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Prendre le temps de voir le beau

On le fait tous. C’est facile. Ça fait du bien sur le coup, mais

On le fait tous. C’est facile. Ça fait du bien sur le coup, mais à long terme, bof…

On chiale. On parle de ce qu’on n’aime pas. On met l’accent sur ce qui nous fâche, nous attriste, nous tape sur les nerfs. Sur le coup, ça fait du bien de faire sortir le méchant. Pis c’est correct! Mais à long terme, quand le méchant prend toute la place et nous empêche de voir le beau, c’est sur les nerfs de notre entourage qu’on « tape ».

On le fait tous.

Pendant le souper, un enfant va raconter qu’il s’est chicané avec tel ami à la garderie. Un autre va parler de la peine qu’un ami lui a faite à l’école ou des travaux qu’il n’aime pas faire. Maman et papa vont parler des problèmes qu’ils ont eus au boulot, du stress qu’ils vivent, des commentaires poches qu’ils ont reçus, des enfants qui ont été « pas du monde » dans la journée… Bref, on le fait tous. On a tous des journées où ça va tout croche.

Mais même dans les pires journées merdiques et chaotiques, est-ce que ça va réellement tout croche, tout le temps?

Et si on s’arrêtait pour prendre le temps de parler du « beau » de notre journée?

En septembre dernier, un petit rituel s’est installé dans notre famille, malgré moi. Grande fille de cinq ans vivait une période un peu plus difficile avec beaucoup de changements. Grande fille est une enfant merveilleuse avec un trouble anxieux généralisé, une difficulté d’adaptation et une hypersensibilité. Mon cœur de maman et mon cerveau hyperactif aux mille idées cherchaient comment arriver à l’aider et à changer un peu la dynamique et l’énergie qui régnaient dans notre maison. Un midi, après une crise de larmes, elle m’avait timidement confié avoir osé prendre le bâton de la parole qu’ils utilisaient à la maternelle, lors des causeries, et elle était très fière d’elle. C’est alors que l’idée de fabriquer une « baguette magique » m’est venue.

Ce soir-là, j’ai bricolé ce qui allait devenir une partie importante de nos futurs soupers. Ma fille l’a baptisée « La baguette magique des beaux secrets ». À tour de rôle, pendant le repas, on allait prendre la baguette et parler d’au moins un beau moment que nous avions vécu dans notre journée. Un seul, pas besoin de plus si on n’en avait pas, mais tant mieux s’il y en avait plusieurs. Une chose qui nous avait rendus heureux ou fait du bien. Tout le monde devait participer.

Le premier soir, j’ai pu savoir pratiquement tout ce que grande fille avait fait dans sa journée! Elle qui était muette depuis des jours, elle était tellement emballée par l’idée, c’était beau à voir. Les premiers temps, j’imposais un peu ce petit jeu, question de ne pas oublier de prendre le temps. Puis, le temps est passé, grande fille allait de mieux en mieux et la vie suivait son cours. Ce sont alors les enfants qui se sont mis à réclamer la baguette magique des beaux secrets. Ou naturellement, un des deux plus vieux allait la chercher et l’apportait à la table.

Je me rappelle un soir où maman et papa avaient vraiment eu une mauvaise journée (lire : une journée de marde). Surtout papa. Il n’était pas d’humeur. Puis, son tour est arrivé pour partager le « beau » de sa journée. J’ai insisté pour qu’il dise au moins une chose. Il a fini par trouver. Et on dirait que les démons de la mauvaise journée se sont un peu dissipés.

Un jour, pendant qu’il l’avait dans les mains pour faire comme les autres, mon pas délicat de presque deux ans a cassé la baguette. Je me promettais d’en fabriquer une autre, puis le temps a passé, passé et passé. La baguette est tombée dans la catégorie « Faudrait ben que je fasse ça quand je vais avoir le temps ». Un après-midi, après l’école, grande fille m’a demandé de lui apprendre à dessiner des étoiles. Elle en a vite été capable et est aussitôt allée s’enfermer dans sa chambre avec des ciseaux, du carton et de la colle.

La version carton de la « baguette magique des beaux secrets » est née. C’est maintenant celle-ci que nous prenons pour prendre le temps de raconter nos « beaux secrets ». Je trouve ça tellement touchant de voir que l’initiative vient d’une cocotte de cinq ans.

Selon moi, ce petit moment fait vraiment une différence dans notre quotidien. La baguette prendra probablement le bord quand mes enfants vieilliront, mais j’espère que cette simple habitude restera en eux. Ça ne nous empêche pas de passer des journées merdiques, mais ça nous rappelle que malgré tout, il y a toujours du beau sous nos yeux. S’agit juste de prendre le temps de le voir.

Caroline Gauthier

Les points positifs d’avoir des enfants

Je remarque qu’autour de moi, en m’incluant, qu’il est plus fa

Je remarque qu’autour de moi, en m’incluant, qu’il est plus facile de chialer sur tout ce qui nous dérange de vous, petites créatures que l’on appelle enfants. Mais j’ai envie de vous partager l’autre côté de la médaille parent.

J’le sais, ce n’est pas toujours évident, mais il doit bien y avoir des raisons AGRÉABLES d’avoir des petits mousses. Sinon la planète commencerait à se dépeupler.

Bon, je commence. Pour moi, avoir des enfants est une expérience belle et enrichissante. Mes deux poulets m’apportent de l’amour en quantité industrielle. J’ai droit, TOUS LES JOURS, à des câlins, des bisous, des « Je t’aime maman. » Wow! Jamais je n’aurais espéré autant d’amour dans ma vie! Je regarde leurs yeux émerveillés quand je parle. Ils réussissent à me faire croire que je suis plus hot que Superman. Ils me font réaliser que j’ai du talent. « Maman, ton dessin est vraiment beau, tu n’as plus le droit de dire que tu es poche. » Ça remonte une confiance parce que comme on dit, « la vérité sort de la bouche des enfants. »

J’ai de l’aide au ramassage de la maison (bon, le bordel est souvent créé par eux, mais c’est un léger détail). J’ai plus de bras pour laver la vaisselle, passer le balai (même s’il y reste des miettes), plier le linge. Mes journées sont moins longues. Elles sont toujours bien remplies. Ils me tiennent occupée avec des jeux auxquels je n’ose pas jouer toute seule. Bref, je m’emmerde rarement!

Je peux parler de sujets très intéressants avec mon plus grand. J’ai même droit à un point de vue, parfois beaucoup plus objectif que le mien. J’apprends tous les noms des tracteurs possibles, également ceux des poissons, les noms scientifiques d’animaux et plein de choses divertissantes. Je dois avouer que son intelligence me jette par terre.

Je peux me permettre de m’émerveiller devant un papillon, un avion, un brin de gazon, une fleur, ou n’importe quoi qui me semble banal en tant qu’adulte, car petite crevette est devant et dit « Wow maman beau! » Alors, pourquoi ne pas en profiter pour l’apprécier à mon tour? Je vous jure que ça enlève au stress quotidien de regarder pendant dix minutes un pissenlit.

Parfois, les gros problèmes semblent moins pires aux yeux des enfants. Dans ce cas-ci, ça m’aide à les résoudre plus facilement. Ben oui, ce n’est pas grave quand je n’ai rien pour souper, car mes petits cocos en sucre d’orge me réclament, tout simplement, des céréales pour souper. Why not Peanut! Ne soyez pas inquiets, je ne dis pas toujours oui. Avec eux, il n’y en a pas de problèmes, il n’y a que des solutions.

Bref, avoir des enfants est ma plus adorable expérience à vie, la plus belle réussite que j’ai accomplie et ma plus grande fierté.

Les garçons, maman vous adore XOXOXOXOXOXOX

Karine Larouche

On sait bien, toi, ça va toujours bien!

Oui, on me la se

Oui, on me la sert souvent ces jours-ci. Je suis bien CHANCEUSE. Bien sûr, ce sont surtout les négatifs qui m’étiquettent de cette façon. Tu sais, les négatifs qui ont tendance à regarder leur nombril plus souvent qu’autrement? Ou les « amis » Facebook qui ont, selon eux, une vie de chien ou ceux qui vivent toujours le jour de la marmotte où une catastrophe n’attend pas l’autre? Ouin, j’y ai droit au « Comment ça se fait que tu vas toujours bien, toi? »

 

En fait, ce n’est pas vrai que cela va toujours bien dans ma vie. J’ai même très longtemps été celle qui voyait le verre à moitié vide. Celle qui notait à quel point il avait plu. Celle qui voyait le négatif dans tout. Mais maintenant, je suis convaincue que le négatif attire le négatif, donc je ne passe pas trop de temps à le partager. Quand je vais moins bien, que j’ai une dure journée, je ne le dis pas. Je travaille à ce moment-là à ne plus rester dans ces émotions.

 

Tony Robbins, qui est une légende du dépassement de soi, saute à répétition en disant « Je vais bien, je vais bien, je vais bien,… » lorsque ça ne va pas. Il saute jusqu’à ce que ce sentiment négatif soit sorti de lui et qu’il se mette à se trouver drôle de sauter! Alors je fais pareil parfois. Ou je mets mes lunettes roses. Elles me permettent de ne pas donner trop d’importance à une situation. Ou je récite le mantra Ho’oponopono, qui me permet de me nettoyer intérieurement de ce qui me ronge.

 

J’ai décidé que ma vie ne serait pas négative. Que je mettrais d’énormes (oui, oui, je dis bien énormes) efforts pour voir le beau et le bon de la vie. Quand un truc me dérange, je fais comme Dan Bigras pis « je revire ma chaise de bord ». Je ne suis pas obligée de rester là à vivre mon inconfort. Je ne suis pas obligée d’être écœurée de ma vie ou de mon chum ou de mon travail ou de mes enfants. J’ai décidé que ma vie, je ne la subirais pas. Que je verrais du beau dans chaque échec. De la joie dans chaque tristesse (croyez-moi, j’en ai passé des bouts difficiles). J’ai ce choix-là, de faire de ma vie ce que je veux.

 

Alors, quand vous regardez mon profil Facebook, que vous me croisez dans la rue et que vous vous dites que «  je suis trop CHANCEUSE que ma vie soit parfaite », dites-vous que je mets bien du travail émotionnel à vivre une vie POSITIVE! La chance n’a rien à voir là-dedans…

Vous ne le saviez pas, mais même une gastro a du positif!

Le système immunitaire de mes enfants est blindé. Depuis l’autom

Le système immunitaire de mes enfants est blindé. Depuis l’automne, j’entends tous les parents de mon entourage raconter que leur mamaille a encore rapporté un virus ou une bactérie de la garderie ou de l’école. Grippe, bronchite, pneumonie et la fameuse g… (pas comme dans point G… plutôt comme dans maudite gastro qu’on déteste encore plus qu’un enfant peut détester le tofu et le chou kale)… Ça circule dans les maisons à partir du 1er septembre jusqu’au 23 juin. Et là, avec le redoux, les habits de neige détrempés et l’odeur de vestiaire de hockey qui empeste dans les écoles, c’est pire.

Mes enfants ont eu un petit rhume par-ci, par-là depuis la rentrée scolaire, mais c’est tout. Ça durait une journée ou deux, et on passait à autre chose. Touchons du bois! Mais oups! Trop tard! La gastro s’est frayé un chemin jusque chez nous. Quelle magnifique façon de célébrer le début de la semaine de relâche!

Dès le premier cri paniqué (« Mamaaaaaaaaan! Coco vomit! »), j’étais déjà écœurée de ramasser, nettoyer, décrotter, désinfecter, et on recommence. Au moins, je ne suis pas malécœureuse comme mon mari!

Malgré tout, il y a quand même du positif dans un épisode de maladie format familial (oui, j’étire l’optimisme jusqu’à l’exagération… mais c’est la seule façon de s’en sortir vivant et sain d’esprit!) :

–          Bien sûr, gastro = cinq livres de moins. Plus efficace que n’importe quel régime. Mais déconseillé.

–          C’est le temps de manger des popsicles au Pedialyte!

–          C’est un moyen très convaincant de vous encourager à désinfecter la maison de fond en comble et d’ouvrir les fenêtres pour aérer. Ok, avant qu’on ait pu désinfecter, ça ne sent pas la joie en la demeure, mais après, oui. (Merci, compagnie de nettoyants qui ajoutent des parfums qui sentent bon pour vrai et qui n’irritent pas trop les narines!)

–          Ça coûte pas mal moins cher d’épicerie! Ok, c’est poche si vous veniez juste de passer une commande Costco de 600 $. Mais sinon, vous allez économiser sur votre semaine d’épicerie!

–          On a le droit de prendre autant de bains chauds qu’on veut, à n’importe quelle heure du jour et de la nuit. J’avoue, ce n’était pas l’idée que vous vous faisiez d’un bain de minuit, mais au moins, ça aide à se sentir mieux.

–          C’est le temps de prendre des photos mentales de la solidarité qui unit vos enfants. Oubliez les faces dégoûtées de « Ark! Tu pues donc ben! Tu aurais pu te retenir! » et concentrez-vous sur la grande qui offre de cuisiner le repas pour ceux qui ne sont pas malades pendant que toi, parent atteint, tu es vert-blanc-transparent juste à l’idée de toucher à de la nourriture. Ou encore sur le petit qui va chercher des guenilles pour que toi, tu puisses nettoyer les flaques.

–          Au bout de cinquante brassées de lavage en trois jours, vous saurez que votre laveuse et votre sécheuse sont solides.

–          Si vous avez normalement de la misère à vous calmer le pompon, ce sera l’occasion rêvée pour annuler tous vos engagements, reporter toutes les visites et les soupers prévus et prendre un abonnement à votre pyjama pour les prochaines soixante-douze heures. Mise en quarantaine oblige!

–          Quand les enfants recommenceront à manger autre chose que de la soupe malade, ils redécouvriront les talents de cuisiniers de leurs parents et les apprécieront grandement.

–          Je ne sais pas pour vous, mais moi, j’ai le modèle d’enfants malades qui deviennent vraiment tranquilles, qui ne se plaignent pas et qui sont très reconnaissants pour ce qu’on fait pour prendre soin d’eux. Pendant que je changeais les vêtements de mon garçon qui s’était « échappé » en dormant, il s’est réveillé juste assez pour me dire « Merci, maman, de nettoyer mes jambes… » J’ai trouvé ça mignon.

–          Si vous aviez encore des congés familiaux en banque, c’est le temps de les écouler avant la fin de l’année financière. Sinon, désolée! Ça va gruger sur votre banque de congés annuels ou sur votre salaire. Il n’y a pas juste du positif dans la vie!

–          Admettons que vous étiez tannés de lire l’histoire du dodo et de chanter la berceuse du soir, vous aurez une pause. Enfants malades = enfants qui s’endorment vite et partout. Après avoir ramassé, nettoyé, désinfecté toute la journée et toute la nuit, je vous jure que vous non plus, vous n’aurez pas besoin de berceuse pour vous endormir le soir. Sauf bien sûr si c’est votre tour de visiter la toilette aux cinq minutes!

Si vous comptez parmi les nombreuses famille qui sont attaquées par une gastro fulgurante, lâchez pas! C’est comme l’hiver et l’acné, ça finit par passer…

Nathalie Courcy

Dix trucs pour mettre du positif dans la vie!

J’ai décidé de mettre du positif dans ma vie et par ricochet, dans celle des autres! Alors voici

J’ai décidé de mettre du positif dans ma vie et par ricochet, dans celle des autres! Alors voici dix trucs pour améliorer le quotidien.

  1. Être aimable!

C’est incroyable comme un sourire change tout dans une journée! Alors j’accroche un beau sourire dans ma face! Glisser un bonjour, un mot gentil, prendre des nouvelles, échanger et s’intéresser à l’autre… autant de détails qui rendent le quotidien plus enjoué!

  1. L’humour!

On peut rire de presque tout, croyez-moi. Dans les moments les plus terrifiants de mon existence, blaguer m’a sauvée. Alors, rions! N’ayons pas peur de rire! C’est tellement bienfaisant, rire!

  1. La musique!

Il y a toujours une musique qui joue dans mon cœur. Chaque minute a sa chanson. Allumer la radio, écouter un album, fredonner… La vie, c’est chanter! Tout est si beau en chanson! La musique est partout, tout le temps. Et n’oublie pas : « Danse comme si personne ne te regardait… » Monte le son et laisse-toi porter…

  1. La bouffe!

Hey! C’est important, manger! C’est vital même! Alors je prends soin de ce que je mange : tout ce qui est susceptible de maganer mes chères artères… j’évite! Je fais le plein de fruits et de légumes pour être pleine de vitamines, de chocolat pour… mon moral! Je grignote des peanuts le soir dans mon canapé parce que… j’aime ça! Pis je savoure chaque repas, en prenant le temps!

  1. La bière!

Certains diront : le vin! D’autres : le thé! Ou encore : les smoothies! Ma boisson préférée, c’est la bière! Ça m’aide aussi à ne pas trucider mes ados et à lâcher prise sur le ménage!

  1. La surdité sélective!

C’est incroyable, le nombre de niaiseries, de méchancetés et de mauvaises nouvelles qu’on peut entendre dans la vie (et souvent même dans une journée!). Et bien, je décide ce que je garde! Tu peux ben cracher ton venin, je m’en contrefiche! Ça glisse sur mon positif et ça prend le bord! Hein? Qu’est-ce que tu as dit? Je n’ai pas entendu!!!

  1. Bouge!

Un esprit sain dans un corps sain! Il faut bouger! Nos organismes en ont besoin! Chaque jour, je passe au moins une heure dehors, à marcher, courir, patiner, jouer. On se sent tellement bien après! Prenez ce temps-là pour vous, car vous le méritez! Pis on ne se met pas de pression, on se fait plaisir! Go! Go! Go! On bouge!!!

  1. Se divertir!

Lire, aller au musée, sortir au cinéma, écouter en rafale des séries télé, surfer sur Internet, tricoter, dessiner, jardiner, sortir avec ses amis, manger au resto… Hey! La liste est longue! C’est important de se divertir! C’est une priorité! C’est notre oxygène cérébral!

  1. Prendre un bain!

Quand il fait trop froid, quand tu as besoin de t’isoler (oublie pas de barrer la porte!), quand tu es fatigué, quand tu es trop poilue pis que tu dois te raser en entier, quand tu veux lire, quand tu veux dormir… Mets des huiles qui sentent bon, des boules, de la mousse, du beurre de coco… et plein de chandelles!

  1. S’arrêter…

Chaque soir, je prends quelques minutes pour faire le point. Je me pose. Je prends mon petit journal qui, chaque jour, me pose une question différente, me forçant ainsi à répondre à quelque chose de nouveau. Je dois y penser et ressortir un point positif. C’est mon petit moment, qui me permet de réaliser à quel point je suis choyée. Et que la vie… c’est maintenant!

Gwendoline Duchaine