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La saga des lunchs

Nous sommes en plein mois de septembre, la rentrée est derrière no

Nous sommes en plein mois de septembre, la rentrée est derrière nous depuis quelques jours. Nous essayons tant bien que mal de prendre ou de reprendre notre routine pour l’année scolaire. Qui dit routine dit aussi routine des lunchs. Il y a quelques semaines, alors que la campagne électorale commençait, un parti politique nous a fait une promesse électorale qui m’a fait un peu sursauter. Nous allons vous offrir, chers parents, des lunchs. Oui, oui! Des lunchs pour vos enfants. Notre priorité, c’est la conciliation travail-vie familiale et nous voulons vous aider en nous occupant des lunchs.

Pour être franche, ça m’a un peu irritée et ça m’a provoqué un certain malaise. Je ne dis pas que l’idée est mauvaise, mais là où moi, ça m’a dérangée, c’est de dire que les parents n’ont pas le temps de faire des lunchs. C’est ce qui m’a frappée. Sommes-nous à ce point si surchargés que de planifier les lunchs devient un irritant? Sommes-nous rendus à trouver cela si lourd de nourrir nos enfants? J’en conviens, parfois ça pèse, mais est‑ce que nous avons pleine conscience du geste que nous posons de faire ce fameux lunch?

C’est vrai que cela prend un certain niveau d’organisation, ça prend du temps, soit la veille ou le matin avant le départ. Je crois sincèrement que ça prend un minimum de volonté et un soupçon de rigueur. Ce n’est pas toujours plaisant, mais en même temps à mes yeux, c’est un geste d’amour. Est-ce que j’ai vraiment envie que le gouvernement gère jusqu’à la boîte à lunch de mon enfant sous le prétexte que nous sommes débordés?

C’est ce bout‑là qui vient le plus me chercher. Je me croyais assez seule dans mon raisonnement, mais dans les derniers jours, j’ai vu une discussion lors d’une émission à la télévision où l’on parlait des lunchs. L’animatrice expliquait que la journée où elle a saisi que c’était un geste d’amour qu’elle posait pour ses enfants, sa vision a complètement changé. Une autre personne expliquait à quel point, nous démontrons notre présence à notre enfant à travers la boîte à lunch. Cette vision peut sembler très poétique pour certains parents, mais en même temps, elle peut nous amener sur une piste de réflexion pour nous aider à nous recentrer sur le rôle de la boîte à lunch dans une routine familiale.

Donc, ma question : est‑ce vraiment la solution que le gouvernement prenne la responsabilité des lunchs? Pour moi, non. Il faut un minimum de rigueur et de planification, mais prenons deux minutes pour penser au fait que nous donnons de l’amour à nos enfants. Nous leur donnons notre présence grâce à la boîte à lunch et surtout, nous nous assurons de leur donner le carburant nécessaire pour assurer leur développement.

C’est de notre responsabilité de voir au développement de notre enfant. Vous pouvez ne pas être en accord avec mon propos et je n’ai aucun problème. Je crois qu’il faut faire une prise de conscience parfois et se mettre en mode solution, surtout lorsqu’il s’agit de nos enfants.

Evelyne Blanchette

Je déteste cuisiner!

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Je déteste cuisiner. Je fais à manger parce que je n’ai pas le choix. Je cuisine simplement et de façon équilibrée. Au quotidien, c’est moi qui suis dans la cuisine. Mes enfants n’ont jamais ingurgité de bouffe toute préparée depuis qu’ils sont nés. J’ai confectionné des tonnes de purées de légumes, de compotes de fruits, de biscuits et de mets en tout genre.

Et un soir…

– Maman, mes amis ont toujours des lunchs trop délicieux pis moi, je mange de la « scrap ».

– Quoi???

– Pourquoi tu ne fais pas mes lunchs?

– Parce que tu as quatorze ans et que je pense que ça ne te rendrait pas service… Et comment sais-tu que les repas de tes amis sont si bons?

– Ils ont « l’air » bons.

– Fais-toi des lunchs qui ont de l’allure alors.

– C’est à toi de me cuisiner de bonnes choses, que je pourrais mettre dans des plats et apporter à l’école.

– Je le fais avec mes lunchs à moi, je cuisine tous les dimanches et je fais MES lunchs, parce que j’ai préparé TES lunchs pendant des années et que tu chialais tout le temps. Alors un jour, il y a trois ans, j’ai arrêté de faire de toi un assisté qui râle. T’es pas content? Fais ta bouffe.

– Quand papa est là, lui au moins, il cuisine de bonnes choses…

VLAN. Ledit papa qui est à la maison peu souvent et qui ne travaille pas quand il est là… ce chéri qui adore cuisiner et mijoter des petits plats, inventer des recettes, fouiller, trouver de nouveaux ingrédients… Ce soir-là, j’aurais pu trouver plein d’excuses pour mon garçon : je manque de temps, je travaille trop, c’est cher des bons aliments… Mais je dois me rendre à l’évidence : je déteste cuisiner!

– Je préférerais que tu aimes cuisiner…

– Pis que je passe des heures dans la cuisine, au lieu de lire, faire du sport, aller voir mes amis, pour que tu engloutisses le repas en trois minutes? NO WAY! Tu sais lire?

– Ouin?

– Bah check des recettes et cuisine ce que tu as envie, go! Fais-toi plaisir, mon homme!

Pourquoi je me sens jugée parce que je n’aime pas cuisiner? Je n’aime tellement pas ça que j’ai allaité longtemps mes enfants pour ne pas avoir à leur préparer de biberons! Je n’ai aucun fun debout, seule dans ma cuisine pendant que le monde s’amuse! Recevoir à souper est pour moi une corvée!

Par obligation, et par souci d’une saine alimentation, je cuisine chaque jour. J’essaie de varier, je manque souvent d’idées et trente minutes avant le repas, je ne sais jamais ce que nous allons manger. Je ne supporte pas de tout organiser à l’avance. J’ouvre le réfrigérateur et je me décide. Chaque jour…

Alors quand mon ado de quatorze ans me reproche le fait qu’il mange de la « scrap », je suis blessée et fâchée. Mais j’assume ce point : je déteste cuisiner! Et ça ne fait pas de moi une mauvaise maman!

 Gwendoline Duchaine

Histoire de lunch

L'anecdote que je vous raconte aujourd'hui s'est produite cette sema

L’anecdote que je vous raconte aujourd’hui s’est produite cette semaine. L’idée m’est venue de la partager avec vous grâce à mon conjoint qui, de sa belle plume humoristique, en a fait un statut sur sa page Facebook.

Mardi midi :

– Chérie, il reste un hamburger, je le garde pour un autre repas? me demande mon conjoint
– Bah oui mon amour, lui répondis-je.

Mardi soir :

– Chéri, j’ai fait les sandwichs pour les filles pour demain, lui dis-je d’un ton collaboratif
– Merci Karine!, me répondit l’homme de ma vie.

Mercredi matin, ma plus jeune (5 ans, nouvellement écolière) était malade, elle était donc restée à la maison avec moi.

Mon conjoint s’occupe de terminer le lunch pendant que je termine mon déjeuner (chez nous, on est fort sur le « travail d’équipe »!) :

– Euh chérie… notre grande ne met pas de fromage dans sa sandwich.
– Je sais ça… Celui de notre grande est dans le plat à sandwich bleu, lui dis-je.
– Ah OK!, s’exclame-t-il tout en prenant le plat bleu, pour ensuite le placer dans la boite à lunch.

Mercredi en fin d’après-midi

Mon conjoint va chercher notre grande (8 ans, 3e année) à l’école :

– Papa, vous êtes ben pas le fun de me mettre un hamburger dans mon lunch avec rien dedans le pain, lui dit notre fille avec un ton légèrement accusateur.

Il prend un temps pour réfléchir… Hier midi, les sandwichs étaient faites avec les pains à hamburger… Il n’en restait plus me semble… Karine n’a pas pu faire le sandwich avec… euuuuuh… OSTI,  j’avais mis le dernier pain hamburger dans un plat à sandwich bleu hier midi!! 

– Euh… y’avait pas de jambon dedans? lui demande-t-il.
Jambon en anglais c’est ham, on en aura juste donné plus… tsé…
– Non! lui répond notre progéniture, d’un ton catégorique, sans appel!
– Et tu l’as mangé?
– Oui, c’était pas ben bon un hamburger FROID… en tout cas, lui dit-elle avec un semi-air de dégoût et une folle envie de rire.

* Fait à noter : les enfants n’ont pas accès à un four micro-ondes! 

Les deux ont éclaté de rire, ils étaient crampés!  Par contre, à ce moment-là, papa ressentit une immense culpabilité de s’être trompé et d’avoir privé notre grande d’un dîner savoureux.

– … Euh… As-tu eu des commentaires? la questionne-t-il d’une voix incertaine, redoutant la réponse.
– Non, je l’ai juste à dit à mon amie comme quoi mes parents étaient CINGLÉS de me mettre ça comme lunch, lui dit-elle en reproduisant le même geste (tsé l’au revoir royal, mais brusque, à côté de l’oreille) qu’elle a fait au moment de la surprenante découverte de son hamburger FROID et DÉPOUILLÉ de toutes garnitures!!!

Ils étaient encore crampés! Après tout, vaut mieux en rire qu’en pleurer!

Mon conjoint m’envoie un texto :

– Criss notre grande a mangé un hamburger froid!
– Tu me niaises? lui écris-je, mes yeux s’agrandissant d’étonnement.
– Non! Y’avait deux plats bleus faut croire….
– Pauvre chouette y’était sec en plus, lui répondis-je tout en réfléchissant sur ce qui a bien pu se produire, la culpabilité m’envahissant au même rythme que mon fou rire.
– Bon, au moins y’a pas de sandwich à faire demain pour notre grande, se dit-il en voyant le positif de la situation.

Au retour de mon conjoint et de ma grande à la maison :

– Chéri, tu ne sais pas la meilleure? lui dis-je, en retenant difficilement mon envie de rire.
– Non…
– J’ai donné le sandwich de notre grande à notre petite malade ce midi, par erreur… Oups! Il reste celui de notre petite finalement!

Morale de cette histoire

Ne jamais mettre autre chose dans les plats à sandwich dédiés aux lunchs des enfants que des SANDWICHS!!!

Bon, il serait aussi une excellente idée d’identifier les plats ou encore, comme le suggère un de nos amis, celui qui débute le lunch doit aussi le terminer!!!

Rigidité alimentaire – L’enfer des lunchs

Quand j’étais jeune et qu’arrivait le mois d’août, j’adora

Quand j’étais jeune et qu’arrivait le mois d’août, j’adorais aller magasiner pour les articles scolaires. Il me semblait qu’un monde de possibilités s’ouvrait à moi avec tel cahier ou tel nouveau crayon. En devenant maman, j’entrevoyais le même monde de possibilités pour mon grand alors que nous allions circuler dans les rangées du Bureau en Gros pour passer à travers sa liste à lui.

Ce dont je ne me doutais pas à ce moment-là c’est que pour moi, le mois d’août amènerait autre chose que l’excitation des nouveaux cahiers et crayons; LA fameuse question que tout parent se pose : « qu’est-ce que je vais mettre dans son lunch? ».

Je ne sais pas pour vos enfants, mais pour le mien, la liste des items que je peux mettre dans son lunch est assez limitée. Il n’aime pas les légumes, les fruits doivent être très froids pour qu’il en mange. Ajoutons à cela le fait qu’il ne veut pas toujours manger ce qu’il a eu pour souper la veille. Bref, un beau casse-tête quotidien !

Fiston a consulté une nutritionniste qui l’a regardé manger ses lunchs, mais ne s’adressait jamais à lui, toujours à moi. J’ai eu droit à pleins de reproches sur la grosseur des morceaux et le type de légumes que je lui présentais. D’un commun accord avec fiston, nous avons abandonné la nutritionniste. J’ai choisi mes batailles et j’ai acheté des vitamines Flinstones pour « les enfants ne mangeant pas assez de fruits et de légumes ». Après tout, s’il y en a, manifestement mon fils n’est pas une exception, il y en a d’autres comme lui.

Je vous entends me dire d’essayer les compotes de fruits avec des légumes. Les compagnies ayant mis le dessin des carottes sur l’emballage, que pensez-vous que fiston a dit en regardant sa compote? Je vous le donne dans le mille : «il y a des légumes dedans, j’en veux pas !!!!!». J’y ai personnellement goûté, le goût de carottes n’est pas subtil pour deux sous et ce n’est pas fameux comme goût de manière générale non plus. Je me répète, mais vive les vitamines Flinstones!

Je dois vous paraître un peu « molle » comme mère d’opter pour les vitamines, je plaide coupable. Je choisis mes batailles comme je le disais plus haut. Pourquoi abandonner les légumes ? Mon fils a une particularité qui le différencie des autres : il est autiste. Le diagnostic du trouble du spectre de l’autisme vient presque automatiquement avec une rigidité alimentaire. Ce faisant, en plus de vouloir offrir des lunchs complets et variés je dois composer avec des rigidités alimentaires et une sensibilité aux textures. Si pour vous faire des lunchs est une corvée répétitive, pour moi c’est un enfer quotidien de septembre à juin.

Les rigidités alimentaires font partie de notre quotidien. Nos familles et nos amis se sont familiarisés avec cette notion et ça va bien à l’heure des repas. Par contre, à l’école, avec les surveillants de dîner, ce n’est pas toujours évident. Oui, les mêmes lunchs reviennent souvent. Oui, parfois mon enfant va même refuser de manger son repas en raison de la texture de l’aliment une fois passé au four à micro-ondes. Je peux passer n’importe quelle viande ou poisson à fiston si c’est entre deux pains hamburgers, mais l’école ne voit que les deux pains hamburgers. Des notes dans l’agenda s’en suivent sur le fait que son menu n’est pas assez varié.

Je compense donc en mettant plusieurs « à côté » sur lesquels il peut se rabattre au cas où : du yogourt, des morceaux de fromage, une 2e compote, des biscuits à l’avoine et pépites de chocolat faits avec de la pâte de légumes (une maman s’essaie). Donc tous les jours il a un méga sac à lunch, tous les groupes alimentaires sont présents et je sais qu’il n’aura pas le ventre vide si jamais le four à micro-ondes avait « détruit » le repas principal.

La saison de l’anxiété parentale face aux lunchs et aux notes dans l’agenda qui viennent parfois avec est de retour. Courage, il ne reste que 15 semaines avant la pause de confection des lunchs au Temps des Fêtes 😉

J’ai testé – Les contenants FUEL pour les lunchs

Ma Famille Mon Chaos m’a donné comme mission d’essayer les contenants Fuel. Comme je n

Ma Famille Mon Chaos m’a donné comme mission d’essayer les contenants Fuel. Comme je n’ai jamais eu la chance de trouver des contenants pour les lunchs qui ont du sens et ne coulent pas, j’étais contente de pouvoir faire l’essai de ces plats.

Les plats que j’ai reçus sont: l’ensemble de boîte à lunch (contenant à sandwich, à trempette et la boîte à jus), l’ensemble à condiment et le contenant à collation Snack Pod.

Tout de suite en les recevant, ils ont eu le premier test ultime, le bébé! En quelques secondes, mon petit bout de nerfs faisait virevolter les plats partout et les traînait de tout son poids sur la céramique. Résultat, ils sont encore comme neufs. Le seul qui a eu quelques écorchures sur le rebord a été traîné sur le ciment.

Souvent, les compagnies de plats en plastique disent que leurs contenants vont au lave-vaisselle, mais avec restrictions (peuvent seulement aller dans le panier du haut). J’ai donc mis tous les contenants Fuel dans mon panier du bas. Ils en sont ressortis propres, intactes et prêts à être utilisé. Le seul bémol est le couvercle du contenant à trempette qui a tordu un peu, mais en le replaçant il est redevenu droit.

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Aussitôt, je me suis préparée un lunch pour le lendemain avec mes nouveaux contenants Fuel. Moi et mon copain avions quelques doutes sur l’efficacité du contenant à sandwich. Comparativement au sac Ziploc, il semble trop grand pour mon petit sandwich. À l’heure du dîner, j’ai été agréablement surprise de voir mon sandwich intact et même plus froid qu’à l’habitude.

Le contenant à trempette est vraiment fabuleux. C’est ma découverte de cette expérience. On peut faire toutes les combinaisons de notre imaginaire. Beurre d’arachides/pommes, fromage à la crème/craquelins, humus/carottes, etc… C’est facile d’utilisation avec son petit couteau intégré dans le couvercle et d’une bonne grandeur autant pour les enfants que pour les adultes. La double paroi de ce contenant garde bien le froid. Par contre, ce n’est pas un contenant qui se dit thermos, il ne garde pas le froid à ce point.

Pour la boîte à jus, elle fonctionne très bien, comme la plupart des boîtes à jus. J’ai trouvé un peu bizarre que la paille soit carrée les premières fois, mais avec le temps on s’habitue. Ce qui est intéressant c’est sa forme rectangulaire qui s’insère bien dans la plupart des boîtes à lunch. On optimise l’espace de notre sac au maximum.

Le contenant à collation Snack Pod a un bloc réfrigérant (ice pack) que l’on visse à l’intérieur de son couvercle. Ultra pratique pour les yogourts avec petits fruits et les compotes. J’ai bien aimé avoir mon contenant toujours froid sans être obligé de le mettre dans le réfrigérateur. Je l’ai utilisé à plusieurs reprises pour mettre la collation de mon bébé quand je partais à l’aventure.

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condiments

Malheureusement, l’ensemble à condiment ne m’a pas convaincu. Aussitôt que j’ai ouvert les couvercles, les anneaux en plastique d’étanchéité sont tombés… et ils n’ont jamais arrêté de tomber. Je comprends que le but est un nettoyage facile du couvercle, mais j’ai déjà perdu l’anneau d’un de mes contenants. Le contenant est encore efficace, mais ils n’est plus aussi étanche que les deux autres. Sinon, pour apporter trempette et vinaigrette, c’est un bon format.

 

 

 

Finalement, les contenants Fuel sont très efficaces et ils n’ont jamais coulé dans ma sacoche.

Je les aime tellement que je m’en suis acheter quelques-uns de plus. Je les recommande à tous!

Canapés à la goberge et à l’avocat

En manque d’idées pour un lunch rapide ou une collation simple, bonne pour la santé et souten

En manque d’idées pour un lunch rapide ou une collation simple, bonne pour la santé et soutenante?

Ces craquelins à la goberge et à l’avocat sont la collation par excellence.

Ils sont tellement bons que vous ne voudrez même pas les partager avec vos tout-petits 😉

Pour une dizaine de craquelins.

Ingrédients

  • 2 bâtonnets de goberge
  • 1 avocat
  • 1 c. à soupe de mayonnaise
  • 1 c à thé de jus de citron
  • Sel et poivre au goût

Préparation

  • Couper les bâtonnets de goberge et l’avocat en petits cubes.
  • Mélanger dans un bol tous les ingrédients.
  • Séparer le mélange sur des craquelins style breton.

ASTUCE : Vous pouvez même mettre le contenu de cette recette sur un toast le midi et vous avez un lunch rapide!

Choix santé pour la boîte à lunch

Soyons francs, il n'est pas de tout repos de faire un lunch pour l'école!
  • Trop de sucre

    Soyons francs, il n’est pas de tout repos de faire un lunch pour l’école!

    • Trop de sucre par là
    • Trop de sel aussi
    • Ohh les méchants OGM
    • Pas assez de fibres
    • S.O.S.: ARACHIDES EN VUE !!!

    Bref, de quoi nous donner bien des maux de tête. De plus, les idées ne se bousculent malheureusement pas lorsque vient le temps de parler des repas pour la boîte à lunch. Plusieurs d’entre-nous avons la fâcheuse habitude de mettre des repas “plattes” 🙂

    Vous savez, le fameux lunch “Sandwich, céleris/carottes, pommes, yogourt et barre tendre”. Aucun jugement ici, parce que quand vient le temps de préparer les boîtes à lunch, nous sommes les premiers à nous frapper la tête contre le mur et à choisir la fameuse option: FACILITÉ. Et ça inclus le repas mentionné ci-haut (Oui oui, honte à nous! De là le bonheur des repas chauds à l’école ; ).

    Voici un article publié par les supermarchés METRO, afin d’avoir de bonnes idées pour les lunchs de nos enfants : http://www.metro.ca/conseils-astuces/abc-cuisine/cuisiner-simplement/boite-lunch/idees-pour-boite-lunch-enfants.fr.html

    Bonne lecture 🙂

     

    Crédit photo : csss-iugs.ca