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10 trucs pour rester en amour dans son couple

Avec l'arrivée des enfants, les horaires compliqués et la vie qui va vite, il n'est toujours facil

Avec l’arrivée des enfants, les horaires compliqués et la vie qui va vite, il n’est toujours facile de demeurer un couple uni. Vous souvenez-vous du temps où vous étiez complètement amoureux? On se le répète souvent, mais il faut absolument trouver le moyen de passer du temps avec notre douce moitié, sans les enfants. C’est habituellement plus facile à dire qu’à faire. Toutes les excuses sont bonnes: manque de temps, trop fatigué, pas le goût de faire garder les enfants, etc.

Aujourd’hui, nous sommes tombés sur l’article suivant. Il propose 10 petits trucs faciles pour nous aider à améliorer l’amour dans la vie de couple! Nous l’avons trouvé bien intéressant!

Voici le lien : http://www.conscience-et-eveil-spirituel.com/les-1…

 

** crédit photo : Huffington Post Québec **

Aidons la recherche pour les maladies infantiles

Impossible de rester de glace face à cette vidéo. On ne devrait jamais avoir à dire au revoir à

Impossible de rester de glace face à cette vidéo. On ne devrait jamais avoir à dire au revoir à nos enfants. C’est la perte la plus tragique qui soit. Ce qui est bien, c’est que avons tous le pouvoir d’aider à changer les choses. 5

N’oubliez jamais, cet enfant malade pourrait être celui de votre sœur, votre frère, vos amis… ou encore votre propre enfant!

 

Crédit photo www.blog.parent-employeur-zen.com

Technique pour que maman revienne à la maison!

Être seul à la maison avec les enfants peut être exténuant, mais notre ami Mike vient d'atteindr

Être seul à la maison avec les enfants peut être exténuant, mais notre ami Mike vient d’atteindre un sommet dans l’art de la manipulation haha! Dans cette vidéo, il nous démontre son savoir-faire pour s’assurer que maman ne soit pas partie trop longtemps! Regardez-ça! : )

Être le « beau-parent »

Il n’y a pas si longtemps, au Québec les familles recomposées étaient encore peu nombreuses. Au

Il n’y a pas si longtemps, au Québec les familles recomposées étaient encore peu nombreuses. Aujourd’hui, c’est plus que commun! Même qu’il y a de bonnes chances que vous en soyez issus, ou que ce soit le cas de votre famille actuelle. Ceci dit, ce n’est pas parce que c’est commun que c’est moins complexe! Si ça peut l’être pour vous, ça l’est certainement pour l’enfant.

Un enfant qui vit la séparation de ses parents, réagit. Cette réaction peut être immédiate, comme elle peut survenir plus tard. Elle peut être explosive, comme elle peut être tranquille. Il n’y a pas de réaction type, comme il n’y a pas de réaction acceptable. Ça veut dire que si, en tant que beau-parent, un enfant vous ignore, vous fait des crises ou vous confronte pour tout et rien, cette réaction est aussi normale. Il faut comprendre qu’un enfant est en apprentissage quant au fait d’exprimer ce qu’il ressent. Les plus jeunes manquent souvent de vocabulaire pour le dire. Pourles plus vieux, ça peut être plutôt une difficulté de reconnaître, comprendre et exprimer leurs émotions.

Peu importe comment s’exprime ladite réaction, en tant que beau-parent, tentez de toujours vous rappeler que si c’est difficile pour vous, ça l’est autant (sinon plus) pour l’enfant. L’empathie, l’écoute et le fait d’être sensible à ses besoins seront vos meilleurs alliés. Il peut être facile d’oublier la place de l’enfant alors que ça devrait être autant votre priorité que votre relation amoureuse. Respectez-le en prenant soin de son espace, de son histoire et surtout de son rythme. En d’autres mots, ajustez-vous à lui pour savoir comment réagir avec lui. Et vous savez quoi? Si l’enfant change d’attitude en cours de route, c’est correct aussi! Vous venez peut-être de bousculer son monde, il faut lui laisser le temps nécessaire pour qu’il puisse se situer là-dedans.

C’est un processus qui peut avoir des hauts et des bas. Si ce n’est que des hauts, tant mieux. Si ce n’est que des bas, tant mieux aussi (même si c’est plus difficile)! C’est VOTRE famille recomposée, l’important n’est pas d’avoir l’air de la famille recomposée parfaite c’est plutôt de trouver l’équilibre qui convient à tous les membres. Pour y arriver chacun doit y avoir sa voix, et se sentir libre de la partager.

Dans mon prochain billet, je vous décrirai certains éléments-clés qui semblent contribuer à une meilleure transition vers la vie de famille recomposée.

 

 

** crédit photo: www.drolesdemums.com **

Astuces pour survivre à l’épicerie avec les enfants

Lorsqu'on fait les courses avec des enfants, on se rend compte à quel point c’était rapide et si

Lorsqu’on fait les courses avec des enfants, on se rend compte à quel point c’était rapide et simple avant d’en avoir! Je vous donne quelques trucs pour vous simplifier la tâche et même avoir du plaisir!

  • 1-Timing! On y va quand il y a moins d’achalandage, comme la semaine ou en avant-midi. Parce que plus il y a des gens, plus il y a d’attente et plus il y a de spectateurs pour que notre enfant fasse une fabuleuse scène digne du film l’exorciste pour avoir LA bouteille-de-jus-super-pas-santé-avec-un gros-minion-jaune-dessus.
  • 2-Liste! Quand on planifie notre liste d’épicerie, on en profite pour y inscrire nos attentes envers notre enfant et les règles qu’on veut qu’il respecte : On marche à l’intérieur, on achète seulement ce qui est sur la liste…même si tu pleures etc. Mais on lui dit par formalité, on sait qu’il est capable et champion! On lui dit le tout avant d’entrer au supermarché.
  • 3-Gargouillis! Vous savez sûrement déjà entendu qu’on déconseille de faire l’épicerie le ventre vide parce qu’on a le goût de tout acheter…et bien les enfants aussi! On peut même apporter une petite collation en cas d’urgence pour calmer son appétit et lui changer les idées.
  • 4-Plan B! L’enfant veut pousser le seul petit panier du magasin et nos prières sont exaucées, il est disponible! On se prend quand même un gros panier au cas où il ne voudrait plus le pousser en plein milieu de la rangée des chips. Pour transférer les aliments…et l’enfant.
  • 5-Alerte rouge! Malgré tout ce qui est énuméré plus haut, tout petit se transforme en Hulk? Ça nous arrive à tous. On reste calme et ferme, on l’embarque dans le panier et on termine rapidement de prendre ce qu’on doit acheter (crise ou pas on doit se nourrir…et au moins nous ne sommes pas en avion…il y a toujours pire!), on l’ignore dans la mesure du possible. Il se lève? On le rassoit. Il crie? On l’avise une fois, qu’on ne comprend pas quand il crie, qu’on se parlera quand il aura retrouvé sa petite voix. On passe à la caisse en restant calme (on est capable ça achève!) et en chantonnant un «Bonjouuuur» rempli de complicité à la caissière. Dans l’auto ou à la maison, Hulk devrait baisser d’intensité. Une fois la crise terminée, on repart à neuf. Il se souviendra avec l’expérience que même s’il se fâche, ça ne rapporte pas grand-chose.
  • 6-On choisit nos batailles! Si notre enfant à tendance à s’opposer au supermarché, on est mieux de commencer graduellement avec une petite liste d’épicerie lorsqu’on a du temps devant nous, plutôt que la commande pour le temps des fêtes à faire en 10 minutes par exemple, pour vivre des réussites et diminuer le stress.

Voici quelques idées de jeux à faire à l’épicerie, parce que tous les prétextes sont bons pour s’amuser :

  • Cherche et trouve : On implique l’enfant et on le fait bouger en cherchant les aliments sur notre liste. On peut même apporter la circulaire ou d’autres images pour avoir un support visuel.
  • Devinettes : on fait deviner à l’enfant l’aliment que l’on cherche. On peut aussi le faire travailler un peu en lui demandant les ingrédients manquants à une recette.
  • Camion de poubelles : Le panier se transforme en camion de poubelles. L’enfant se tient sur le devant du panier à la manière d’un éboueur et doit (délicatement) mettre les aliments dans le camion…c’est le moment de sortir nos effets sonores!
  • Mission : On se transforme en équipe d’agents double et nous devons trouver tous les aliments qui sont sur la liste avant que la minuterie sonne.

À vous de jouer! Transformez cette corvée en moment de qualité, laissez aller votre imagination!

 

 

Crédit photos: nannysecours.com et migrosmagazine.ch

Folie matinale, version commentée

Après avoir mis en ligne notre dernier clip « Folie matinale », vous avez été nombreux à nous

Après avoir mis en ligne notre dernier clip « Folie matinale », vous avez été nombreux à nous écrire. On a alors décidé de vous présenter une version « commentée » de notre petite folie à nous. La voilà!!

Oh et ce qui nous ferait plaisir, c’est que vous partagiez avec nous VOTRE folie du matin. En image, en vidéo, en texte… laissez-vous aller! Plus on est de fous à vivre la «folie», plus on en rit! 🙂

Comment faire? C’est bien simple;

  • Message privé sur notre page facebook Ma famille mon chaos
  • Courriel au mafamillemonchaos@hotmail.com
  • Twitter/Facebook/Instagram En ajoutant le hashtag #Mafamillemonchaos

Nous pourrons par la suite partager quelques-unes des publications avec nos abonnés sur notre page facebook et twitter!

La guerre au stress, une bataille à la fois !

Dans mon dernier billet, je vous parlais du stress parental. Ouin…c’est bien beau le stress pare

Dans mon dernier billet, je vous parlais du stress parental. Ouin…c’est bien beau le stress parental mais ça serait le fun de savoir quoi en faire non? Les raisons de votre stress peuvent être multiples et complexes. Les points suivants ne vous renseigneront pas sur la cause en tant que telles, mais peuvent vous aider à diminuer votre stress.

  • Écoutez-vous! Avec le brouhaha de la vie de tous les jours (travail, famille, projet, etc.), on oublie souvent d’écouter notre petite voix intérieure. C’est cette petite voix qui vous rappelle que vous avez besoin de temps pour vous, que vous êtes épuisé, que vous n’avez pas vraiment envie de participer à cette nouvelle activité à la job même si ça serait bon pour votre C.V.Apprendre à dire non, mettre ses limites et vous donner le droit de le faire, est un bon pas pour ré-apprendre à écouter cette précieuse voix.
  • Prenez du temps pour vous : Je sais, je sais. Ce n’est pas facile. Mais planifiez un rendez-vous avec vous-même. Ne serait-ce qu’une heure par semaine pour commencer. Un livre, un bon bain, une marche, ou toute autre activité qui vous permet de vous ressourcer, de faire une pause du rythme de la vie. Et inscrivez-le officiellement à votre agenda.
  • On laisse faire le parfait. Rien est parfait. A-rien. Vous pourrez toujours en faire plus ou le faire différemment. Vous pourrez toujours vous comparer à plus ou moins. Sans compter la culpabilité qui embarque quand ce n’est pas comme on veut. Cette recherche du « parfait » peut être une source importante de stress. En prenant soin de vous et en vous ressourçant, pensez à ce qui est vraiment important pour vous. Pour ce qui ne l’est pas, c’est le temps de « let go ». Mettez l’énergie que vous avez sur les éléments primordiaux de votre vie, de votre famille. Cette concordance entre qui vous êtes et ce dans quoi vous investissez votre temps peut vous aider à moins ressentir la pression de tous les jours parce que ce qui est « parfait » dans les magazines, dans les études et même par les experts ne l’est pas nécessairement pour vous
  • Adoptez de saines habitudes de vie : Vous l’avez lu et entendu partout, mais c’est vrai. L’activité physique, une bonne alimentation et une bonne nuit de sommeil sont des éléments clés pour vous aider à prendre soin de vous et de votre corps. Votre degré de stress sera plus susceptible de diminuer ainsi. MAIS, ne vous rajoutez pas de stress en commençant un régime, ou un programme de sport giga intensif. Le mot à retenir ici c’est « habitudes », c’est-à-dire que vous voulez y aller à votre rythme pour que ces changements s’installent et soient durables. Vous pourriez également apprendre des techniques de relaxation et de respiration!
  • Demandez de l’aide : Il n’y a pas de mal à demander de l’aider, même si cela peut être moins naturel à faire pour certaines personnes. Cette aide peut être professionnelle, comme par exemple rencontrer un psychologue pour avoir des outils pour diminuer votre stress. Ceci dit, elle peut également être « humaine ». Un souper avec des ami(e)s qui acceptent de vous aider à plier votre pile de linge.Why not? Ou tout simplement une bonne jasette avec un ami (e). Le soutien émotionnel, c’estimportant. De-man-dez, de l’aide.
  • On s’aide à déstresser : Des fois la vie, ça va vite. On oublie, on a pas le temps, ou tout simplement on est fatigués. Mettez des outils en place, pour vous et votre famille, pour alléger votre quotidien. Par exemple, faites des tableaux de tâches pour les enfants, planifiez votre épicerie et vos repas, réduisez les activités qui sont sources de stress, etc. L’humour et l’amour sont aussi de bons outils à cultiver pour passer au travers des journées moins faciles!

Finalement, n’hésitez pas à parler à un psychologue, votre médecin de famille ou approcher un CSSS si votre stress entrave votre vie quotidienne. Plusieurs ressources sont disponibles!

Bien vivre le chaos familial

Avoir une famille, ce n’est pas toujours facile. Le projet Ma famille, Mon chaos m’a tout de sui

Avoir une famille, ce n’est pas toujours facile. Le projet Ma famille, Mon chaos m’a tout de suite interpellé parce que c’est clairement une réalité qui touche des millions de familles ici comme ailleurs !

La psychologie, c’est mon domaine (je suis présentement au doctorat en psychologie) et, en lisant la description du projet de Maïka et Étienne, je me suis tout de suite demandé : Combien de familles ressentent le chaos familial?

L’American Psychological Associations’est également penchée sur la question l’an dernier et a tirédes conclusions qui vont vous intéresser, je crois!

En voici quelques unes :

  • Les parents ressentent davantage de stress que les non-parents en général (HA!)
  • La majorité de ces parents considèrent qu’ils n’en font pas assez pour gérer leur stress.
  • Les causes principales de stress selon les parents : Les finances, les responsabilités familiales et les dépenses reliéesau « day to day life » (la vie de tous les jours).
  • Plus le niveau de stress est élevé, plus les parents ont tendance à être sédentaires ou à avoir des habitudes moins saines pour le gérer. Par exemple : boire de l’alcool ou fumer la cigarette.
  • Le stress affecte aussi l’alimentation des parents : Sauter un repas, trop manger, manger de la junk, etc.
  • L’irritabilité/la colère, la nervosité/l’anxiété, et se sentir « dépassé » sont les symptômes les plus couramment rapportés par les parents stressés.
  • La moitié des parents ont rapporté avoir « perdu patience » avec leur enfant parce qu’ils étaient stressés.
  • Le stress semble même paralyser ces parents et les empêcher d’entreprendre des changements de vie qui seraient bénéfiques.

Nous pouvons bien voir que le stress familial affecte autant l’état physique, psychologique et émotionnel des parents. Tout cela peut bien évidemment affecter ensuite les enfants.

(Si vous voulez en savoir davantage sur cette étude : http://www.apa.org/news/press/releases/stress/2014/stress-report.pdf)

Bon. Maintenant, stop.

Être parent ce n’est pas être condamné à être stressé jusqu’à la fin de la vie. Au contraire. Il y a beaucoup de merveilleux aspects à être parents qui en valent amplement la peine. Ma famille, mon chaos, c’est ça. C’est un point de rendez-vous où trouver des outils, des idées pour alléger votre vie de tous les jours, votre chaos familial à vous. C’est aussi un lieu pour échanger sur ce que vous vivez et pour réaliser que vous n’êtes pas seuls!

Je tenterai de vous donner des explications et des pistes de solutions qui pourront (je l’espère) vous aider dans votre vie de parents, et ce toujours sous le

regard de la psychologie.

Vous reconnaissez-vous dans les conclusions de cette étude?