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Quoi ne pas dire aux couples infertiles durant les Fêtes…

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Pour moi, le temps des Fêtes est difficile émotivement, car ça me ramène à ce que je ne suis pas, une mère, et à ce que je n’ai pas, des enfants.

Je suis infertile! Ça veut dire que je déteste me faire poser des questions sur mes projets de fonder une famille…

Mais chaque année, c’est comme un rituel, hein! Il y aura toujours un oncle ou une tante pour me poser la MAUDITE question : «Puis, cest pour quand, le bébé?»

Je me rappelle qu’à Noël l’an dernier, cet oncle faisait remarquer sa présence par son trop-plein de parfum de monsieur et sa bière à la main (sa cinquième…). Il s’est approché de moi au moment où ma mère me proposait un petit verre de vin (moi qui bois en général deux verres de vin gros max). Il m’a dit avec tout son génie : «Wop! Wop! Wop! Tu devrais pas boire… t’as pas quelque chose à nous annoncer?», tout en fixant mon bedon enflé par lendométriose qui maffecte tant. Et moi de lui répondre, les yeux dans leau : «Non, esti, jai rien à annoncer!». Jai quitté la pièce le plus rapidement possible pour éviter de pleurer devant tout le monde.

Avec du recul, je m’en veux! Je m’en veux de ne pas m’être donné le droit de vivre l’émotion que son commentaire suscitait en moi. Ce n’est tellement pas de ma faute si lui a passé un commentaire blessant. Je n’ai pas à me sentir mal des émotions que je vis. Mais en réalité, ce n’est pas comme ça que ça s’est passé. Je suis allée pleurer pendant dix minutes aux toilettes, le temps de me ressaisir et que ma peau dérougisse pour éviter les maudits questionnements : «Quest-ce quil y a? Ça ne va pas?»

Pour ceux qui sont sensibles et empathiques à la réalité des couples infertiles, voici un petit «best of» des choses à ne pas dire à une personne infertile :

·    Ne pas poser des questions sur le moment où elle prévoit de tomber enceinte, car on n’a aucun contrôle là-dessus (qu’on soit infertile ou pas, je dirais). Peut-être même que ça n’arrivera jamais pour nous!

·    Ne pas dire de commentaires du genre : «Hey! Je te trouve assez CHANCEUSE de ne pas avoir denfant, profites-en pendant que ça passe». Dites-vous bien quon donnerait TOUT pour avoir VOTRE chance!

«Hey! Moi, si tu veux, je te vends le mien et pas cher à part de ça!» Ce commentaire, je l’entends tellement souvent ! Je trouve qu’il banalise la chance d’être devenu parent aussi facilement.

«Hey! Vous, les gens sans enfants, vous pensez que vous êtes fatigués, mais vous allez vraiment savoir ce que cest le jour où vous aurez un enfant!». Ah, je ne savais pas que les parents avaient lexclusivité de la fatigue.

«Vous avez encore le temps, vous êtes jeunes!». NON. Quand on est infertile, le temps est compté et précieux. On ne peut pas se permettre de choisir le mois où on va concevoir. Nous n’avons aucun contrôle sur le moment où ça arrivera. Et souvent, l’infertilité est une conséquence d’une maladie, donc être en essai bébé demande, dans la majorité des cas, qu’on cesse le traitement pour la maladie dont on est atteint.

«As-tu déjà pensé à ladoption?». Ben non, maudite bonne idée! (Ici, sentez mon sarcasme). Sachez quadopter un enfant et avoir un enfant quon a porté nest pas le même projet. Je trouve quadopter un enfant est un geste d’une immense générosité, mais moi, mon rêve est de porter un enfant, de mettre au monde un enfant… Eh ! oui, les couples infertiles ont le droit, eux aussi, d’espérer que ça arrive comme ils l’avaient imaginé dans leur conte de fées. Ils ont déjà dû faire le deuil d’une conception sous les draps donc… svp!

«Tsé parfois, il ne faut pas forcer la nature». Aouch! Quel commentaire blessant! Cest comme si on disait aux gens malades de cesser leur traitement, car il ne faut pas forcer la nature… Come on!

En bref, durant le temps des Fêtes, dites-vous bien que pour les couples infertiles, faire face à toutes ces questions si personnelles dans cette période où la famille est autant mise en lumière leur demande tout leur petit change. Me verriez-vous demander à mon oncle Maurice quand il a fait l’amour la dernière fois? NON, car ça, c’est SA vie privée. That’s it!

Juste pour vous rassurer, j’en parle de l’infertilité… J’écris actuellement sur le sujet et il faut en parler pour briser les tabous. Mais sachez que tout cela est terriblement éprouvant émotionnellement et que la meilleure façon d’aborder le sujet est de se mettre à notre place. Comment aimeriez-vous qu’on aborde le sujet si ça vous arrivait?

Et sachez que si je n’ai pas abordé le sujet avec vous, c’est peut-être parce qu’on n’est pas suffisamment proches, ou que ce n’est pas le moment ni le lieu propice pour me confier à cœur ouvert, ou encore que le sujet me rend émotive et que je n’ai pas envie de pleurer aujourd’hui, en ce jour de Noël. Merci de votre empathie, de votre sensibilité…

En cette période des Fêtes, je vous demande au nom des couples infertiles (un couple sur six au Québec) de prendre le temps d’apprécier la famille que vous avez la chance d’avoir fondée. D’apprécier de vous lever très tôt un samedi matin pour passer du temps avec votre enfant. De savourer tous les moments passés en famille, même les plus chaotiques qui vous mettent hors de vous. Imaginez un instant que vous n’avez plus cette famille que vous avez bâtie avec tout votre amour…

 

Merci et bon temps des Fêtes! xx

 

Fanny Girard

Dix façons de donner au suivant dans le temps des Fêtes et toute l’année

1 — Vêtements pas troués, pas tachés. Les pan

1 — Vêtements pas troués, pas tachés.
Les pantalons de vos petits rejetons ont de l’eau dans la cave? Donnez, prêtez, vendez à petit prix, que ce soit à votre belle-sœur enceinte jusqu’aux sourcils, à la St-Vincent (les conteneurs qu’on voit dans les stationnements de certains commerces) ou à une famille qui a perdu son logement à cause d’un incendie. Même chose pour les vêtements de maternité, des pantalons post perte de poids ou la collection de cravates qui ne serviront plus, mais qui sont encore en bon état.
2— Des cartes qui font du bien.
Les enfants sont survoltés après être tombés dans le plat de bonbons? Ils vous achalent à grands coups de « Je m’ennuiiiiiiie! Je ne sais pas quoi faireuuuuhhhh! »? Pourquoi ne pas leur faire faire des cartes pour des militaires canadiens qui servent à l’étranger ou pour des personnes âgées qui seront seules la nuit de Noël? Quand j’étais ado, mes amis et moi avions écrit et monté une pièce de théâtre que nous avions présentée dans une résidence pour personne âgée. On était loin du talent de Robert Lepage, mais c’était une façon créative de se conscientiser aux besoins de la société.
3— Les garderies et les écoles se démènent pour tenir les enfants occupés malgré le niveau d’énervement croissant et le mercure en chute libre. Que vous soyez parents, grands-parents ou voisins, vous pouvez offrir votre aide pour superviser un dîner pizza, animer une activité ou préparer un bricolage.
4— Le repas du quêteux.
« J’aurais pas dû manger autant, mon bouton attache pu. » Plutôt que de rouler jusqu’à notre lit et d’avoir de la misère à dormir tellement on a mangé, on peut partager notre repas avec des voisins esseulés ou même des inconnus. La caissière de l’épicerie qui travaille jusqu’à 17 h parce que de toute façon, sa famille habite loin, ça lui plairait peut-être de manger une bonne bûche de Noël faite maison en bonne compagnie. Si vous vous sentez mal à l’aise d’ouvrir votre porte aux inconnus, ouvrez-leur votre cœur et apportez jusqu’à eux vos talents de cuistot en popotant des muffins ou des sandwichs. Ils seront reconnaissants.
5— Distribution de livres et de bonheur.
Dans plusieurs villes, des petites cabanes ont fait leur apparition au bord des rues pour recueillir des livres usagers en quête de nouveaux propriétaires. On peut y laisser les livres qu’on a lus ou ceux qu’on a achetés, mais qu’on ne lira jamais, et prendre ceux qu’on aimerait lire. On peut aussi aller porter des revues et des livres pour enfants dans des cliniques dentaires, des banques, des concessionnaires… vous savez, tous ces endroits où attendre avec un enfant tanné d’attendre peut être pénible…
6— Donner de son temps, parce que le temps, c’est précieux.
Si vous demandez aux jeunes parents ou aux mourants ce qu’ils voudraient comme cadeaux, plusieurs répondront « du temps ». Les enfants veulent plus de temps pour jouer, les ados pour dormir. On peut donner du temps à un organisme (scouts, cadets, pompiers volontaires, groupes d’entraide, cuisines collectives, etc.). On peut s’impliquer dans une association sportive ou caritative ou offrir notre support lors des campagnes de financement. On peut même prêter nos bras pour bercer des nouveau-nés à l’hôpital ou pour garder les plus jeunes d’une famille du quartier pendant que les parents font une sortie spéciale avec les plus vieux.
7— Lire pour ceux qui ne le peuvent pas.
Depuis l’avènement de l’éducation obligatoire, on a l’impression que l’analphabétisme a disparu. Mais non! Que ce soit une personne âgée qui a dû arrêter l’école en troisième année pour travailler à la ferme, une personne malvoyante qui veut poursuivre ses études, un père de famille immigrant qui connaît trop peu le français pour se débrouiller au quotidien ou un enfant qui a des difficultés en lecture, lire pour les autres peut faire une réelle différence. Votre tante qui adorait faire ses mots croisés chaque matin et qui est maintenant trop faible pour tenir son crayon aimerait peut-être que vous l’aidiez à solutionner sa grille! Je vous garantis de belles histoires de vie à écouter.
8— Vous n’êtes pas trop du type social avec les humains? Les chiens vous attendent à la SPCA!
Les refuges pour animaux et les SPCA ont besoin d’adultes et de jeunes pour promener leurs pensionnaires. En plus, c’est bon pour la santé!
9— Si vous êtes croyants, vous ferez des heureux en vous impliquant dans votre communauté religieuse, que ce soit pour réciter des prières, servir pendant les cérémonies, animer une activité avec les jeunes ou jouer d’un instrument. Ces communautés sont souvent en lien avec des organismes de charité qui peuvent vous aiguiller vers les besoins les plus pressants.
10— Soyez créatifs et faites-en bénéficier les autres!
L’artiste en vous peut organiser une collecte de fonds pour une cause qui vous tient à cœur. Vous préparez quelques toiles ou des cartes illustrées ou vous annoncez un atelier dont les profits iront à la cause choisie. Ma mère coud même des vêtements pour les enfants morts-nés, afin que les parents gardent un doux souvenir de leur petit ange. Vous pouvez « vendre » vos cheveux pour LEUCAN, vos muscles de cycliste ou de skieur pour différentes causes, votre empathie pour un téléthon, vos compétences de conducteur pour Nez rouge.
Vous imaginez, si chaque personne faisait un petit geste chaque jour ou chaque semaine, comme la Terre tournerait mieux?

Qu’est-ce que VOUS faites pour redonner au suivant?

Mon beau sapin !

Noël approche à grands pas ! Êtes-vous parmi les retardataires d

Noël approche à grands pas ! Êtes-vous parmi les retardataires dont les enfants demandent sans cesse quand vous ferez le sapin de Noël ? S’il est déjà fait, tant mieux pour vous, c’est déjà cela de fait sur la liste des préparatifs de Noël !

Depuis déjà deux semaines que l’on me réclamait jour après jour « Maman, c’est aujourd’hui qu’on fait le sapin ? » Et moi qui leur répondait : « Vous savez que nous, on fait le sapin à la mi-décembre et pas avant » Et eux qui répliquent « Ben là, il y a de la neige dehors » ou encore « Il y en a plein qui l’ont déjà fait, on le voit quand on passe dans la rue », et j’en passe.

Finalement, dimanche dernier est venu le fatidique moment d’enfin tout sortir de la cave pour atteindre les décorations de Noël et le fameux sapin enseveli sous une tonne de trucs estivals. Croyez-moi, les enfants étaient plus qu’heureux, voir même à la limite un trop excités à mon goût. Un sentiment est venu m’envahir tout d’un coup, celui d’appréhension, car les enfants étaient tellement survoltés que je me suis dit que je perdrais le contrôle à coup sûr.

Quand tu es une personne légèrement, voire beaucoup contrôlante, et bien, négocier avec ses deux enfants « qui va faire quoi », c’est tout un exercice. Mon conjoint, lui, nous laisse ma fille et moi préparer le sapinage pendant qu’il distrait le petit de quatre ans et demi. Ensuite, il vient m’aider pour la pose des lumières puis il disparaît sur le divan.

L’excitation monte à son comble, car c’est enfin le moment de mettre les décorations dans le sapin. En moins de cinq minutes, les petites tornades ont déjà étalé toutes les décorations sur la table. L’heure de la sieste de mon plus jeune approche, et moi, en toute bonne mère négociatrice qui en a déjà ras le pompon du sapin, lui dit : « Ok, tu as le droit de mettre toutes les cannes de bonbons dans le sapin et ensuite, tu vas te coucher. Je vais te laisser quelques boules et le village pour après le dodo. »

Ma fille de sept ans et demi m’aide à mettre les boules et les autres décorations. Je déplace les cannes de bonbons installés par mon fils qui se retrouvent toutes dans le même coin et aussi par le fait même, collées sur les lumières de Noël. Comme elle sait que je gère tout, elle me demande à chaque fois si c’est correct. Oui, je vous entends me dire de la laisser faire, que ce n’est pas grave si tout n’est pas parfait dans le sapin, etc. Et bien non, moi j’aime que le sapin soit harmonieux, point. Bref, ce fut tout de même un moment agréable passé avec ma fille.

Une fois le sapin terminé, j’étais heureuse que tout soit fait avant que mon fils ne se lève de sa sieste. C’est à ce moment que je me suis rappelée à quel point mes souvenirs étaient soient faussés ou bien que j’étais beaucoup plus calme à cet âge quand venait le temps de faire le sapin avec mon grand-père. Je me souviens de moments très agréables passés en famille. J’irais même jusqu’à dire, qu’il y a deux ans encore, c’était mon petit moment à moi quand je faisais le sapin avec un petit verre de vin à la main. Peu importe le temps que cela me prenait, je voyais cela comme une période de détente et de mettre enfin dans l’ambiance des Fêtes.

Finalement, mon fils se lève quand le sapin est tout illuminé. C’est alors qu’il s’exclame « Wow ! Maman, il est beau le sapin, mais tu ne m’as pas attendu pour mettre les boules ! » Je lui ai dit qu’il en restait deux ou trois boules à mettre dedans et que sa sœur l’attendait pour faire le village. Il se retourne et me dit : « Non, moi c’est les boules, je ne veux pas faire le village ». Ma fille qui rouspète « Ben là ! J’ai attendu tout l’après-midi pour rien pour faire le village ». Vous voyez comment juste un sapin de Noël qui m’apparaissait à la base un joyeux moment à passer en famille peut s’avérer plus que chaotique. Bonne chance à ceux qui ne l’ont toujours pas fait !

 

 

Trucs pour avoir plus d’énergie!

Ah la la que le temps des fêtes nous épuise. Que dis-je, l’automne et l’hiver contribuent beau

Ah la la que le temps des fêtes nous épuise. Que dis-je, l’automne et l’hiver contribuent beaucoup à ce sentiment d’épuisement! Si vous ressentez une baisse d’énergie, une envie de dormir ou tout simplement une attitude de « meh, ça m’tente pas », c’est normal. La baisse de luminosité nous affecte tous biologiquement, même si certains le ressentent plus que d’autres. Évidemment, il est possible que ce blues saisonnier ait des répercussions sur vos enfants. Vous êtes plus fatigués, plus irritables, moins patients et pourtant vous devez tenter de garder le même niveau d’énergie pour le bien-être de votre famille. Voici quelques idées qui pourraient vous aider à en retrouver un peu:

  1. Profitez de la lumière : à votre pause de travail, un grand bol d’air frais pourrait vous faire le plus grand bien. Encore mieux si c’est une journée ensoleillée! Prévoyez donc des bottes et des habits chauds pour que votre marche soit agréable. Si vous êtes en mesure d’aménager votre bureau proche d’une fenêtre qui laisse entrer le soleil, n’hésitez pas à le faire.
  2. Mangez santé!: Un bon « Mac’n’cheese » et un gros gâteau au chocolat ne vous ont jamais semblé aussi appétissants que maintenant. La toile regorge de nouvelles recettes de « comfort foods » plus santé. Pourquoi ne pas en essayer quelques-unes? Vous satisferez ainsi votre envie tout en fournissant à votre corps les ingrédients nécessaires pour puiser son énergie.
  3. Passez du temps en famille et avec vos amis : votre objectif est de briser l’isolement. Allez rire autour d’un jeu de société, suivez un cours de danse avec une amie, bref toutes les idées sont bonnes pour utiliser votre réseau social au cours de cette période plus difficile.
  4. Soyez actif : les effets de l’activité physique sur la santé physique et mentale ne sont plus à démontrer. Cependant, il est fort probable que la dernière dont vous ayez envie est de vous engager dans une activité de plus. Une des façons de vous aider à le faire est de planifier d’avance les activités que vous ferez, et ce dès l’été. En l’inscrivant ainsi dans votre agenda, ou en vous inscrivant à un cours, vous augmentez vos chances de respecter ce rendez-vous.
  5. Prenez soin de vous, et aider votre famille à le faire également : si vous êtes fatigués, écoutez-vous. Nul besoin d’inviter 20 personnes pour le brunch si vous sentez que vous avez besoin de repos. Aussi, le ménage sacré du samedi peut attendre. Demandez aux grands-parents de vous apporter de bonnes soupes ou de bonnes sauces à spaghetti pour vous alléger de quelques soupers. Finalement, dites à votre conjoint(e) et vos enfants comment ils peuvent vous aider à vous reposer. Ils doivent savoir que vous avez besoin de répit.
  6. Allez chercher de l’aide professionnelle : il y a une grande différence entre le blues de l’automne/hiver et la dépression saisonnière. En intensité par exemple, les gens en dépression ressentiront les symptômes de façons beaucoup plus envahissantes sur leurs vies. Faites appel à un professionnel de la santé (CSSS, médecin de famille, psychologue, etc.) si vous en ressentez le besoin. Ils seront les mieux placés pour vous guider vers les outils et les ressources appropriées pour vous et votre famille.