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Magasinage de Noël

Le magasinage des fêtes est un passage obligé. Nous avons donc procédé à une étude trrrrrès s

Le magasinage des fêtes est un passage obligé. Nous avons donc procédé à une étude trrrrrès scientifique pour enfin savoir si les hommes sont aussi bien programmés biologiquement que les femmes pour passer à travers cette épreuve annuelle…

Drôles de questions pour le Père Noël

Pendant la période des fêtes, des centaines et des milliers de familles bravent les longues files

Pendant la période des fêtes, des centaines et des milliers de familles bravent les longues files d’attentes dans les centres d’achats pour que leurs enfants puissent rencontrer le Père Noël!

Cette année, on s’est rendu dans le magnifique Royaume de Noël à CF Promenades St-Bruno. Écoutez les drôles de questions que Victor, Léa, William et Gabrielle ont posé au Père Noël.

Mon souhait pour Noël : Des parents Québécois ont besoin de notre aide

Parents jusqu'au bout

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Parents jusqu’au bout

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Ce que j’aime le plus depuis la création de la page web et facebook de Ma Famille Mon Chaos, c’est probablement la proximité qu’on a avec nos abonnés. On prend le temps de lire 95% des commentaires sous les publications et surtout, on lit tous vos messages et on prend le temps d’y répondre. De cette façon, on apprend à vous connaitre, à savoir ce que vous aimez et ce que vous n’aimez pas 🙂
parents-bout01Aujourd’hui, j’ai reçu un message d’une dame qui se nomme Marie-Ève Tétreault. Vous savez, on reçoit beaucoup de messages et beaucoup de liens vidéo. On les regarde et si on trouve que le lien est bon pour MFMC, on vous le partage. En lisant son texte et en appuyant sur le lien de la vidéo, je ne pensais jamais que mon coeur de maman allait être retourné à ce point. Marie-Ève est une maman, comme plusieurs d’entre-nous, qui souhaite le meilleur pour ses enfants. Malheureusement, Marie-Ève a un enfant handicapé et sa vie a changé à tout jamais.
Son petit garçon, Zak, est atteint d’une maladie orpheline. Il est né avec une malformation au cerveau appelée “simplification gyrale”. Cette maladie fait en sorte qu’il est entre autres épileptique et hypotonique, qu’il est gavé, qu’il a une cécité corticale, qu’il ne marche pas, qu’il n’arrive pas à s’asseoir et qu’il ne parle pas. Sur la photo qui suit, c’est le beau Zak! Il a 2 ans et vient tout juste de commencer à rire :-)! Bravo Zak!

 

 

 

Prenez quelques instants pour regarder cette vidéo, après je vous expliquerai pourquoi je veux tant vous parler de leur cause:

Tout comme moi, vous êtes probablement ébranlés par ce que vous avez vu… Ces parents ne demandent pas de voyages, d’automobiles, d’ordinateurs ou d’objets quelconques. Ils demandent un sourire, une belle vie pour leur enfant, un moyen de pouvoir communiquer avec celui-ci… Des choses banales pour plusieurs, mais si importantes pour eux. Après le visionnement, j’ai décidé de m’informer un peu plus sur ce qu’est Parents jusqu’au bout .Voici un extrait de ce qui se trouve sur leur site et qui vous aidera à mieux comprendre.

Mettre au monde un enfant, c’est relativement simple. Toutefois, lorsqu’il est gravement malade on est totalement ailleurs, une autre dimension s’installe. On se noie rapidement dans le nombre de soins à prodiguer, dans les suivis médicaux à effectuer, des médicaments à administrer, de stimulations à faire religieusement, des hospitalisations, ainsi de suite… la liste est tellement longue! Ce n’est plus qu’un simple rôle de parent. Toutefois, on a besoin d’aide! De l’AIDE ! Nous avons dû faire une croix sur nos carrières afin d’être au chevet de nos cocottes 24h sur 24.

Les travailleurs de l’État contribuent entre autre au bien commun, assurent la relève de demain, choses déterminantes pour l’avenir d’une société. Si l’État avait la responsabilité de nos enfants gravement malades, il faudrait une armée de spécialistes et de quarts de métiers pour accomplir les tâches que nous faisons quotidiennement chose que nous les parents faisons déjà, et cela leur en couterait encore plus cher… L’État sauve tellement de sous… Après tout, ce sont NOS enfants. Naturel de s’en occuper non? Naturel de réanimer son enfant? Naturel d’installer un tube de gavage? Naturel de changer ses couches jusqu’à l’âge de 17 ans?

Vivre avec des levées de fonds et collectes quelconques n’est pas envisageable ni vivable à long terme. Nous nous sentons comme des mendiants. Si nous placions nos filles dans des familles d’accueil, celles-ci recevraient une somme de plus de 30000$ par année (par le fait même nous pourrions retourner travailler…) et ce, sans compter toutes les subventions supplémentaires, répits et visites d’infirmières à domicile. Pour finalement se rendre compte que ces enfants sont trop accaparants et seraient hospitalisés pour plusieurs années puis en coûterait une somme astronomique au gouvernement (au moins 90 000$ par année). Nos enfants ont leur place avec nous, dans l’amour de leur foyer familial. Nous sommes les mieux placées pour prodiguer leurs soins, même les médecins qui les suivent nous le rappellent souvent.

Si tout comme moi, vous êtes maintenant émotionnellement concernés par la cause, je vous invite à aller sur leur site web afin de lire sur le sujet et faire un don.

www.parentsjusquaubout.com

Mon histoire : Face à face avec l’intimidation

" Ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort" Combien de fois j'ai pu répéter

” Ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort”

Combien de fois j’ai pu répéter cette phrase à mon reflet dans le miroir. Étrangement, j’arrivais à me le faire croire, à me regarder dans les yeux et à me répéter que tout irait bien. Malheureusement, quand on est victime d’intimidation, les blessures sont souvent beaucoup plus profondes qu’on ne le pense. Et on ne s’en rend compte qu’en vieillissant, quand la douleur n’arrive pas à partir et que les cicatrices restent apparentes.

Je me rappellerai toujours de l’expression présente sur le visage de ma mère lorsqu’un de mes anciens professeurs l’a rencontrée et lui a dit ” Vous savez madame, je n’ai jamais compris comment votre fille faisait pour endurer tout ça. Ce n’était pas humain…”. C’était il y a une bonne dizaine d’années, après avoir vécu trois années, à l’école secondaire, qui furent un cauchemar. Trois années au cours desquelles je n’ai raconté à ma mère que des petites parties de ce que je vivais. Quand on est adolescente, on veut tout, sauf voir sa mère débarquer à l’école!

Je ne lui en ai jamais voulu de ne pas m’avoir crue à 100%. Elle, c’était une battante. Une femme de tête qui ne s’en laissait pas imposer. Moi j’étais une fille en pleine crise d’adolescence. En vieillissant, je la comprends d’avoir pensé que mes pleurs et mes histoires étaient liés à mes hormones d’ado de 13 ans qui se cherche. Je la comprends… mais ce n’était pas le cas.

Quand tu arrives au secondaire, tu t’attends à vivre une expérience un peu comme ce que tu vois dans les films. Les gangs de filles qui se tiennent ensemble, les gars sportifs… Ça, c’est ce dont tu rêves. J’étais loin de m’attendre à être celle qui allait être rejetée et humiliée dans les corridors. On ne souhaite ça à personne!

J’étais en secondaire un, une petite blonde qui vient de la campagne et qui arrive dans une école privée où plusieurs se connaissaient déjà. J’étais la proie facile. Je ne sais même pas si toutes ces personnes savaient mon nom, elles m’appelaient de toutes les façons imaginables. Tout ce qui ressemblait à mon prénom, mais qui ne l’était pas, semblait idéal à crier dans les corridors.

Je me souviens de ma phobie des escaliers en colimaçon, entre les cours. Mon nom raisonnait tellement fort et tout le monde me regardait. Je me rappelle aussi des élèves qui m’entouraient en tentant de me faire sentir mal à l’aise… et ils réussissaient. Il y avait aussi les rumeurs. Parce que des rumeurs, c’est facile. Parfois j’étais anorexique, parfois j’étais simplement folle. Ma vie fictive dépendait des ragots qu’on racontait la fin de semaine, et moi j’appréhendais le lundi matin afin de savoir ce qui m’attendait. Alors le peu d’amies que j’avais réussi à me faire se sont éloignées, de peur d’être associées à moi. J’étais maintenant seule. Seule et humiliée. Je les détestais, et je me détestais.

Tous les matins dans l’autobus, à l’approche de l’école, je sentais mon coeur qui voulait sortir de ma poitrine. Et à tous les matins en arrivant à l’école, en allant me cacher dans la salle de bain, j’étais malade. Le stress me rendait malade…

Ma mère ne l’a jamais su, mais je n’ai jamais mangé à la cafétéria de l’école. J’utilisais l’argent qu’elle me donnait afin de m’acheter des chips et des bonbons dans les machines distributrices et je me réfugiais à la bibliothèque. J’étais tellement malheureuse.

Un jour j’ai eu la brillante idée de me faire faire une permanente et de me teindre les cheveux en roux. Je voulais changer, être quelqu’un d’autre. Malheureusement pour moi, ce fut un échec. Je ressemblais à un caniche, et j’avais des broches. Ça n’a pas été long que les autres élèves se sont mis à japper après moi à chacune des fois où ils me voyaient, que ce soit à l’école, au restaurant, au centre commercial ou dans d’autres événements à l’extérieur de l’école. On me pointait constamment du doigt.

On ne peut pas vivre ça et rester la même personne. Mon comportement à la maison a commencé à changer. En fait, j’avais changé. Je n’étais que l’ombre de moi-même. Ce n’était pas facile pour ma mère et mes proches. Plus le temps avançait et plus j’étais dépressive. L’hiver, j’allais dehors et je mettais mes pieds dans la neige froide pendant 20-30-40 minutes. Je souhaitais attraper une énorme pneumonie et mourir. De cette façon, je n’aurais plus à vivre ce calvaire et mes proches ne sauraient pas que j’étais une lâche.

Un soir, alors que ma mère voulait absolument que je termine mon assiette, j’ai explosé. J’ai hurlé et pleuré. J’étais tannée et épuisée de tout. Je suis montée à l’étage et j’ai avalée tout ce qu’il y avait dans les armoires. J’en étais rendue à vouloir en finir à cause d’un spaghetti non terminé.

Pourquoi est-ce qu’aujourd’hui j’ai décidé de raconter tout ça? Parce qu’on parle beaucoup de l’intimidation, au moment où ça se passe, mais très peu des répercussions à long terme. La douleur ne s’arrête pas au moment où les intimidateurs cessent leurs gestes et leurs paroles. La personne qui a subi des mois ou même des années d’insultes reste marquée à vie. Pour moi, à l’adolescence, les répercussions se sont traduites par un besoin d’attention et une profonde recherche d’identité. J’ai développé un besoin d’atteindre la perfection, de cette façon, je ne recevais pas de critiques. J’ai aussi été affectée par l’anorexie et de la boulimie. J’ai eu un manque de confiance en moi qui, encore à l’occasion, peut refaire surface. J’ai longtemps chercher l’approbation des gens autour de moi, j’avais une peur constante de déplaire. Encore aujourd’hui, il m’arrive de parler aux gens et de me sentir à l’aise puis, une fois à la maison, de me questionner sur ce que j’ai dit. Est-ce que j’étais correcte? Est-ce que les gens n’ont pas trouvé que je prenais trop de place?… Avant de comprendre et de guérir une bonne partie de mes blessures, j’ai dû voir des psychologues, des psychothérapeutes et des hypnothérapeutes.

Vous savez, je n’ai jamais été frappée ou menacée de mort. Je n’ai pas, non plus, connu le harcèlement sur internet, puisque Facebook/Instram/Twitter n’existaient pas. Et pourtant, j’ai été intimidée. Je me suis souvent dit que si j’avais été faite plus forte mentalement, tout ça ne m’aurait pas atteinte. C’est faux. On est tous différents et on a tous notre façon de réagir. Je ne méritais pas d’être une bête de foire. Je sais que les gens qui l’ont fait, ne pensaient jamais me faire autant de torts. Pour eux, la vie a continué et s’ils lisent ce texte, ils se diront probablement que ce n’était pas si pire que ça. Mais ce l’était pour moi. Et ça, ce n’est pas discutable.

Même après avoir vécu tout ça, je vais bien! Je suis une femme d’affaires respectée et qui réussit. J’ai un conjoint et une famille que j’aime, deux magnifiques enfants qui me rappellent chaque jour le vrai sens du mot bonheur. Ces épreuves font de moi la femme que je suis aujourd’hui. Une femme avec une expérience de vie incroyable et une immense sensibilité. Suis-je plus forte à cause de ce que j’ai vécu? Je ne crois pas. Je suis simplement différente de ce que j’aurais pu être sans l’intimidation.

Pour terminer, apprenez à vos enfants que, dans la vie, il y a plusieurs façons de blesser une personne et que toutes ces façons font mal à égalité.Vous devez leurs apprendre la puissance et l’impact que les mots peuvent avoir. La violence physique n’est pas pire ou moins pire que la violence verbale. Et même si c’est épuisant et que vos enfants vous donnent des cheveux gris, écoutez-les. Peut-être que ce qu’ils vous diront sera romancé, peut-être que non. Prévenez les coups avant que la vie ne les brisent.

” Prends une feuille de papier et froisse-la ! Ça y est ? Maintenant essaie de remettre la feuille de papier comme avant, bien lisse.. tu n’y arrives pas ? Le cœur d’une personne est comme cette feuille de papier : une fois que tu lui as fait du mal, il est difficile de le retrouver comme tu l’as connu … “

Les lutins

C'est bientôt Noël!!! Avec la magie des fêtes vient le sap

C’est bientôt Noël!!! Avec la magie des fêtes vient le sapin de Noël, les décorations, le magasinage et bien entendu… les fameux LUTINS !!!

Vous connaissez la légende: tous les soirs, ces petits lutins feront des mauvais coups cocasses qui amuseront et émerveilleront vos enfants. Honnêtement, c’est quand même pas mal de travail et de gestion pour les parents. Voilà pourquoi la règle est que ces lutins n’ont pas le droit d’arriver avant le 1er décembre !!!!

On sait que c’est difficile de succomber à la tentation. Vos enfants vous en parlent certainement depuis quelques temps déjà! Soyez forts et solidaires avec les autes parents !!!

Joyeuses fêtes! Et rappelez-vous que les lutins avant le 1er décembre… C’EST NON!

En voiture avec papa : Après-midi père / fille

Étienne avait vraiment le goût de passer plus de temps avec Anna, qui grandi trop vite! Il est don

Étienne avait vraiment le goût de passer plus de temps avec Anna, qui grandi trop vite! Il est donc allé la chercher à la garderie plus tôt que prévu, question de passer un bel après-midi père/fille avec elle! Voyez sa réaction lorsqu’il lui apprend la nouvelle…

 

En voiture avec les enfants

Vous le savez comme nous, faire de la route avec les enfants n'est pas toujours évident. Ce n'est p

Vous le savez comme nous, faire de la route avec les enfants n’est pas toujours évident. Ce n’est pas différent pour notre famille! Voyez par vous-même..

Souvenirs d’Halloween

Je me souviens

Je me souviens avoir déjà aimé l’Halloween. En fait, c’est flou, mais mes parents vous diraient que cette fête me plaisait comme tout enfant avide de ramasser un maximum de bonbons en sonnant au plus grand nombre de portes possibles.

Je me souviens de mon père qui nous amenait passer de porte en porte avec un sac supplémentaire à la main pour ramasser le trop plein. Je me souviens des taies d’oreiller qui débordaient. Je me souviens aussi de la maison avec un gros gorille et des lumières rouges qui me faisaient peur. Je me souviens aussi de ma mère qui nous attendait au retour pour trier méticuleusement le fruit de notre récolte.

Mais il y a eu une coupure à un certain moment dans ma vie. Je ne saurais vous dire quand exactement. Probablement à l’époque ou j’étais juste assez jeune et à la fois trop vieille pour passer. À ce moment précis, l’Halloween est devenu pénible. Je voulais les bonbons (qui aurait dit non?), mais j’en avais assez du costume trop chaud, du maquillage qui pique et de la pluie qui doublait les sensations déplaisantes des deux premiers points.

Je me souviens avoir décidé de tout arrêter. Ça devait être au début de l’adolescence. J’ai toutefois continué de me costumer pour le concours de l’école. J’adorais me transformer le temps d’une journée.

Puis les années ont passé, les Halloweens se sont succédés sans que j‘en profite réellement. En fait, je me demande même si j’ai des souvenirs de cette fête à cette époque. Je crois que le jour où j’ai eu assez d’argent pour m’acheter moi-même mes bonbons est le même qui m’a plongé dans cette période sombre où même une citrouille joyeusement illuminée n’arrivait plus à m’émouvoir.

C’est alors que sont arrivés les enfants. Je me souviens de mes fistons déguisés en citrouille et hurlant leur vie pour qu’on leur enlève leur costume. Charmant et nullement motivant. Je me souviens la première fois que j’ai passé en tant que parent: les costumes trop chauds, le maquillage qui pique et la pluie qui doublait les sensations déplaisantes des deux premiers points. Sans parler du chialage à tout propos: mal aux pieds, aux jambes, sac trop pesant, fait chaud, fait froid et toutes leurs variantes. Un pur plaisir! Comme quoi la pomme ne tombe jamais bien loin de l’arbre.

C’est à ce moment précis que je me suis mis à détester l’Halloween. Pas ne pas aimer, tout simplement détester. Un passage obligé pour faire patienter les enfants entre la rentrée scolaire et Noël. J’en étais désagréable, une version orange et noire du Grincheux. Mais j’avais des enfants alors je me suis mis à imaginer des variantes pour rendre cette fête somme toute agréable: On en a fait des chasses aux bonbons dans le sous-sol décoré. On a même invités des amis. On a aussi mangé des momies sous forme de saucisses enroulées de pâtes, bref, on s’est organisé pour avoir du plaisir.

Puis il y a eu une seconde coupure dans ma vie. Je me souviens exactement à quel moment. J’étais enceinte de ma fille et il y avait cette robe qui traînait dans ma garde-robe. Je ne sais trop si c’était la trentaine ou les hormones de grossesse, mais quelques coups de ciseaux plus tard, j’avais une robe de sorcière à enfiler pour ma séance photos de maternité. En regardant les clichés, je me suis souvenue que j’adorais me transformer le temps d’une journée.

C’est à ce moment que tout a changé. Un 180 degrés dans mon attitude. Oh, je déteste toujours l’Halloween dans son essence traditionnel, mais j’ai réalisé que ce que je déteste, je ne suis pas obligée de le faire et je ne suis surtout pas en droit de brimer le plaisir de ceux à qui ça plait. Chez nous, on aime se déguiser, on s’amuse à jouer un rôle, on prend des photos. On se fait un souper thématique et on regarde des films de circonstance.J’ai réalisé qu’on pouvait très bien fêter l’Halloween à notre façon en créant nos traditions autour d’un élément capital: Le plaisir de passer du temps ensemble.

 

www.motsenbulle.com

Le Guépard d’Amérique

Une espèce animale extrêmement rare a récemment été aperçue en banlieu de Montréal. Heureusem

Une espèce animale extrêmement rare a récemment été aperçue en banlieu de Montréal. Heureusement, Ma Famille Mon Chaos a été capable d’enregistrer des images de cette redoutable espèce…