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« Glu » galactique à faire à la maison

Vous en avez assez de faire toujours les mêmes bricolages avec les enfants ? Voici une idée d’ac

Vous en avez assez de faire toujours les mêmes bricolages avec les enfants ? Voici une idée d’activité pas mal « cool » à faire avec eux. Voici la recette et les étapes pour préparer une glu multicolore et brillante.

Ça vous prend :

  • 5 onces de colle d’école blanche (style Lepage)
  • glu021/2 à ¾ de tasses d’amidon liquide Sta-Flo. (C’est possible de vous en procurer chez Walmart ou d’en commander sur Amazon.)
  • De l’aquarelle liquide ou du colorant alimentaire aux couleurs qui vous inspire. Pour un look « galactique », utilisez différentes nuances de bleu et de mauve foncé et pâle. (Ça se trouve facilement dans les magasins de matériel artistique)
  • De petites paillettes de différentes couleurs.

 

Étapes de fabrication :

  1. Mettre la colle dans un bol par couleur.
  2. Ensuite, dans chacun des bols ajoutez la couleur et les paillettes.
  3. Placez en tourbillon chacune des couleurs, comme sur l’image ci-dessous.glu03
  4. Il faut ajouter par petite quantité l’amidon liquide. Entre chacun des ajouts, il faut bien mélanger. Normalement ça devrait être une portion de colle pour une portion d’amidon liquide. Vous arrêtez d’en ajouter jusqu’à ce que ça atteint une texture élastique.
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Conservation :

glu05Pour conserver la glu, il fait la protéger de l’air. Pour ce faire, vous pouvez la mettre dans un contenant hermétique ou un sac à fermeture de type Zyploc.

 

Des heures de plaisirs pour nos tout-petits!

Astuces pour voyager en avion avec nos tout-petits

Astuces pour voyager en avion avec nos tout-petits

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Astuces pour voyager en avion avec nos tout-petits

Je suis allée deux fois en avion en famille. Une fois avec Évan qui avait deux ans et demi, et il y a quelques semaines avec Évan qui a quatre ans et Justin qui a un an et demi. Je ne peux pas dire que j’étais très zen avec l’idée… OK, j’étais vraiment stressée par les millions de moments d’attente qui sont inclus dans le tout inclus et j’avais autant de « T’imagines si…? » Les deux fois, je me suis passé la réflexion suivante : est-ce que j’apporte du chloroforme juste au cas où? Ne vous inquiétez pas, j’ai trouvé d’autres solutions. Voici ma liste de tout ce qu’il vous faut dans l’avion.

À apporter

  • Des valises sur roulettes : Les enfants adorent nous imiter et comme bagage de cabine, c’est merveilleux. Pour mon plus jeune, c’était finalement le contenu du sac à couches. Ça leur permet aussi de dépenser de l’énergie à l’aéroport et d’être submergés de : « Aaaw! Regarde-le donc s’il est cute avec sa valise presque aussi grosse que lui! »
  • Écouteurs : Des écouteurs coussinés pour écouter de la musique lorsqu’il y a du bruit ou encore pour jouer sur une tablette silencieusement.
  • Nouveaux jouets : Voici un truc de pros! Ne placez pas tous les jouets au même endroit. Sinon, votre enfant va tout sortir, jouer cinq minutes et se désintéresser. Cachez-en un peu partout et pensez au retour. Aussi, attendez le plus possible des signes d’impatience avant de donner un jouet et donnez le plus intéressant en dernier (oui, je parle ici de la tablette ou de votre téléphone… essayez de les lui troquer contre un dessin une fois qu’il l’a dans les mains pour voir! Ou de lui donner une voiture quand les appareils électroniques seront déchargés!) N’oubliez pas de rester encadrant : « Je te donne la voiture quand on aura attaché ta ceinture. Regarde, la lumière l’indique. »
  • Crayons : À l’encre, à mine, de bois, de cire, etc. Si vos enfants sont comme les miens, ils vont tôt ou tard fouiller partout et tout perdre. Et un stylo pour remplir les papiers-sans-se-tromper-sinon-on-paye-20 $ — de-frais-même-si-on-a-moins-quatre-heures-de-sommeil, est plus rare que…… dans l’avion.
  • Bonbons : C’est le temps d’écouler vos restants d’Halloween! Bon, ce n’est pas la collation la plus santé, mais c’est festif et on est en vacances! Les jujubes sont parfaits pour déboucher les petites oreilles au décollage et à l’atterrissage. Truc de pros! Faites plusieurs petits sachets de bonbons, vous aurez donc des munitions cachées pour plus tard et vous vous sentirez moins coupable en rationnant leurs portions de sucre.
  • Vêtements de rechange : Pour les enfants (pas besoin d’explication) et pour vous aussi idéalement. Dans mes « T’imagines si… », il y a avait celui‑ci : « T’imagines si Justin est assis sur moi et que sa couche déborde?! » ou encore « T’imagines si Évan vomit sur toi?! » Truc de pros! Deux mots (fait vécu…) : Tourista fraternelle. N’oubliez pas le retour!
  • Petits sacs de plastique : Vendus en petits rouleaux au magasin du dollar dans la section des animaux, ils sont non parfumés et vendus en paquets de cinq. Ils ne prennent pas de place et vous en placez dans votre bagage à main, dans le sac à couches, dans la poussette, etc. Que ce soit pour jeter les couches sans odeur, placer les déchets dans l’avion, mettre des vêtements souillés ou encore quand fiston a mal au cœur alors que vous êtes les prochains à passer aux douanes cubaines, c’est ultra pratique!
  • Collations : Quand les enfants pleurent dans l’avion, c’est presque toujours à cause de la faim ou de la fatigue. Les collations vous sauveront la vie lors d’attentes interminables pour le repas qu’ils n’aimeront finalement pas. Vous pouvez vérifier avec votre compagnie aérienne, mais habituellement, vous pouvez apporter plusieurs aliments dans l’avion. Évidemment, les compotes et les liquides ne sont pas acceptés. Encore là, j’ai apporté dans plusieurs petits sacs des noix et des fruits séchés, beaucoup de céréales, deux pommes, des petits poissons au cheddar, et rendue à destination, j’ai pris des céréales en sachets du buffet pour le retour.
  • Lingettes humides : Comment faisait-on pour vivre sans lingettes avant d’avoir des enfants? Comme pour les sacs, apportez‑en à l’infini. Pour laver les mains, la bouche, la tablette de repas et bien sûr pour changer les couches.
  • Un piqué : Si vous devez changer des couches, le piqué est essentiel. On n’a pas la même notion d’hygiène partout…
  • Accessoires pour bébés : Apportez-en plusieurs exemplaires de chaque type. C’est comme une loi non écrite, bébé trouvera la pire place pour y lancer sa suce… et non, la lingette ne suffira pas!
  • Médicaments : Benadryl, Gravol et Tylenol, pour ne pas nommer de marques… Ce sera votre trio de prédilection en cas de besoin. N’oubliez pas de vérifier les quantités de liquide s’il y a lieu.
  • Doudous : Il fait quand même frais dans un avion et votre enfant va probablement vouloir ou plutôt avoir besoin de faire une sieste. Apportez une doudou légère de préférence afin de pouvoir la réutiliser une fois rendus à destination. J’aime prendre un paréo, c’est grand, léger et ça ne prend pas beaucoup d’espace.
  • Verres anti-dégâts et pailles : Dans l’avion, les breuvages sont servis dans des verres de plastique remplis à ras bord. Turbulences, votre voisin d’en face qui redresse ou baisse son siège et voilà : vous avez déjà besoin de lingettes, de vêtements de rechange et de sacs de plastique!
  • Bavoir : Un bavoir en plastique souple, ça se lave et ça sèche facilement, c’est le top!
  • Chloroforme : Finalement, apportez-en pour endormir les gens qui se plaignent de vos enfants! 😉

À faire

  • Réserver des sièges d’avions qui se suivent : Un petit extra qui vous sauvera bien des tracas.
  • Vérifier les horaires des trajets : Pour nos enfants, décoller tôt le matin a vraiment bien fonctionné. Les enfants regardaient le paysage autant dans l’avion que dans l’autobus et ils ont réussi à dormir quand même.

Je vous invite à visiter les tableaux Pinterest de Parents confiants, pour encore plus de suggestions de jeux et d’activités pour combler les moments d’attentes.

Bon voyage!

 

Les tables de multiplication calculées avec les doigts!

Delphine Maury a développé une technique originale et facile pour calculer rapidement les multipli

Delphine Maury a développé une technique originale et facile pour calculer rapidement les multiplications. Il suffit d’additionner vos doigts levés qui constituent les dizaines, et de multiplier vos doigts pliés. Vous aurez juste besoin de vos deux mains et une parfaite connaissance de vos tables de multiplication jusqu’à 5×5. En suivant cette méthode innovatrice, vos enfants (et ceux qui n’ont pas la bosse des maths) ne pourront plus se tromper!

Voici toutes les explications dans cette vidéo.

La générosité, une belle valeur à transmettre

Dans le Larousse, à côté du mot valeurs, on peut y lire ceci : « Ce qui est posé comme vrai, be

Dans le Larousse, à côté du mot valeurs, on peut y lire ceci : « Ce qui est posé comme vrai, beau, bien, d’un point de vue personnel ou selon les critères d’une société et qui est donné comme un idéal à atteindre, comme quelque chose à défendre. » La clé dans cette définition c’est ce qui est vrai, beau et bien d’un point de vue personnel. Qu’est-ce que l’on veut léguer comme valeurs à nos enfants? Ce n’est pas une question facile à répondre. Normalement lorsqu’un couple décide d’avoir des enfants c’est qu’ils partagent certaines valeurs communes. Par contre, pour chacun des conjoints l’importance de chacune de ces valeurs peut différer. Comment réussir à se mettre au même diapason lorsqu’il est question de l’éducation des enfants ? Évidemment la communication est la clé!

Voici une série d’images montrant des enfants dont les parents ont réussi à transmettre l’importance du partage et de la générosité :

Idées géniales pour transformer le lit de bébé!

Les enfants grandissent à la vitesse grand « V » ! Le temps de le dire et les souliers, robes, je

Les enfants grandissent à la vitesse grand « V » ! Le temps de le dire et les souliers, robes, jeans, chapeaux et les pyjamas sont rendus trop petits. Un des meubles qui ne suit pas l’évolution des tout-petits c’est évidemment la bassinette. À moins bien sure d’avoir une bassinette qui se convertie en lit simple. Une fois que les enfants sont grands, il est courant de les transférer dans leur lit de « grand ». De plus, les bassinettes qui ont un certain âge ne respectent plus les nouvelles normes de sécurité. On se retrouve donc avec un meuble désuet qui attend dans le garage ou au sous-sol. Voici donc de belles idées pour vous inspirer à les réutiliser en d’enjoliver votre maison :

Soyez créatifs! Tous à vos marteaux!

Mon cœur saigne!

Mon cœur saigne... Oui, à chaque fois que je pense aux coupures dans notre réseau de la santé mo

Mon cœur saigne… Oui, à chaque fois que je pense aux coupures dans notre réseau de la santé mon cœur saigne. Il saigne, parce que d’abord je me sens comme un numéro, littéralement comme le numéro 61 888. Mon coeur saigne, encore plus, parce que je trouve que ce sont les clients qui en souffrent le plus. Tout d’abord, je n’aime pas dire clients. Ce sont plutôt les mamans, les papas, les enfants, les bébés, bref toutes les familles que je côtoie chaque semaine. Ce sont ces mères, qui m’appellent en urgence le soir à 21h00, celles qui ont accouché la veille et qui sont sorties le lendemain. Ce sont ces mères, qui ont quitté leur maison avec un beau ventre rond et qui y sont revenues trop rapidement avec un beau bébé tout neuf. Ces familles ne sont pas toutes prêtes à vivre l’arrivée de ce petit être cher. Souvent ces parents ont suivi les cours prénataux, ont lu sur le sujet et ont navigué sur les différents forums de discussion, mais la rétention de l’information en période prénatale est estimée à environ 5% et celle immédiatement après l’accouchement est aussi de 5%. Il manque donc un gros 90% de choses à savoir lors de la sortie de l’hôpital. Normalement, le CLSC prend le relais de 24 à 72 heures. Ce sont donc les infirmières qui doivent pallier. Elles se rendent à domicile afin de tenter de compléter l’information que les mères ont reçue en période prénatale. Malheureusement, ces infirmières ont un temps très limité avec les nouveaux parents. Elles doivent faire preuve de rendement et laisser de côté une partie de leur empathie. Ce sont ces infirmières, qui entrent dans l’intimité des familles, ce sont elles qui ne peuvent pas élaborer autant qu’elles le voudraient sur les questions qui leur sont posées, parce qu’elles ont 2 ou 3 autres familles à voir dans la même journée. De plus, les visites ne doivent pas dépasser les 60 minutes « règlementaires ». Tout ça, c’est sans compter la paperasse à remplir, les tableaux, les statistiques et j’en passe.

Par manque d’effectif, nous avons déshumanisé les suivis postnatals. En fait, je ne devrais pas dire par manque d’effectif, mais plutôt par manque de budget. Des infirmières dévouées pour leur travail, il y en a des milliers. Si elles ont choisi ce métier, c’est avant tout parce que c’est plus qu’une vocation pour elles. Il s’agit plutôt d’un besoin profond d’aider, de supporter, d’écouter et de soigner. Elles doivent être polyvalentes et avoir une panoplie de connaissances sur plusieurs sujets. Elles doivent souvent jouer le rôle de nutritionnistes, de psychologues, de travailleuses sociales, etc. Elles ont la capacité de s’adapter en jouant le rôle d’un caméléon dans les différentes situations dans lesquelles elles se retrouvent.

Qu’arrive-t-il lorsque l’infirmière quitte la maison après leur courte visite et que l’allaitement de la patiente ne se passe pas très bien et que le bébé affamé hurle sa vie? Je vais vous le dire ce qui arrive moi. Ce genre de situation engendre des parents désespérés, qui font des appels à l’aide de tous bords, tous côtés. Ils appellent info-santé, se rendent à la pharmacie, retournent sur les forums de discussion et j’en passe. Dans le meilleur des scénarios, ils finissent par trouver un numéro d’urgence d’une ressource communautaire en allaitement la plus près. C’est régulièrement à ce moment-là que le téléphone sonne chez moi. Oui, parce que moi de jour, je suis l’infirmière qui fait les visites à domicile et de soir je suis la conseillère clinique dévouée de l’entraide maternelle qui répond aux appels d’urgence. Je les écoute, je les rassure et parfois je les visite en urgence. Si je ne peux pas me déplacer personnellement, j’essaie de leur trouver une marraine d’allaitement disponible ayant sensiblement vécu les mêmes problématiques. Malheureusement, certains parents en perte de moyens, ne connaissant pas les ressources communautaires en allaitement, se tournent trop souvent vers le fond d’une armoire pour récupérer l’échantillon de lait en poudre reçu gratuitement à l’hôpital gracieuseté d’une compagnie pharmaceutique riche à craquer.

Donc, pourquoi ces parents en arrivent-ils là ? Ils sont dans cette situation, parce que le personnel de l’hôpital et du CLSC est surchargé, parce que les formations en allaitement des infirmières sont pratiquement inexistantes et parce que le réseau communautaire est appauvri. Voilà pourquoi ! Lorsqu’on parle de couper les visites postnatales à domicile et les cours prénataux, mon cœur saigne encore plus. Aux yeux du gouvernement, ce ne sont pas des services essentiels. Grave erreur! Est-ce qu’il faut attendre que l’hospitalisation des bébés augmente parce qu’ils ne sont plus allaités faute de support ? Ou encore que le taux de dépressions postnatales et que l’isolement social de nos familles augmentent ? Notre système de santé souffre et nos services communautaires en allaitement sont toujours aussi pauvres. Si seulement notre gouvernement pouvait comprendre qu’en coupant directement les services postnataux et le support en allaitement, ces coupures entraîneront plus de coûts sur le moyen et le long terme. Les Américains ont déjà fait plusieurs études sur les coûts de santé qu’ils épargneraient si davantage de bébés étaient allaités pour au moins 12 mois. Les études révèlent que plus de 9 milliards de dollars par année pourraient être sauvés. Alors, oui moi je crois que le support aux familles est important pour un gage de réussite au niveau de l’allaitement et de la santé de nos touts petits, mais aussi au niveau des compétences et du support aux parents.

Une maman compare son bébé à plusieurs objets du quotidien!

Je ne connais aucun parent qui n’a jamais dit : « les enfants grandissent tellement vite ! » Il

Je ne connais aucun parent qui n’a jamais dit : « les enfants grandissent tellement vite ! » Il y a une maman qui a une idée assez originale pour se rappeler à quel point sa fille Alexandra était petite. La petite,née à 37 semaines de grossesse, pesant 2,46 kilos, est la troisième enfant de la famille. Sa maman Jen savait qu’elle serait sa dernière et c’est pourquoi elle a voulu documenter sa croissance. Elle a même impliqué sa plus vieille Elizabeth. D’ailleurs, cette dernière croit que prendre des photos de sa petite sœur est le jeu le plus amusant qui soit!

Voici ce que donnent les photos :

18 ans plus tard, que sont devenus les premiers septuplés?

Pouvez-vous vous imaginer mettre au monde des septuplés ? S'occuper d'un seul bébé n'est déjà p

Pouvez-vous vous imaginer mettre au monde des septuplés ? S’occuper d’un seul bébé n’est déjà pas une chose facile, alors sept, semble mission impossible !

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Bobbi McCaughey fut la première femme au monde à donner naissance à 7 enfants vivants et en bonne santé.

Comme c’était du jamais vu à l’époque, cette famille fut médiatisée et ils sont devenus très populaires. Bill Clinton avait même appelé en personne pour les féliciter. La famille avait aussi été invitée à participer à l’émission d’Oprah Winfrey.

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De plus, la communauté s’était organisée pour aider les McCaughey et les nouveau-nés en leur offrant plusieurs dons. Par exemple, on leur a offert une maison, des couches gratuites pendant deux ans, une « van » et même un an de macaroni au fromage. Aujourd’hui, la famille McCaughey occupe toujours la même maison et elle continue à utiliser la même fourgonnette pour se déplacer. Découvrez ce que Kenny, Kelsey, Natalie, Brandon, Alexis, Nathan et Joel sont devenus !

Jeux de société pour toute la famille : testés et approuvés!

Les jeux de société sont super tendances en ce moment. Voici donc notre top 5 de jeux testés et a

Les jeux de société sont super tendances en ce moment. Voici donc notre top 5 de jeux testés et approuvés qui plairont autant aux enfants qu’aux parents. Une belle façon de réunir toute la famille!

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Dobble : C’est un vrai classique ! Dobble est un jeu d’observation et de rapidité dans lequel tous les joueurs jouent en même temps. Ce n’est donc pas trop compliqué et la petite dernière ne se désintéressera pas en attendant son tour ! Dans un jeu, il y a 55 cartes comportant chacune 8 symboles, 5 variantes… et c’est parti ! Quelle que soit la variante choisie, il faut repérer plus vite que vos adversaires le seul et unique symbole identique entre deux cartes puis nommez-le à haute voix. C’est possible d’y jouer de 2 à 8 joueurs et ça s’adresse aux 6 ans et plus. C’est vraiment très simple et le meilleur dans tout ça c’est qu’on peut jouer pour une courte période de temps de 10 minutes entre deux tâches ou beaucoup plus longtemps si le cœur vous en dit. De plus, son format de poche et parfait pour le trimbaler lors des sorties au restaurant, dans la voiture ou chez les grands-parents ! Il se détaille autour de 20.00$, un « must » !

 

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À la bouffe : À la bouffe est un petit jeu d’observation et de rapidité original ou l’on peut jouer entre de 2 et 5 personnes. Il s’adresse aux enfants de 5 ans et plus, mais on peut facilement y jouer à tous les âges, y compris entre adultes. On lance d’abord un dé pour déterminer le dessert de départ et l’on doit suivre la réglisse du regard jusqu’à l’autre bout. Puis on passe à la carte suivante avec ce nouveau dessert. Le plus rapide à saisir le dernier dessert du parcours l’emporte. La première personne à collectionner 5 desserts gagne la partie ! Vous pourrez trouver ce jeu pour environ 25.00$.

 

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Time Line : L’ouvre-boîtes a-t-il été inventé avant ou après l’ampoule électrique? Dans Timeline « inventions », c’est à ce genre de questions que vous serez confrontés à chaque fois que vous voudrez poser l’une de vos cartes. Ici, un seul objectif: être le premier à avoir correctement posé toutes ses cartes. Ça s’adresse à un public de 8-10 ans et plus. C’est vraiment amusant et super instructif, même les adultes en apprendront beaucoup. Les cartes sont contenues dans un petit boitier super pratique ce qui le rend facile à transporter. Ça se retrouve sur les tablettes des magasins pour 25.00$.

 

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Les sardines : C’est un jeu d’observation tout ce qu’il y a de plus classique. Les joueurs ont quelques secondes pour observer les petites sardines dans leur jeu, les mémoriser et ensuite ils doivent les retrouver dans la boîte ! Les images sont vraiment mignonnes et ça s’achète pour moins de 20.00$.

 

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Speed Cups : Chaque joueur reçoit 5 petits gobelets de couleurs différentes. Tous les joueurs jouent en même temps. Une fois qu’une carte est retournée, le but est de reproduire l’ordre des couleurs tel que représenté sur la carte, et ce le plus rapidement possible. Le premier qui finit appuie sur une sonnette. Vous allez voir c’est vraiment très amusant et fous rires garantis lorsque les gobelets voleront dans tout les sens. Si jamais la petite clochette vous tape sur les nerfs, il suffit de la remplacer par un objet comme un dé ou une petite voiture. Le premier qui finit doit l’attraper le plus rapidement possible au lieu de faire retentir un « ding ». On peut y jouer de 2 à 4 personnes âgées de 5 ans et plus! Vous devrez débourser 30.00$ si vous voulez acquérir une boite de ce jeu.

La position assise en W, c’est à éviter!

Les enfants sont de véritables petites tornades, ils sont presque toujours en train de bouger. Mais

Les enfants sont de véritables petites tornades, ils sont presque toujours en train de bouger. Mais lorsqu’ils s’arrêtent, avez-vous déjà observé leur posture ? Certains spécialistes de la santé, comme les ergothérapeutes et les podiatres, s’inquiètent de la position assise en « W » (les jambes repliées vers l’intérieur).

Les enfants se placent ainsi souvent naturellement lorsqu’ils jouent au sol. Cette position peut entrainer plusieurs problèmes. Dans un premier temps, cette position engendre une grande tension sur les ligaments des genoux ce qui peut causer de la douleur et de l’instabilité au niveau des genoux et des hanches. Dans un deuxièmement temps, il peut se créer une compensation des muscles, des hanches et des cuisses qui ont tendance à trop se contracter amenant une perte d’amplitude. De plus, se placer régulièrement en « W » peut aussi occasionner une déviation des pieds vers l’intérieur ou l’extérieur.

Il y a peu de raisons de s’inquiéter si le temps passé en « W » est minime. Par contre, il est suggéré d’encourager ses enfants à s’asseoir dans des positions plus sécuritaires. Comme positions recommandées il y a :

  • Assis les fesses au sol avec les jambes allongées devant les pieds pointés.
  • Assis en « indien », les jambes croisées.

L’idéal c’est lorsqu’un enfant alterne régulièrement entre plusieurs positions. Si jamais vous avez des inquiétudes au niveau de la posture ou du développement de votre enfant, n’hésitez pas à consulter un professionnel de la santé.

Avez-vous survécu ?

Au moment d'écrire ces lignes, nous sommes le 26 décembre, 22h38 ! Êtes-vous encore debout ? Voic

Au moment d’écrire ces lignes, nous sommes le 26 décembre, 22h38 ! Êtes-vous encore debout ? Voici un petit résumé de nos premiers 3 jours de congé.

Le 23 décembre, c’est la dernière journée de travail de maman qui a très hâte de ne pas régler le réveille-matin le lendemain. C’est la dernière journée et non la moindre. Il n’y a pas eu assez de 24 heures dans cette dernière journée pour tout faire. Il y a les dossiers au bureau à terminer, les cadeaux qui ne sont pas encore enveloppés, sans compter le rendez-vous de la plus grande chez le médecin avant qu’il quitte pour ses propres vacances et le rendez-vous au garage !

Le 24 décembre, le réveille-matin ne sonne pas, mais les enfants sont bien réveillés. Aussitôt, elles sont dans notre lit à essayer de nous convaincre que le matin de la veille de Noël, elles ont le droit à un premier cadeau … que c’est important parce que de toute façon elles vont en recevoir plein d’autres dans les 48h qui vont suivre. Quinze minutes plus tard, le lit ressemble plus à un bac de recyclage avec toutes les boîtes ainsi que les papiers d’emballage. Oui maman a cédé, elle-même plus excité que ses deux grandes filles de leur donner le cadeau qui est emballé depuis si longtemps ! Un gros 15 degrés la veille de Noël, c’est assez spectaculaire. Les rafales de vent l’étaient tout autant. Que dire d’un abri d’auto qui se soulève…ça c’est paniquant ! Une veille de Noël, pas de manteau, à tenir des poteaux et une toile au vent, c’est très original! Une fois le tout réparé, allez hop à la douche, on est reçus chez grand-maman pour le réveillon.

Les enfants reçoivent leurs présents, les parents prennent un verre et danse avec les plus vieux et à minuit, grand-maman nous offre son buffet du temps des fêtes. Au menu, sandwichs pas de croûte, salades, fromages et viandes froides. Nos premières sandwichs pas de croûte … mais pas les dernières, croyez-moi ! Encore trop de nourriture, grand-maman nous offre d’en rapporter un peu à la maison. La soirée se termine et les enfants sont au lit à 3h00 du matin.

On a de la chance, nos filles sont des dormeuses. Le matin, ou plutôt le midi du 25 décembre, les enfants se lèvent en nous suppliant encore une fois d’ouvrir les cadeaux que le gentil père Noël a mis sous le sapin. Et comme le jour de la marmotte, notre lit ressemblait étrangement, encore une fois à un bac de recyclage avec les boîtes et le papier. À l’heure où nous sommes tous les quatre sortis du lit, c’était l’heure de dîner alors comme le veut la tradition, il faut manger les restants du buffet de Noël de la veille … au menu, sandwichs pas de croûte, salades, fromages et viandes froides. Vite, nous sommes attendus pour la soirée de Noël avec papi. La routine, les petites bouchées, la musique, les cadeaux, les jeux et le dodo aux alentours de 23h00. Comme il y avait encore des restants, nous nous sommes gentiment offerts pour en rapporter à la maison. Le menu; sandwichs pas de croûte, salades, fromages et viandes froides.

Ce matin, 26 décembre, jour du «Boxing Day», nos filles se lèvent avec la surprenante idée d’aller courir les boutiques pour profiter des nombreuses cartes cadeaux qu’elles ont reçues. Mais quelle bonne idée ! Après avoir déjeuné, après avoir ramassé les boîtes et les papiers laissés par les enfants qui ouvraient les nombreux cadeaux laissés dans l’entrée la veille. C’est à ce moment que je me suis rendu compte qu’il fallait vite diner, si l’on voulait avoir le temps d’aller faire la file dans le stationnement du centre commercial. Qu’est-ce qui est rapide à manger ? Les restants de Noël de la veille … au menu; sandwichs pas de croûte, salades, fromages et viandes froides. Après avoir passé 3h à se trouver un stationnement, à avoir fait la file dans les boutiques et à avoir besoin d’un lot de patience pour sortir du centre commercial, nous voilà sur la route, sur le chemin de la maison, où nous attend une belle soirée calme et paisible. Les filles, exténués dorment pendant tout le trajet et elles sont expertes pour dépenser leur énergie aussi vite qu’elles ont vidé leur carte cadeaux une fois arrivées à la maison ! Petit souper tranquille, soirée en famille à jouer avec les cadeaux et malgré tout, à 23h08, les enfants ne dorment toujours pas, toujours dans leur lit en train de probablement repenser à leur trois jours de course folle.

J’ai l’air ici d’une maman exténuée, qui a seulement couru pendant trois jours et qui n’a pas vu le temps passé. Il y a un peu de tout ça, oui. Mais il y a aussi une maman qui a vu les étoiles dans les yeux de ses filles, une maman qui a été émue de découvrir qu’elles ont tellement grandi et une maman qui a profité de chaque moment avec sa famille. C’est ça l’important. Peu importe la vitesse à laquelle la vie vous fait courir, il faut prendre le temps de vivre et de réaliser que cette vie, elle est belle.

Aujourd’hui, 27 décembre, devinez ce qu’on a mangé pour dîner ? 😉