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Ces gens-là

Ces gens-là. Ceux qui se disent tes meilleurs amis

Ces gens-là.
Ceux qui se disent tes meilleurs amis pis qui te poignardent au moindre faux pas.
Ceux qui drainent toute ton énergie et qui s’accrochent à toi telles des sangsues.
Ceux qui brisent ton cœur qui sera bien long à réparer et qui anéantissent ta confiance.

Ceux qui te font sentir comme une mauvaise personne parce que tu n’es pas à la hauteur de cette amitié si envahissante.
Ceux qui manipulent, mentent et parlent dans ton dos.
Ceux qui font mal.

Ceux qui sont jaloux, qui n’acceptent pas que tu voies d’autres gens.
Ceux qui ne respectent ni ton intimité ni tes valeurs.
Ceux qui critiquent ta façon d’être, de penser et d’élever tes enfants.
Ceux qui trouvent pathétique ton amour avec l’homme de ta vie.

Ils puent la jalousie, ils sentent la trahison. Ils laissent ce goût amer sur ton cœur.

Une rupture d’amitié, c’est comme un couple qui explose. Les dommages collatéraux sont immenses et dévastent trop de cœurs.

Une rupture d’amitié, ça fait pleurer. Il faut du temps pour ouvrir son âme à nouveau. Et sans doute qu’on ne le fera plus jamais si sereinement.

Une rupture d’amitié, ça fait mal. Longtemps.

À ces gens-là qui ont pressé tout le sang qu’il me restait dans le cœur, je voulais vous remercier. Vous m’avez donné une arme : la méfiance. Je voulais vous dire que je vous ai pardonné, car finalement, vous êtes sans doute très malheureux, dans votre vie où vous consommez les gens et les jetez comme de vieux mouchoirs quand ils ne sont plus utiles.

À ces gens-là : tenez-vous loin de moi. Laissez mon cœur continuer de s’amuser comme si demain n’existait pas!

Le temps effacera ce goût amer.

Une rupture d’amitié, ça fait mal.

 

Gwendoline Duchaine

 

Même pas peur!

Il m’est arrivé de crier devant mes enfants. De sortir mes gros y

Il m’est arrivé de crier devant mes enfants. De sortir mes gros yeux menaçants. T’sais, une mère à boutte, c’est une mère à boutte. Et quand c’est arrivé, j’ai vu dans le regard de mes enfants une peur, une inquiétude qui m’a fait peur. Je ne veux pas être cette mère-là qui règne parce qu’elle est crainte et se croit toute-puissante. Dans ce temps-là, j’aurais le goût de m’auto-dire : « Vade retro Satanas! »

Mais la plupart du temps, je me contrôle, je gère mes trop-pleins comme j’aimerais que mes enfants gèrent leurs émotions. Un travail de chaque instant.

Ce soir, mes enfants m’ont donné à tour de rôle la petite tape dans le dos qui me félicite de mes efforts et qui renforce mes bons comportements.

***

Belle cocotte : « Maman, c’est quoi, les règles? Pas comme les règles d’école ou les règles de discipline, là… » Après explications d’usage, elle me dit : « C’est l’fun, maman, parce que toi et moi, on est toutes les deux scientifiques. Ça fait que si j’ai des questions, je peux te les poser, et toi aussi, tu aimes ça quand je fais ma “minute scientifique!” »

Les discussions existentielles, ce n’est pas obligé d’être compliqué et cousu de malaises.

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Moi : « Est-ce que quelqu’un a vu le LeapPad de Coco? Je pense qu’il aimerait jouer avec dans les prochains jours et il est encore ‘disparu’ »

Silence radio.

Trente minutes plus tard, Tiloup vient me voir : « Tiens maman, j’ai trouvé la tablette de Coco. Elle était en dessous de mes couvertures. Je voulais aussi te donner ton colleux bonne nuit. »

Il aurait pu cacher la vérité et la tablette, mais non. Il savait que je ne le chicanerais pas, alors il m’a simplement rapporté le jeu de son frère.

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Tiloup : « Guliana et moi, on a le même projet pour plus tard. On veut se marier ensemble. »

Cette déclaration sortant de la bouche de mon bonhomme de six ans m’a charmée. C’est parfois si difficile pour les petits garçons de révéler leurs émotions!

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Grande Peanut, après deux mois à refuser de prendre la médication qui l’aide à gérer son anxiété et ses sautes d’humeur explosives : « Maman, j’ai décidé de recommencer à prendre mes médicaments. Ça n’a pas d’allure, quand je ne les prends pas. Je suis vraiment désolée de tout ce que je vous ai fait vivre dans les dernières semaines. »

Après un câlin mère-fille, je lui dis : « On va appeler cette période, un test? »

Elle : « Oui, un test échoué. »

Moi : « Je parlerais plus d’un test concluant. Ça me soulage que tu choisisses de prendre soin de toi. »

Elle aurait pu continuer à s’enfermer dans un entêtement tiré des plus chaudes luttes de pouvoir. Mais non. Elle a corrigé le tir et m’en a parlé ouvertement.

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Dix minutes après s’être couché, mini Coco s’est relevé et est venu me voir dans ma chambre : « J’ai juste oublié un petit quelque chose. Ton câlin et ton bisou. » Et il est retourné faire dodo, le cœur rempli de sérénité et de sécurité.

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Ce sont des petites bulles d’instants, des câlins qui chatouillent le cœur et le font sourire. Après une soirée aussi bien remplie de confiance mutuelle, au dodo! Satan est retourné dans son trou pour y rester.

Fuir ou frapper : pas les seules options

Mes filles arrivent à l’âge où j’ai fait subir à ma mère l

Mes filles arrivent à l’âge où j’ai fait subir à ma mère l’inquiétude aiguë de ne pas savoir où j’étais, mais de savoir que j’allais mal. En deuxième année du secondaire, je me suis sauvée deux fois de l’école privée. J’ai fugué. Pas longtemps, pas loin, mais assez pour semer la panique. Et je ne voudrais tellement pas que mes enfants fassent la même chose! (Je m’excuse encore, maman…)

La Nathalie de l’époque était malheureuse. Elle avait le goût de mourir. Elle avait des amis, elle réussissait très bien à l’école, elle avait des buts dans la vie (gagner les compétitions de fanfare avec les cadets, gagner le concours de dessins et la dictée annuelle), elle avait un toit pour se couvrir et une famille aimante. Tout pour être heureuse et bien dans sa peau, mais apparemment, quelque chose manquait.

Il manquait un père, qui me manquait terriblement depuis son décès cinq ans plus tôt. Le deuil s’étirait, et l’expression du deuil n’était pas toujours bien accueillie. À l’âge où je vivais mon trip d’Œdipe, lui apprenait qu’il avait un cancer incurable. Alors à l’âge où j’aurais eu besoin de mon papa policier pour me policer et m’aimer, il me manquait. Un manque dans le sens de sevrage. Avec des souffrances et des séquelles.

Je ne manquais pas de confiance en moi, je connaissais mes forces et j’étais capable de répliquer aux terreurs de cinquième secondaire qui essayaient de terroriser la classe de petites bollées que nous étions. Mais derrière l’ado frondeuse que j’étais, derrière la mi-rebelle, mi-nerd, il y avait une fillette terrorisée, jammée à l’âge où son papa était parti et où elle subissait des abus de la part de jeunes garçons en rut. Pas facile de se définir comme jeune fille, quand nos repères masculins sont aussi biaisés.

Et puis, j’avais deux frères, eux aussi premiers de classes et rebelles à leurs heures. Ils étaient passés maîtres dans l’expérimentation des mauvais coups de la vie. Alcool, drogues, découchages, tests d’explosifs, violence… Je me rappelle avoir eu cette conversation avec moi-même : « Tu dois faire quelque chose qu’eux, ils n’ont pas fait. » Ils n’avaient jamais fugué, alors c’est ce que j’ai fait. Probablement par manque d’attention, aussi pour exprimer un mal-être.

Quand on habite dans un petit village de campagne perdu entre Montréal et Québec, le choix des destinations est limité. La première fois, j’avais planifié l’expédition. J’avais apporté un deuxième manteau pour éviter d’être repérée grâce à mon manteau rose bonbon. J’avais calculé le temps que je devais niaiser à ma case pour que les autres élèves partent à leur cours avant moi. J’avais choisi la journée où notre première période avait lieu dans un autre pavillon. Ça me donnait une raison pour sortir de l’école. Il ne me restait qu’à passer par un chemin où je ne serais aperçue par personne et ce serait tiguidou.

J’ai marché, marché, marché. Et encore marché. Le long de la rivière gelée en contemplant l’idée très attirante de me pitcher dedans. Deux visions m’en ont empêchée : la panique que je ressentirais avant que mon corps s’endorme, et l’impact que ce suicide aurait sur les compétitions de fanfare. Je ne voulais pas, bien sûr, que ma famille et mes amis aient de la peine, mais au bout du compte, c’est bel et bien mon appartenance aux cadets qui m’a retenue sur la rive.

J’ai marché dans le froid hivernal jusqu’à une forêt. Et là, je me suis couchée en boule sous une chaloupe qui y avait échoué. Comme moi. Je ne sais pas combien de temps j’y suis restée, mais je sais que j’ai marché dans le sens inverse tout l’après-midi. À 3 h 45, je montais dans l’autobus jaune comme si de rien n’était. Pendant que moi, j’étais dans ma tête, en plein débat sur ma volonté d’en finir, de continuer à marcher ou de revenir, ma mère, mes profs, la direction de l’école étaient en mode panique : où est Nathalie?

Il n’y a pas vraiment eu de conséquences, peu de discussions à la suite de cette fugue. J’ai perdu des points de bon comportement à l’école parce que je m’étais absentée sans permission. Dossier clos.

La deuxième fois, ce n’était pas prévu. Mais bien sûr, comme rien n’avait été réglé, la répétition était prévisible. Je ne me souviens même plus de ce qui a déclenché mon départ, mais je suis partie de l’école encore une fois. Et j’y suis revenue quelques heures plus tard. Le soir, ma prof titulaire m’a téléphoné, inquiète. Elle a été très présente toute l’année et son écoute m’a soulagée d’une grande tristesse. Plusieurs années plus tard, je l’ai croisée par hasard et j’ai pu la remercier. Mais maintenant qu’elle est décédée, je reste avec le regret de ne pas l’avoir remerciée assez.

Le lendemain de ma fuite, la directrice générale a demandé à me rencontrer dans le corridor : « Nathalie, normalement, on devrait te mettre à la porte du collège. Tu as perdu tous tes points à cause de tes absences non autorisées et aussi parce qu’il t’arrive d’insulter des profs (vous savez, ceux qui m’appelaient “Poison” ou “Microbe” parce que je parlais trop et que je dessinais en classe…). Mais tu es une de nos meilleures élèves. J’ai l’impression que c’est juste une mauvaise passe. Acceptes-tu de rester avec nous? »

J’ai eu un samedi de retenue (pendant lequel j’ai pratiqué mes pièces au cor français en vue des compétitions, et aussi mangé du sucre à la crème préparé par la surveillante) et j’ai dû promettre de ne plus m’enfuir. Promesse tenue, je ne suis plus partie de l’école ni de la maison.

Quand on pense aux « si » (si ç’avait été dans une grande ville, si je n’étais pas revenue la journée même, si j’avais sauté dans la rivière, si quelqu’un m’avait embarquée, si la police avait été lancée à mes trousses, si j’avais reçu plus d’aide dès la première fois, si j’avais été mise à la porte du collège, si, si, si…), on angoisse facilement. Dans mon cas, ces « si » ne se sont pas produits. J’ai été chanceuse et j’ai aussi fait ma chance en revenant chez moi, en acceptant le compromis avec l’école et en apprenant de cette leçon.

Et maintenant que c’est à mon tour d’être maman d’ados, j’espère que je ne serai jamais confrontée aux « si » d’une fugue. J’essaie d’être à l’écoute des signes et d’enseigner à mes enfants d’autres options afin que fuir et frapper ne leur apparaissent pas comme des solutions. On verra si ce sera suffisant.

Nathalie Courcy

Nos enfants sont le reflet de nos émotions

Un matin, j’en ai eu assez. Assez de toujours me « battre » av

Un matin, j’en ai eu assez. Assez de toujours me « battre » avec elle pour devoir la coiffer.

Ma fille de cinq ans est hypersensible. En gros, elle ressent plus fort certaines choses, comme les bruits, les textures et les bobos par exemple. Ou les nœuds dans ses jolis cheveux que je dois démêler. Elle n’est pas capricieuse, elle est hypersensible. Mais il y a des matins, vous savez, ces matins… Où la patience de chacun coopère moins, où il faut aller vite, où fiston boude dès son réveil, où bébé renverse tout; où c’est le chaos. Et souvent, ces matins-là, il y a ma grande qui hurle quand je passe la brosse dans ses cheveux, malgré ma bonne volonté, malgré mes années d’expérience de coiffeuse, malgré les malgré; elle hurle. Comme si je lui arrachais les cheveux un à un. Et pour en rajouter, ces matins-là, moi je finis par surchauffer et je crie.

Il y a eu ce matin où j’en ai eu assez. Assez de tout ça. Parfois, j’ai besoin de me parler un peu et de me rappeler que je suis une bonne maman. Ce fameux matin, je me suis shakée un brin et je me suis rappelée tous mes bons coups accomplis dans le but d’aider ma petite/grande anxieuse et tous ceux qui apportent de la magie dans la vie de mes minis. Je ne veux pas que mes enfants se souviennent de la maman qui crie, mais de celle qui a des idées quelquefois bizarres, mais souvent chouettes. En essayant de trouver un moyen de rendre le moment de la coiffure positif, je me suis souvenue d’une vidéo que j’avais vue circuler sur les zinternets. Celle d’un papa qui faisait réciter un mantra à sa toute mini puce, pendant qu’elle se regardait dans le miroir.

Ça y est! J’avais eu une idée de génie! Le lendemain, je lui ai dit qu’on la coifferait dans sa chambre, devant son miroir. Elle trouvait ça curieux, mais elle a accepté. J’ai commencé à brosser et je lui ai demandé de répéter après moi :

« Je suis belle. Je suis forte. Je suis gentille. Je suis intelligente. Je vais toujours travailler fort, même quand ce sera difficile. »

Wow! Elle répétait tout, avec le sourire et ne bronchait presque pas quand ça tirait. Alors j’ai continué :

« Je suis respectueuse. Je ne suis PAS meilleure que personne. PERSONNE n’est meilleur que moi. J’ai confiance en moi…»

OOPS. Du haut de ses cinq ans, elle n’a pas voulu répéter la dernière phrase. Mission accomplie, j’avais terminé sa jolie coiffure (plus élaborée qu’une couette en plus!)! Elle n’a pas voulu répéter ces mots : J’AI CONFIANCE EN MOI. OUTCH! Je lui ai fait remarquer et elle n’a pas voulu. En insistant gentiment et avec le sourire, j’ai réussi à lui faire dire, mais très mollement. Ce matin-là, mon cœur a eu mal. Ma fille de cinq ans reconnaissait déjà qu’elle n’avait pas confiance en elle. Ce matin-là, j’étais contente d’avoir trouvé un beau moyen pour qu’on ne se chicane plus pendant que je lui démêle les cheveux et que je la coiffe. Mais surtout, j’étais contente d’avoir trouvé un moyen pour essayer de construire l’estime et la confiance d’une belle petite fille qui deviendra grande. Je me suis promis de recommencer, mais je ne voulais pas que cela devienne un fardeau ou quelque chose de banal.

Le lendemain, tel le jour de la marmotte, est arrivé le moment où l’on doit attacher les cheveux avant de partir pour l’école. Elle m’a dit elle-même  « Viens maman, on va le faire devant mon miroir et je vais répéter tes mots. » Comme j’étais fière! Elle en avait ressenti du bien-être? Hallelujah! Mais encore une fois, arrivée à la même foutue phrase, elle n’a pas voulu la répéter. Niet. Pantoute. Elle m’a dit : « Pourquoi tu dis toujours ces mots-là? Ceux-là, je n’ai pas envie de les dire. » Double OUTCH. Et là, j’ai réalisé qu’à trente et un ans et trente-deux ans, son père et moi, bien que nous soyons des personnes épanouies, heureuses, gentilles, respectueuses, travaillantes…Pour lui et moi, ce sont aussi des mots que nous avons encore de la difficulté à répéter. Alors le plus de matins possible, depuis ce jour, je répète ces mots avec ma fille. Je les répète en ME regardant dans le miroir, pas en la regardant. Je les dis à la petite fille de cinq ans qui m’habite, celle qui excellait dans presque tout, mais qui n’arrivait pas à lever la main à l’école pour poser une question, par peur de se tromper. À celle qui ne disait rien pour ne pas contredire, pour ne pas déplaire. À celle pour qui prendre des risques a pris trente ans. (Faites le calcul, j’en ai 31!)

Avoir des enfants est le plus beau cadeau et le plus beau, grand et difficile défi qui soit. Parfois, grâce à des matins chaotiques et banals, on peut arriver à faire de bien grandes choses. Pour nos enfants et aussi, pour nous. On continuera à répéter ces mots, elle, ses frères et moi, et à travailler fort jour après jour. Pour que jamais ils n’oublient qu’ils sont beaux, gentils, forts, respectueux et intelligents. C’est le travail d’une vie, je le sais… Pour que si un jour, où ils arrivent fièrement dire « J’ai confiance en moi », ils n’oublient jamais aussi qu’ils ne sont pas meilleurs que personne. Mais… que personne n’est meilleur qu’eux! Et disons le, ça ne fait pas de tord à la mère de se le dire! Je vous mets au défi de prendre le temps d’essayer, vous verrez! … Tout ça pour arriver à faire une couette sans entendre crier… pas pire hein! 🙂

 

 

Avoir confiance en soi, plus facile à dire qu’à faire

        [embed]https://youtu.be/a0ugwQCKQeQ[/embed] Est-ce que de

 

 

 

 

Est-ce que devenir une mère nous change complètement ? C’est une question que je me suis posée aujourd’hui au rayon des cosmétiques. Je regardais ce beau rouge à lèvres d’un rouge éclatant, vous savez style Marilyn Monroe. Et c’est à ce moment que je me suis dit: ‹‹ Ouin, mais c’est trop “flash” pour une maman ››.
J’ai aussi réalisé que la mode était devenue, pour moi, une espèce de hantise… La hantise du regard des gens et de leur vision de cette mère délurée qu’on remarque par son allure trop bien arrangée.
Depuis que j’ai des enfants, je ne prends plus le temps de me sentir belle pour moi. Je m’étire les cheveux, je mets un peu de cache-cernes, un eye liner et du mascara. Point.
Rien de flash, parce que j’ai peur d’être jugée.
Et ce n’est nullement la faute de mes enfants. Ils ne jouent aucun rôle dans cette manière de me sentir qui, je le réalise, est totalement idiote… mais tout de même présente.
Suis-je la seule à avoir changé depuis que je suis maman ? Pas à cause de mes enfants, mais par peur du regard des autres ?
À vous toutes mamans fashions qui êtes restées femme, en assumant votre côté “séduisante”, eh bien bravo!
Mais dites-moi: ‹‹ Comment faites-vous ? ››