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25 juin : la Journée mondiale du vitiligo ou la beauté sous toutes ses formes – Texte : Nancy Pedneault

Depuis quelques années déjà, je sensibilise les gens de mon entourage à l’acceptation de l

Depuis quelques années déjà, je sensibilise les gens de mon entourage à l’acceptation de la diversité corporelle. C’est certain qu’en souffrant du vitiligo, j’ai appris à vivre avec le corps que je porte et parfois supporte. J’essaie donc de parler le plus possible de ma maladie pour que cessent les regards surpris et parfois méprisants. Ça arrive encore trop souvent, et ce n’est même pas discret. Il faut que ça cesse !

 

Je dois tout de même avouer que depuis quelque temps, sur les médias sociaux, je vois une certaine évolution de l’image corporelle. Et ça me donne espoir pour les jeunes qui forment leur identité.

 

D’abord, j’ai remarqué que plusieurs compagnies soignent leur image en incluant des gens de toutes tailles, de toutes nationalités, de tous genres confondus et même tachetés. Il y a de la place pour tout le monde ! Enfin, je me sens représentée, je me sens normale.

 

Je vois aussi de plus en plus d’influenceurs qui sensibilisent leurs abonnés et parlent de l’acceptation des diversités corporelles. Les discours changent concernant les régimes et les troubles alimentaires. Des portes s’ouvrent sur un monde qui a été bien trop longtemps caché.

 

Les jeunes qui forment leur pensée critique ont de plus en plus de beaux exemples à suivre, des modèles positifs et diversifiés. Il y a même des livres jeunesse qui font progresser les idées (merci, Simon Boulerice !).

 

La vraie vie, c’est ça ! Nous sommes tous différents, nous sommes tous beaux ! La beauté passe par ce que tu dégages, ce que tu montres aux autres dans tes actions. La beauté, elle est dans toute ta personnalité.

 

Alors aujourd’hui, en ce jour de sensibilisation au vitiligo, j’ai envie de le déclarer haut et fort : JE ME TROUVE (enfin) BELLE ! Vous verrez mes taches, je ne les cacherai plus. Elles font partie de ma vie. Elles m’ont permis de développer ma personnalité et ma confiance en moi.

 

Et je ne suis plus seule, il y a plein de modèles qui me ressemblent maintenant ! L’avenir se dessine positivement pour la beauté, sous toutes les formes.

 

Nancy Pedneault

4 pieds 10 pouces

On parle de la diversité corporelle, mais on n’en parle pas encor

On parle de la diversité corporelle, mais on n’en parle pas encore assez, ça m’a tout l’air. 4 pieds 10 pouces, c’est moi ça.

Je suis venue au monde dans un corps qui allait éprouver des difficultés pendant l’enfance. Un arrêt de croissance s’est invité et donc, j’ai trois ans de retard osseux. À six ans, j’avais le corps d’une trois ans. Grandir n’a jamais été dans mes priorités. Rien de bien grave !

Cependant, dans le cadre de mon travail, j’ai eu à intervenir avec une jeune fille qui me demandait, en larmes, quand elle allait finir par s’habituer aux commentaires sur sa grandeur.

J’ai pogné un deux minutes*, je l’avoue. J’ai répondu instinctivement : jamais !

Jamais, on ne doit s’habituer à se faire narguer pour notre physique. Les blagues de ce genre, ça n’a pas sa place, dans aucun contexte.

Je croyais que les commentaires allaient passer, en vieillissant. Je me suis développé une stratégie qui consistait à rire jaune aux taquineries tout en essayant de ne pas perdre la face. Cependant, j’ai réalisé dernièrement que l’adolescence est terminée depuis longtemps et pourtant…

Encore aujourd’hui, on me traite de naine et on me dit que je suis considérée comme handicapée. On me demande si je suis assise alors que je suis debout. On me dit que je n’ai pas assez mangé de coups de pied au derrière quand j’étais enfant. On m’utilise comme échelle de grandeur pour mesurer les enfants, on me compare constamment à eux. On me dit que je n’aurai jamais l’air d’une femme, encore pire, d’une mère. On me fait même des blagues très salaces dans le domaine de ma vie privée. Ces remarques s’accompagnent souvent de la phrase « Tu le sais que je te niaise », « C’est juste pour rire ». Mais pour être honnête, si c’est drôle pour les autres, pour moi ce ne l’est plus.

Suite à des commentaires sur mon physique, mon fils m’a demandé avec toute son innocence d’enfant pourquoi ce n’était pas poli de parler du poids des autres mamans, mais que les adultes se permettaient de rire de ma grandeur. Je lui ai répondu que ce n’était pas plus poli et qu’il est important de voir au‑delà des apparences, parce que la beauté d’une personne, c’est tellement plus que le physique.

Je vais bien, je suis assumée et confiante. 4 pieds 10 pouces, ce n’est pas ce qui me définit. Cependant, à l’ère où on parle beaucoup de la diversité, il est important de se rappeler que la personne devant nous mène peut-être un combat qu’on ignore. J’ose aujourd’hui aborder ce sujet, même si on m’a déjà mentionné avec mépris que je faisais bien « pitié » d’être petite et que c’était une insulte aux personnes qui ont un surplus de poids, que de m’en plaindre.

Alors aujourd’hui, je dis non ! Rire d’un physique, peu importe la forme, la taille, la grandeur, c’est non !

Il n’y a pas de comparaison à y avoir, le point central de cette lutte pour la diversité corporelle, c’est que le physique de quelqu’un ne devrait en aucun cas être un sujet de conversation. Point à la ligne.

Marilyne Lepage

*Pogner un deux minutes se résume à un regard de raton laveur coincé en flagrant délit.

L’impact des médias sur la femme

La première fois que j’ai lu un magazine f

La première fois que j’ai lu un magazine féminin, c’est aussi la première fois que je me suis dit que je n’étais pas assez pour les autres. Pas assez féminine, pas assez jolie, pas assez intéressante. Après ma lecture, j’ai pensé que mon ventre devait être plus plat, que mes épaules étaient trop carrées et que mon visage n’était pas assez beau sans maquillage. Je ne crois pas qu’à sept ans, ou à n’importe quel âge d’ailleurs, ça devrait être une préoccupation pour une femme. Ce thème n’est pas seulement récurrent dans les magazines, mais dans tous les médias. Partout, je vois des bêtises comme des pubs d’applications qui aident à avoir le parfait beach body, comment éviter ou cacher son acné, quoi mettre selon ton type de corps ou quel régime utiliser pour avoir une silhouette de rêve. 

J’ai déjà lu un article dont le titre était : « Quoi porter pour plaire aux garçons ». On dirait que, selon eux, le seul but d’une femme est d’être appréciée par la gent masculine et que c’est tout ce qui devrait être important. On voit toujours les mêmes types de corps qui nous disent quoi faire pour leur ressembler. C’est insensé de devoir stresser pour correspondre à des critères de beauté inatteignables qui changent tout le temps.

C’est déjà si dur de s’accepter et de s’aimer, moi‑même je travaille sur mes complexes qui, je le sais, ne sont que naturels. Ce serait tellement aidant si les médias nous soutenaient vraiment au lieu de nous rabaisser indirectement. Il faudrait montrer des femmes fortes et brillantes de toutes les formes, couleurs et orientations sexuelles. On pourrait aussi normaliser ce que la société appelle des défauts tels que la cellulite, les vergetures, l’acné, le vitiligo, l’eczéma et les autres conditions de peau répandues et normales. Ce serait vraiment bien de parler de ce qu’est une femme au‑delà d’un corps. 

En plus, toutes les femmes sont magnifiques, peu importe le corps dans lequel elles sont nées. Alors, pourquoi ne pas le leur rappeler une fois de temps en temps pour qu’elles arrêtent de se sentir aussi mal par rapport à elles‑mêmes ? Il faut encourager toutes les femmes à s’aimer, sans exception.

Layla Archambault

Miroir, miroir, dis-moi…

Depuis toujours, toi, Miroir, tu me joues des to

Depuis toujours, toi, Miroir, tu me joues des tours. Depuis toujours, l’image que tu m’envoies n’est pas à mon goût. Du plus loin que je me souvienne, regarder mon reflet n’a rien d’agréable. Je prendrais un peu plus de ci et un peu moins de ça. Et pourtant…

Quand je regarde les photos de moi, plus jeune, je me trouve magnifique. J’en conclus donc que c’est toi, cher Miroir, qui me rends la vie dure. À moins que ce soit ton ami, Pèse-personne. Là, je l’avoue, tout est déréglé. Le nombre inscrit sur le cadran est celui d’une grosse fille. Mais quand je m’attarde aux images du passé, je vois une belle fille. Que se passe-t-il ? Où est le problème ?

Dans mon magazine « Fille d’aujourd’hui », les filles sont minces, blondes avec des cheveux raides. Elles remplissent leur soutien-gorge beaucoup plus que moi. Toi, tu me renvoies l’image d’une brunette, frisée, avec des fesses. C’est bien confortable, mais ce n’est pas à la mode. Les pantalons sont toujours trop serrés pour moi, même ceux à ma taille. Je dois être grosse.

 

Un peu plus tard arrive le terme « poids santé ». Ça y est, ce que tu me montres depuis des années est confirmé par les experts. Ce n’est pas rien. Ils doivent bien le savoir. Je suis grosse. Alors, tu avais raison, mon cher. S’enchaînent donc régimes de toutes sortes et entraînements. Mais la conclusion demeure la même. Pèse-personne me dit toujours que je fais de l’embonpoint et toi, Miroir, tu m’envoies encore la même image.

Puis un jour, je suis devenue maman. Mon image a changé pour vrai. Ce n’est pas juste toi qui me joues des tours. Mon ventre a perdu sa fermeté, des lignes y sont apparues par dizaines. Quelques rides de souci ont commencé à tapisser mon front. Les filles des magazines aussi ont changé. On commence à parler d’un concept tout nouveau : la diversité corporelle. Mon regard envers moi-même s’adoucit. Pèse-personne ne fait plus partie de ma vie.

Aujourd’hui, à plus de 40 ans, je dois te l’avouer, je me trouve belle. Tu me renvoies l’image de mes taches, mes vergetures, mon petit surplus de poids, mes rides et mes cheveux blancs. Et tu sais quoi ? Je m’en fous ! Je me trouve belle comme je suis. Alors, Miroir, je dois avouer que je t’ai accusé à tort. Tu n’es pas le problème. C’est plutôt la société qui envoie depuis des années une image lisse de la femme. Offre mes excuses aussi à Pèse-personne qui n’y était pour rien lui non plus.

Maintenant maman de deux magnifiques adolescentes, je veux leur montrer l’exemple de l’acceptation de soi, que la beauté est dans la différence. La personnalité d’une personne la rend unique et magnifique. J’ai envie qu’elles n’attendent pas d’avoir 40 ans pour se trouver belles.

Heureusement, les temps changent et des femmes différentes sont représentées dans les diverses publications. J’ai espoir pour les filles qui grandissent. On a encore du chemin à faire, mais nous sommes sur la bonne voie. Vive la diversité corporelle !

 

 Nancy Pedneault

On ne pointe pas du doigt !

Un matin d’été, j’attendais à la clinique et tu étais là, avec to

Un matin d’été, j’attendais à la clinique et tu étais là, avec ton petit bonhomme d’à peine 5 ans. Tu ne le sais pas, on ne s’est jamais revues, mais je pense régulièrement à toi. Ce jour-là, tu m’as émue aux larmes.

Nous attendions sagement notre rendez-vous, chacun dans notre coin. Puis, ton garçon m’a pointé du doigt. Un geste anodin, penses‑tu ? Pour moi, non. En fait, ça m’arrive souvent, surtout l’été. Parfois, les gens se retournent sur mon passage, me fixent ou font une moue dédaigneuse. C’est que je suis atteinte de vitiligo.

Le vitiligo est une dépigmentation de la peau. J’ai donc plein de taches blanches, partout sur mon corps. L’été, ma peau saine bronze et mes taches paraissent vraiment plus. Pendant des années, je me suis cachée, mais plus maintenant. Ce matin‑là, j’étais en jupe et on voyait beaucoup mon vitiligo.

Quand ton garçon m’a pointée du doigt, j’ai attendu de voir ta réaction. C’est l’habitude, tu vois. Et j’avoue, je m’attendais à tout, sauf à ça. En repliant son petit doigt, tu lui as dit : « Tu te demandes pourquoi la peau de la madame est comme ça? Viens, on va lui demander. » Et vous êtes venus vers moi. Tu m’as posé la question avec tellement de respect que j’en ai eu les larmes aux yeux.

En prenant la peine de venir me voir avec ton petit, tu lui as montré qu’il ne faut pas avoir peur de la différence. En me posant la question, tu lui as appris que ce qu’on ne connaît pas peut être impressionnant, mais qu’on doit essayer de comprendre. Une fois qu’on sait, on ne juge plus. Après notre discussion, tu lui as expliqué pourquoi il aurait pu me faire de la peine en me pointant ainsi du doigt. Ce matin‑là, tu lui as enseigné la bienveillance.

Après notre rencontre, dans ma voiture, des larmes de joie ont coulé sur mes joues. Je me suis sentie respectée et ça m’a fait un bien fou. Maintenant, quand je revois des gens qui plissent du nez devant ma différence, je repense à toi et je souris. Je me dis qu’ils auraient besoin d’une maman comme toi dans leur vie. Merci pour ce beau moment.

Nancy Pedneault

Lory répond à vos questions sur l’image corporelle

Le 18 juillet dernier, nous avons lancé la chronique de questions-

Le 18 juillet dernier, nous avons lancé la chronique de questions-réponses en lien avec la psychologie. Merci à ceux et celles qui ont participé, tant sous la publication que par courriel! Voici les questions que nous avons retenues!

Mélanie P. nous a écrit :

« J’ai trois jeunes filles, j’ai terriblement peur qu’un jour, elles souffrent de troubles alimentaires. On les bombarde tellement d’images de filles parfaites. Comment les aider à s’accepter, s’assumer? Quels signes à surveiller pour déceler un trouble alimentaire? »

Émilie G. nous a également écrit :

« J’ai une jeune fille de onze ans et elle se “trouve grosse”, veut maigrir et se compare énormément à ses amies. C’est normal de se comparer, mais comment l’aider à s’accepter sans parler de régimes et autres? Également, elle a récemment commencé à comparer son visage et ses sourcils à ceux des mannequins que l’on voit à la télé et qui ont des sourcils parfaits! Comment l’accompagner à ce sujet? »

 

Ce sont deux excellentes questions qui regroupent plusieurs aspects importants.

  • La prévention

D’abord, Émilie et Mélanie, vous semblez toutes les deux conscientes que vous pouvez jouer un rôle aidant auprès de vos enfants! En effet, le contexte dans lequel les enfants évoluent peut influencer leur image corporelle.

Ma première question serait donc : quel genre de discours est véhiculé à la maison par les adultes? Parfois, des messages sans mauvaises intentions laissent des traces : « Mon Dieu, j’ai pris du poids! Je ne rentre même plus dans ma robe! »; « Ben voyons, je ne mettrai pas de bikini à la plage! »; « Papa commence à avoir une grosse bedaine de bière! ». Ce genre de phrases qui met l’accent sur le poids peut laisser entendre à l’enfant que l’apparence du corps a une grande place au sein de la famille. Parfois, ce ne sont pas des phrases, mais plutôt des actions qui sont parlantes, comme lorsque le souper est de la lasagne et qu’un membre de la famille mange uniquement la salade pour respecter une diète. Les enfants sont très alertes à tous ces petits signes et les interprètent à leur façon. Il faut donc prendre conscience de votre contexte.

Quant à l’entourage social, comme les amies de la fille d’Émilie, il est vrai que les enfants se comparent entre eux. Toutefois, en maintenant une relation harmonieuse avec vos enfants, vous pourrez avoir accès aux messages qu’ils entendent. Vous pourrez ainsi être alertes aux signes et ajuster vos interventions pour que votre voix, qui prône l’acceptation de soi, soit également entendue.

  • Les troubles alimentaires

 

En ce qui concerne l’inquiétude de Mélanie concernant les troubles alimentaires, je crois qu’elle est partagée par plusieurs parents! D’emblée, il est important de savoir qu’un trouble alimentaire, c’est complexe. Il n’y a pas de cause unique. C’est plutôt un cumul de facteurs biologiques, psychologiques, sociaux et environnementaux qui peut les expliquer. Cela veut donc dire qu’il n’y a pas de façons de faire précises et universelles pour éviter qu’un enfant ou un(e) adolescent(e) en souffre.

Dans le même ordre d’idée, les signes à cibler sont différents d’un cas à l’autre. Toutefois, soyez alertes à tout changement dans le discours ou le comportement de votre enfant. Semble-t-il très, voire trop, préoccupé par son apparence, son poids ou son alimentation? S’isole-t-il lors de la période des repas? A-t-il un regard sur lui-même qui semble déformé par rapport à la réalité? Réagit-il fortement lorsque vous lui exprimez vos observations? Bref, faites confiance à votre voix intérieure. Si quelque chose vous chicote, n’hésitez pas à vous référer à des ressources professionnelles pour faire le point sur vos inquiétudes.

D’ailleurs, pour plus d’informations, je vous conseille fortement de faire un tour sur le site web d’ANEB Québec (https://anebquebec.com). Cette association a entre autres une ligne d’écoute et le site est une mine d’or d’informations sur les troubles alimentaires.

  • L’accompagnement vers l’acceptation

 

Comme énoncé plus haut, il n’y a pas de procédure généralisée permettant de garantir que nos enfants ne se préoccuperont pas de leur image corporelle à un moment ou un autre de leur vie. Ceci dit, voici quelques idées pour faire de la place à l’acceptation de soi :

1)      Soyez des modèles pour vos enfants, tant dans votre discours que dans vos actions!

2)      Sensibilisez vos enfants à l’image véhiculée dans les médias et aidez-les à développer leur esprit critique à ce sujet.

3)      Valorisez leur personnalité, leurs efforts et leurs idées pour qu’ils intègrent ce message plutôt que l’importance de l’apparence.

4)      Exposez vos enfants à des modèles, des médias et des messages qui mettent en valeur la diversité corporelle.

5)      Entretenez une relation d’ouverture avec vos enfants pour qu’ils s’ouvrent à vous en cas de besoin.

Finalement, dans votre message Mélanie, vous indiquez avoir « terriblement peur » que vos filles souffrent de trouble alimentaire. Comme doctorante en psychologie, je m’intéresserais également à cette émotion. D’où vient-elle et surtout, comment s’inscrit-elle dans votre quotidien quant à l’image corporelle? C’est une bonne chose de vouloir être alerte tout en s’assurant que cela ne devient pas trop envahissant ou central.

J’espère que ces pistes de réflexion sauront vous aider! Merci encore à tous d’avoir participé à cette chronique, et à bientôt pour le prochain thème!

Lory

Veuillez noter que les pistes de réflexion partagées dans le texte ne remplacent en aucun cas le suivi personnalisé avec un professionnel. Veuillez vous référer à votre CSSS ou encore au service social d’Info-Santé (8-1-1) pour obtenir de l’aide.