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Des enfants en enfer

[gallery size="full" bgs_gallery_type="slider" bgs_gallery_title="Crédit photo : http://www.gmb-aka

Lorsqu’on a voulu partir cette page web et notre groupe Facebook, c’était pour parler famille et s’entraider entre parents. On passe notre temps à vouloir le meilleur pour nos enfants. On veut s’améliorer et devenir de meilleures personnes pour nous-mêmes, mais aussi pour eux.

Et un matin on se réveille et BAM on voit ce genre de clichés sur le net. Le genre de clichés qui nous prend aux trippes. Les enfants ne devraient JAMAIS vivre de cette façons.

Souvent, on ne réalise pas que nous avons de la chance. Remercions la vie.

Voici quelques photos provenant de la série de photos Angels in Hell , où le photographe GMB Akash a capturé des moments du quotidien d’enfants au Bangladesh alors qu’ils doivent travailler.

*** Selon l’UNICEF, plus de 7,4 millions d’enfants sont engagés dans l’activité économique au Bangladesh. ***

En voiture avec papa : Je t’aime

Étienne et Anna s'aiment à la folie, mais ils ont décidément un peu de difficulté à communique

Étienne et Anna s’aiment à la folie, mais ils ont décidément un peu de difficulté à communiquer :).

Voici leur plus récente conversation dans la voiture. Ce n’est pas toujours facile pour un homme de parler de ses émotions…

Les crises

ARRRGGGG, LES CRISES!!! Vous les connaissez, vous les voyez venir, vous entendez presque l

ARRRGGGG, LES CRISES!!!

Vous les connaissez, vous les voyez venir, vous entendez presque la musique de requins menaçants qui joue dans les films. Et PAF, c’est l’éruption du volcan : Votre enfant fait une crise (AAAAHHHH!!!), une belle, une bonne là, et c’est sa 5e aujourd’hui.

Maintenant, pourquoi elles surgissent, que pouvez-vous faire?

Tout commence souvent vers l’âge de 2 ans. C’est normal qu’à cet âge l’enfant dise non à tout. Pour reprendre les mots d’une de mes profs : Lorsque l’enfant vous dit non, il se dit oui. En d’autres mots, votre enfant s’affirme. Il apprend à prendre sa place dans ce monde qui est encore plein de découvertes. Il apprend aussi à se situer dans les relations qu’il entretient avec les autres. Bref, vous êtes au premier rang pour observer cet individu qui se construit. Votre bébé qui était d’abord fusionnel perçoit petit à petit qu’il est un être à part entière. En ce sens, les crises, c’est presque beau (j’insiste sur le presque).

Il faut aussi savoir que 2 ans, c’est une période pleine de frustrations pour l’enfant. Ce petit être qui a fait TELLEMENT d’efforts pour marcher et donc conquérir le monde, veut tester les limites. Toutefois, il se fait maintenant arrêter pour plein de choses: « Touche pas à ci, fait pas ça, étends pas ton caca sur le plancher, etc ». Lorsqu’il se sent brimé dans cet élan de liberté tant attendue, l’enfant peut vivre beaucoup de frustrations. Il découvre qu’il ne peut pas tout faire comme bon lui semble. Résultat possible : Une crise! Maintenant je vous pose la question, comment réagiriez-vous si on vous empêchait très souvent de faire ce que vous voulez? Ajoutez à ça, que vous n’auriez pas tous les mots pour exprimer ce que vous ressentez. Vous seriez probablement frustré vous aussi. En grandissant, si l’enfant a appris que ses crises sont payantes il sera plus enclin à en refaire. Certains enfants utilisent aussi les crises pour attirer l’attention.

Ceci dit plus l’enfant grandit, plus il devrait être capable de gérer cette frustration. La gérer ne veut pas dire qu’elle est absente! C’est plutôt qu’il trouvera d’autres façons de l’exprimer. Pour y arriver, il a d’abord besoin de vous, de votre patience, de vos mots et de votre soutien.

Maintenant, vous lisez ce texte avec toute la volonté du monde pour comprendre mais vous aimeriez également savoir comment les gérer j’imagine. Voici quelques petits trucs qui peuvent vous aider :

  • L’élément déclencheur : Est-ce que votre enfant est susceptible de faire des crises à des moments précis? Lorsqu’il est fatigué ou ennuyé? Lorsqu’il a faim? Lorsqu’il y a un changement, une transition? Lorsque son petit frère joue près de lui? Si vous êtes capable de relever certains éléments déclencheurs récurrents, vous serez peut-être en mesure de désamorcer la crise.
  • Le besoin derrière la crise : Après avoir relevé l’élément déclencheur, tentez de comprendre le besoin de votre enfant. Est-ce qu’il essaie d’attirer l’attention ou démontre-t-il plutôt une difficulté à gérer ce qu’il ressent? Dans le premier cas, il peut être bénéfique d’ignorer le comportement et lui accorder de l’attention lorsqu’il sera calme. Dans le deuxième cas, vous pourriez plutôt miser sur les émotions.
  • Les émotions : Un enfant est en apprentissage de ses émotions. Ce n’est donc pas toujours facile pour lui de les reconnaitre et les nommer. Aidez votre enfant à le faire en disant par exemple à voix haute : « Je crois que tu es en colère parce que tu n’as pas pu finir ton casse-tête, mais comme je te l’ai dit tu pourras le terminer après ton repas».Aussi, vous pouvez aider votre enfant à se calmer. Lorsqu’il ressent beaucoup de colère, votre voix calme et vos câlins peuvent aider à désamorcer la crise rapidement. S’il ne veut pas se rapprocher ou a besoin d’être en retrait pour pleurer toute sa colère, c’est correct aussi! Intervenir durant la crise peut être totalement inefficace ou même augmenter l’intensité de la crise. Respectez son rythme. L’important pour lui est de savoir que vous n’êtes jamais loin, et toujours prêt à le réconforter lorsqu’il en ressent le besoin.

    D’ailleurs, rappelez-vous que vous êtes les modèles. En intervenant auprès de votre enfant lors des crises vous devez également contrôler vos émotions. En démontrant de la colère, vous envoyez un message contradictoire à votre enfant.

  • Les limites : Votre enfant doit entendre qu’il a le droit d’être en colère mais que les crises ne sont pas acceptées. Parfois avec la fatigue et le brouhaha de la journée, vous pourriez être tenté de céder à la méga giga crise. Sachez toutefois que les limites sont importantes. Non seulement elles donnent des repères aux enfants, mais elles vous permettent d’apprendre à votre enfant qu’il ne peut pas tout faire, crise ou non. À long terme, vous serez contents ! Ceci dit, imposez des limites ne veut pas dire que vous devriez contrôler chacun de ses faits et gestes. Un enfant est un enfant. Il a besoin de jouer, expérimenter, et découvrir. Considérez ce point lorsque vous désirez mettre des limites.

Avant de finir, il est important de souligner qu’il n’y a pas de recettes magiques. Chaque contexte, enfant, parent est différent donc c’est impossible de trouver une solution commune à tous. Je sais, c’est un peu ennuyeux comme conclusion. Ce que je peux vous dire par contre c’est qu’il y a certainement un équilibre qui conviendra à votre famille. Un équilibre entre le « parent-guide », qui l’encourage à découvrir, et le « parent-discipline », qui impose des limites.

Si vous vous sentez dépassé par les crises de votre enfant ou vous avez l’impression qu’il est en constante opposition, discutez-en avec votre médecin de famille ou renseignez-vous auprès de votre CSSS.

 

Crédit photo: languedessignesbebe.com ,www.francetvinfo.fr

Des papas éveillés!

Quand les papas se transforment en super héros ! Voici une compilation de vidéos qui fait prés

Quand les papas se transforment en super héros !

Voici une compilation de vidéos qui fait présentement le tour du web!

Bravo à ces papas, qui grâce à leurs réflexes et leurs instincts paternels, réussissent à éviter un accident!

10 trucs pour rester en amour dans son couple

Avec l'arrivée des enfants, les horaires compliqués et la vie qui va vite, il n'est toujours facil

Avec l’arrivée des enfants, les horaires compliqués et la vie qui va vite, il n’est toujours facile de demeurer un couple uni. Vous souvenez-vous du temps où vous étiez complètement amoureux? On se le répète souvent, mais il faut absolument trouver le moyen de passer du temps avec notre douce moitié, sans les enfants. C’est habituellement plus facile à dire qu’à faire. Toutes les excuses sont bonnes: manque de temps, trop fatigué, pas le goût de faire garder les enfants, etc.

Aujourd’hui, nous sommes tombés sur l’article suivant. Il propose 10 petits trucs faciles pour nous aider à améliorer l’amour dans la vie de couple! Nous l’avons trouvé bien intéressant!

Voici le lien : http://www.conscience-et-eveil-spirituel.com/les-1…

 

** crédit photo : Huffington Post Québec **

Aidons la recherche pour les maladies infantiles

Impossible de rester de glace face à cette vidéo. On ne devrait jamais avoir à dire au revoir à

Impossible de rester de glace face à cette vidéo. On ne devrait jamais avoir à dire au revoir à nos enfants. C’est la perte la plus tragique qui soit. Ce qui est bien, c’est que avons tous le pouvoir d’aider à changer les choses. 5

N’oubliez jamais, cet enfant malade pourrait être celui de votre sœur, votre frère, vos amis… ou encore votre propre enfant!

 

Crédit photo www.blog.parent-employeur-zen.com

Technique pour que maman revienne à la maison!

Être seul à la maison avec les enfants peut être exténuant, mais notre ami Mike vient d'atteindr

Être seul à la maison avec les enfants peut être exténuant, mais notre ami Mike vient d’atteindre un sommet dans l’art de la manipulation haha! Dans cette vidéo, il nous démontre son savoir-faire pour s’assurer que maman ne soit pas partie trop longtemps! Regardez-ça! : )

Être le « beau-parent »

Il n’y a pas si longtemps, au Québec les familles recomposées étaient encore peu nombreuses. Au

Il n’y a pas si longtemps, au Québec les familles recomposées étaient encore peu nombreuses. Aujourd’hui, c’est plus que commun! Même qu’il y a de bonnes chances que vous en soyez issus, ou que ce soit le cas de votre famille actuelle. Ceci dit, ce n’est pas parce que c’est commun que c’est moins complexe! Si ça peut l’être pour vous, ça l’est certainement pour l’enfant.

Un enfant qui vit la séparation de ses parents, réagit. Cette réaction peut être immédiate, comme elle peut survenir plus tard. Elle peut être explosive, comme elle peut être tranquille. Il n’y a pas de réaction type, comme il n’y a pas de réaction acceptable. Ça veut dire que si, en tant que beau-parent, un enfant vous ignore, vous fait des crises ou vous confronte pour tout et rien, cette réaction est aussi normale. Il faut comprendre qu’un enfant est en apprentissage quant au fait d’exprimer ce qu’il ressent. Les plus jeunes manquent souvent de vocabulaire pour le dire. Pourles plus vieux, ça peut être plutôt une difficulté de reconnaître, comprendre et exprimer leurs émotions.

Peu importe comment s’exprime ladite réaction, en tant que beau-parent, tentez de toujours vous rappeler que si c’est difficile pour vous, ça l’est autant (sinon plus) pour l’enfant. L’empathie, l’écoute et le fait d’être sensible à ses besoins seront vos meilleurs alliés. Il peut être facile d’oublier la place de l’enfant alors que ça devrait être autant votre priorité que votre relation amoureuse. Respectez-le en prenant soin de son espace, de son histoire et surtout de son rythme. En d’autres mots, ajustez-vous à lui pour savoir comment réagir avec lui. Et vous savez quoi? Si l’enfant change d’attitude en cours de route, c’est correct aussi! Vous venez peut-être de bousculer son monde, il faut lui laisser le temps nécessaire pour qu’il puisse se situer là-dedans.

C’est un processus qui peut avoir des hauts et des bas. Si ce n’est que des hauts, tant mieux. Si ce n’est que des bas, tant mieux aussi (même si c’est plus difficile)! C’est VOTRE famille recomposée, l’important n’est pas d’avoir l’air de la famille recomposée parfaite c’est plutôt de trouver l’équilibre qui convient à tous les membres. Pour y arriver chacun doit y avoir sa voix, et se sentir libre de la partager.

Dans mon prochain billet, je vous décrirai certains éléments-clés qui semblent contribuer à une meilleure transition vers la vie de famille recomposée.

 

 

** crédit photo: www.drolesdemums.com **

Astuces pour survivre à l’épicerie avec les enfants

Lorsqu'on fait les courses avec des enfants, on se rend compte à quel point c’était rapide et si

Lorsqu’on fait les courses avec des enfants, on se rend compte à quel point c’était rapide et simple avant d’en avoir! Je vous donne quelques trucs pour vous simplifier la tâche et même avoir du plaisir!

  • 1-Timing! On y va quand il y a moins d’achalandage, comme la semaine ou en avant-midi. Parce que plus il y a des gens, plus il y a d’attente et plus il y a de spectateurs pour que notre enfant fasse une fabuleuse scène digne du film l’exorciste pour avoir LA bouteille-de-jus-super-pas-santé-avec-un gros-minion-jaune-dessus.
  • 2-Liste! Quand on planifie notre liste d’épicerie, on en profite pour y inscrire nos attentes envers notre enfant et les règles qu’on veut qu’il respecte : On marche à l’intérieur, on achète seulement ce qui est sur la liste…même si tu pleures etc. Mais on lui dit par formalité, on sait qu’il est capable et champion! On lui dit le tout avant d’entrer au supermarché.
  • 3-Gargouillis! Vous savez sûrement déjà entendu qu’on déconseille de faire l’épicerie le ventre vide parce qu’on a le goût de tout acheter…et bien les enfants aussi! On peut même apporter une petite collation en cas d’urgence pour calmer son appétit et lui changer les idées.
  • 4-Plan B! L’enfant veut pousser le seul petit panier du magasin et nos prières sont exaucées, il est disponible! On se prend quand même un gros panier au cas où il ne voudrait plus le pousser en plein milieu de la rangée des chips. Pour transférer les aliments…et l’enfant.
  • 5-Alerte rouge! Malgré tout ce qui est énuméré plus haut, tout petit se transforme en Hulk? Ça nous arrive à tous. On reste calme et ferme, on l’embarque dans le panier et on termine rapidement de prendre ce qu’on doit acheter (crise ou pas on doit se nourrir…et au moins nous ne sommes pas en avion…il y a toujours pire!), on l’ignore dans la mesure du possible. Il se lève? On le rassoit. Il crie? On l’avise une fois, qu’on ne comprend pas quand il crie, qu’on se parlera quand il aura retrouvé sa petite voix. On passe à la caisse en restant calme (on est capable ça achève!) et en chantonnant un «Bonjouuuur» rempli de complicité à la caissière. Dans l’auto ou à la maison, Hulk devrait baisser d’intensité. Une fois la crise terminée, on repart à neuf. Il se souviendra avec l’expérience que même s’il se fâche, ça ne rapporte pas grand-chose.
  • 6-On choisit nos batailles! Si notre enfant à tendance à s’opposer au supermarché, on est mieux de commencer graduellement avec une petite liste d’épicerie lorsqu’on a du temps devant nous, plutôt que la commande pour le temps des fêtes à faire en 10 minutes par exemple, pour vivre des réussites et diminuer le stress.

Voici quelques idées de jeux à faire à l’épicerie, parce que tous les prétextes sont bons pour s’amuser :

  • Cherche et trouve : On implique l’enfant et on le fait bouger en cherchant les aliments sur notre liste. On peut même apporter la circulaire ou d’autres images pour avoir un support visuel.
  • Devinettes : on fait deviner à l’enfant l’aliment que l’on cherche. On peut aussi le faire travailler un peu en lui demandant les ingrédients manquants à une recette.
  • Camion de poubelles : Le panier se transforme en camion de poubelles. L’enfant se tient sur le devant du panier à la manière d’un éboueur et doit (délicatement) mettre les aliments dans le camion…c’est le moment de sortir nos effets sonores!
  • Mission : On se transforme en équipe d’agents double et nous devons trouver tous les aliments qui sont sur la liste avant que la minuterie sonne.

À vous de jouer! Transformez cette corvée en moment de qualité, laissez aller votre imagination!

 

 

Crédit photos: nannysecours.com et migrosmagazine.ch

La belle et les grenouilles

La question de la journée: Combien de grenouilles peuvent entrer dans les sous-vêtements d'un enfa

La question de la journée: Combien de grenouilles peuvent entrer dans les sous-vêtements d’un enfant? Oui oui, vous avez bien lu 🙂

La réponse se trouve dans ce vidéo!

 

Source photo : lesanimauxdroles.com