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Le mot que nous ne devons jamais prononcer : « DPJ » – Texte : Eva Staire

Comme ce mot est tabou dans notre société !  <span st

Comme ce mot est tabou dans notre société ! 

Lorsqu’on entend « DPJ », les idées se placent dans la tête de nos proches :

 « Oh (l’organisme dont nous ne pouvons prononcer le nom) est entrée dans votre famille ? »

Pourquoi tant de jugements ? Sans doute que cela est causé par la façon dont cette société nous a été dépeinte depuis de nombreuses décennies ? 

Saviez-vous qu’en tant que parents, nous avons droit à de l’aide de leur part ? 

Saviez-vous qu’avec leur aide, on évite (selon la situation) les délais interminables proposés par

le CLSC ? Selon les situations, ils peuvent nous aider à faire avancer le dossier de nos enfants qui ne vont pas bien. 

Je vous en fais part aujourd’hui, car j’aurais aimé avoir cette information avant qu’ils ne m’appellent. 

M’appellent pour s’assurer que j’avais mis en place toutes les ressources nécessaires pour ma fille…

À quel point j’étais insultée ? Ce n’est même pas descriptible, car cela fait 7 ans sur 13 que nous essayons (papa et moi chacun de notre côté) d’avoir accès à des services… Et on nous reproche que nous ne lui donnons pas assez de ressources pour qu’elle aille mieux… 

Voici les ressources que nous lui avons offertes :

Psychologue (privé) × 2 ans (environ 3 000 $) 

Travailleuse sociale (privée) × 1 an (environ 950 $)

Psychoéducatrice (privée) × 2 ans (environ 1800 $)

Toutes ces belles personnes, sans rien leur enlever, nous ont dit que notre enfant était une enfant « normale avec un fort caractère ». 

Qui sommes-nous en tant que parents pour aller à l’encontre de 3 professionnels qualifiés ?

Avec tous ces jugements gratuits qui nous arrivent de part et d’autre ? 

Honnêtement, je n’en ai aucune idée. 

Comment je me sens ? Comme une mère qui n’a pas accompli sa tâche de mère, ne sachant plus comment aider son enfant. 

Avant de juger, s’il vous plaît, assurez-vous d’être au courant de l’historique familial, avant de vous rendre à bout vous-même en vous tapant sur la tête… Informez-vous auprès de la DPJ pour savoir comment ils pourraient aider votre famille avant qu’eux ne le fassent… Parfois, ils sont là pour les parents aussi. 

Ne lâchez pas, les parents !

 

Eva Staire

La petite fille perdue

Cet été, on a profité des vacances, comme des milliers de Québécois,

Cet été, on a profité des vacances, comme des milliers de Québécois, pour aller visiter le zoo. On a réservé nos billets en ligne, rempli la glacière, préparé les maillots, les serviettes, la crème solaire, alouette ! Avant de partir de la maison, j’ai collé un pansement sur le bras de mes quatre enfants, en prenant soin d’y écrire à l’encre mon numéro de cellulaire. Un geste qui semble bien anodin, qui prend deux secondes à faire, mais qui permettrait à mes enfants de me retrouver plus facilement s’ils se perdaient. Ils connaissent mon numéro par cœur, mais s’ils devaient se perdre, on ne sait pas comment ils pourraient réagir. Un enfant évanoui ou en panique ne se souviendra pas de la série de chiffres tant répétée à la maison. L’an passé, on a d’ailleurs remarqué que les bracelets donnés à l’admission du zoo ont justement une ligne vierge prévue à cet effet. Mais qui pense à traîner son crayon permanent sur lui à l’admission… ? Bref, c’est ma méthode pour toutes les sorties.

Revenons donc à notre sortie annuelle. Nous avions pris le temps de voir les animaux de tous les continents et le temps était venu d’aller profiter des bassins d’eau pour se rafraîchir. Avec plusieurs enfants, on finit souvent par se séparer les enfants par adulte. Un adulte reste avec les petits à la pataugeoire, pendant que l’autre va profiter des glissades d’eau avec les grands. Bref, vous voyez la scène. Cette année, Mamie est venue avec nous. Avec son masque et la distanciation, pas de panique. Alors on avait un adulte de plus pour surveiller les piscines, ce qui est toujours bienvenu.

Papa part avec les deux grandes pour faire les hautes glissades d’eau. Bébé s’endort sagement sur sa couverture, bien à l’ombre. Mamie propose donc de rester pour le surveiller pour que je puisse profiter de la piscine avec ma fille, moi aussi. Je saute sur l’occasion. Arrivées sur le bord de la piscine à vague, une petite fille attire mon attention.

Les cheveux blonds comme le blé, elle a l’air d’un petit ange. Elle doit avoir deux ou trois ans, tout au plus. Elle se promène sur le bord de l’eau. Mais un détail attire mon œil : elle porte une serviette. Pas de flotteurs. Je regarde aux alentours… Je ne vois pas d’adulte avec elle. On est sur le bord de la grosse piscine… Je me dis qu’un adulte va arriver en courant derrière elle dans quelques secondes… Puis les secondes passent et personne ne vient. Elle marche sur le bord de l’eau, sans flotteurs, et mon cœur de maman fait trois tours.

J’agrippe ma fille par la main et je décide de suivre la petite fille blonde. Ses grands yeux bleus ont l’air paniqués… J’essaie de l’approcher pour lui demander si elle a besoin d’aide, mais je semble lui faire encore plus peur… Alors je la suis, pas trop proche, pas trop loin. Je la surveille sur le bord de l’eau. Elle fait le tour du grand bassin d’eau. Deux fois. Dix minutes sont passées. Toujours pas d’adulte qui court vers elle… Je finis par l’apprivoiser un peu, en approchant tout doucement…

Je lui demande son nom. Pas de réponse. Je lui demande si elle cherche sa maman. Pas de réponse. Je lui demande si elle a besoin d’aide. Pas de réponse. J’essaie en anglais. Pas de réponse. Elle me regarde avec ses grands yeux bleus toujours aussi paniqués. Elle refuse de me tenir la main, refuse de venir dans mes bras, et moi, je refuse de la laisser seule sur le bord de la piscine.

Je fais signe à un sauveteur sur le bord de la piscine, qui comprend vite la situation. Mais le sauveteur en question, du haut de ses 17 ans je dirais, ne peut pas quitter son poste et encore moins quitter la piscine de vue… Il appelle au walkie-talkie, mais m’explique que je devrais la surveiller en attendant que quelqu’un vienne pour elle…

La petite fille, toujours muette, me donne finalement la main. J’explique au sauveteur que je vais refaire un tour du bassin d’eau avec elle, au cas où je trouverais ses parents. Autour du bassin, je questionne chaque famille que je croise. Peut-être que quelqu’un l’a remarquée plus tôt avec sa famille… Peut-être que quelqu’un sait où sa mère la cherche… Peut-être que quelqu’un a vu quelque chose… Et je me fais répondre, plusieurs fois : « Ho ! La petite fille perdue ? Nenon, je sais pas avec qui elle est… Ça fait un bout qu’elle est toute seul sur le bord d’la piscine… »

Mon cœur de maman est rempli de rage… Comment peut‑on voir une enfant de 2-3 ans seule, sans flotteur, sur le bord d’une piscine et ne pas aller l’aider ? Comment une mère peut laisser un autre enfant en danger ? Et si c’était votre enfant… Vous aimeriez que les autres la laissent en danger ? Me, myself and I… Ça m’enrage.

Je termine mon tour de piscine, ma fille qui me tient une main, et la petite fille perdue qui tient l’autre. Puis, je vois au loin un papa paniqué. Un papa aux cheveux blonds comme le blé. Il nous voit au loin et court vers nous. Avant qu’il arrive jusqu’à moi, je me penche vers la petite fille et le pointe du doigt. « C’est ton papa ? Tu le connais ? ». Les grands yeux bleus de la petite fille perdue s’illuminent. « Papà a me !!!! Papà a me !!! » Ouin. J’avais pas testé l’italien…

L’homme arrive à notre hauteur et à voir la petite cocotte s’élancer dans ses bras, il était évident qu’elle le connaissait. Le père essaie très fort de m’expliquer, dans un anglais boiteux, qu’il voulait acheter une crème glacée, mais qu’il avait perdu sa fille dans la file… Il me demande où était sa fille quand je l’ai trouvée. Je lui explique qu’elle était au bord de la piscine et qu’elle a fait trois fois le tour du bassin. Je sens son cœur de papa arrêter de battre. Parce qu’on sait tous les deux ce qui aurait pu se passer…

L’histoire finit bien. Personne ne s’est noyé. Personne ne s’est fait enlever. Le sauveteur était soulagé. Le papa heureux. La petite fille comblée. Ma fille et moi, nous sommes reparties nous baigner dans la grande piscine. Ma fille de 5 ans avait tellement hâte de pouvoir enfin aller dans l’eau. Mais je pense qu’elle aussi, elle a compris qu’une vie avait beaucoup plus de valeur qu’une baignade au zoo…

Joanie Fournier

 

Et si c’était moi?

Des épreuves peuvent nous frapper à tout moment, et ce, depuis la

Des épreuves peuvent nous frapper à tout moment, et ce, depuis la nuit des temps. Les campagnes GoFundMe ont remplacé les traditionnelles tirelires depuis quelques années déjà.

Il y a cent ans, tout un village s’unissait pour reconstruire une maison incendiée. On se relayait pour prendre soin des enfants d’une voisine malade.

Aujourd’hui, c’est par un simple don qu’il nous est possible d’apporter notre soutien, de témoigner notre empathie à quelqu’un qui traverse un moment difficile, qu’on le connaisse ou pas.

Les levées de fond suscitent toutes sortes de réactions. J’ai eu ces questionnements, moi aussi. Où va cet argent, réellement?

Et j’en suis toujours venue à cette conclusion : ET SI C’ÉTAIT MOI?

Mes filles sont en santé ; j’ai de la chance. Tout comme les gens qui m’entourent, tout comme moi.

Et si un jour, tout basculait?

Récemment, une amie a annoncé son cancer sur les réseaux sociaux. Une jeune mère de trois enfants, monoparentale. Une femme remplie de vie.

Et son frère a lancé un GoFundMe.

Christina, elle peut être votre sœur, votre mère, votre collègue, votre amie. Christina, elle pourrait être moi. Elle pourrait être vous.

Parce que son histoire pourrait être la mienne, parce que j’aimerais recevoir le soutien financier essentiel qui me permettrait de traverser cette épreuve avec le cœur plus léger, j’ai donné.

Et je me dis que plusieurs petits dons, ça fait beaucoup au final.❤️

Je partage ici le lien pour que son frère puisse atteindre son objectif…

Christina, on est tous avec toi.🌸

Karine Lamarche

Noël, fêter et s’entraider

Quelle période étourdissante, la préparation du temps des fêtes

Quelle période étourdissante, la préparation du temps des fêtes ! On court pour trouver les cadeaux, les emballer. On s’en remet un peu sur les épaules en ajoutant les lutins dans nos vies. Malgré que cette période puisse être étourdissante, moi je l’adore. Noël, c’est ma fête préférée !

Cette année, certains événements m’ont fait réaliser que parfois, Noël, c’est ajouter un poids de plus à plusieurs.

J’ai réalisé que pour certains, Noël sera une journée de plus à se demander où ils dormiront pour se protéger du froid.

Pendant que plusieurs d’entre nous mangeront beaucoup trop, d’autres se demanderont s’ils mangeront.

Pendant que nos enfants déballeront leurs cadeaux, d’autres n’auront rien sous le sapin. Pendant que certains célébreront en famille, d’autres seront seuls et oubliés.

Pendant que nous serons exaspérés par le niveau d’énergie beaucoup trop élevé de nos enfants, qui auront mangé beaucoup trop de sucre et de cochonneries, d’autres enfants se battront pour leur vie.

Aussi magique que puisse être cette fête, la magie ne sera pas présente pour tous.

Cette année, j’ai choisi de faire une petite différence dans la vie de quelqu’un. J’ai choisi de redonner un peu de magie à ceux qui en ont besoin. J’ai choisi de ne pas laisser la noirceur envahir le monde. J’ai choisi de croire que l’Homme avec un grand H est bon. Qu’il n’y a pas que des attentats, des guerres, de la maladie, de la solitude. J’ai choisi de croire que chaque petit geste que nous posons peut changer le monde. Comme le dit si bien Jana Stanfield : « Je ne peux pas faire tout le bien dont le monde a besoin, cependant le monde a besoin de tout le bien que je peux faire. »

Cette année, choisissez de faire un peu de bien autour de vous. Apportez un peu de magie dans la vie de quelqu’un. Moi, j’ai choisi d’aider la famille du petit Christophe, cinq ans, aux prises avec une leucémie.

Et vous, ce sera quoi ? En manque d’idée, voici quelques suggestions :

https://www.onedollargift.com/fr/Reve-Pour-notre-heros–Christophe-le-courageux-26165 https://www.maisondupere.org/

http://fondationstejustine.org/fr/

http://www.lechainon.org/

 

Merci de m’aider à faire percer la lumière !

 

Mélanie Paradis

 

Côtoyer la dépendance

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Avoir un proche qui souffre de dépendance est une des choses les plus difficiles qui soient. Pourquoi eux/elles? Comment se fait-il qu’ils en soient rendus là, si creux dans leurs déboires? Comment ont-ils pu se rendre si loin, sans qu’on s’en rende compte?

 

Beaucoup de questions qui demeurent sans réponse. Par contre, une chose est certaine, c’est qu’on ne peut pas tous les sauver, s’ils ne veulent pas s’aider eux-mêmes. Le plus difficile est de voir quelqu’un que nous aimons profondément se détruire et d’être impuissant.

 

Je me demande ce qui est le pire, vivre avec une dépendance ou côtoyer quelqu’un qui est « accroc ». Souvent, pour eux tout semble normal, il n’y a jamais rien de grave, ils ne se rendent pas compte qu’ils font du mal autour d’eux; et « du mal », le mot est faible. Des nuits d’insomnie, d’inquiétude, des crises d’angoisse, des journées à pleurer, se poser constamment des questions, et j’en passe : voilà plusieurs symptômes ressentis lorsque nous aimons une personne dépendante.

 

Des nuits entières à se demander si ce n’était pas aujourd’hui « la journée » où on ne le reverrait plus jamais. Des journées entières avec une boule dans le ventre au travail à se demander ce qu’on a manqué pour ne rien avoir vu venir. Tellement souffrant de ne pas pouvoir les soulager seulement un petit instant, de leur enlever tout ce mal qu’ils ont.

 

« Il n’y a rien là », « Tu t’en fais pour rien », « Ça fait des mois que je n’ai pas consommé »… je ne compte même plus toutes les fois où j’ai entendu ces phrases. Au début, on les croit, car on s’accroche au moindre espoir. Mais au fil du temps, on réalise bien que les mensonges font partie de leur vie, et qu’ils parviennent même à se croire dans leurs histoires.

 

Puis, ils se mettent à appeler en pleurant qu’ils n’ont plus un sou (parce qu’ils ne rentrent pas travailler), qu’ils n’ont rien à manger et qu’ils ont faim, qu’ils sont désolés de tous les dégâts qu’ils causent, et que le monde serait bien mieux sans eux. Ces mots sont suffisants pour nous faire rechuter dans notre cheminement du lâcher-prise. Mais au fond d’eux, ils savent très bien comment manipuler les gens et à qui s’adresser, qui sont les plus faibles.

 

Comment arriver à se détacher de tout ça et à mettre en place le fameux « lâcher-prise »?

Il s’agit d’un travail et d’un combat de tous les jours. J’ai appris avec le temps que si les personnes dépendantes ne veulent pas s’aider, on n’y peut rien. Pour ceux qui n’ont pas le moindre remords, perdre le contrôle de leur vie et de leurs émotions est quelque chose de terrible. Les aimer malgré leurs dépendances est tout ce dont ils ont besoin.

 

Lorsqu’on paie pour eux, ça ne les aide pas. Ils ont toujours une sortie de secours, donc ils n’apprennent jamais. Il vient un moment dans la vie où nous devons choisir entre eux ou nous. Nous devons les diriger vers les bonnes ressources, et s’ils ne veulent pas s’aider, et bien nous n’y pouvons rien.

 

Même si nous les aimons de tout notre cœur et que nous voulons leur bien, ils font leurs propres choix et prennent leurs propres décisions. Il n’en revient qu’à eux de faire de meilleurs choix de vie. Lâcher prise ne veut pas dire leur souhaiter du malheur ou les aimer moins, cela veut seulement dire qu’on a décidé de penser à nous, à notre bien-être avant celui des autres.

 

La meilleure chose que nous pouvons faire pour les aider, est de les aimer du plus fort qu’on peut et de leur dire qu’ils méritent d’être heureux eux aussi. Que nous serons toujours là pour eux, mais qu’il y a des choses que nous ne sommes pas en mesure de faire.

 

La vie vaut la peine d’être vécue «  sobrement » et il faut se rappeler que chaque jour, le soleil se lèvera à nouveau.

 

 

Vanessa Lamoureux

Quatre sites pour que les devoirs ne se terminent pas en cauchemar

Avec les nombreuses réformes, les méthodes d'enseignement qui changent aussi vite que nos enfants

Avec les nombreuses réformes, les méthodes d’enseignement qui changent aussi vite que nos enfants grandissent et notre mémoire qui fait des siennes (qui peut encore nommer rapidement sans se tromper les capitales de chacune des 10 provinces canadiennes, hein?), ce n’est pas toujours facile d’accompagner nos enfants dans leur cheminement scolaire. Heureusement, avec la venue du web, une foule de ressources sont à portée de main pour vous aidez à aider vos enfants dans leurs apprentissages. En voici donc quelques-unes qui pourraient littéralement vous sauver la vie! 😉

aidersonenfant.com

Véritable coup de coeur pour ce site lancé il y a quelques mois et qui serait, selon les instigateurs, la première plateforme francophone pour soutenir les parents dans le cheminement scolaire de leur enfant. Le site, entièrement gratuit, est soutenu par une solide équipe de professionnels : enseignants, nutritionniste, orthopédagogues, éducatrice spécialisée, neuropsychologue, etc. Il s’adresse aux parents d’enfants âgés de 3 à 17 ans. Beau et bien fait, on y retrouve notamment :

  • une foules de trucs et conseils utiles;
  • des fiches d’activités pour aider les enfants à développer certaines compétences, en lecture et en écriture par exemple;
  • des suggestions d’applications, de sites web, de logiciels, de livres et de jeux.

Cliquer ici pour accéder au site Aider son enfant.

idello.org

C’est un site conçu par Groupe Média TFO qui se spécialise dans la production d’émissions éducatives et culturelles destinées aux francophones de l’Ontario…un peu l’équivalent ici de Télé-Québec. Idéllo s’adresse à tous, autant les élèves que les enseignants, en passant bien-sûr par les parents. On y retrouve plusieurs milliers de vidéos pour apprendre en ligne. Pour faciliter la recherche, ils sont même classés par matière, par type, par thématique ou encore par compétences. Plusieurs vidéos sont disponibles gratuitement. Un abonnement payant (à partir de 4$ par mois) permet d’avoir accès à davantage de matériel et de créer des activités d’apprentissage ainsi que des listes de lecture. Mise en garde : vous risquez de rapidement devenir accro!

Cliquer ici pour accéder au site Idéllo.

alloprof.qc.ca

Certains le surnomme le “911 de l’aide aux devoirs”. S’il y a un site à connaître et consulter, c’est Allô prof!

Né en 1996, Allô prof est un organisme de bienfaisance qui offre gratuitement de l’aide aux devoirs et aux leçons à tous les élèves du primaire, du secondaire et de la formation générale aux adultes, ainsi qu’aux parents d’élèves du Québec.

Plusieurs services sont offerts gratuitement : bibliothèque virtuelle, vidéos, exercices, trucs, jeux, etc. Il est même possible d’avoir réponse à nos questions par téléphone ou par texto. Les réponses sont fournies par une équipe d’enseignants qualifiés et une communauté virtuelle composée d’élèves aidants, de parents et d’acteurs de l’éducation.

Cliquer ici pour accéder au site Allô prof.

netmaths.ca

C’est un site web québécois pour pratiquer les mathématiques, à la maison ou à l’école. Il s’adresse aux élèves du 2e cycle du primaire jusqu’à la 4e secondaire. On y propose plus de 10 000 exercices entièrement alignés avec le programme québécois. Le ministère de l’Éducation lui a même déjà accordé la note de 5/5! Des versions pour tablettes numériques sont aussi disponibles. Le site est payant (80$ pour un an) mais il est possible de faire un essai gratuit avant de s’abonner.

Cliquer ici pour accéder au site Netmaths.

Bonne année scolaire!