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La tradition de Noël vient de se poser entre mes mains

Je suis enfant unique. Ma mère a un frère et mon père, un frère

Je suis enfant unique. Ma mère a un frère et mon père, un frère ainé. J’ai souvenir d’être toute jeune, de célébrer le réveillon avec sept convives, pas plus. Les deux familles fêtaient chacune de leur côté. Mes parents n’ont jamais été des « veilleux » de soirée. Je pense qu’ils ne se sont jamais rendus à la phrase double sens « Bon…, un dernier p’tit café avant de partir ? » Honnêtement, je n’ai jamais connu l’ouverture des cadeaux à minuit; 9h30 max, peut-être 10h00, tout le monde était reparti chez soi. La poudre de fée était temporaire. Je pense qu’elle existait juste pour me permettre de vivre mon enfance avec un semblant de magie.

 

En 1994, mon grand-père est décédé. C’est aussi l’année que mon SEUL cousin est né du côté de ma mère. Ma grand-mère maternelle est ma dernière « précieuse » en vie. Elle a 76 ans aujourd’hui et elle vient tout juste de prendre sa retraite l’an dernier.

Étant jeune, je regardais avec envie les films de Noël; les bottes qui se multipliaient dans la baignoire, la montagne de manteaux qui formait le Kilimandjaro dans la chambre des maîtres, les cousins cousines qui entraient de dehors les joues complètement rougies par l’hiver québécois… Je n’ai jamais connu ça! Pour moi, ça existe juste dans les vues. Pourtant, j’aurais tant souhaité, moi aussi, avoir MON Noël bonbon digne des familles parfaites.

L’an dernier, ma grand-mère a osé faire une grande annonce. Elle se désistait pour préparer le prochain Noël, donc celui de cette année, car « c’est prenant, éreintant ». Elle souhaite aller au restaurant et décorer minimalement pour éviter d’avoir à serrer des tonnes de décorations brillantes et bruyantes en plein mois de janvier.

Je comprends, je la comprends tellement. C’est vrai que c’est tout un contrat organiser Noël. Elle a maintenu le phare si longtemps, elle peut bien se permettre d’accrocher ses lumières, non?

Je frôle ma 34e année de vie. Ironiquement, je viens de passer dans le camp des organisateurs. La tradition de Noël vient de se poser entre mes mains. C’est à moi de jouer. Euh… ok! Et je dois faire quoi au juste pour garder en vie les traditions ?!?

Le sapin est fait, les décorations sont installées dans la demeure, les centaines de lumières ornent plus ou moins parfaitement le pourtour de ma maison. Wonderful Christmas Time commence lentement à envahir les différentes radios et j’ai déjà raté deux recettes de sucre à la crème, trop mou/pas assez dur.

Alors, pourquoi c’est si tough de se réunir autour d’une dinde avec le sourire? Pourquoi avec les années, on doit se forcer à se voir une fois par année? Parce que si je ne le fais pas, PERSONNE ne le fera. Je verrai Noël mourir entre mes mains et je me considère beaucoup trop jeune pour fermer la lumière.

Chez nous, ma mère ne trippe pas sur le cas de son frère. Ma mère est en conflit d’intérêts avec ma grand-mère ce qui fait que la cohabitation est impossible, même pour le temps d’un ragoût de boulettes! Imaginez les heures de plaisir. Et dire que personne n’a parlé de son opinion sur Safia Nolin encore! 😉

Fut une époque où Noël reposait carrément sur les épaules des générations antérieures. Ils avaient le flambeau des mœurs et leur mission était de s’assurer de la pérennité de ce que la famille avait instauré comme rituel. La messe de minuit, le chocolat chaud, les enfants qui font dodo jusqu’à 22h00 en pyjamas à pattes, les oncles et les tantes qui dansent en rond un peu pompette dans la cuisine. Grand-maman qui sort la mitaine de four pour le fameux jeu du cadeau suremballé. L’échange de cadeaux qui semble durer une éternité. Courir 234 fois à la fenêtre pour observer le vrai Père Noël arriver pour sa distribution. Des sourires francs, une convivialité évidente. Ouais, ouais, ouais.

L’an dernier, le Noël vert en a surpris plus d’un. J’ai accompagné mon fils à l’extérieur avec son manteau pas trop chaud. Le iPad bien ouvert à l’application Norad pour suivre le trajet GPS du Père Noël dans le ciel du monde entier. Il était émerveillé et il cherchait vraiment à le voir passer.

J’ai pris une photo avec mon cœur. J’ai cligné des yeux trois fois pour emmagasiner cette image dans ma mémoire, à tout jamais. Je savais que ce serait la dernière fois. L’an prochain, il apprendrait peut-être la vérité. Et si c’était sa dernière année avec la foi magique ?

Une table ronde fera l’affaire; je n’aurai pas besoin de cuisiner pour une armée. Je risque de m’endormir sur le divan à 22h56, le 24 décembre au soir… Je vais réveillonner avec tout le monde, mais juste pas la même journée, dans la même maison.

-Est-ce que je vais prendre une cuisse ou une poitrine pour Noël ? Ma plus grande question!
-Crémeuse ou traditionnelle la salade ?
-Ahhhhhh, pis j’me gâte solide! Un mixte des deux, why not!

 

Le resto, le 25 décembre, je trouve ça triste. Mais je vous promets une chose. La magie de Noël opérera. Je suis de celle qui recycle le bonheur. J’ai des cargaisons de « Joyeux Noël » pour le futur. Je regarde en avant et je tente d’être au-dessus de ce chamaillage de bébé lala!

Je viens de comprendre la vie. Ma grand-mère avait raison. Dans la vie, quand tu veux du sucre à la crème, bien tu t’en fais. Essai numéro trois : mon sucre à la crème est excellent. Il goûte comme dans mes souvenirs d’antan. Pareil!

« À bas la Culpabilité! »

Ma partenaire d’affaires a deux jeunes enfants, un de deux ans et

Ma partenaire d’affaires a deux jeunes enfants, un de deux ans et l’autre de huit ans. Moi, j’ai deux ados de 13 et 14 ans. Ma partenaire d’affaires se sent souvent coupable d’être au travail plutôt que de ne pas être avec ses enfants. Quand les miens étaient plus jeunes, je me sentais tellement coupable d’être ailleurs au lieu d’être avec eux toute la journée.

 

Il m’est arrivé encore dernièrement de me sentir coupable de ne pas être celle qui fait les soupers tous les soirs parce que je rentre trop tard du travail… Pourtant, mon mari fait d’excellents soupers! Et il est là, lui!

Il m’est aussi arrivé de me sentir coupable parce que mes fils ne mangent pas tous leurs légumes/fruits et autres trucs santé qu’ils doivent manger tous les jours.

Il m’est aussi arrivé de me sentir coupable de les laisser se débrouiller avec les conséquences de leurs actes à l’école (ex. un devoir non fait et ils devaient faire de la récup sur l’heure du diner).

Il m’est même arrivé de me sentir coupable quand je levais le ton d’un (ou deux) cran pour qu’ils obéissent.

Pourtant, aucune de ces « fautes » n’a fait en sorte que mes enfants ne sont pas bien dans leur peau. Ils ne sont pas malheureux, déprimés, encore moins maltraités.

 

Alors pourquoi je me sentais coupable ?

 

Nos enfants sont les êtres qui s’adaptent le plus rapidement et le mieux à une situation changeante, en autant que leur sentiment de bien-être et de sécurité ainsi que leur dignité n’en soient pas affectés.

 

Alors pourquoi nous, les mères, on se sent coupable souvent et la plupart du temps absolument pour rien ?

 

Parce que je vous le dis, le trois quarts du temps on se sent coupable vraiment pour rien!

Ton enfant est bien nourri, tu es là avec lui et tu réponds à son besoin affectif ?

Tu l’aides dans ses devoirs et tu vas à la rencontre du bulletin ?

Tu réponds à ses multiples questions ? Tu l’écoutes te parler de trucs qui ne t’intéressent pas toujours, mais dont il a besoin de te parler (ex. les jeux vidéos et ce qui s’y passe dans le monde virtuel…) ?

Même si tu es au travail, tu passes quand même du temps avec fiston ou fillette?

Tu cries un peu fort parfois, parce que tu n’en peux plus, mais plus tard, tu t’excuses et tu expliques pourquoi tu as été impatiente.

Tu observes que ton enfant est heureux et se développe bien, malgré le fait que tu ne sois pas 24h/24h, 7 jours sur 7 la mère parfaite?

 

Alors pourquoi te sens-tu coupable, maman ?

 

Parce qu’elle est ancrée en nous, cette vieille mentalité qui n’existe plus depuis un bon bout de temps, que nous devrions toutes être là à 100% pour nos jeunes…

Parce qu’elle est ancrée en nous au point où, même si on est mère à la maison, même si on applique tous les dogmes pédagogiques en vogue, on se sent coupable.

On ne veut tellement pas « scrapper » nos enfants qu’on en vient à se marteler de culpabilité si un soir, on ose dire à notre enfant : « Désolée mon fils, mais je n’ai pas le temps de t’écouter, je dois terminer ceci. On se reprend un peu plus tard en soirée, ok? »

Vous savez les mamans, nos enfants comprennent si on leur explique. Et ce sont probablement les dernières personnes au monde à nous juger, car ils nous aiment tellement que tout ce que nous faisons pour eux est bon! Paroles de mon fils de 13 ans. Il me dit souvent que je suis la meilleure mère au monde! Je dois assurément faire quelque chose de correct non ?

 

Alors tout ce que j’ai envie de vous dire aujourd’hui, c’est : « À bas la culpabilité !!! »

 

Aimez vos enfants, prenez-en soin comme vous seules savez si bien le faire, gardez vos enfants en sécurité, donnez-leur l’amour dont ils ont besoin et faites taire cette voix qui n’est pas la vôtre, mais qui est tout même ancrée dans votre tête et qui vous dit que vous ne faites pas bien.

 

« À bas la culpabilité ! »

Mamans de ce monde, je vous aime

Je me réveille durement au son du cadran, comme à l’habitude. Je fixe le cadran de mes yeux bien

Je me réveille durement au son du cadran, comme à l’habitude. Je fixe le cadran de mes yeux bien collés. Je m’assieds péniblement au bord du lit, les jambes pendantes. J’entends comme bruit de fond de petits ricanements désagréables. Je me lève la tête et j’entrevois Spiderman et Ironman sortir en trombe de ma chambre. C’est parti…

Je ne suis ni négative ni emmerdante, mais tant que je n’ai pas bu mon premier café, je ne fonctionne pas! À un point tel que la fin de semaine, mon conjoint se réveille toujours avant moi pour aller au Tim Hortons. Et après mon deuxième café, c’est parti mon kiki, maman est bonne jusqu’à vingt heures!

Donc, après avoir pris mon petit déjeuner en charmante compagnie (merci, Spiderman et Ironman!), je demande poliment à mes garçons de bien vouloir aller s’habiller. C’est une journée d’école, ils connaissent bien la routine. On mange, on s’habille, on se brosse les dents et par la suite, libre à eux!

Quinze minutes plus tard, j’aperçois encore Spiderman et son acolyte en grande conversation, assis à la table de cuisine. J’imagine qu’ils planifiaient leur douce vengeance contre leur ennemie jurée : leur mère!

Deuxième avertissement, toujours calmement, mais d’une façon beaucoup plus autoritaire. Je leur dis d’aller SIMPLEMENT s’habiller. Ce n’est pas compliqué (il me semble). « Va t’habiller et maman va te foutre la paix! » Mais comme je le disais tantôt, mon grand de sept ans et mon moyen de quatre ans en avaient décidé autrement…

Je finis de me préparer ainsi que leur petite sœur. Et voilà, comble de malheur (du moins, pour le moment), à cinq minutes du départ, je vois Spiderman. Parce qu’Ironman, lui, a bel et bien repris forme humaine. Alléluia!

On dirait qu’à ce moment précis, d’une manière involontaire, mon fils a appuyé sur le bouton rouge imaginaire que nous, les mamans, avons. Ce bouton rouge qui s’active lorsque nous, mamans de ce monde, sommes À BOUTTE! Lorsque nous, mamans de ce monde, sommes tannées de demander poliment! Lorsque nous, mamans de ce monde, sommes sur le point de pogner les nerfs!

Le bouton rouge de la honte! Parce que bien souvent, après vents et marées, on se rend compte que ce sont simplement des enfants. Des enfants à qui l’on impose des routines de fous.

Bref, en cinq minutes, mon fils s’est habillé et a brossé ses dents.

Nous avons marché jusqu’à l’école comme chaque matin. Et là, moment de pur bonheur : une maman avec ses deux garçons, dont l’un avait littéralement une crinière de lion sur la tête! Je ne pus m’empêcher de sourire. Cette femme, sans même le savoir, a fait ma journée! Elle m’a sûrement prise pour une folle! Un peu plus et je lui faisais un high five! Parce qu’elle a sûrement vécu la même chose que moi le matin même et qu’elle a simplement choisi son combat.

Alors parfois, oui je souris de façon idiote aux mamans que je croise sur mon chemin. Non pas par politesse, mais bien par compassion!

Lorsque votre enfant est habillé tout croche de la tête aux pieds, je vous aime! Lorsque vous êtes prises avec des jouets beaucoup trop encombrants à l’épicerie, je vous aime! Lorsque votre enfant porte ses bottes de pluie lors d’une journée ensoleillée, je vous aime!

Alors, choisissons nos combats et appuyons-nous, chères mamans de ce monde! Et dites-vous que la cinglée qui vous fait un sourire en coin, lorsque votre enfant pique une crise, a peut-être vécu la même chose que vous ce matin…

Moana : un beau film qui nous fait voyager au cœur de la Polynésie!

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http://movies.disney.co.uk/moana

Moana (2016) Film de Disney

 

Deuxième long métrage des Studios d’animation Disney de l’année après l’impressionnant Zootopia, Moana aurait bien pu être une production Pixar tant le film nous rappelle le film Rebelle avec la belle, mais déterminée princesse aux cheveux bouclés. Au lieu d’être rousses, elles sont ici noires! Tout comme Mérida, Moana poursuit la récente tradition d’offrir des personnages féminins forts pour les filles. Elles veulent s’affranchir de leur destin afin de vivre pleinement des aventures et d’explorer le monde qui les entoure. Dans le cas de Moana, elle rêve de franchir les récifs de son île. Elle deviendra l’élue de l’océan, celle qui doit retrouver Maui, un demi-dieu déchu. Ensemble, ils devront restituer une pierre précieuse à une déesse.

Le film mise également sur la force de leurs grands classiques soit le modèle de la comédie musicale en parsemant le long métrage de plusieurs chansons. Malheureusement à ce chapitre, Moana ne dépasse pas l’excellent La reine des neiges de 2013, néanmoins, on a droit à quelques numéros visuellement spectaculaires. D’ailleurs, c’est avec son visuel que Moana se distingue grâce à l’exceptionnelle qualité des paysages et de l’animation 3D qui sont à couper le souffle! Quant à l’histoire, bien qu’elle nous présente des contes et légendes d’un peuple moins connu, le scénario contient tout de même quelques longueurs.

Malgré tout, Moana demeure une autre réussite pour Disney qui saura peut-être plus plaire aux filles. Bien qu’ils puissent aimer le coloré personnage de Maui, je pense que les garçons apprécieront davantage Rogue One, le prochain film situé dans l’univers de La guerre des étoiles!

 

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La critique d’Emmanuelle :

J’ai aimé le personnage de Moana et son histoire. Il y avait beaucoup de musique et elle était très originale. Ce que j’ai trouvé de plus impressionnant, ce sont les paysages. Ils sont magnifiques! On avait l’impression d’être dans le film. J’ai vraiment adoré.

Je donne 10 pop corn sur 10!

 

 

 

Bon cinéma!

 

Moana (2016) Film de Disney

Moana (2016) Film de Disney

Le bonheur éphémère

Au moins une fois par jour, j’embrasse mes enfants sur le front, e

Au moins une fois par jour, j’embrasse mes enfants sur le front, en me disant que tout va beaucoup trop vite. Parfois, j’ai même peur qu’un malheur frappe et que mon précieux bonheur me soit cruellement arraché. Vous savez lorsque vous êtes comblé, que tout va pour le mieux et que soudainement vous vous dites : « C’est trop beau pour durer, quelque chose va certainement arriver…»

 

Je ne suis pas pessimiste de nature, au contraire, je vois toujours le positif de chaque situation, de chaque personne. Mais lorsqu’il est question de mes enfants, malheureusement, c’est tout le contraire.

Vous savez lorsque votre enfant est malade, qu’il tousse la nuit et que vous vous retenez d’aller mettre votre grosse face de maman inquiète (ou de papa inquiet) au-dessus de la bassinette ? Juste pour voir si tout va bien. Et voilà qu’une idée tel un éclair vous traverse la boîte crânienne… Et si votre précieuse progéniture ne se réveillait pas? Et du revers de la main vous balayez cette macabre pensée de peur qu’elle n’arrive pour de vrai.

Est-il possible de trop aimer ses enfants? Parce que sous toute logique, si je les aimais moins, je ne serais pas aussi craintive face à leur destin! Faudrait sérieusement penser à inventer une «Switch à off» pour tous les « Et si… ? » Et s’il ne revenait pas à la maison? Et s’il tombait du gros module de jeux? Et si j’avais un accident d’auto? Et si… Et si… Et si… ????

Une Switch à off s’il-vous-plaît!!! Je parais anxieuse, mais en réalité, je ne le suis pas. Sauf encore une fois, s’il s’agit de mes enfants. Mais pourquoi? Pourquoi je n’arrive pas à faire confiance à la vie comme je l’ai fait pour la mienne? Je m’en sors très bien! Bon ok, j’ai été égratignée, je dirais même écorchée en cours de route, mais résultat : je me suis relevée et je suis plus forte que jamais.

Le problème est exactement dans ces dernières lignes. Quelque chose arriverait à mes enfants que je ne serais pas capable de me relever. Je serais vide, détruite, anéantie.

Moi qui n’étais même pas sûr de vouloir des enfants, me voilà transformée en vraie maman poule! Je couve mes petits poulets avec une telle passion qu’ils se transformeront peut-être en œuf brouillé!

Mais vous savez quoi? Même si j’ai souvent envie de dire “non” à leur demande, je réponds “oui”. Parce que je les aime trop pour les étouffer. Parce que je pense à leur bien-être avant le mien. Ce sont les combats silencieux d’une mère aimante.

 

Nos jeunes enfants, notre santé, notre jeunesse, tout est éphémère! Alors, profitons-en comme si c’était toujours la dernière fois. Parce que viendra le jour où vous pourrez vous dire : j’en ai profité au maximum et j’ai fait de mon mieux! Tout simplement. Sans vous dire : « Et si… »

 

 

Noël : Idées cadeaux éco-responsables pour nos tout-petits

Depuis la naissance de mon fils, Noël a pris un tout autre sens. J

Depuis la naissance de mon fils, Noël a pris un tout autre sens. J’ai eu beaucoup d’interrogations sur la consommation qu’apporte cette fête. Jamais au grand jamais, je n’aurais pu croire un jour avoir autant d’intérêt à devenir grano et écolo! Et savez-vous quoi ? J’y prends goût!

 

Je voulais trouver une façon originale de créer une coutume à chaque année dans notre famille. Mon intention était de faire voir à mon fils que l’important n’était pas le nombre de cadeaux reçus par le père Noël ni la valeur de celui-ci. Cela m’a amené à réflexion;

 

Pourquoi ne pas offrir 3 cadeaux qui auront chacun une valeur significative à mes yeux :

 

1- Encourager les produits ou commerces locaux (québécois).
2- Confectionner un cadeau (faire soi-même ou Do it yourself : DIY, en anglais).
3- Offrir un jouet, un livre ou tout autre article usagé.

 

Dans tous les cas, je démontrerai à mon fils l’importance d’encourager nos artisans, l’économie locale, l’importance de développer notre créativité, recycler pour apporter du bonheur à d’autre et surtout lui transmettre la valeur écoresponsable le plus possible. 

Je rêve peut-être en couleur, mais j’aimerais vraiment que cette coutume fasse partie de nos habitudes. Comment déjà, « La constance » ils appellent ça 😉 Je sais ce n’est pas toujours évident, mais je prendrai le temps et s’il le faut je m’y prendrai d’avance question de ne pas rusher avant Noël.

Là vous allez me dire que les produits québécois ça coûte cher et c’est dur à trouver… Non pas du tout et en voici quelques exemples :

 

Voici quelques exemples de produits québécois accessibles

 

  • Série de jeux de la compagnie Placote qui stimuleront le langage de vos touts petits.
  • Réservez une activité à l’Écomuséum de Sainte-Anne-de-Bellevue, votre tout petit pourra être zoologiste d’un jour ou participer à la journée des lutins en compagnie des animaux.
  • Casse-tête en bois écoresponsable de la compagnie Mabie-Ecodesign (22$ à 45$).                         Vous pourrez même personnaliser votre cadeau!
  • Pâte à modeler Tutti Frutti produit par la compagnie Bo-jeux.

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* Ajoutez l’application ETSY, vous y trouverez des mines d’or pour tous les âges, mais n’oubliez pas d’ajouter la provenance « Québec ».

 

Développez votre créativité

 

  • Profitez de ce moment pour partager un moment en couple ou en famille pour compléter votre cadeau dans l’un des ateliers de céramique.
  • Dirigez-vous chez DeSerres ou ailleurs pour acheter tout ce que vous avez besoin pour faire une boule de Noël soulignant un évènement marquant. Par exemple, la date de naissance de votre enfant.
  • Inspirez-vous avec l’application Pinterest, vous aurez ainsi accès à une panoplie d’idées déco et utilitaires, et ce, même pour les moins habiles comme moi!
  • Recycler, c’est partager le plaisir et les souvenirs! Il n’y a pas de honte à offrir un cadeau usagé. Bien au contraire, vous conscientiserez même surement vos proches qui voudront faire comme vous l’an prochain.
  • Dirigez-vous dans la librairie la plus près de chez vous vendant des livres usagés. Vous pourrez inscrire un petit mot à l’endos de la page couverture en guise de souvenir qui traversera le temps. En plus, on y trouve de vrais petits trésors. Et qui sait, peut-être même retrouverez-vous  votre livre d’enfance préféré ?
  • Achetez un vêtement dans une friperie bon marché.
  • Trouvez un jouet ou jeu de société sur un site de petites annonces, comme Kijiji ou bien via les pages d’entraides sur Facebook, comme  : « Les mamans vendent, donnent, échangent » ou selon votre région, une des pages « As-tu ça toi ? ». Mieux encore, demandez à votre entourage s’ils ont des jeux ou jouets à vendre ou à donner.
  • Si vous avez un arrêt à faire à Québec, faites un détour à la boutique Réno-Jouets qui récupère et recycle les jouets usagés de tous genres et pour tous les âges.

 

J’espère que je vous aurai inspiré, à ma façon!

 

Joyeuses fêtes !!!

Lettre à toi, maman qui se tape seule la routine du soir…

Ton chum a une grosse semaine et rentre tard ces jours-ci?

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Ton chum a une grosse semaine et rentre tard ces jours-ci?

Sache que je te comprends… Tu dois donc te taper seule la routine du soir…

Tu fais la tournée après le boulot: école, garderie, pharmacie…

Les enfants crient qu’ils ont faim. C’est vrai, tu ne les nourris pas..

Tu sors seule de la voiture les dizaines de sacs et le ti-parapluie rose de ta plus jeune; c’est ça le gugusse qu’elle a réclamé, ce matin. (On n’est jamais trop prudent… Et si son éducatrice décidait de les laisser dehors sous la pluie?)

Tu n’as pas encore mis le pied à l’intérieur que la chicane commence; les deux veulent ouvrir la porte. Ben plus le fun que de sortir son sac d’école de la voiture.

Tu sors les crudités. Ta plus vieille se rue sur TOUS les concombres, comme si ce légume allait disparaître sous peu. Ta plus jeune crie qu’elle n’a pas eu de concombres. Sa vie est fichue.

Nourris le chien, sors le chien, rentre le chien, mets les plats au four. Vide le lave-vaisselle, remplis le lave-vaisselle avec la vaisselle du matin parce que TU ÉTAIS SEULE, cherche la boîte à lunch de ta plus vieille… Zut, elle est dans la voiture…

Si tu as de la chance, tes filles aiment le repas que tu as préparé avec amour et le souci de leur servir des plats équilibrés. Certains soirs, ça peut dégénérer par contre…

Donne les bains, mets tout ce beau monde en pyjama en te demandant s’il restait de l’eau dans le bain après avoir ramassé tout ce qu’il y avait sur le plancher de la salle de bain.

Les.Devoirs.

Je suis enseignante et à entendre ma fille, je n’y connais rien. R.I.E.N.

C’est madame Sandra qui sait tout.

Je PENSAIS te comprendre, chère maman, mais maintenant que c’est à mon tour, sois certaine que JE COMPRENDS!

Je me console en me disant que dans quelques maisons, pour quelques enfants, c’est moi qui sais tout.

Brossage de dents. Ta plus jeune veut ouvrir le nouveau tube de dentifrice au lieu finir l’autre, ta plus vieille veut mettre de la crème, toi tu veux la PAIX!

Ouf! Il reste l’histoire et plus vraiment de sourire sur ton visage. Habituellement, c’est ta progéniture qui choisit l’histoire; ce soir, t’es crevée. Tu prends le premier livre qui te tombe sous la main: “Monsieur Heureux”.

QUOI!!!!??? Ben oui, quelle ironie! Impossible de lire cette histoire sur un ton enragé! Tu t’accroches un sourire, profites de ces minutes de bonheur et tu te dis que tu les adores tes petits humains.

C’est l’heure des bisous et des câlins…

Maman que je comprends, c’est maintenant TON moment…

En souhaitant que tes petits ferment l’œil sans trop de demandes (l’heure du dodo, ça craint parfois!).

L’art qui fait du bien

Oui, je sais. Le cahier de coloriage zen que vous avez reçu à votr

Oui, je sais. Le cahier de coloriage zen que vous avez reçu à votre fête est intitulé « Art-thérapie ». Et vous y croyez! Bien sûr, prendre le temps de colorier, seul, avec nos enfants ou entre amis, ça aide à se calmer le pompon. Mais ce n’est pas de l’art-thérapie. C’est du coloriage. Ou une forme de méditation. Une façon de se mettre le cerveau à off et d’inviter notre enfant intérieur le temps d’un coucou.

L’Association des art-thérapeutes du Québec définit l’art-thérapie comme « une discipline des sciences humaines qui étend le champ de la psychothérapie en y englobant l’expression et la réflexion tant picturale que verbale ». Alors c’est quoi… on s’assoit, on jase et on gribouille? Parfois, oui, mais pas tout le temps. Ça dépend des objectifs définis avec le thérapeute, de notre état émotif et physique, de nos préoccupations du moment et de ce que perçoit le thérapeute.

Quelqu’un qui serait submergé par les émotions pourrait être guidé vers des figurines et un bac à sable. Le choix des figurines sera important, mais aussi le langage verbal et les gestes, les hésitations, le rythme des mouvements, tout comme la façon de placer les figurines dans l’espace. On est loin d’un jeu naïf de Barbie ou de Transformers! Un paon échevelé qui baboune devant une carpe aplatie peut révéler bien plus que des mots pesés et filtrés par le conscient.

L’art-thérapeute peut nous amener à créer à partir d’une silhouette complète ou partielle (une partie du corps ou le buste), en deux ou en trois dimensions. Notre main optera pour les crayons-feutre ou de bois, les pastels ou la peinture, les plumes ou les mouchoirs. La manipulation du matériel, les textures, la pression exercée sur les outils, tout parle. Et croyez-moi : on se révèle même si on essaie de se censurer.

Ne se couronne pas art-thérapeute le premier venu : les art-thérapeutes doivent avoir réussi un programme universitaire spécialisé de deuxième cycle ainsi qu’une formation dans les domaines des arts et de la psychologie. L’art-thérapeute est formé pour analyser nos réactions et nos créations. On n’est pas au royaume de l’œuvre d’art ni du jugement critique, et encore moins de la psycho pop à cinq sous. Le rouge ne signifie pas nécessairement l’amour ou l’agressivité, et le noir peut révéler un sentiment de bien-être, de vide, d’insécurité, name it.

Le plus beau dans cette histoire, c’est qu’on peut trouver beaucoup de plaisir dans les séances d’art-thérapie. Quand on pense thérapie, on imagine souvent le divan de Freud ou le psy à lunettes qui prend des notes sans arrêt en dodelinant de la tête. Pensez plutôt à un espace multicolore, rempli d’outils de création qui vous invitent à vous laisser aller. La relation de confiance avec le thérapeute se construit au fil des coups de crayons et de ciseaux. Mais aussi au fil des silences et des bouleversements. L’art-thérapie, ce n’est pas une séance de bricolage version école maternelle. On est en plein dans le travail sur soi. Et ça marche.

Ma première rencontre avec l’art-thérapie remonte à un atelier qui permettait de visualiser ce qu’on voulait de l’année à venir. C’était un soir de janvier, un petit groupe, une amie, des inconnues, une art-thérapeute inspirante et des piles d’images de magazines, de livres, de catalogues de tissus. Le tapis volant d’Aladin aurait porté mon corps que je ne me serais pas plus sentie voler. Une rencontre avec moi-même à travers le miroir des images et l’accompagnement de l’art-thérapeute.

Depuis, je rencontre cette professionnelle régulièrement. Je compte les dodos avant mes rendez-vous, comme un enfant impatient que Noël arrive. Alors, imaginez un enfant qui va rencontrer un art-thérapeute! Le côté ludique de la création et des couleurs facilite la communication et approfondit l’échange. Il est bien moins effrayant de représenter notre peur de mourir avec de la pâte à modeler ou du carton qu’avec des mots.

L’art-thérapie peut aussi trouver sa place dans les milieux de travail, les résidences pour personnes âgées, les maisons d’accueil pour femmes battues… bref, partout où il y a de la souffrance, des relations pas toujours roses et des questionnements. Comme les thérapies traditionnelles, l’art-thérapie ne fait pas de magie instantanée. Mais avouez que ça vaut la peine de l’essayer?

Association des arts-thérapeutes du Québec
Canadian Art Therapy Association

Top 10 des activités à faire en voiture avec de jeunes enfants

Dans quelques semaines, ce seront les vacances de Noël et comme chaque année, plusieurs d'entre no

Dans quelques semaines, ce seront les vacances de Noël et comme chaque année, plusieurs d’entre nous profitont de ce moment pour aller visiter famille et amis qui sont peut-être plus éloignés. Faire de la route avec des enfants peut s’avérer long et fastidieux lorsqu’on est plus fatigué ou lorsque votre petit rejeton n’aime pas être assis et devoir attendre durant plusieurs heures. Eh oui, je suis devenue experte en longue route avec de jeunes enfants, car durant quelques années j’ai habité dans la province voisine.

 

Voici mon top 10 des activités testées et aimées par notre famille


1) Dessin sans gâchiscapture-decran-2016-12-02-a-22-46-20
À tous ceux qui disent ”Je ne veux pas avoir des marques de crayons sur mes bancs d’autos!” Je suis d’accord avec vous et c’est pour cette raison que Crayola a une sorte de crayons marqueurs ”Color Wonder” sans dégât. Il y a une tablette rigide et à l’intérieur de cette petite tablette du papier spécial et quelques crayons. Votre enfant apprécie et il a fini le papier? Les cahiers et autres coloris de crayons se rachètent individuellement.

 

2) Dollarama votre meilleur ami
Pour votre survie personnelle, se rendre au Dollorama seule, sinon bonne chance à vous!. Prenez quelques petites babioles (balles anti-stress, petite auto, pouliche, petit toutou, autocollant, etc). Un coup à la maison, emballez-les avec du papier bulle (si vous voulez) à l’aide de tape (ne pas sauter cette étape importante). Plus ils sont grands, plus on met de couches. Lorsque la tension commence à monter dans la voiture, on leur donne un petit cadeau à développer, vous devriez gagner un bon petit 15-20minutes avec cette activité.

 

3) Livres et petits jeux individuelscapture-decran-2016-12-02-a-22-50-32
Pour faire de la route, ça prend un minimum de préparation. Je vous conseille de vous faire un sac de livres (idéalement des nouveaux ou ceux que ça fait longtemps qu’ils n’ont pas regardés) et des petits jeux tranquilles (Chicken Shuffle, Rush Hour, un toutou préféré, quelques figurines, etc). Vous pouvez demander à vos minis de vous aider, comme ça ils seront contents de participer au voyage et ils apprécieront encore plus leurs jeux.

 

4) Ils finiront par dire : ”J’ai faim!”
Toujours avoir avec vous une petite collation, un trafic qui s’étire ou un autre imprévu c’est si vite arrivé. Fruits séchés, barres tendres, crudités, etc pas besoin d’être super compliqué pour avoir un petit 5-10 minutes tranquille. Dans la même suite logique, apporter toujours de l’eau, car le ”J’ai soif!”, suivra bien vite lui aussi. Soyez futés chers parents!

 

5) Adeptes de ”La Fureur” celle-ci est pour vous!capture-decran-2016-12-02-a-22-58-07
Qui se rappelle du jeu de la chanson arrêtée? Si facile à jouer dans la voiture! Apportez votre playlist familiale ou des chansons de Noël que toute la famille connaît et amusez-vous à chanter vos hits préférés tout en baissant le son une fois de temps en temps en essayant de garder le rythme! Le bébé ne peut pas chanter? Pas grave! Il sera content d’entendre la musique et de vous voir bouger et chanter devant lui.

 

6) Le premier qui voit, devinette 101, quand je vais au marché…
C’est un jeu classique et oui, mais ils fonctionnent alors pourquoi le changer? Le premier qui voit est facile à adapter pour tout les âges des enfants. Durant le moment où ils chercheront l’auto verte ou bien la lettre ”E” sur une pancarte, le temps passera plus vite pour eux … tout comme pour vous haha! Gardez le contrôle du jeu et par la suite, demandez aux petits de dire les devinettes. Ils devraient vous surprendre avec leurs drôles de questions!

 

7) Tout le monde a droit à sa bulle!capture-decran-2016-12-02-a-22-53-58
Votre enfant aime UNE chanson et vous ne voulez pas l’écouter tout le long du trajet? Une paire d’écouteurs est sûrement le meilleur investissement que vous pouvez faire. Un petit temps tranquille avec sa musique préférée lui permettra de se calmer et de patienter jusqu’au prochain arrêt.

 

8) Arrêter pour bouger!
Lorsqu’on a beaucoup de routes à faire, on est mieux de prévoir sur notre chemin des arrêts afin de permettre d’aller respirer avant de revenir tout le monde dans l’habitacle. Il y a de la neige? Improvisez une bataille de boules de neige! Il fait beau? Trouvez un coin de gazon ou un parc et faites courir vos petits! Sortez votre coeur d’enfant, vous n’en serez que récompensé. Il pleut des cordes? Aller faire le tour de l’épicerie ou marcher dans un magasin pour vous dégourdir!

 

capture-decran-2016-12-02-a-23-04-069) Cheese et grimaces à l’honneur!
Si votre enfant a un appareil photo d’enfant, faites sûr que vous avez des batteries de rechange ou votre truc pour faire de drôles de photos. En plus, ça vous fera un excellent souvenir de ce beau voyage!

J’ai fait la liste des activités et ça se chicane encore?!?!?

 

10) Mettre une barrière !
Il vous reste alors la seule solution de faire une barrière physique entre les enfants. Si votre véhicule le permet, allez vous asseoir en arrière ou trouver une valise ou tout autre objet (assez gros quand même!) à mettre entre les enfants turbulents. Ça devrait les calmer un peu et vous allez enfin arrêter de vous retourner aux 2 minutes pour les avertir de rester chacun de leurs côtés.

Sur ce, je vous souhaite une bonne route à vous et j’espère que ce temps en famille sera désormais moins pénible pour vous!

 

Prescription pour grands-parents : Passez du temps avec vos petits-enfants

Je suis une grand-maman qui a un emploi comme plusieurs grands-paren

Je suis une grand-maman qui a un emploi comme plusieurs grands-parents d’aujourd’hui. Un jour, chez mon médecin je lui dis que je ne peux m’empêcher, depuis quelques mois, de penser à mon travail la nuit et les jours de congés. Certains se reconnaîtront !

 

Mon médecin me propose de…

Me changer les idées en m’occupant

et c’est ce que j’ai fait !

 

Je suis allée chercher mon petit-fils pour la journée ! Il était heureux de venir chez Mamou, mais ne sait pas à quel point c’est à moi qu’il a fait plaisir.

prescription pour grands-parents, passez du temps avec vos petits-enfants

Ma journée a été bien remplie !

 

J’ai bu un bon chocolat chaud avec des guimauves au déjeuner en regardant la télé en pyjama.

Je suis allée jouer dehors, j’ai fait un bricolage et après un bon diner, j’ai fais une sieste !

Je n’ai pas vu la journée passer et quand petit-fiston est parti et qu’il m’a dit :

” Merci Mamou pour la belle journée !”

Il n’avait pas idée à quel point il m’avait fait plaisir ! 

 

prescription pour grands-parents : passez du temps avec vos petits-enfants

 

Donc, si vous avez les ” blues “, que vous êtes un peu déprimé ou que votre tête est toujours au travail, même à la maison, je vous donne à mon tour cette prescription:

 

Passez du temps avec vos petits-enfants

 

et je vous garantie que vous dormirez bien la prochaine nuit !

 

Mamou ❤️ 

L’amour, le vrai

Le lien qui unit un humain à un animal est indescriptible. Il faut

Le lien qui unit un humain à un animal est indescriptible. Il faut avoir aimé profondément un animal pour le comprendre.

Un animal dont tu prends soin et à qui tu offres un minimum d’attention te le rend à l’infini. Je prendrai l’exemple d’un chien puisque dans mon cas, plusieurs toutous ont croisé ma route.

Ça t’accueille comme si tu étais une personne exceptionnelle! Sans jugement, sans rancune. Ça ne t’en veut pas si tu oublies de remplacer son bol d’eau, pendant la journée. Ça accepte d’être délaissé lorsque de petits humains apparaissent soudainement dans la famille… et y restent!

Ça partage ses jouets, ça se laisse malmener par de petites mains toutes neuves . Ça sert d’oreiller.

Un animal, ça te console. Ceux qui aiment ou ont aimé un animal me comprendront. Ils ont comme un sixième sens. Ça fait du bien de pleurer contre une boule de poils. 🐾

Le temps que je prends à soigner mon chien, à le caresser, à l’observer, c’est un moment où le temps s’arrête, à chaque fois. On est ensemble, dans la même bulle. Merci, mon chien, de ne pas m’en vouloir de t’avoir délaissé, ces dernières années. Jamais, tu ne m’en as tenu rigueur.

Un animal, pour certaines personnes, c’est l’enfant qu’ils n’auront jamais.

Pour d’autres, c’est du réconfort dans une vaste maison où on se sentirait trop seul.

Pour des milliers de gens, un chien, c’est une paire de lunettes. Il peut être un confident, un compagnon qui diminue l’angoisse chez un enfant malade.

Je n’ai jamais eu de cheval, mais à chaque fois que j’observe la complicité entre un cheval et son maître, ça m’émeut. Cette bête immense qui semble avoir envie de se blottir dans les bras de la personne qui lui offre des soins et beaucoup d’amour… Wow! Les regards échangés, les coups de tête qui cherchent une caresse. D’une grande beauté.

Je crois fermement qu’il existe un lien très fort qui unit les amants des animaux. Un lien qui fait qu’on se comprend, instantanément. Comme si notre coeur était programmé pour capter tout cet amour gratuit et pour le rendre!

Chez moi, il y a du poil en permanence, des balles et des bouts de corde qui traînent. Il y a toujours une grosse bête dans mes pattes; faire la vaisselle ou la cuisine devient un sport extrême!

Chez moi, mes filles ont un toutou à cajoler. Elles apprennent le respect des animaux et en retour, elles gagnent des souvenirs inestimables. 💕

À tous les chiens qui sont passés dans ma vie, je vous dis MERCI.🐾