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Le saut vers le secondaire – Texte: Joanie Fournier

Ma grande fille aura 12 ans cette année. Elle est en sixième année du

Ma grande fille aura 12 ans cette année. Elle est en sixième année du primaire et l’an prochain, elle devra faire le grand saut vers le secondaire. Quand moi j’avais son âge, ça me semblait tellement simple. Soit je pouvais aller à l’école publique du quartier, avec la majorité de mes collègues de classe. Soit je pouvais choisir une école secondaire privée, si mes parents avaient les moyens financiers.

En 2022, le système d’éducation privé semble bien inchangé. Je retrouve les mêmes noms de collèges que ceux que j’ai connus à l’époque. Par contre, le système public a pris une tout autre tournure ! Il existe maintenant des dizaines de profils possibles, qui touchent à différentes spécialités et qui répondent aux intérêts des jeunes. C’est vraiment formidable.

Il existe des profils spécialisés en sports, en danse, en anglais, en espagnol, en théâtre, en arts, en musique… Chaque école publique semble avoir développé sa propre spécialité. Je trouve le concept vraiment fantastique. À mon époque, tout le monde allait à la même école, mais suivait un cours à option différent. De nos jours, je constate que les élèves ayant les mêmes centres d’intérêt semblent se regrouper dans chacune des écoles.

Mais voilà qu’il y a un revers à cette médaille : l’absence d’accompagnement. J’ai dû faire moi-même, comme parent, une recherche au centre de services scolaire de ma région pour connaître chacune des écoles. J’ai réalisé que nous avions 12 choix d’écoles publiques juste dans mon secteur. Je me suis assise avec ma grande fille pour lui expliquer qu’elle devait choisir où elle voulait postuler.

Personne à l’école primaire ne lui en avait parlé. Personne n’a pris le temps de regarder avec ces élèves ce qu’ils aiment comme discipline. Pourtant, TOUS ces élèves iront immanquablement vers cette transition l’automne prochain ! Comment se fait-il que leur école primaire ne les y prépare pas ?

Avec ma fille, j’ai fait des tests de personnalité et j’ai parlé avec elle des matières qu’elle aime présentement au primaire, et des matières qu’elle aime moins. Nous avons écarté avec elle les écoles et les profils en danse, en sports et en théâtre… Elle a hésité un peu, puis a écarté aussi les profils de musique. Elle semblait se diriger vers les langues avec plus de plaisir et de facilité. Même avec de tri, il lui restait quatre écoles dans lesquelles elle voulait postuler.

Entre septembre et novembre, elle a donc passé tous les tests d’admission pour ces quatre écoles secondaires, toutes dans notre secteur. Des examens écrits, des vidéos à tourner, des lettres de motivation à rédiger. J’ai mis un point d’honneur à ce qu’elle passe au travers de tous les processus seule. Jamais elle n’a pu bénéficier de mon aide, de mes conseils ou de mes réponses. Par contre, j’ai été là, à chaque étape pour la soutenir, la rassurer et l’encourager.

Son école primaire actuelle n’a été d’aucune aide, d’aucun soutien. Si je n’avais pas fait mes propres recherches, je n’aurais pas obtenu la moitié des informations pertinentes. J’aurais manqué plusieurs dates limites concernant les tests d’admission également. Je travaille à temps plein. J’ai quatre enfants. Mais clairement, je suis aussi devenue l’assistante de son agenda durant l’automne tout entier.

Ma fille a de la chance. Elle adore l’école et elle réussit très bien. Elle a eu l’immense honneur d’être sélectionnée dans les quatre écoles dans lesquelles elle a postulé. Mais encore fallait-il faire un choix. Et encore une fois, aucun soutien de la part de son école primaire.

Elle s’est assise devant les quatre profils. Elle a appris à peser les « pour » et les « contre ». Elle a regardé les transports disponibles, les amis acceptés, la proximité, les choix de cours, les vidéos de présentation des écoles… Elle a considéré chacun des points et a trouvé ça très dur de trancher…

« Maman… Et si je trompe ? Et si je ne suis pas heureuse dans l’école que je choisis ? Et si je veux changer d’idée ensuite ? Ou l’année prochaine ? Et si je n’y arrive pas… ? » 12 ans. Elle a 12 ans et semble devoir porter le fardeau de son futur sur ses petites épaules. C’est définitivement beaucoup de pression pour une enfant.

Elle a pris son temps pour bien choisir. Elle s’est assurée d’être certaine certaine certaine de son choix avant d’envoyer sa réponse aux écoles. Elle a finalement choisi le programme d’éducation internationale. Elle a eu un coup de cœur pour l’apprentissage des langues, le don de soi, le bénévolat et l’ouverture vers les autres. Sa personnalité colle tellement bien à ce profil, je le sais.

Pendant tout le processus, j’ai tout fait pour me montrer impartiale et ne jamais influencer ses choix. C’est sa vie, pas la mienne. Elle a été sélectionnée pour qui elle est, et non pas pour qui elle pense devoir être.

Malgré tout, je reste avec cette impression que son école primaire aurait dû accompagner ses élèves dans cette transition. Faire venir un spécialiste en orientation, les préparer aux différentes possibilités des tests d’admission, les informer pour leur permettre de faire un choix éclairé. Ils sont jeunes, certes, mais consciencieux. Ils n’ont pas à être lancés dans cette aventure les yeux bandés… Les écoles primaires devraient les éclairer, les informer et briser les tabous. Aucun enfant de 12 ans ne devrait vivre cette transition démuni et face à l’inconnu.

J’aimerais beaucoup vous entendre…

— Vous enseignez en sixième année du primaire ? Que faites-vous dans votre classe pour préparer vos élèves à cette grande étape ? Ou suite à cette lecture, qu’avez-vous envie d’instaurer ?

— Vous êtes parent ? Avez-vous fait vos recherches ? Comment avez-vous accompagné votre enfant ?

Joanie Fournier

**P.-S. Ce n’est pas un débat entre les écoles privées ou publiques… Je n’ai même jamais envisagé d’envoyer ma fille dans le système privé, tout simplement parce que j’ai quatre enfants et que je n’en ai pas les moyens financiers.**

 

Bienvenue dans notre équipe!

Bonjour à toi,

Tout d’abord,

Bonjour à toi,

Tout d’abord, je tiens à te souhaiter la bienvenue dans notre famille. Je sais qu’on ne se connaît pas encore, mais ironiquement, on a déjà envie de t’aimer. L’école pour nous, c’est un travail d’équipe et à partir de maintenant, tu vas faire partie de la nôtre pour la prochaine année. J’sais bien qu’on n’est pas censés être aussi intimes, mais je veux que tu saches qu’ici, on te considère déjà comme l’une des nôtres.

On joue dans le même team, t’sais!

Comme dans chaque groupe, nous avons chacun nos forces et nos faiblesses. Tu as le droit d’avoir tes faiblesses, on ne va certainement pas s’attendre à ce que tu sois parfaite alors que nous ne le sommes pas. La vérité, c’est qu’on n’arrive pas à faire ce que tu fais.

Je considère être l’experte de mon fils. Je suis master dans l’art de détecter s’il fait de la fièvre juste en reniflant son haleine (oh oh oh, ça fera les gros yeux! Je ne dois pas être la seule à trouver qu’un enfant fiévreux a une haleine différente!). Mais pour l’école, je ne suis pas l’experte la plus compétente. Alors, c’est avec plaisir que je te laisse la place. Tu es le ou la spécialiste, ton bagage et tes études te donnent une méchante longueur d’avance sur moi. Mon livre lu en 2012 et qui parlait du bouchon muqueux ne disait rien de spécifique quant au volet scolaire. Je suis le chef d’équipe à la maison, mais à l’école, c’est toi!

On risque d’avoir besoin de faire des caucus de temps en temps, parce que notre joueur du coin gauche en arrache un peu, parfois. Peu importe, je serai toujours disponible pour toi parce que je veux l’aider à scorer et à s’épanouir. Il faut que tu saches aussi qu’on n’est pas seuls, dans notre équipe. Il y a d’autres spécialistes qui s’impliquent pour notre joueur de gauche. Ne t’inquiète pas, tu seras toujours au courant de ce qui se passe avec eux. Je ne garde rien pour moi, on est ensemble ou pas, là-dedans?

Il faut que je me confesse, j’ai une grosse faiblesse : le banc des punitions. Quand notre joueur s’égare et opte pour la noirceur, je n’ai absolument rien contre une punition logique et conséquente. Je suis all in dans ton sens pour ça. Mais pour une raison obscure, certains préfèrent des interventions douteuses qui ne donnent aucun résultat. Heureusement pour nous, c’est encore du jamais vu dans notre équipe. Lui faire danser la lambada avec le nez au mur, devant la classe en lui criant qu’il n’a rien dans tête, c’est tellement 1990. Hein? Ok j’exagère, petit traumatisme d’enfance ici!

J’ai un peu beaucoup d’expérience dans le domaine préscolaire et même scolaire. Si je te dis ça, c’est parce que j’ai moi aussi eu mes moins bons jours et que parfois, mes interventions n’étaient pas à leur top d’efficacité, on va dire. C’est une façon poétique de dire que je l’ai échappé parfois, parce que les enfants ne sont pas une science exacte. Jamais de lambada, ça, c’est promis. Alors, tu as le droit d’avoir tes moins bons jours et d’être moins efficace sur le terrain, je ne vais certainement pas te le reprocher. Dans ces moments‑là, je vais mettre les bouchées doubles. Je te PROMETS que comme monsieur papa et moi le faisons l’un envers l’autre, JAMAIS nous n’allons te rabaisser et te juger devant nos joueurs. Sauf pour la lambada, là c’est possible que je l’échappe. Ok j’arrête avec ça. À l’inverse, je vais être moins efficace moi aussi parfois et tu vas peut-être même devoir me lancer un « minute papillon ». Tu as le droit, c’est ça une équipe!

Alors voilà, je nous souhaite une belle saison et merci de te joindre à nous. T’es bon(ne), t’es fin(e), t’es capable. Surtout, t’es un atout, on a besoin de toi et on est contents que tu sois là.

Tous pour un et un pour tous!

Marilyne Lepage

Dix trucs que tu dois connaître sur le prof de ton enfant

En tant que prof et parent, je sais que parfois on aimerait savoir 

En tant que prof et parent, je sais que parfois on aimerait savoir comment ça se passe en classe et ce que pense la personne qui enseigne à notre enfant dix mois par année.

 

Voici dix trucs que tu dois connaître sur le prof de ton enfant

 

1- L’enseignant de ton enfant est systématiquement attiré par les autocollants et autres gugusses cute qui pourraient égayer sa classe et rendre le milieu d’apprentissage plus stimulant.

2- Même s’il est à l’aube de la retraite, il renouvelle sa pédagogie, se lance dans de nouveaux projets en se disant que certains élèves apprendraient davantage (comme si 30 ans d’expérience ne suffisaient pas…).

3- Quand la cloche sonne et que ton enfant quitte pour la maison, il ne quitte pas la tête de son prof; son prof se questionne, prend des notes, consulte ses collègues… Il imagine une leçon plus amusante, crée du nouveau matériel (un prof, ça aime ça PLASTIFIER!!!).

4- Le prof de ton enfant cache des jujubes dans son tiroir…

5- Il arrive que le prof de ton enfant lui offre des jujubes.

     Pour un service rendu, un geste gentil 😉

6- Son prof a des papillons quand il constate que les efforts fournis donnent finalement de beaux résultats. Il a des étincelles dans les yeux!

7- Quand il t’écrit ou t’appelle, c’est toujours en marchant sur des oeufs, avec délicatesse. Son prof est conscient que ton enfant, c’est ton trésor le plus précieuxSon prof te veut complice, il veut le meilleur pour ton petit.

8- Sa collation, il peut arriver qu’il la partage ou même qu’il l’offre à un ami de ton enfant. Ça arrive, parfois.

9- Le prof de ton enfant a des papillons lorsqu’il reçoit des nouvelles de lui, quelques années plus tard, ou mieux encore, sa visite!

10- En juin, il peut arriver que ce prof, cet être doté d’une capacité d’amour exponentielle (pour aimer tant de petits humains, ça prend un don, je suppose!), ait le cœur gros  et même, qu’il verse une larme.

 

 

Quand la cancer s’invite dans le chaos : la rentrée…à reculons

Pour la plupart des parents, septembre est synonyme de rentrée scolaire, d’inscr

Pour la plupart des parents, septembre est synonyme de rentrée scolaire, d’inscriptions aux activités sportives, de réorganisation de la garde-robe des enfants, de planification des boites à lunchs, de coordination des agendas des différents membres de la famille, de reprise de la routine bien rodée du matin, de supervision des devoirs le soir, et enfin, d’exécution des tâches ménagères que tout parent doit boucler avant de terminer son shift de la journée. Puis, recommencer le tout le lendemain, cinq jours semaine, jusqu’à la fin de l’année.

Bref, le manège de la rentrée donne le tournis ! Et en tant que maman célibataire, je n’y échappe pas.

Sauf que, cette année, mon carrousel refuse de se conformer à la cadence « métro, boulot, dodo. »

Cela fait trois semaines que j’essaie d’écrire ce texte pour partager des conseils sur « Comment bien préparer la rentrée malgré la maladie » . Et oui, des conseils, j’en ai toute une liste ! Un sac d’écolier plein à craquer !

Mais ils ne sont pas bien différents de ceux que l’on donne, chaque année, aux parents en santé. Ils se résument en cinq mots : organisation, planification, responsabilisation, adaptation  et grandes respirations !

Car même si la maladie bouleverse le quotidien de toute la famille, il est important de mener la vie la plus normale possible afin de répondre aux besoins de sécurité et de routine des enfants.

Les enfants ressentent avec beaucoup d’acuité les émotions et les changements de rythme de vie. Rien ne leur échappe quel que soit leur âge ! Et en tant que parent, nous devons donc leur offrir un cadre rassurant, encore plus lorsque Maman est malade.

Et c’est ce que je fais. Tous les jours. Du mieux que je peux. Malgré mon cancer.

Je suis une bonne élève à l’école des Mamans.

Mais en essayant d’écrire un texte sur un ton de fête foraine, j’ai l’impression de jouer une mascarade dans un cirque où derrière son maquillage, le clown est triste.

Alors je vais rester dans le vrai et faire tomber le masque des conventions. Après tout, on m’a toujours appris à penser par moi-même. Et tant pis, si je dois porter le bonnet d’âne le temps de cet exercice.  Je retournerai bien gaiement dans les rangs dès que j’aurai écrit le point final de cet article. Alors voilà :

Cette rentrée, j’y vais à reculons !

Sans honte, je vous l’avoue, aujourd’hui, j’aimerais faire l’école buissonnière pour profiter encore de chaque instant avec mes enfants. J’aimerais continuer à leur enseigner le ludique, le plaisir et le rire. Leur apprendre à conjuguer l’instant présent. Leur apprendre à compter les uns sur les autres. Leur apprendre à lire la magie du naturel. Leur apprendre à dire le vrai, même s’il n’est pas beau. Leur apprendre à dessiner leurs rêves. Leur apprendre à multiplier l’amour. Leur apprendre à mesurer la profondeur de l’âme humaine. Leur apprendre à peser le poids de leurs actions. Leur apprendre l’être et le voir. Leur apprendre à expérimenter leur sens de l’humour. Leur apprendre à écrire l’histoire de leurs vies. Leur apprendre la théorie du chaos.

J’aimerais continuer à sonner la cloche le matin à leur réveil pour leur annoncer que, aujourd’hui encore, toute la journée sera une grande récréation. Que la seule page blanche qu’ils doivent colorier est celle des souvenirs. Et que leur seul devoir est d’être heureux. Puis, le soir venu, je leur distribuerai des étoiles dans les yeux.

Cette rentrée, j’y vais en marchant sur les mains !

Sans honte, je vous l’avoue, le manège de ma routine me donne le fou rire.

Que ce soit de jongler avec les dates et les heures de mon calendrier de traitements. Que ce soit la discipline exigée pour dompter mes restrictions médicales. Que ce soit les tours en boucle sur les montagnes russes de mes émotions. Que ce soit les acrobaties périlleuses imposées à mon corps pour rester en vie. Que ce soit les numéros d’équilibriste que je fais pour garder mon budget sur la ligne. Que ce soit les mimes et les clowneries que mon visage affiche devant mon meilleur public (mes enfants)…  Mon carrousel tourne en musique. Et mes petits chevaux de bois fougueux continuent à avoir le mord aux dents. 

Parce que, au fond, je suis une artiste. Et que je fais, moi aussi, partie de la troupe de tout ce cirque. 

Parce que la représentation n’est pas encore finie. Et que je ne veux pas décevoir mon public. Alors comme on nous enseigne sur les bancs de l’école de la vie : Que le spectacle continue !

À chacun de choisir sa rentrée en la matière.

Pour en lire plus sur mon quotidien avec le cancer, visitez mon site La vie continue, malgré tout.

Quatre sites pour que les devoirs ne se terminent pas en cauchemar

Avec les nombreuses réformes, les méthodes d'enseignement qui changent aussi vite que nos enfants

Avec les nombreuses réformes, les méthodes d’enseignement qui changent aussi vite que nos enfants grandissent et notre mémoire qui fait des siennes (qui peut encore nommer rapidement sans se tromper les capitales de chacune des 10 provinces canadiennes, hein?), ce n’est pas toujours facile d’accompagner nos enfants dans leur cheminement scolaire. Heureusement, avec la venue du web, une foule de ressources sont à portée de main pour vous aidez à aider vos enfants dans leurs apprentissages. En voici donc quelques-unes qui pourraient littéralement vous sauver la vie! 😉

aidersonenfant.com

Véritable coup de coeur pour ce site lancé il y a quelques mois et qui serait, selon les instigateurs, la première plateforme francophone pour soutenir les parents dans le cheminement scolaire de leur enfant. Le site, entièrement gratuit, est soutenu par une solide équipe de professionnels : enseignants, nutritionniste, orthopédagogues, éducatrice spécialisée, neuropsychologue, etc. Il s’adresse aux parents d’enfants âgés de 3 à 17 ans. Beau et bien fait, on y retrouve notamment :

  • une foules de trucs et conseils utiles;
  • des fiches d’activités pour aider les enfants à développer certaines compétences, en lecture et en écriture par exemple;
  • des suggestions d’applications, de sites web, de logiciels, de livres et de jeux.

Cliquer ici pour accéder au site Aider son enfant.

idello.org

C’est un site conçu par Groupe Média TFO qui se spécialise dans la production d’émissions éducatives et culturelles destinées aux francophones de l’Ontario…un peu l’équivalent ici de Télé-Québec. Idéllo s’adresse à tous, autant les élèves que les enseignants, en passant bien-sûr par les parents. On y retrouve plusieurs milliers de vidéos pour apprendre en ligne. Pour faciliter la recherche, ils sont même classés par matière, par type, par thématique ou encore par compétences. Plusieurs vidéos sont disponibles gratuitement. Un abonnement payant (à partir de 4$ par mois) permet d’avoir accès à davantage de matériel et de créer des activités d’apprentissage ainsi que des listes de lecture. Mise en garde : vous risquez de rapidement devenir accro!

Cliquer ici pour accéder au site Idéllo.

alloprof.qc.ca

Certains le surnomme le “911 de l’aide aux devoirs”. S’il y a un site à connaître et consulter, c’est Allô prof!

Né en 1996, Allô prof est un organisme de bienfaisance qui offre gratuitement de l’aide aux devoirs et aux leçons à tous les élèves du primaire, du secondaire et de la formation générale aux adultes, ainsi qu’aux parents d’élèves du Québec.

Plusieurs services sont offerts gratuitement : bibliothèque virtuelle, vidéos, exercices, trucs, jeux, etc. Il est même possible d’avoir réponse à nos questions par téléphone ou par texto. Les réponses sont fournies par une équipe d’enseignants qualifiés et une communauté virtuelle composée d’élèves aidants, de parents et d’acteurs de l’éducation.

Cliquer ici pour accéder au site Allô prof.

netmaths.ca

C’est un site web québécois pour pratiquer les mathématiques, à la maison ou à l’école. Il s’adresse aux élèves du 2e cycle du primaire jusqu’à la 4e secondaire. On y propose plus de 10 000 exercices entièrement alignés avec le programme québécois. Le ministère de l’Éducation lui a même déjà accordé la note de 5/5! Des versions pour tablettes numériques sont aussi disponibles. Le site est payant (80$ pour un an) mais il est possible de faire un essai gratuit avant de s’abonner.

Cliquer ici pour accéder au site Netmaths.

Bonne année scolaire!