacances de couple de l’été, au début du mois de septembre. Des douleurs si fortes que mon corps ne faisait que se défendre, gérer la douleur et me forçait à dormir. Quatre jours dans un chalet qui auguraient mal pour nos petites vacances dans la région de Québec. Pendant ce court séjour, j’ai consulté deux fois à la clinique et à l’urgence de la région pour tenter d’apaiser mes douleurs. Rien à faire…

De retour chez moi, je me suis rendu à l’urgence de mon hôpital (où je suis suivi régulièrement et où j’ai subi ma greffe rénale en 2014) et j’ai été pris en charge très rapidement. Après des prises de sang, tests, examens, c’est là que tout a déboulé. Je devais être là pour une nuit ou deux, j’en ai passé douze.

J’étais suivi par différents types de médecins spécialistes et ils m’ont diagnostiqué une hépatite de type CMV au foie. Puisque je suis un adulte immunosupprimé (pour réduire les risques reliés à un rejet du greffon rénal), ce virus s’est attaqué de façon virulente à mon système.

Par contre, vous devez savoir qu’un adulte en bonne santé aurait combattu ça assez aisément avec un peu de fièvre en quelques jours. Pour moi, ce fut un long séjour à l’hôpital, une grande perte d’énergie et de poids, un traitement antiviral quotidien à prendre pour trois mois et qui coûte une fortune, mais surtout la chance de réaliser à quel point je suis un privilégié malgré cette malchance.

Et je désire profiter de cette journée pour rendre grâce à la vie. Je suis un enfant de l’Église catholique, mais jamais cette journée n’a servi chez nous à souligner son sens réel. Autant enfant à la maison avec mes parents que maintenant comme adulte avec ma propre famille.

Aujourd’hui, lors de ma petite marche quotidienne pour retrouver la forme, j’ai réalisé à quel point je suis chanceux. Et je pense qu’il est essentiel dans la vie de prendre le recul nécessaire pour le réaliser, l’apprécier et le reconnaître. À vrai dire, je suis un privilégié!

C’est sûr que passer treize jours à l’hôpital, ce n’est pas agréable, c’est long, c’est inconfortable, c’est inquiétant, c’est déstabilisant, on se sent vulnérable, mais c’est quand même une immense chance d’être pris en charge et soigné par les meilleurs médecins spécialistes du Québec. Pour moi et ma santé, ils se sont questionnés, ils ont analysé mon cas dans tous ses plus fins détails, ils m’ont se sont occupés de moi et ils ont trouvé des solutions pour que je retrouve la santé. Si vous vous arrêtez à ça, c’est merveilleux, et avouez que c’est une grande chance!

Ensuite, vingt‑quatre heures par jour, le personnel infirmier veillait sur moi pour s’assurer que j’aillais bien. Tous ces êtres humains, il ne faut jamais l’oublier, font de leur mieux dans un environnement pas toujours évident. J’en suis aussi très reconnaissant. Est-ce que je crie haut et fort que notre système de santé est parfait? Non, mais par contre, je vous assure qu’une fois pris en charge, ce sont des gens exceptionnels et dévoués qui le composent. Merci!

Et je vous ai dit que ma blonde en avait pris beaucoup sur ses épaules depuis cet épisode… eh bien, sachez que je suis tellement chanceux! Jamais elle ne m’a démontré qu’elle trouvait ça difficile et lourd de me voir comme ça dans un lit d’hôpital. Avec sa fougue habituelle, sa force et sa bonne humeur, elle était là, fidèle au poste pour sa visite quasi quotidienne, en plus de veiller sur les enfants et toutes les autres responsabilités familiales. C’est sûr qu’elle a trouvé ça dur, mais elle s’est dressée tel un mur devant le virus et a tout fait pour me procurer un climat et un environnement propice au repos et à la guérison. Merci!

Un autre constat malheureux, c’est qu’en fréquentant les hôpitaux, on réalise à quel point il y a des gens qui souffrent. Bien sûr, je pourrais m’arrêter seulement à ce que j’ai vécu, mes propres maux, ma propre souffrance et mon petit malheur. Mais à mon avis, il faut s’ouvrir aux autres et comprendre la souffrance qu’ils vivent. Chaque situation est unique, chaque maladie est différente, mais j’ai malgré tout, passé toute la durée de mon séjour à reconnaître que j’étais chanceux.

« Quand on se compare, on se console », disait le dicton. Je suis encore jeune, j’ai de bonnes habitudes de vie, j’ai la chance d’être actif, j’ai de bonnes ressources, et ce, à tous les niveaux et je savais que d’ici peu, cette histoire serait derrière moi. Pourquoi je le savais? Parce que j’ai le moral et l’attitude et ça, je le dois à mes parents, à ma famille qui est composée d’êtres humains exceptionnels et forts. Chez nous, nous sommes condamnés à être positifs, nous ne sommes pas capables de faire autrement. Merci!

Que dire de mes parents? Eux, ils ont compris le dicton « Parents pour la vie ». Ma mère dit qu’elle irait à la guerre pour moi. Eh bien, encore une fois, elle me l’a démontré. Elle est arrivée à mes côtés très rapidement, elle a fait plusieurs allers-retours pour être là, pour aider à la maison, pour permettre à ma blonde d’être près de moi. Tout ça sans jamais vraiment penser à elle. J’avais besoin, elle était là! Merci!

Donc, faites en sorte que cette journée fériée devienne une des plus importantes du calendrier. Non pas parce que ça fait du bien d’avoir un lundi de congé en octobre, mais simplement pour faire l’effort de reconnaître ce qui est source de bonheur et de positif autour de vous. Une journée dans l’année pour rendre grâce!

 

Marc-Antoine Lavallée

 

 

J’aime le festoiement!

Chaque fois que ma famille et moi en avons l’occasion, on fait la

Chaque fois que ma famille et moi en avons l’occasion, on fait la fête !

L’Action de grâce a longtemps été pour moi sans signification autre que de se rassembler et faire le party.

Mais le temps et un peu les thérapies (lol) m’ont rapprochée de la reconnaissance. Vous savez ce sentiment de gratitude qui monte, qui vous met les larmes aux yeux et qui vous réchauffe le cœur ? Si vous ne le ressentez pas, vous n’êtes pas seuls. Pendant des années, je n’ai rien ressenti de ce côté-là. La vie m’avait maganée, je n’allais pas la remercier en plus !

Je ne sais pas si c’est la venue des enfants qui a éveillé ce sens, car pour moi, c’est en pensant à mes filles que les premières lueurs de gratitude ont pris naissance. Et puis mon chéri, ma mère, les gens que j’aime…

 Même mes souffrances, j’ai fini par être reconnaissante envers elles.

Oui, car j’ai compris que ces souffrances m’avaient forgée. J’aime la femme que je deviens, je dois une grande partie du résultat actuel à ces moments de souffrances extrêmes. Aujourd’hui quand je souffre, une petite partie de moi est en extase, car je sais que l’évolution que je vais vivre est plus grande que ce moment de douleur.

Ce week-end de l’Action de grâce se vit différemment maintenant pour nous. Certes on ne s’empêche pas de recevoir et d’avoir du plaisir. Mais je vis ces jours‑là avec la chair de poule de reconnaissance !

Euh non ! Ce n’est pas une nouvelle grippe !

Je pratique chaque jour la gratitude avec ma famille au souper. Tous racontent un moment où ils ont vibré dans un moment wow de leur journée. Cela doit nous avoir musclé la gratitude, car on la voit partout !

Eh oui, on fait partie des familles qui disent «  merci la vie ! » à toutes les sauces. Merci au soleil, merci de s’avoir (ça ne se dit pas mais j’aime ça !), merci pour le toit au-dessus de nous, merci à l’air qui nous permet de vivre, merci à la nourriture (toute la chaine pour qu’un aliment se retrouve dans mon assiette, c’est wow), merci pour mes enfants, mon chéri mari, merci à moi d’être une humaine sans cesse en quête de bonheur, etc.

Donc ce week-end en est un de frissons continus, et quand un de nous a un frisson de gratitude, on le fait partager à tout le monde !

Envers quoi êtes-vous reconnaissants ?

Martine Wilky

 

La fête de l’Action de grâce tous les soirs

Conversation mère-fille un soir de semaine en banlieue est de Montr

Conversation mère-fille un soir de semaine en banlieue est de Montréal.

Mini-moi : Maman, maman, tu sais de quoi nous avons parlé à l’école aujourd’hui?

Moi : Non, ma chérie, de quoi avez-vous parlé?

Mini moi : De la fête de la dinde.

Moi : Ah oui, de la fête de la dinde? Mais de quoi exactement?

Mini-moi : En fait, maman, nous avons parlé de l’Action de grise…

(Je me retiens pour ne pas rire)

Moi : Ce ne serait pas plutôt l’Action de grâce?

Mini-moi : Ah oui maman, c’est ça : l’Action de grâce.

S’en suivent des explications à propos de remercier la nature pour toutes les récoltes de légumes et de fruits d’ici. Ma mini-moi prend bien soin de me dire que l’on ne peut pas dire merci aux bananiers car les bananes, ça ne pousse pas ici. Depuis qu’elle est toute petite, elle n’en manque pas une.

L’Action de grâce a lieu ce week-end. Est-ce que vous faites quelque chose de spécial : une dinde, des citrouilles, un souper familial? Moi, je dois avouer que je ne suis pas, disons, dans le style traditionnel. Il n’y a pas de dinde, pas de repas traditionnel, mais souvent un repas familial, car le week-end de l’Action de grâce correspond aussi à l’anniversaire de mariage de mes parents.

Cependant, je constate quelque chose cette année. Cela fait un an ce mois-ci que je prends le temps de me trouver des gratitudes par rapport à ma journée avant de me coucher. Est‑ce que vous êtes familiers avec ce rituel? Il est fort simple et il permet réellement de se coucher dans un état de calme. Moi, depuis que je pratique ce rituel, il m’aide énormément à trouver une sérénité avant de m’endormir. J’avoue que souvent, mon insomnie vient contrebalancer cet état, mais bref ça c’est un autre sujet!

Alors, mon rituel le soir est fort simple, c’est celui qui m’est le plus facile à pratiquer. Je ferme les yeux sur ma taie d’oreiller et je remercie pour cinq gratitudes qui me sont arrivées pendant la journée. Que ce soit le lever de soleil, un repas, avoir pris deux minutes de plus pour la douche afin de prendre soin de moi, peu importe : je dis merci pour au moins cinq gratitudes par jour.

Au début, je pensais que ce serait plus difficile mais rapidement, c’est devenu assez simple. Que ma journée ait été moins bonne, que j’aie eu l’impression d’avoir eu beaucoup de jambettes de la vie, je dis merci tous les soirs depuis un an. Il y en a qui l’écrivent dans un journal, d’autres sur le bloc-note de leur téléphone; moi, c’est les yeux fermés avec mon intérieur. Je me suis rendu compte que ce sentiment de sérénité qui se propage en moi m’aide beaucoup à focaliser sur l’essentiel et il m’arrive de plus en plus de me faire dire que je semble zen. C’est un gros changement par rapport à ma gestion de moi-même d’il y a quelques années. Bref, c’est ma façon à moi de faire action de grâce, et ce, depuis un an.

Passez un beau week-end de l’Action de grâce!

Evelyne Blanchette

L’Action de grâce en camping

Selon Wikipédia, l’Action de grâce est « une journée pour rend

Selon Wikipédia, l’Action de grâce est « une journée pour rendre grâce au Dieu tout-puissant des récoltes abondantes dont jouit le Canada ». Chez-nous, ça se traduit par une fin de semaine remplie de plaisir où on souligne la fin de la saison de camping. C’est une occasion de remercier la vie pour des amis fabuleux, un amoureux merveilleux et des enfants fantastiques. On célébre tout ça en tente-roulotte, autour d’une bonne table et de bon vin !

À vrai dire, je rends grâce à la vie pratiquement tous les jours. Je suis très choyée et j’en suis heureuse. Je dois par contre avouer que j’adore l’idée d’être en congé pour cette journée. J’adore les longs week-ends! Ma famille et moi en profitons pour partir camper  avec un groupe de cinq familles que nous appelons La Caravane. Il y a des enfants de tous les âges de même que des grands-parents. Nous campons régulièrement ensemble, souvent lors de longues fins de semaine et nous avons beaucoup de plaisir.

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Depuis maintenant trois automnes, la fin de semaine de l’Action de grâce est sacrée. Je vous entends déjà dire  «il fait frette en octobre pour faire du camping!» mais moi, j’aime ça sentir le petit bout de mon nez tout gelé. Respirer le bon air frais, voir les grands enfants courir dans les champs de blé d’inde puis le petit moineau marcher à quatre pattes dans son gros suit d’hiver. Pour moi, c’est ça la belle vie.

Nous dormons TELLEMENT bien avec un petit quatre degrés. Ne vous inquiétez pas, nous chauffons le petit habitacle mi-tente, mi-roulotte pour ne pas faire grelotter toute la nuit. De plus, les enfants ont de bons pyjamas de flanelle et pleins de doudous. Imaginez-vous, en fermant les yeux un petit moment, dans l’un de ces pyjamas avec un petit verre de vin à la main ou même une bonne tisane. C’est ti pas relaxant rienqu’un peu ça mes amis! J’ai aussi l’impression que je  boost mes batteries d’air pur pour l’hiver à venir. Même mon café goûte le ciel le matin avec le petit givre au sol.

Malgré que nous soyons en octobre, nous profitons de nos journées pour faire des tournois de washer, jaser autour du feu qui crépite dès le matin. C’est agréable, nous pouvons le faire tranquillement parce que la marmaille s’amuse ensemble. Nous ne les entendons presque pas. Même que parfois je me demande si nous avons des enfants. Sauf petit bambin qui lui, réclame encore maman et papa à quelques reprises, mais c’est le seul petit loup de la gang. Alors les plus vieux offrent de s’occuper du beauuuuu Félix.

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Nous réussissons  tous  à manger en dehors de nos roulottes, car nous campons avec des propriétaires d’une compagnie de chapiteaux. Donc, nous joignons l’utile à l’agréable et apportons un chapiteau puis du chauffage pour nous faire un souper raclette sous la tente. Les tables à pique-nique de chaque terrain sont réunies pour que nous soyons tous ensemble. Nous ne mangeons pas la typique dinde de l’Action de grâce, mais notre souper est rempli de bonnes saveurs! Nous nous gâtons un peu dans ce chapiteau avec notre superbe installation d’un satellite et de la tv.  Qu’est-ce que nous écoutons en gang? Hé oui, un match du Canadiens! Go Habs Go !!! D’ailleurs, nous nous excusons à tous nos voisins pour tous les « YEAHHHHH !! » criés qui les ont dérangés.

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Bref, en cette fin de semaine de l’Action de grâce, nous profitons de chaque moment pour nous remplir la tête de doux souvenirs d’automne.

Merci la vie!