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Les 24 idées du lutin futé

1— On fait un

1— On fait un piège à lutin coquin (futé)

2— Tu peux faire dodo dans le lit de ton choix.

3— On écrit une lettre au père Noël.

4— Tu peux te coucher quinze minutes plus tard.

5— On écoute un film de Noël avec du popcorn.

6— On construit une cabane en couvertures.

7— Tu as droit à deux desserts.

8— On mange un déjeuner pour souper.

9— Promenade le soir pour admirer les lumières de Noël.

10— Pique-nique dans le salon.

11— On donne des jouets aux enfants qui en ont plus besoin que nous.

12— On fabrique une décoration pour le sapin.

13— On joue au père Noël.

14— On prépare un cadeau pour le Grinch.

15— On boit un chocolat chaud.

16— Le père Noël a une vidéo pour toi (pnp).

17— On prend un bain de Noël : on tamise l’éclairage, on colore l’eau du bain et on met des décorations de Noël dedans.

18— On va glisser en traîneau.

19— On fabrique un jouet et on le donne.

20— On danse dans le salon.

21— On fait une bataille d’oreillers ou de boules de neige.

22— On fabrique des flocons de neige (avec du papier ou des filtres à café)

23— Tu as droit à une histoire supplémentaire.

24— On fait pousser des cannes de bonbons : on plante des bonbons aux couleurs de Noël dans du sucre et surprise! Le lendemain, des cannes ont poussé par magie. 😉

 

Krystal Cameron

 

Noël DIY

Cette année, Noël ne rimera pas avec consommation, mais plutôt avec « fait maison ». Oui, n

Cette année, Noël ne rimera pas avec consommation, mais plutôt avec « fait maison ». Oui, nous avons décidé de créer tous nos cadeaux de Noël. Petits budgets pour un maxi effet! Des cadeaux originaux fabriqués avec nos petites mains, des présents faits avec amour, où nous aurons passé du temps, du temps de qualité. Voici ce qu’évoque pour moi Noël : partage, amour et passion autant pour ceux qui donnent que pour ceux qui reçoivent. Le compte à rebours est lancé pour tout terminer à temps! Voici notre liste pour vous inspirer…

 

À réaliser avec les enfants : des petites pochettes de lavande pour les tiroirs et les armoires. Il vous suffit de quelques rechutes de tissus, du fil, une machine à coudre et des graines de lavande (vous pouvez aussi ajouter quelques gouttes d’huile essentielle de lavande pour accentuer l’odeur).

 

Pour les fans de cuisine, pourquoi ne pas customiser un tablier? Empreintes de main, mots doux, dessins : libérez la créativité de vos enfants. Vous trouverez des tabliers unis en magasin et vous aurez besoin de peinture ou de crayons pour tissu, c’est tout!

 

Si vous avez une machine à coudre, c’est l’occasion de vous lancer. Pourquoi ne pas fabriquer une multitude de sacs : tote bag, sac à tarte, sac à pain. En plus d’offrir des sacs faits maison, vous posez un geste écologique. Fini les sacs en plastique! Pas besoin d’être une fée couturière; avec quelques bases, vous vous débrouillerez!

 

Durant l’hiver, qui n’aime pas se prélasser dans un bon bain chaud?! Fabriquez pour vos proches des bombes de bain maison. Ces bombes sont très faciles à faire et vos enfants se sentiront comme des apprentis scientifiques en mesurant et en mélangeant les ingrédients. Il vous suffira de quelques ingrédients (bicarbonate de soude, acide citrique, sel d’Epsom [facultatif], n’importe quelle huile végétale [nous avons utilisé l’huile de coco], huile essentielle [mandarine pour nous pour ses effets relaxants], colorant alimentaire [facultatif]).

Il vous faudra aussi des moules ou des boules en plastique pour faire figer votre préparation. Et voilà le tour en jouer!

https://fr.wikihow.com/fabriquer-des-bombes-de-bain

 

Vous avez sûrement plusieurs bocaux vides enfouis dans vos armoires; il est temps de les utiliser. Fabriquez des jar cookies! Il vous faudra tous les ingrédients secs de votre recette préférée (farine, sucre, chocolat, avoine ou canneberges, poudre à pâte). Ajoutez les ingrédients en étages, fermez le couvercle, fabriquez une jolie étiquette avec la recette et voilà un autre cadeau réalisé.

 

Fabriquez une panoplie de petits objets en pâte à sel ou pâte autodurcissante : bougeoirs, porte-sachet de thé, porte-clé, boucle d’oreille, porte photo. Nous avons testé les deux types de pâte, pâte à sel, il vous faudra, un verre de sel, deux verres de farine tout usage et un verre d’eau. Pour la pâte autodurcissante maison un verre d’amidon de maïs, deux verres de bicarbonate de soude et un verre d’eau froide à faire cuire à feu doux. Les deux pâtes s’équivalent, la pâte à sel est plus rugueuse au toucher, mais moins fragile une fois séchée.

 

Internet regorge de bons plans, d’astuces et de tutos. Bon bricolage à vous!

 

Gabie Demers

Lutin futé – Texte: Krystal Cameron  

Depuis l’anné

Depuis l’année passée, nous avons troqué le traditionnel lutin coquin pour le lutin futé. Le premier décembre, nous sortons un casse‑tête vingt‑quatre morceaux et une boule de gommette. Sur chacun d’eux est écrit un privilège ou une activité.

C’est un heureux mélange entre le lutin coquin et le calendrier de l’avent. Idéalement, on écrit quelque chose qui ne coûte pas cher et qui est riche en beaux souvenirs. Chez nous, ça passe de : faire des biscuits à donner des jouets à ceux qui en ont plus besoin que nous.

Le seul morceau important à piger en premier est celui qui indique « piège à lutin ». On le colle sur un mur à l’aide de la gommette. Ensuite, nous faisons un piège à lutin pour en attraper un. Ça fonctionne à tout coup!

Une fois le lutin attrapé, au lieu de faire des mauvais coups, il tiendra un des morceaux de casse‑tête, tous les jours, pendant les vingt‑trois jours restants. Chaque jour, on colle le morceau près des autres et on essaie de les assembler. Quand on a assemblé tout le casse‑tête, le lendemain, c’est Noël!

Rien n’empêche que notre lutin se soit déjà retrouvé dans le bain ou dans le frigo. Ses gènes de coquins ne sont pas bien loin! Ce qui est super pratique, c’est que le lutin connaît très bien les parents et sait qu’ils n’auront peut-être pas le goût de faire des biscuits un mardi soir, donc il pigera un morceau sur lequel il est écrit que les enfants peuvent se coucher quinze minutes plus tard… Il est tellement futé ce lutin!

Ce lutin amènera avec lui la magie de Noël dans votre famille. 

Krystal Cameron  

Pour toi ma fille

Chère fille,

Les vacances de N

Chère fille,

Les vacances de Noël viennent tout juste de se terminer. Elles t’ont fait un grand bien comme à tous tes amis à l’école, j’en suis certaine. Avant Noël, tu étais vidée, cernée, bref pour être franche, j’avais de la difficulté à te reconnaître.  Puis, la magie des vacances a opéré. Même si j’ai travaillé, j’ai quand même passé du bon temps avec toi et j’ai pu constater à quel point tu étais en train de devenir une jolie jeune fille.

Maman est très fière de toi. Nous avons pu passer du temps à dessiner des mandalas, jouer au Monopoly, faire des jeux de mémoires, se coller, se dire qu’on s’aime. Tu as aussi démontré une grande générosité. Le 24 décembre, avant d’aller chez tes grands-parents pour fêter Noël, tu leur as préparé à chacun un petit cadeau dans lequel on trouvait ta photo d’école, des mots doux de ta part (car tu sais lire et écrire !) ainsi que des sous. Je te confirme, ta maman n’avait pas ce réflexe à ton âge. Aussi, ton plaisir lors de la distribution des cadeaux, ce n’était pas d’être la première pour déballer, non! Ce que tu voulais, c’était être la fée des étoiles et donner les cadeaux.

D’ailleurs, concernant la magie de Noël, je crois que ta tête a compris cette année que le Père-Noël n’existe pas, mais ton cœur lui, non. Garde cette magie, ma fille. Elle te sera un plus dans le monde dans lequel nous vivons.

Aussi, cette année, tu as eu la chance de passer des journées seule avec ton père pendant que maman travaillait et également seule avec moi, ton parrain, tes grands-parents. Après chacune de ces journées, je pouvais sentir ce qu’elles t’avaient apporté. Ton cœur était en paix et tu avais su apprécier chacun de ces moments. Dans le monde où nous évoluons, la gratitude aide à se centrer sur l’essentiel et toi, d’instinct, tu l’as.

Un autre beau  moment que nous avons vécu ensemble, ce sont tes débuts en patin. Je dois dire que pour moi, c’est sûrement le meilleur moment que j’ai passé avec toi. Tu l’as pigé assez vite, tu n’as pas pleuré et je ne t’ai pas entendue chialer sur les bleus que tu t’es faits. Parce que tu es un enfant équilibré et que les sports que tu as pratiqués avant t’ont fait développer des aptitudes importantes, tu as su toutes les mettre ensemble et en l’espace d’un après-midi, c’était fait. Maman avait sa fierté accotée au ciel en te voyant.

C’est ce que je voulais te dire ma fille: je suis fière de qui tu es. Oui, je pourrais vivre dans la nostalgie de lorsque tu étais plus jeune et que tu avais besoin de nous pour tout, mais je dois te laisser déployer tes ailes et être tout près pour t’aider à grandir dans ce monde pas toujours facile.

Ma chérie, sois fière de qui tu es et j’ai bien hâte au prochain moment d’arrêt pour constater toute ta richesse et ton évolution.

Avec tendresse,

Maman

Accoucher d’un bébé du temps des Fêtes

Mettons quelque chose au clair tout de suite : mon but n’est pas

Mettons quelque chose au clair tout de suite : mon but n’est pas de partir un débat sur la meilleure ou la pire période de l’année pour accoucher. Mais on s’entend qu’une naissance entre Noël et le Jour de l’An, ce n’est pas le jack pot? Pour les parents quand ça arrive et pour l’enfant tout le reste de sa vie…

Mes deux filles aînées sont des bébés de printemps. La belle vie, à part pour le prix exorbitant des manteaux d’hiver de maternité et pour les risques de chutes sur la glace. Crampons aux bottes et bras galants pour nous soutenir font habituellement le travail.

Mon médecin a déclenché mon troisième accouchement à quarante semaines un 25 janvier, sinon j’aurais accouché de Hulk. Il n’y avait plus grand’ place pour la tourtière et les petits œufs farcis, mais j’ai pu danser quelques gigues pendant les partys des Fêtes. Surtout, mon garçon peut inviter des amis à sa fête sans qu’ils soient déjà coincés dans des soupers de Noël ou partis se chauffer la couenne dans le Sud.

Mais pour mon dernier, ce sera différent. On l’attendait vers le 10 janvier. Je n’avais jamais accouché à l’avance, ma poche des eaux ne crevait jamais seule, bref, on s’attendait à ce qu’il cuise au four jusqu’à sa date prévue le lancement.

En novembre, j’ai attrapé une saleté de bronchite. Soignée naturellement et à grands coups de repos et de liquide. De rendez-vous médical en rendez-vous médical, les choses ne s’amélioraient pas. «Je ne donne pas d’antibiotiques, c’est presque fini», me répétait le médecin. Pendant ce temps-là, je toussais ma vie.

Quelques jours avant Noël, je suis allée voir le spectacle de Jean-Michel Anctil avec mon amoureux. On a ri comme des fous, mais on a aussi toussé sans arrêt pendant trois heures. Je m’excuse aux personnes des rangées J et K du balcon de la salle Odyssée. Le lendemain, chaque fois que je toussais, une minuscule quantité de liquide coulait. Je savais bien que ce n’était pas de l’urine. Mais je préférais jouer à l’autruche pour ne pas accoucher avant trente-sept semaines.

On a passé Noël dans notre cocon familial. Mon format gargantuesque faisait de la compétition à la largeur du sapin de Noël. Et gagnait. Je n’osais pas dire à mon mari que ma poche des eaux était sûrement fissurée, je ne voulais pas qu’il me force à entrer à l’hôpital.

Noël a passé. L’anniversaire de ma mère a passé (c’était déjà difficile pour elle d’avoir sa fête entre le petit Jésus et la nouvelle année, je ne voulais pas en plus lui faire le coup du nouveau-né qui vole toute l’attention!). Le 29 décembre, à cinq heures du matin, j’étais réveillée et ça coulait doucement entre mes jambes. À peine plus que la veille. À sept heures : «Chéri, faudrait que tu te lèves. Je vais aller à la maternité, je suis pas mal certaine que c’est aujourd’hui qu’on va rencontrer notre petit chou. »

« Ben voyons! Tu n’as même pas de contractions! »

J’ai appelé une amie pour qu’elle m’accompagne jusqu’à l’hôpital. Ma mère pour qu’elle annule son souper des Fêtes (désolée encore!) et qu’elle se tape cinq heures de route en pleine tempête pour prendre le relais auprès des enfants. L’hôpital pour qu’ils préparent le test qui détecte le liquide amniotique.

Pendant que le papa finalisait les bagages et le ménage, je me conduisais moi-même vers l’hôpital. « Bon ben, madame, c’est aujourd’hui que ça se passe! »

Le temps d’installer le soluté et de shooter l’ocytocine, j’ai pu finir de tricoter le bonnet de naissance de mon bébé. « Ouin, c’est pas votre premier, hein? »

« Non, mais c’est le premier dans le temps des Fêtes ».

Un beau bébé est arrivé un peu après le souper, et on a pu retourner à la maison le 31 décembre en après-midi. Notre réveillon a été magasiné dans le rayon des surgelés à 16 h 44. J’ai regardé le Bye Bye avec mon mari pendant que j’allaitais mon nouveau-né.

Depuis, mon fils reçoit tous ses cadeaux de l’année en moins d’une semaine, la moitié des présents emballés en rouge et vert, les autres  avec du papier d’anniversaire. Ou il reçoit des plus gros cadeaux. Il fêtera son anniversaire avec ses cousins et ses cousines plutôt qu’avec ses amis tant que nous célébrerons les Fêtes ailleurs qu’à la maison. Il aura sûrement ensuite une « fausse fête » après le retour à la routine scolaire.

Peut-être qu’à l’occasion, il sera de ceux qui vont dans le Sud pour se faire dorer la couenne pendant les vacances des Noël. Mais peu importe, nous essaierons chaque année de lui créer des souvenirs uniques de son anniversaire.

Nathalie Courcy

Joyeux fucking Noël!

Je me permettrai

Je me permettrai ici de faire une diarrhée écrite concernant Noël. Eh! oui. Vous avez bien lu. Ne vous méprenez pas : si vous me croisez dans la rue, j’aurai un beau sourire et je vous souhaiterai poliment un joyeux temps des Fêtes. Mais pour le texte à venir, watch out, je me gâte!

Premièrement, voulez-vous bien me dire pourquoi les décorations de Noël sortent dans les magasins avant même que l’Halloween soit passée? Bonjour la consommation! Je n’ai même pas terminé de payer la transformation de mes petits monstres ambulants, que les centres d’achats me montrent que je devrai payer pour que mes tendres démons se transforment par la suite en saints anges!

Planification de l’horaire des Fêtes

On passe le réveillon chez les grands-parents paternels ou maternels? On reçoit ou on se déplace? On invite les deux familles d’un coup? Lorsque l’on finit par trancher, eh ! bien, il y a toujours quelqu’un pour chialer! Je n’ose même pas penser aux familles séparées. Ouf!

Les fameuses décorations

Les enfants veulent TELLEMENT faire le sapin, vous tombent TELLEMENT sur les nerfs à force de le répéter, que vous avez envie de sortir toutes les boîtes pour qu’ils se débrouillent eux-mêmes! (En passant, ça ne fonctionne pas!) Alors vous vous dites, on va le faire en famille, ça va être le fun! Ouin… Après avoir accroché trois boules chacun, ils se chicanent pour savoir qui va accrocher la maudite étoile. Maman va pogner les nerfs, va aller accrocher l’étoile tout de suite et dix minutes plus tard, elle va se rendre compte qu’elle fait le sapin toute seule parce que «C’est ben LONNGGG maman, j’suis tannée!» Arghhhh!

La nourriture des Fêtes

Juste d’y penser, j’ai des brûlements d’estomac. Pourquoi nos grands-mères veulent-elles nous engraisser de même? D’après moi, elles pensent que tout au long de l’année, on ne mange pas. «Aweille, mange! Mange!» HEY! SI JAI FAIM, JE VAIS MANGER! Ok? Peut-être quaprès trois assiettes, jen veux pu! Parce que moi dans la vie, jai dautres ambitions que manger pour me transformer en grosse dinde de Noël! On peut-tu se lever, faire des jeux, jouer dehors, danser? No’non! Grand-mère s’en vient avec ses desserts! «Mange!» Arghhhh!

Sans parler des chicanes de famille. C’est immanquable, chaque année, la magie de Noël fait son effet… ou c’est peut-être la bouffe de grand-maman à bien y penser…

Les maudits cadeaux!

Je suis de ces personnes qui préfèrent offrir plutôt que recevoir. Mais il y a maintenant trois ans que j’ai instauré cette règle non écrite qui s’adresse aussi aux grands-parents : Limite de deux cadeaux par enfant.

Je m’explique : je voyais mes enfants déballer les cadeaux les uns à la suite des autres, sans dire merci ni être reconnaissants. Une fois un jouet déballé, ils disaient : « Un autre! » OH BOBOY! Maman ourse n’était pas contente! L’odeur de bébé gâté me pue au nez. «Mais cest Noël!», quon me répétait. Et puis? Je refuse d’élever des enfants ingrats en mettant la faute sur le temps des Fêtes. Désolée, mais j’aspire à ce que mes enfants deviennent des adultes reconnaissants de ce qu’ils ont dans la vie.

Le choix des cadeaux. Trouver chaque année quoi offrir aux personnes qui ont tout. Ou bien se faire offrir des choses en double parce que les gens n’ont aucune idée de ce que nous avons. Vous savez, ces personnes que l’on voit seulement une fois par année… Pourquoi se sentir obligé de donner des cadeaux? Si on se voit une fois par année, on s’entend que le cadeau n’est vraiment pas nécessaire!

Le bordel du 25 décembre

La montagne de cadeaux que nos rejetons veulent absolument tous sortir des cartons en même temps. Pour chaque jouet, ça prend une heure de préparation parce que c’est comparable à monter un meuble Ikea. Les crises parce que tous les jouets prennent des piles différentes et que malheur! Papa et maman n’ont pas acheté une caisse de piles de chaque format imaginable au Costco! Une montagne de carton et de papier pour le recyclage, mais le recyclage passe juste chaque deux semaines l’hiver, alors on lance tous ces papiers aux poubelles!

Sans parler du manque de sommeil de nos chers chérubins cornus.

Alors voilà, j’ai fait ma montée de lait! Malgré tout cela, je vous souhaite de vivre un temps des Fêtes pas trop chaotique et de profiter du temps avec vos enfants. Parce qu’un jour, ce seront peut-être nos enfants qui écriront ces lignes…

 

 

 

 Geneviève Dutrisac

 

 

 

 

Mon 24 décembre: la solitude apprivoisée

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D’aussi loin que je me souvienne, la veille de Noël était une journée remplie d’excitation. Pendant une grande partie de mon enfance, c’était la journée des derniers préparatifs, de la sieste en début de soirée (pour que mon père puisse aller porter les cadeaux chez mon oncle) où on revêtait nos plus belles toilettes (une vieille expression souvent utilisée par nos parents et grands-parents), pour finalement se retrouver en famille chez mon oncle Casimir et ma tante Mariette, après l’interminable messe de minuit. On déballait plein de cadeaux, on riait aux éclats, les parents buvaient un p’tit verre pendant qu’on jouait avec nos nouveaux jouets et bien sûr, on mangeait de la dinde et de la tourtière à trois heures du matin.

Quelques années tranquilles ont suivi, seulement avec mes parents, mon frère et ma sœur. Tranquilles certes, mais en famille. Les repas, les rires, les cadeaux et les blagues étaient présents. On trouvait le moyen de rendre les réveillons plaisants.

Des conjoints se sont ajoutés à notre petit groupe. Le réveillon était fêté avec la belle-famille et le 25 chez moi, avec les miens. La naissance de mes neveux et de mes deux trésors amena de nouveau beaucoup d’excitation. Le Père Noël et toute la magie qui entoure cette fête étaient de retour. Nous étions tous très heureux de vivre ces beaux moments.

Depuis toujours, j’ai vécu des beaux réveillons de Noël, jusqu’à il y a trois ans, à la suite de ma séparation du père de mes enfants. Après vingt-deux ans de vie commune, autant d’années à festoyer avec ma belle-famille et dix-neuf ans à fêter avec ma fille, je me suis retrouvée seule. Après tout ce temps… ouf!… Toute une étape à franchir. Il faut le vivre pour le comprendre.

Déjà en novembre 2013, j’anticipais le 24 décembre. Déjà, la tristesse s’emparait de moi. Je savais que mes enfants seraient avec leur père et sa famille. J’avais peur d’affronter ma solitude et mes émotions. J’aurais pu être avec ma mère, mon frère et ma sœur. Je savais au fond de moi que je devais passer cette soirée et cette nuit seule, et vivre intensément tout ce que mon corps voulait exprimer.

Comme dans tout changement, il y a eu une période de deuil à faire. Je voulais vivre chaque étape de deuil avec les émotions qui l’accompagnent. Ça n’a pas toujours été facile, mais je suis très heureuse de l’avoir fait.

Vivre le deuil de la famille signifiait accueillir et accepter qu’il n’y ait plus de temps des Fêtes avec ma belle-famille et mes enfants. Ça voulait dire trouver une nouvelle perspective à mes valeurs familiales qui ont toujours fait partie de moi et que j’ai enseignées à mes enfants.

Je me retrouvais seule avec moi-même avec plein de questions existentielles. Un immense vide intérieur m’envahissait. J’avais le goût de sortir pour prendre l’air et m’énergiser, mais en même temps, je voulais simplement me coucher en boule et pleurer toutes les larmes de mon corps.

J’ai choisi la deuxième option. Le lendemain, j’étais vidée. Plus aucune larme ne pouvait sortir. Je me sentais déjà beaucoup mieux, même si je savais que ce n’était pas fini. J’avais fait un pas de plus vers ma guérison.

C’était la première fois de toute ma vie que j’étais seule un 24 décembre, sans famille, sans mes enfants. La journée la plus difficile de toute ma vie. Je ne l’oublierai jamais.

À chaque année depuis ce jour, je vis mes réveillons de Noël encore seule. Je suis très sereine. Je prends du temps pour moi. Je lis, j’écoute de la musique, je médite, etc. Je suis en paix avec moi-même.

Pendant l’écriture de ce texte, je réalise que j’ai toujours été dans l’abondance. C’est moi qui ai le choix de mon attitude, à savoir si cette journée est excellente ou médiocre. J’ai grandi intérieurement et mes valeurs sont encore plus importantes et ancrées en moi. J’ai davantage de gratitude pour tout ce que la vie m’apporte.

Un 24 décembre fait aussi grandir.

Cette année, mon 24 décembre 2016 sera merveilleux. Et le vôtre?

Je vous souhaite un temps des fêtes rempli de petits moments de bonheur, avec votre famille, qui resteront gravés à jamais dans votre cœur.

 

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                                           Linda Cusson Coach, auteure et conférencière

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La vie est comme une boîte de chocolats

La mère de Forrest Gump disait que la vie est comme une boîte de chocolats : on ne sait jamais su

La mère de Forrest Gump disait que la vie est comme une boîte de chocolats : on ne sait jamais sur quoi on va tomber…

 

Je suis plutôt de cet avis. Alors, en cette période des Fêtes, où tout le monde s’offre des boîtes de chocolats de toutes sortes, j’aimerais faire mon coming out : JE N’AIME PAS LE CHOCOLAT!!! Excepté le chocolat au lait avec ben, ben des noisettes, et les Kinder Surprise…

 

Sauf que quand c’est ton oncologue qui t’offre ce Kinder Surprise de la vie, ben, le chocolat est plutôt amer, et ta surprise… elle est de taille. Et elle est tout aussi inutile que n’importe quelle bébelle pondue dans ces œufs qui incarnent à eux seuls les tares de notre société de consommation.

 

Alors voilà, c’est dit. Depuis le 22 décembre de l’an passé, mon aversion pour le chocolat inclut les Kinder Surprise.

 

Malgré le mauvais goût que ce diagnostic m’a laissé dans la bouche, il n’était, cependant, pas question que j’en fasse une crise de foi (oui, de foi!). Surtout pas avant la bûche de Noël. Surtout pas devant mes enfants.

 

Et puis, comme les fêtes de fin d’année, c’est le temps où l’on prône l’amour et l’entraide, je me suis, bien entendu, empressée de partager la nouvelle avec mes enfants et mon entourage. Oui, oui, il y a un an, à trois jours de Noël, j’annonçais à mes enfants que j’avais un cancer.

 

J’en entends déjà certains sonner les cloches : pourquoi n’as-tu pas attendu après les Fêtes pour annoncer la nouvelle, vu le risque de gâcher la magie de Noël?

Parce qu’il est vrai que l’on est moins SONNÉ d’entendre le mot cancer APRÈS avoir trinqué tous ensemble « À notre santé » au Nouvel An?!

 

Bon, je vous l’accorde : recevoir un diagnostic de cancer à trois jours de Noël, c’est comme croquer dans une fève de cacao, ça manque de raffinement. Mais même si cette nouvelle avait été enrobée de caramel mou, elle n’aurait pas été plus digeste…

 

Alors, voilà comment, il y a un an, pour Noël, j’ai offert à mes enfants LA VIE en cadeau. La vie telle qu’elle est. Emballée d’un ruban rose.

 

Et vous savez quoi? On a passé un merveilleux Noël tous les trois.

Dans la joie, la gaieté, l’amour et la vie…

 

Parce qu’au fond, c’est quoi la magie de Noël… si ce n’est un état d’esprit?

 

Pour moi, l’esprit de Noël, c’est les rituels que l’on s’invente, qui nous ressemblent et nous rassemblent. Toutes ces intentions et ces attentions que l’on déploie pour préserver la féérie dans les yeux de ceux qu’on aime.

 

Et sincèrement, je crois que j’ai réussi ce défi, malgré une année à vivre le cancer.

Car mes enfants croient encore au Père Noël. Mais surtout, ils ont réalisé que c’est Noël tous les jours dans les bras de leur mère.

 

Puis moi, j’ai compris que je n’ai pas besoin d’aimer le chocolat pour aimer la vie.

 

P.S. Si ça vous fait plaisir de m’offrir du chocolat malgré tout, ne vous en faites pas, mes enfants se feront une joie de TOUS les manger!

 

Pour en lire plus sur mon quotidien avec le cancer, visitez www.laviecontinuemalgretout.com

 

 

C’est comme ça que ça se passe dans le temps des Fêtes!

  • J’aime Noël... j’adore même! Mais en regardan
    • J’aime Noël… j’adore même! Mais en regardant l’horaire du temps des Fêtes, je saigne un peu du nez. J’imagine déjà les crises de bacon, la troisième guerre mondiale qui éclatera entre mes filles parce qu’elles sont une coche de plus qu’over fatiguées. Je sais que je devrai puiser au plus profond de mon fond pour rester calme et ne pas pogner les nerfs…

    noel

    Mais j’ai hâte. Hâte de voir tout mon monde. Célébrer, boire un verre ou deux (ok, cinq-six… ok, sept-huit). Jaser avec les cousins, cousines avec qui j’avais un fun fou dans ma jeunesse (et non mes photos n’étaient pas en noir et blanc comme le pense ma fille), mais qui sont maintenant loin. Regarder ma tante Blanche danser (ou tenter de danser) malgré sa douleur à la hanche, mon oncle Berthier rire à en perdre son nouveau dentier. Écouter la cousine habituellement si heureuse, mais que l’alcool déprime, me raconter sa vie qui est un long naufrage. Essayer d’expliquer les règles d’un jeu à mon oncle Roger tout mêlé, et finalement ne pas jouer parce que mon oncle Gilles intervient dans un mauvais moment au début de la partie. J’ai hâte de trouver mes filles endormies dans un endroit suspect (parce qu’il n’y a plus la fameuse pile de manteaux qui était si confortable dans notre jeunesse).

    J’ai même hâte de ramasser le vomi de mes filles qui auront mangé plein de cochonneries (ok, j’exagère peut-être légèrement).

    J’ai hâte de consoler mes filles qui vivront encore une fois une peine d’amour de devoir laisser partir leurs lutins. Je ne leur dirai pas que maman boit une coupe de vin et célèbre intérieurement parce qu’elle a enfin fini d’inventer les tours les plus hot possible tous les soirs. Je serrerai mes enfants fort dans mes bras en leur disant que les lutins reviendront l’an prochain parce que ce sont des petites filles extraordinaires.

    J’ai hâte de voir les yeux de mes filles lorsqu’elles découvriront les cadeaux de Noël que le Père Noël leur aura apportés. J’ai hâte de les voir déballer leur cadeau en cinq minutes et me dire que les deux heures que j’ai prises pour les emballer minutieusement n’étaient peut-être pas nécessaires. Je me souviendrai alors que j’ai eu du fun à le faire avec ma petite coupe de vino. J’ai hâte de voir leur excitation lorsqu’elles nous donneront les cadeaux qu’elles auront pris le temps (ou pas) de confectionner. Peut-être que je simulerai la joie et l’émerveillement devant le gribouillis de la petite dernière… mais pour voir la fierté dans ses yeux, pourquoi pas! Nos parents l’ont fait à maintes reprises.

    Puis moi aussi, j’ai hâte de recevoir mes cadeaux, je suis quétaine de même… J’ai hâte d’offrir ceux que j’ai achetés. J’ai hâte de rire avec mes parents, mes sœurs et mes beaux-frères. D’avoir du fun et juste de vivre le moment présent.

    J’ai hâte de dire que j’ai beaucoup trop mangé pour souper et me garrocher dans le buffet du réveillon comme si je n’avais pas mangé depuis des semaines. Me battre pour les saucisses entourées de bacon, comme une lionne qui défend son snack du moment. Oublier le fameux régime de jus que j’ai tenté de suivre les jours d’avant.

    J’ai hâte de retourner travailler plus fatiguée que jamais après ces deux semaines de fous…

    Joyeux temps des Fêtes à tous!

     

Trempette italienne

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Avec le temps des Fêtes qui est à nos portes, les réceptions surprises ou de dernière minute font souvent partie de nos fins de semaine. Je ne sais pas pour vous, mais chez nous, les trempettes sont pratiquement un « must » quand nous avons de la visite. La trempette que je vous présente est à la bonne franquette puisque les ingrédients n’ont pas de mesure exacte. J’ai quand même inséré quelques indications dans les ingrédients pour vous guider vers la bonne direction. Elle se fait en criant « Noël! » et hop! dans le four. Vous n’avez qu’à couper une baguette de pain et à apprécier la soirée improvisée.

 

Trempette italienne

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Ingrédients :

Tomates cerises (environ 30, tout dépend de la grandeur de votre plat)

Feuilles de basilic coupées en 2 ou 3 (environ une dizaine)

Gousses d’ail (2 ou 3)

Huile d’olive

Fromage de chèvre aux fines herbes (1 billot du supermarché)

 

Préparation :

Préchauffer le four à 375 °F.

Dans une casserole allant au four, mettre les tomates cerises jusqu’à ce qu’elles recouvrent le fond de votre plat. Ajouter les feuilles de basilic et l’ail. Mettre l’huile d’olive pour recouvrir le quart des tomates cerises.

Cuire environ 30 minutes ou jusqu’à ce que les tomates cerises commencent à éclater.

Ajouter le fromage de chèvre sur les tomates et remettre la casserole au four pour 5 minutes ou jusqu’à ce que le fromage commence à fondre.

 

Note :

Les gousses d’ail servent à parfumer l’huile, mais elles seront confites après la cuisson. Donc, n’hésitez pas à les badigeonner sur votre pain!

Films du temps des Fêtes pour les boys!

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Plus capable d’entendre les pubs de ciné cadeau? Tanné d’avoir écouté avec les enfants Les 12 travaux d’Astérix pour la !@$%& de fois? Tu as fait ton boulot de bon chum en te collant à ta blonde pour visionner Love Actually? Tu lui as même fait l’amour après? Tu es un champion! Maintenant, tout le monde est couché dans la maison et tu cherches un bon film de Noël pour relaxer après avoir pelleté, installé les décorations dans le sapin ou promené le chien dans le frette ? Voici une petite sélection de films qui se déroulent dans le temps des Fêtes, mais qui ne comportent pas de lutins, de Père Noel ou de scènes familiales larmoyantes. Non. Ici, place aux cascades, aux explosions et aux répliques savoureuses! Comme dirait John McClane : « Yippee-ki-yay ».

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Die Hard et Die Hard 2

L’original demeure une coche au-dessus de sa suite, mais tous les deux sont d’excellents films d’action avec d’incroyables cascades. Bruce Willis est au meilleur de sa forme dans le rôle du policier de John McClane, qui par deux fois, doit combattre des terroristes dans des lieux publics. Mention spéciale à feu Alan Rickman qui livre dans le premier film l’un des meilleurs méchants du cinéma avec son glacial Hans Gruber.

 

 

Lethal Weaponlethal-weapon

Quel film policier! Un mélange parfait d’action et d’humour qui propulse Mel Gibson au rang de vedette d’Hollywood. Gibson incarne un policier suicidaire qui doit faire équipe avec un vieux routier près de la retraite incarné à merveille par Danny Glover.

 

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The Last Boy Scout

On tente de reprendre les formules de « buddy cop » tels 48 hrs et Lethal Weapon, mais sans rien n’y apporter trop de nouveau. Bruce Willis enquête sur les magouilles de la LNF avec l’aide d’un ancien joueur déchu, joué par Damon Wayans que l’on tentait de pousser comme le prochain Eddie Murphy. On sent la signature léchée du réalisateur Tony Scott (Top Gun, Beverly Hills Cop 2) dans les ambiances. De bonnes scènes d’action, mais un peu lourd par moment.

 

 

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Iron Man 3

Il faut croire que Shane Blake, le scénariste de Lethal Wepon et The Last Boy Scout, adore le temps des Fêtes alors qu’il récidive, mais cette fois, derrière la caméra du 3e volet du méga série à succès de Marvel Studios, Iron Man. Situé après les évènements du film The Avengers. Tony Stark (délicieux Robert Downey Jr.) est en proie à des crises de panique. Vulnérable, il fera appel à son ami noir Jim Rhodes (alias War Machine) – tiens, tiens, ça ne vous rappelle pas ces films plus hauts du même auteur?- pour vaincre la menace du terroriste Mandarin.

 

gremlins

 

Gremlins

Classique produit par un Steven Spielberg au sommet de sa gloire, ce film « familial » en a choqué plusieurs lors de sa sortie initiale pour sa violence et son humour noir. Les créatures demeurent très bien faites après toutes ces années et le niveau de suspense est bien amené. Évidemment, la vedette demeure Gyzmo, mais il ne faut sous-estimer notre plaisir à voir ces gremlins mettre le bordel dans ce petit village. N’oubliez pas les trois règles : Éloigner les de la lumière, ne pas leur donner d’eau et surtout, ne pas les nourrir après minuit!

 

Batman Returnsbatman-returns

Le réalisateur opta pour une vision plus personnelle et plus sombre pour ce 2e opus de la première série des films de Batman. Le premier avait pris d’assaut Hollywood et l’Amérique tout entière tant aux guichets qu’en vente de produits dérivés. On retrouve avec bonheur Michael Keaton en Batman (le meilleur après Christian Bale) qui doit affronter une version plus grotesque du Pingouin, interprété avec brio par Danny DeVito. Mais, celle qui vole la vedette aux messieurs est sans contredit Michelle Pfeiffer en sexy et troublée Catwoman!

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Rocky IV

La franchise a beau avoir fêté ses 40 ans cette année, la série a su bien se renouveler avec les deux derniers chapitres, Rocky Balboa et Creed. Par contre, le quatrième volet, sorti aux fêtes de 1985 et qui se déroule à Noel, permettait à Sylvester Stallone d’obtenir son plus grand succès de la franchise avec un film d’action haut en contenu analytique. En pleine guerre froide, l’intrigue qui porte sur un Rocky qui triomphe contre la machine (Ivan Drago) sportive et qui soulève la foule dans un plaidoyer pour une détente entre les deux peuples est empreinte d’un patriotisme rarement égalé dans le cinéma populaire américain. Que l’on soit pour ou contre, il est difficile de résister devant les séquences d’entraînements et de boxes dans lesquelles Stallone, au sommet de sa forme, se met en scène. Du grandiose cinéma de divertissement!