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Tous les jours, les réseaux sociaux me demandent si mon corps est

Tous les jours, les réseaux sociaux me demandent si mon corps est prêt pour l’été. L’hiver, tu peux te permettre d’être grosse, mais l’été… L’été, tu dois demander à ton corps d’être parfait. Alors, si tu me demandes si mon corps est prêt pour l’été, je te répondrai ceci.

OUI ! Il l’est. J’afficherais fièrement ce corps sur la plage. Ce corps qui porte les traces de mes quatre grossesses. Ce corps qui a maintenant un surplus de poids. J’aurai probablement le petit muffin top qui débordera par-dessus le bas de mon maillot.

Ma petite bedaine sera sûrement évidente lorsque je serai assise sur ma serviette de plage.

Mes fesses prendront le double de place sur ma serviette de plage. Le gras de mes cuisses se laissera aller à faire la vague lorsque je courrai pour attraper mes trois cocottes qui se dirigent vers l’eau sans ma permission.

Mes triceps, muscles clairement disparus de mon corps, ont laissé leur place à mes gras de bingo. Ce petit gras qui s’agitera lorsque je t’enverrai la main.

Cet été, mon corps sera prêt pour un enseignement majeur auprès de mes trois filles. Je leur enseignerai que je suis fière de la femme que je suis. Que je suis fière du corps que j’ai. Je ne parlerai pas en mal de ce corps. Elles comprendront que derrière le corps de chacune des femmes qu’elles rencontreront, se cache une histoire.

Une histoire qui a fait d’elles les femmes qu’elles sont avec le corps qu’elles ont. Je n’ai pas envie que plus tard, elles détestent leurs corps parce qu’elles m’ont vue le faire. Je n’ai pas envie qu’elles se détestent d’avoir mangé une portion de gâteau au chocolat parce qu’elles m’ont vue tenter des dizaines de régimes pour perdre du poids. Je ne veux pas qu’elles tombent dans les excès de l’entraînement parce qu’un jour, maman s’est défoncée à maigrir, à suer sa graisse.

Je veux qu’elles comprennent que chaque corps est imparfait. Que c’est cette imperfection qui les rendra différentes et belles.

Je veux qu’elles comprennent que tout passe par l’équilibre. Je veux qu’elles apprennent à s’aimer beaucoup plus rapidement que moi. Je ne veux pas qu’elles attendent trente-huit ans pour enfin se trouver belles.

Mélanie Paradis

Heille l’équilibre! T’es où?

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T’es où?

Chaque fois qu’on se rencontre enfin, tu finis par me filer entre les doigts et tu me laisses en plan. Et moi, comme une innocente, je cours derrière toi et je te cherche désespérément.

Je ne passerai pas par quatre chemins pour te le dire : par moment, j’ai franchement l’impression que tu te fous de moi. Ou peut-être est-ce le contraire?

 T’es où?

 Je te cherche plus intensément depuis que je suis maman. Moi qui croyais que toi et moi, on finirait par s’entendre facilement et doucement. Mais non.

Ça arrive, heureusement. Mais il y a eu et il y a encore ces moments où je te perds de vue, où je désespère et où je crie dans ma tête :

«T’es où?»

 Depuis l’arrivée des enfants, il y a eu la maman employée, la maman travailleuse autonome et la maman à la maison. Avec mon homme, il y a eu les études, il y a eu les rénovations, il y a eu la maladie, il y a eu les déménagements, il y a eu la mort; il y a eu le chaos. Notre beau chaos. Mais il y a eu l’amour, toujours, et de plus en plus, il y a le calme. Il y a les projets, il y a mes idées, il y a les microbes, il y a les responsabilités et il y a les vingt-quatre heures dans une journée. Il y a l’épouse et l’amoureuse, il y a l’amie, il y a la fille, il y a la sœur, il y a la maman et il y a la femme que je suis. Il y a les enfants.

Et il y a toi.

 L’Équilibre.

 L’équilibre avec un grand «É».

Dans le fond, ce qui importe vraiment, ce sont les enfants, right? Mais tout le reste aussi ça compte, non? Pourquoi tu ne m’aides pas plus souvent à trouver une place calme et paisible pour tout le reste? Sans que la Culpabilité et la Confusion viennent se joindre à nous. Sans parler de madame «Remise en question»!

Quoique… de temps à autre, on y arrive. Dans ces moments, je te vois très bien et je sais que tu es là. Ta présence est tellement réconfortante pour moi. J’ai besoin de toi. Mais tu n’es pas seul. Généralement, tu es avec ton grand chum. C’est vrai que vous faites un bon team.

Lui, il s’appelle «Le Moment Présent».

Quand je prends le temps de m’arrêter, que je le regarde et que je le vis comme il se doit, c’est vrai que tu es là, tout près. Même dans les périodes chaotiques. Tout prend tranquillement sa place, tout devient moins lourd. Je ne peux pas être ailleurs et être autre chose que ce que je suis dans le moment présent.

Dans le fond, tu es toujours là. Même quand je m’affole ou quand tout coule doucement, tu es là. Mais il m’arrive de l’oublier. Et dans ces moments d’amnésie, où tout se confond en dedans de moi, je m’étourdis et je veux être partout et être tout le monde en même temps.

Alors, je te cherche et je crie :

 «T’es où?»

 

 

Caroline Gauthier

 

Suis-je un papa indigne?

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Nous sommes samedi matin, en route sur l’autoroute 20, direction ville de Québec. Mon amoureuse et moi avons un petit weekend prévu dans la vieille Capitale. Ça va faire du bien! Malgré la belle grossesse qu’elle vit, une fin de semaine pour penser à nous sera très bénéfique. L’accouchement est prévu dans quelques semaines. Je lui fais la remarque que c’est notre dernière fin de semaine de couple avant la naissance de notre enfant.

Je suis déjà papa d’une princesse de six ans. Elle, ce sera son premier enfant. Notre vie de couple des dernières années changera à jamais dans les prochaines semaines. Actuellement, nous sommes un couple une semaine sur deux et un couple/famille l’autre semaine.

Les kilomètres qui filent me plongent dans mes pensées, je suis loin dans ma tête. Très bientôt, le bonheur d’un deuxième enfant m’envahira, mais de grandes craintes planent présentement dans ma tête.

« Vais-je m’ennuyer de la garde partagée? »

« Vais-je m’ennuyer de notre vie de couple/famille qui suit un horaire alternatif d’une semaine sur deux? »

« Il s’agit de la dernière fois où mon amoureuse quitte la maison sans véritable crainte. Lorsqu’on est parent, jamais nous n’avons l’esprit réellement tranquille. »

« Est-ce que notre couple, qui n’a connu que ce mode de vie, sera affecté? »

« Aurons-nous suffisamment de temps pour nous, pour notre couple, pour les petits bonheurs qui meublent notre vie depuis quelques années? »

« Vais-je avoir le temps de penser à moi? »

« Est-ce que je pourrai consacrer autant de temps à ma grande de six ans? »

« Suis-je un meilleur amoureux une semaine sur deux? »

 « Suis-je un meilleur papa une semaine sur deux? »

Lorsque je me suis séparé, une des premières réalités qui m’a frappé ou qui me hantait avant de prendre la grande décision, c’était de devoir faire la concession de vivre avec ma fille à temps partagé. Pour moi, la décision de la garde partagée a toujours été prise en fonction de l’équilibre de vie de ma fille et de la meilleure stabilité possible considérant la situation pour elle. Après plusieurs essais et de constants ajustements, la formule la plus adaptée a été la garde sept jours chez papa et sept jours chez maman. En plus d’une belle flexibilité pour s’ajuster aux aléas de la vie, ça se passait quand même très bien.

Mais je me dois d’être honnête, une fois le deuil provoqué par la garde partagée passé, j’ai pris goût à cet équilibre de vie. Pas parce que je n’aimais pas mon enfant, pas parce que je n’assumais pas mon rôle de père, mais simplement parce qu’à mon avis, cela me permet d’avoir un plus bel équilibre de vie. Au lieu de n’y voir que du négatif comme certains parents, j’ai essayé d’en voir les avantages. Et croyez-moi, ils sont nombreux.

Une semaine sur deux, j’adore avoir plus de temps pour moi, pour mon amoureuse et pour mon couple. J’apprécie d’avoir davantage de temps pour ma carrière, un peu plus pour les amis, en plus de planifier de belles sorties, des soirées ou des fins de semaine en adultes. Ma vie d’homme, d’adulte et d’amoureux en plus de celle de papa doit être répartie le plus également possible pour que je me sente bien. Pour que je trouve mon bonheur.

Certains diront que je suis égoïste, indigne ou irresponsable d’exprimer tout haut et en toute honnêteté ces faits, mais je l’assume totalement. Quand ma fille arrive pour sa semaine chez papa, je suis prêt à ne me consacrer qu’à elle. J’ai toujours très hâte à ce moment de retrouvailles. Chaque fois, je vis une petite émotion et une fébrilité à l’idée de la voir me sourire, de ressentir sa joie et son bonheur. Mon cœur est rempli d’amour et de fierté. À partir de ce moment, nous avons un compte à rebours de sept jours qui débute. Notre objectif : profiter ensemble du temps précieux qui nous est alloué, apprécier le moment présent et tout ce que la vie nous envoie comme bonheur. Je suis un homme choyé, mon amoureuse partage aussi tous nos moments et elle nous en crée. C’est la situation idéale.

Est-ce que ce serait différent si nous étions ensemble en tout temps? Je ne le crois pas, mais rien ne sert d’y réfléchir, ce n’est pas ma réalité. Ne me dites pas que ma vie n’est pas normale, que ce n’est pas ça, la vraie vie! C’est la vie de beaucoup de gens autour de vous, si ce n’est pas la vôtre. Du fait, qu’est-ce que la normalité ou la vraie vie? La normalité de la vie, de notre vie, c’est à tous et chacun de l’établir selon ses propres envies. Il faut se respecter.

Cette vie en garde partagée aura duré tout près de quatre ans. Mon amoureuse et moi attendons notre petite perle très bientôt. Ce sera un immense bonheur. Nous trouverons un nouvel équilibre à travers cette nouvelle vie. Par contre, je suis quand même réaliste, je sais que tout changera… Suis-je un papa indigne si je vous dis que je redoute de m’ennuyer de la garde partagée?

 

Grandir

Texte de Mathilde Godde, 15 ans

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Texte de Mathilde Godde, 15 ans

 

L’eau martelait mon corps, ruisselait sur ma peau rougie et venait diluer l’encre de mes pensées noires. Brûlante, elle m’embuait l’esprit et s’évaporait contre les parois translucides de la douche. Assise sur le sol détrempé, les genoux repliés contre la poitrine, je fermai les yeux et laissais l’eau parcourir les plis de mon visage, creuser mes traits, adoucis par la chaleur de la pièce. J’entendais le piano jouer, les notes s’envoler et venir s’échouer sur mon cœur.

J’étais comme une enfant qui, repliée sur elle-même, se murait dans l’attente plutôt que d’affronter le monstre qu’est la vie. Une enfant qui refusait de grandir, car cela fait trop mal, car une fois qu’on a commencé, on ne peut revenir en arrière.

Lorsqu’on grandit, on aime. On s’affronte du regard jusqu’à se noyer dans les yeux de l’autre. On s’aime à en mourir, on s’aime trop, on se quitte, le cœur à vif, l’âme sanguinolente. On se brise, puis on tente de recoller les morceaux, mais chaque fois, on finit par tout balayer du revers de la main, les yeux bouffis de peine. Et on recommence.

Lorsqu’on grandit, on recommence. Encore et encore. On tombe et on s’accroche à la première main tendue pour se relever, cette même main qui nous avait poussés hier et qui tentera de nous achever demain. On voudrait apprendre de nos erreurs sur lesquelles on gît, mais on oublie trop vite.

Lorsqu’on grandit, on oublie. On promet, on ne tarde pas à ne plus se rappeler et on déçoit. Alors, on est déçu à notre tour, on pardonne, mais on n’oublie point. On joue au jeu de la vie. On joue pour gagner et la défaite nous lasse vite, mais comme pour tout, il suffit de persister pour réussir un jour.

Lorsqu’on grandit, on n’a pas peur. On frôle les dangers, on les laisse nous enivrer. On laisse les mensonges caresser nos lèvres et se répandre dans nos mots. On ne distingue plus le bien du mal, le vrai du faux. On se perd et on tente en vain de se retrouver.

Grandir, c’est mourir un peu, mais c’est aussi vivre plus.

 

Ma peau était toute froissée désormais, ravagée par ces longues minutes passées sous l’eau brûlante. Mes lèvres me faisaient mal, tant elles étaient gorgées d’eau et je sentais mes muscles endoloris. Je tendis la main pour fermer le robinet et entrepris de me relever, la tête haute, le menton en l’air.

 

Peut-être n’est-ce que cela, grandir ?

Être capable de se relever et plonger tête première dans ce qui nous fait peur.

Soyons conciliants

Récemment, une bombe éclate au Québec : Pierre-Karl Péladeau démissionne.

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Récemment, une bombe éclate au Québec : Pierre-Karl Péladeau démissionne.

La raison : une cohabitation entre la famille et le travail complètement impossible.

Qu’on adhère ou non à cette théorie, n’en demeure pas moins que pour moi ça relance une fois de plus la réflexion sur cette fameuse conciliation travail-famille; termes qu’à peu près tous les parents ont en bouche pour justifier maladroitement leurs cernes sous les yeux.

Mais est-ce possible de rapprocher ces deux univers? Avant de tenter une réponse, il faut d’abord se rappeler ce que veut dire « conciliation ». J’ai donc « antidoté » le tout et on m’explique que concilier signifie « trouver par des concessions l’approbation de personnes qui étaient divisées par leurs opinions, leurs intérêts. »… OK, j’ai rien appris de nouveau, mais ce que je sais par exemple, c’est que c’est probablement ce que je trouve le plus difficile dans le fait d’avoir des enfants. Oui, on dort moins qu’on aurait besoin; oui, on s’inquiète plus qu’on devrait…mais d’être capable de bien naviguer entre le rôle de papa et celui de travailleur, c’est ce qui me donne le plus de sueurs froides. J’me sens toujours à cheval entre la fierté et le doute; le désir d’accomplissement et la volonté d’être plus présent; entre la tête et le cœur.

Pourtant, je fais partie des chanceux qui, étant travailleur autonome, peut se libérer plus facilement quand arrive un pépin à la garderie. À moins d’une réunion avec le pape, je peux généralement m’arranger. Et comme ledit pape refuse toujours mes invitations, je n’ai pas ce problème-là. Toujours est-il que même si je suis capable de me libérer en cas de force majeure, même si mes employeurs sont très ouverts et compréhensifs…y’a toujours un imprévu qui débarque : la culpabilité. Sondage : levez la main ceux et celles qui ne se sentent absolument pas coupables d’aviser son patron que le plus p’tit a vomi ce matin et que vous allez devoir prendre un congé? Allez-y, levez la main… Je sais pas pour vous, mais moi je ne vois aucune main levée. J’ai prouvé mon point.

On se sent coupable de ne pas être là où on « devrait » être. Professionnellement, on s’entend. Comme quoi le travail, de façon sournoise, a pris une grande place dans nos vies. La plus grande, en fait. On parle de conciliation travail-famille, mais on devrait plutôt parler de conciliation travail-vie… On a tous déjà dit « Désolé(e), chéri(e), mais ce soir, je dois travailler un p’tit peu. » Eh bien si p’tit peu soit-il, ce p’tit peu-là a quand même tassé l’être aimé. Mais dans la vie, on a le temps. Toujours. Et on détermine à quoi on l’utilise. C’est tout. Quand quelqu’un dit « J’ai pas le temps », moi j’entends « J’ai préféré faire autre chose ».

C’est dur d’être en paix avec tout ça. Quand on est travailleur autonome, on est très conscient du travail qui n’avance pas pendant qu’on passe du temps avec nos enfants pendant les heures d’ouvrage. Alors, on pense bosser dès que les p’tits seront couchés pour compenser mais là, c’est le couple qui en prendra pour son rhume. Donc pour éviter ça, on travaille quand toute la maisonnée dort. Et j’récupère quand dans tout ça? Oh, j’dis pas ça pour me plaindre; c’est le job que j’ai choisi et c’est la famille que j’ai choisie aussi. Mais je suis convaincu que je ne suis pas le seul dans cette situation-là.

De nos jours, on travaille fort pour garder l’équilibre; on veut une relation amoureuse saine, des enfants de qui on est proche, une carrière qui brille… on souhaite aussi être en forme, bien manger, prendre du temps pour soi, pour ses amis. Après on va se surprendre de la quantité de couples qui éclatent, des connaissances qui s’éloignent et du nombre de chefs de parti qui démissionnent.

La solution? Faire de son mieux, probablement. Accepter qu’il n’y a rien de parfait et que pour un bout, y’aura une patte du tabouret qui va branler un peu. Mais dès qu’on aura trouvé le bon tournevis, on va l’ajuster. Pendant qu’on le cherche, on essaie de rester en équilibre. Mais l’équilibre ne peut pas exister sans le déséquilibre. Comment on fait pour vraiment apprécier une situation si on n’a pas vécu son contraire?

Pour moi, la conciliation travail-vie, c’est comme…oh, désolé, j’dois aller changer la couche de L’héritière.

Bonne semaine!

Crédit photo tech.co

Famille et cellulaire – Quand faut-il le mettre à “off” ?

Ah! Les téléphones cellulaires ! Qu'on les aime ou non, ils sont là pour rester. Il faut dire qu'

Ah! Les téléphones cellulaires ! Qu’on les aime ou non, ils sont là pour rester. Il faut dire qu’ils sont très utiles et, en toute franchise, on ne voudrait plus s’en passer. Mais les dommages qu’ils peuvent causer sont de plus en plus étudiés par les scientifiques qui, cette fois, se sont penchés sur leur impact sur la famille. Heureusement, on nous donne aussi des solutions pour trouver un juste équilibre.

Selon cette récente étude menée par un organisme américain qui prône une saine utilisation des nouvelles technologies auprès de 1240 parents et adolescents, la dépendance au téléphone cellulaire (ou du moins la place démesurée qu’ils peuvent prendre parfois dans nos vies) est un problème bien réel :

  • Un adolescent sur deux (50%), et plus d’un parent sur quatre (27%), se disent dépendants de leur téléphone cellulaire.
  • Deux parents sur trois (66%) trouvent que leur ado passe beaucoup trop de temps sur son téléphone cellulaire. Et fait surprenant, plus de la moitié des ados (52%) sont d’accord avec leurs parents.
  • Près de la moitié des parents (48%) et près du trois quarts des ados (72%) ressentent le besoin de répondre immédiatement aux textos ou autres notifications qu’ils reçoivent.
  • Près de sept parents sur dix (69%) et près de 8 ados sur 10 (78%) vérifient leur téléphone cellulaire toutes les heures.

Vous vous reconnaissez ? Surtout, pas de panique. À MFMC, nous savons à quel point le téléphone cellulaire peut être source de conflits. Et comme parent, il est important de choisir ses batailles. Alors, afin de (re)trouver votre équilibre, voici trois situations où les chercheurs nous conseillent de fermer (ou du moins mettre hors de portée) les téléphones cellulaires de tous les membres de la famille :

  • Pour des raisons de sécurité, par exemple, lorsque nous marchons dans la rue ou conduisons une voiture. Ça peut paraître simpliste mais si on se fie aux plus récentes statistiques, bien des automobilistes ne l’ont pas encore compris!
  • Lorsque nous sommes en situation d’apprentissage à l’école, au travail ou en train de faire des devoirs. Les téléphones cellulaires créent une trop grande distraction et nuisent à l’assimilation de nouvelles connaissances.
  • Lors des repas ou de toute autre activité sociale, les chercheurs soulignent l’importance de développer et nourrir nos habiletés relationnelles indispensables au bien-être et à la santé.

On vous conseille même d’en parler en famille. Pourquoi ne pas vous réunir pour établir les règles qui conviendront à votre réalité familiale ? Car chaque famille est différente mais tous, adultes comme enfants, avons besoin d’écoute et d’attention pour nous épanouir et grandir. Et ça, aucune application ne peut encore le faire !

 

 

 

Avant et après bébé

Tout le monde le sait, avoir un enfant... ça change bien des choses! Voici un petit montage de p

Tout le monde le sait, avoir un enfant… ça change bien des choses!

Voici un petit montage de photos trouvées sur le web qui démontre bien les changements occasionnés par la venue de bébé.

Malgré tous ces changements, avouons que JAMAIS nous ne changerions quoi que ce soit dans notre bonheur chaotique. Notre vie, on l’aime comme ça! Mais il faut quand même savoir en rire un peu 🙂