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Les résolutions? Non merci! Texte: Tania Di Sei

Ah! l’après-Fêtes! On ne sait pas trop comment se sentir : heur

Ah! l’après-Fêtes! On ne sait pas trop comment se sentir : heureux de retourner au boulot ou triste parce que les vacances sont déjà finies? En pleine forme, car on a fait le plein d’énergie ou encore plus fatigué qu’avant de partir en vacances? Déjà qu’on est un peu mêlé, et voilà qu’on sent la pression qui arrive tranquillement. On se sent obligé de faire comme tout le monde, sinon on se fait regarder comme si on venait d’une autre planète… Ça fait même mal de l’écrire :

Nouvelle année, nouvelle résolution? Ré-so-lu-tion? Ouach, non!

Vous aurez compris que je n’en prends pas! Ne pas prendre de résolution égale ne pas être déçu. Pourquoi faudrait-il se mettre de la pression en commençant la nouvelle année? Qui vraiment prend des résolutions et les tient jusqu’au bout? J’ai dressé une liste de résolutions que prennent la plupart des gens (qui ne les tiennent pas…) :

1-      Perdre du poids. Manger santé pour se déculpabiliser de tout ce qu’on a ingurgité pendant la période des Fêtes. Ok, mais pour combien de temps?

2-      Faire plus de sport. Combien de gens s’inscrivent dans un gym après les vacances de Noël? Beaucoup trop! Rendu au mois de mars, c’est drôle, les gyms se vident tranquillement.

3-     Prendre du temps pour voir sa famille. Combien de familles se voient pendant les Fêtes et se disent qu’ils devraient se voir plus souvent et ce, tout au long de l’année, mais qu’au bout du compte, se retrouvent tous l’année d’après et personne ne s’est appelé?

4-     Économiser. Écono… Quoi? C’est certain que ça dépend pourquoi, si c’est pour un voyage ou quelque chose qu’on souhaite le plus, c’est bien. Mais si c’est pour simplement « économiser », ça ne tiendra pas. On a juste une vie à vivre!

5-     Prendre un break des réseaux sociaux. Ha! Ha! Ha! …

Donc nouvelle année, nouveau départ. Vraiment? Et pour combien de temps? Pourquoi se sent-on obligé de se créer un nouveau départ simplement parce que le chiffre change? Théoriquement, ça ne change rien à notre quotidien, ce n’est qu’un chiffre.

Moi, tout ce que je vous dis c’est : soyez heureux. Simplement. Faites ce que vous avez envie de faire, avec modération… Ou pas, tout dépend… Faites ce que vous aimez et surtout, RIEZ! Le rire, c’est le bonheur et le bonheur éloigne la frustration. Moins de frustration, moins de chicane. Le tout s’enchaîne et c’est une roue qui tourne. Le positif attire le positif!

Laissez les choses aller sans vous mettre de pression. De un, vous ne serez pas déçu de vous-même et de deux, vous verrez qu’à la fin de l’année, vous serez fier de l’année que vous venez de passer. Sans même avoir pris de résolutions!

Finalement, ne pas prendre de résolution est la plus belle résolution que vous pouvez prendre!

Tania Di Sei

Maternité et santé : ça se peut!

J’entends ou je lis souvent des commentaires sur les nouvelles mamans. Je remarque deux tendances

J’entends ou je lis souvent des commentaires sur les nouvelles mamans. Je remarque deux tendances qui me mettent mal à l’aise.

D’abord, l’obsession du retour à la taille de guêpe. C’est donc important de remettre ses jeans d’avant grossesse. On a aussi les : « Wow! Ça ne parait même pas que tu as été enceinte! » Quoi? C’est un compliment que la maternité n’ait laissé aucune trace? Est-ce que les gens qui énoncent ces propos réalisent à quel point c’est intense pour le corps de porter et de donner la vie?

Oui, on connaît toutes des femmes qui ont retrouvé leur taille de guêpe dans les heures après leur accouchement. Je les appelle affectueusement des mutantes (Salut, X-Men!) On aime les mutantes, on les veut dans nos vies, mais on ne se compare pas aux mutantes!

Attention, je ne dis pas qu’il n’y a pas de raison d’être fière quand on atteint un objectif de manière saine, bien au contraire! C’est plutôt l’attention mise sur l’apparence qui me rend inconfortable. Cette maman est-elle en santé? Parce que si elle porte des jeans de taille 3, mais qu’elle est au bord de la crise de nerfs tellement elle dort peu et s’alimente mal, je n’y vois aucun succès. C’est horriblement superficiel que de s’arrêter uniquement à l’apparence.

D’un autre côté, j’entends ou je lis aussi l’inverse. À quel point doit-on ficher la paix aux nouvelles mamans, doit-on apprendre à aimer notre ventre mou et nos bras qui pendouillent, sinon on est donc superficielles? Quand je vois passer un texte sur l’activité physique des femmes en post-partum, c’est quasi toujours accompagné de : « Ben c’est ça! Rajoutez-en donc en nous faisant sentir mal de ne pas bouger! » et de « On ne peut pas toutes être minces! »

Cette mauvaise foi m’agace tout autant. Pourquoi vouloir être en santé doit-il toujours rimer avec minceur? C’est certain qu’il y a un lien, mais il y a des nuances à apporter. Le fait de vouloir être en bonne forme physique est un objectif en soi, peu importe la taille des leggings utilisés pour le faire. Est-ce qu’on pourrait arrêter de commenter la grandeur de vêtements des nouvelles mamans et plutôt se concentrer sur leur état de santé? Vont-elles bien? Semblent-elles en forme? Il me semble que c’est ça, l’important.

Surtout, peut-on valoriser la mise en forme et la santé des mamans sans se faire rabrouer parce que c’est donc insultant de faire sentir à une femme qu’elle doit maigrir? On ne parle pas nécessairement de perte de poids. On parle d’avoir de l’énergie pour jouer avec ses enfants. Pouvoir grimper, sauter, courir avec eux sans avoir les poumons qui nous sortent de la poitrine ou sans se faire pipi dessus au moindre saut. Parce que oui, c’est aussi ça, être en santé : avoir de l’énergie, des muscles ET une retenue urinaire! Eh oui, pour avoir tout ça, les nouvelles mamans doivent bouger, à leur rythme, idéalement avec des personnes en mesure de les accompagner dans la remise en forme post-accouchement qui comporte des particularités telles que la rééducation du plancher pelvien, une possible diastase, parfois une césarienne, etc.

Pour ma part, je suis très difficile. Je déteste l’entraînement en gym et les profs ou entraîneurs doivent être hyper compétents pour que j’embarque. J’ai découvert près de chez moi le centre Bébé Cardio qui a récemment pris de l’expansion en offrant des cours dans différentes villes. Il y a plusieurs cours offerts qui passent du yoga doux à la musculation intense, de différents niveaux, en classe et dehors. Le local est aménagé pour qu’on puisse y aller avec bébé et le laisser jouer.

Tous les cours peuvent être faits en portage et les profs sont SUPER compétentes. Elles sont en mesure d’offrir des alternatives efficaces à toutes, peu importe leur condition. Les programmes ont été conçus spécialement pour les nouvelles mamans, intègrent la rééducation périnéale et sont géniaux! Non, je ne fais pas de pub et, oui, je paie mes cours comme les autres. Seulement, je me dis que ça pourrait intéresser d’autres mamans. Quand j’aime quelque chose, je partage la bonne nouvelle!

Finalement, les mamans, que ce soit en leggings, en joggings, en short, en extra small ou en extra large, on s’en fiche! L’important est que vous vous sentiez bien et en forme! On valorise la santé d’abord et avant tout!

Je vous souhaite de tousser, éternuer, jogger et sauter sans faire pipi!

 

Jessica Archambault

 

Je suis la Présidente de l’escouade microbes

L’automne est de retour dans la maisonnée. Les traces de boue dan

L’automne est de retour dans la maisonnée. Les traces de boue dans l’entrée, les bottillons, les roches qui s’éparpillent. J’ai l’impression que nous sommes 56 dans la maison. Pourtant non. Quatre dans la maison, plus les amis. Si bien entendu, les amis de mes enfants ont passé LE questionnaire santé avec une note de passage. Le quoi?!!?! Le questionnaire ?

 

Étape 1 : Le questionnaire verbal


Oui, c’est parce que je suis une contrôle freak de la « bonne santé ». Chez moi les copains-copines de mes enfants doivent obligatoirement (surtout à ce temps-ci de l’année) répondre à un court questionnaire verbal.

-Donc Mathieu, es-tu malade présentement ? Pourquoi tu renifles constamment ? Un tic ? Des allergies ? Es-tu certain de ça ? Est-ce que ta sœur est malade d’abord ? Non!!!! Super. Et tes parents ? Ils ont travaillé cette semaine ? Good, pas de congé de maladie ? Mathieu, dans la classe de madame Sophie là…, il manquait des élèves cette semaine. Pour vrai ? Marjorie était absente. Elle avait mal à la gorge.

Je sais que ça peut à priori sembler excessif. Je suis une fille excessive juste quand je mets les pieds dans une boutique de thés, en tout cas d’habitude. Donc, avant de passer au salon avec la manette de Playstation dans les mains, je m’assure que les enfants soient en pleine forme. Je baisse le son du téléviseur plusieurs fois dans l’après-midi pour entendre le moindre éternuement ou épisode de toux. Dès que j’entends un bruit anormal, je lance un signal sonore à mon fils.

-Hé ho, ça va en bas ? Est-ce que c’est toi Jacob qui vient de tousser ?

Seigneur!!! Y’a un quelqu’un au sous-sol qui envoie dans mon abri maison des germes dans les airs ? Quand ça se produit, j’ai l’impression de devenir la dictatrice la plus castrante de l’histoire de l’humanité. Je pose tellement de questions aux amis dans la maison que ceux-ci trouvent le passage aux douanes relativement simple ensuite.

Et si l’enfant un peu trop transparent me répond qu’il est un peu grippé ? Je passe à l’étape suivante. Celle de me trouver une défaite pour que l’enfant quitte la place sur-le-champ.

Diantre!!!! J’pense que je vais passer en troisième vitesse. Je simule un téléphone et j’explique à l’enfant que ma mère a eu un dégât d’eau à la maison et que nous devons absolument partir. Habituellement, c’est assez efficace. L’ami ne résiste pas. Il obtempère sans trop de résistance.

 

Étape 2 : Confronter les parents de celui-ci

Oulàlà…

 

Dring Dring Dring…

-Oui votre fils est ici depuis à peine 15 minutes, mais j’ai un empêchement de dernière minute. Merci de bien vouloir venir le chercher.

Suis-je hypocondriaque ? Sur les bords, oui.

Pourquoi ça m’embête autant ? Les gens qui toussent sans arrêt au cinéma, dans la file à l’épicerie, au comptoir à sushis du coin, par-dessus MES SUSHIS à moi, ceux que JE vais manger tantôt. Ah pis les gens du bureau fiévreux qui se pointent quand même au travail en étant aussi contagieux qu’un patient porteur de la grippe espagnole. C’t’assez. C’T’ASSEZ. Parce que je travaille fort avec mon échinacée, mon zinc pis mes vitamines C.

Y’a aussi le fait que dès que j’entends un passant tousser, trois rues plus loin, dans mon quartier, je visualise immédiatement le virus prenant un chemin direct vers mon domicile.

J’aime tout le monde. Je suis une chouette personne. Sauf si la sœur de l’ami de mon fils a passé la semaine complète la tête dans le bol de toilette pis que son frère souhaite jouer à la maison. C’est à ce moment que je deviens « la Présidente de l’escouade microbes ».


Bref, on s’envoie un poke sur FacebookY’a pas de risque d’attraper rien là-dessus… Sauf le virus du gars qui souhaite me faire hériter de 4oo 000$

 

Ode au chocolat

Oh! Chocolat, toi qui m’appelles sans arrêt! Que tu sois noir ou

Oh! Chocolat, toi qui m’appelles sans arrêt! Que tu sois noir ou blanc, en pépites ou en copeaux, garni de flocons d’érable ou de sel de mer, je t’aime. Que dis-je? Je t’adore. Tellement que je te mangerais tout cru. Ou en fondue.

 

Dire que quand j’étais petite, je n’aimais pas le chocolat. Sauf le chocolat de Pâques. Et juste les lapins vides. Je n’aimais pas les jeans non plus. Je préférais mes joggings rose bonbon.

Le chocolat, maintenant, ça me fait me sentir comme si j’étais dans mon ensemble de coton ouaté rose des chevilles au ras du cou : confortable et sans stress, à l’abri des intempéries émotionnelles, mais pas vraiment sexy.

Mon métabolisme m’a toujours assez bien servie. Sans arborer la selvitude d’un mannequin photoshopé, j’ai longtemps pu manger le triple de ce que mes amies mangeaient et me maintenir sous la barre critique du surpoids. Et Dieu sait que ce n’était pas parce que je dépensais des calories en bougeant. Le sport et moi, ça ne fait pas très bon ménage. Je déteste transpirer et je hais avoir froid, ce qui élimine la plupart des options.

Quand j’ai déménagé en appartement pour le cégep, je suis partie avec mes dix-sept ans et mes valises. Alors que plusieurs étudiants du collégial découvrent l’alcool, ma drogue à moi, c’était les pâtes et le chocolat. Il y a pire dans la vie, me direz-vous! Mais à long terme, ça s’accumule et ça rend aussi dépendant.

À ma première grossesse, je suis tombée dans une orgie de tomates. J’en mangeais huit fois par jour. Heureusement qu’elles poussaient dans ma cour, sinon je me serais ruinée. Aux trois autres grossesses, je me suis reprise en matière de cochonneries alimentaires. J’ai pris jusqu’à soixante livres sous différents prétextes : les études, la fatigue, la baisse de moral, la colère, l’éloignement, les « moi je suis faite comme ça, alors à quoi bon surveiller les quantités que je mange? », l’insomnie (vous savez, la nuit, quand on ne dort pas, la boîte d’Oréo crie très fort!)… J’ai perdu toutes ces livres chaque fois, bravo à moi!

Mais à l’approche de mes quarante ans, avec un emploi de fonctionnaire, un stationnement au centre-ville et une monoparentalité temporaire, je ne marche plus, je ne fais plus de karaté, je ne vais plus à la piscine et… je mange! Du chocolat, entre autres. Et les fonds d’assiettes de mes enfants, parce que j’ai appris que gaspiller, ce n’est pas bien pour la planète.

Depuis mes onze ans, j’ai aussi développé l’habitude de bouffer (là, on n’est plus au stade de manger en dégustant) sans arrêt pendant ma semaine. J’avais tellement mal à l’utérus et au dos que je préférais souffrir d’une indigestion.

C’est bien connu, la nourriture n’endort pas que les crampes menstruelles. Ça soulage aussi (lire : ça fait oublier temporairement) les émotions sombres. C’est rare qu’une salade au tofu fasse disparaître les blues. Les calories vides sont beaucoup plus efficaces! Je ne fais pas partie du fan-club des accros aux chips, et la bouteille ne m’interpelle pas plus qu’au cégep. Mais, j’ai de la misère à résister à la fraise fraîche trempée dans le chocolat, que la fraise y soit ou non. Je dois me parler fort pour remplacer le chocolat chaud triple crème fouettée à la cannelle avec des pépites de miel par un bon thé. Et le pot de Nutella, on n’en parle même pas.

J’aime manger équilibré. Et ça va de soi, j’aime être en santé. Mes enfants m’appellent parfois madame Tofu (il faudrait que je trouve des recettes de tofu au chocolat… ça doit exister!). J’ai la réputation d’une personne qui mange santé tout en me gâtant à l’occasion. Ces temps-ci, l’occasion se présente souvent.

Si au moins, ça me faisait du bien… Dès que je me brosse les dents, je recommence ma quête du goût du chocolat. Quand l’ennui se met de la partie, mes antennes à bouffe s’activent. Mon métabolisme se déglingue, ma culpabilité culmine. Vous imaginez le mauvais exemple que je sers à mes enfants sur un plateau de pâtisseries (oups… de crudités)? J’ai le cerveau en bouillie, l’énergie en chute libre, et, oh ?

Désolée, je dois y aller… le frigo m’appelle!

 

Je vais aller lui dire de se la fermer. Parce que les joggings roses, c’est bien beau (euh… non!), mais j’ai besoin de réapprendre à manger et à me gérer.

Collation santé : Les boules d’énergie

Étant étudiante, les prochaines semaines seront dédiées aux exa

Étant étudiante, les prochaines semaines seront dédiées aux examens finaux, ce qui engendre l’absence imminente de mon temps dans la cuisine. Ainsi, je me suis laissée tenter par la création d’une recette de Boules d’énergie.

 

Pourquoi les Boules d’énergie ?

  • Parce qu’elles se congèlent à merveille ;
  • Parce qu’elles se préparent rapidement ;
  • Parce qu’elles nous apportent une belle source d’énergie ;
  • Parce que cette recette peut se préparer avec l’aide des petits.

Elles sont croquantes à souhait, grâce au beurre d’arachide naturel, en plus de combiner protéines et glucides, la combinaison clé pour une bouchée équilibrée. J’espère que vous allez apprécier !

 

INFOS

Nombre de portions : 20 boules

Temps de cuisson : 15 minutes

Temps de préparation : 10 minutes

 

INGRÉDIENTS

  • 1 tasse de dattes séchées dénoyautées
  • 1 tasse d’abricots séchés
  • 1 tasse d’eau
  • ¼ tasse de cacao en poudre

***C’est important, pour une question de goût, d’utiliser du beurre naturel et croquant pour cette recette!       De plus, le beurre d’arachide naturel contient un seul ingrédient : arachide grillée, on aime! ***

  • ½ tasse et flocons d’avoine à cuisson rapide
  • ½ tasse d’amandes naturelles

 

PRÉPARATION

1- Hacher finement les fruits séchés, réserver.

*** Les abricots doivent être hachés finement pour qu’ils se défassent bien à la cuisson. ***

2- Hacher finement les amandes, réserver.

3- Dans une petite casserole, porter à ébullition les dattes et les abricots dans l’eau et laisser bouillir pendant 3 minutes.

4- Baisser le feu et laisser cuire à feu moyen/doux pendant 8 minutes tout en brassant de temps à autre, ou jusqu’à ce que les fruits se défassent à la fourchette.

5- Laisser reposer 5 minutes.

6- Au pied mélangeur, réduire en purée lisse les fruits avec l’eau de cuisson restante. Ajouter le cacao et le beurre d’arachide.

7- Mélanger à l’aide de la spatule jusqu’à consistance homogène.

C’est à l’étape 8 que les petits peuvent nous aider! 

8- Ajouter les flocons d’avoine, les amandes hachées et la chapelure.

9- Avec les mains légèrement mouillées, façonner des boules de la grosseur d’une balle de golf.

*** Lorsqu’on se mouille les mains pour façonner les boules, elles collent moins. ***

10- Réfrigérer ou congeler dans un contenant hermétique.

 

ASTUCES

 

 Si la pâte devient trop dense suite à l’ajout de la chapelure, vous pouvez y ajouter un peu d’eau.

Les boules peuvent se conserver au congélateur et dans un contenant hermétique, de 2 à 3 mois.

Laisser simplement dégeler au moins 10 minutes avant de déguster!

 

Bon appétit !

Compte Instagram : jojoboisvert

 

 

5 conseils pour bien dormir

Bien dormir c'est important, c'est vital. C'est gage d'une bonne santé, d'un esprit vif et concentr

Bien dormir c’est important, c’est vital. C’est gage d’une bonne santé, d’un esprit vif et concentré, et d’un organisme en harmonie. Sauf que bien dormir, c’est pas toujours facile!

Bébé qui veut manger toutes les heures, bambin qui est malade ou fait un cauchemar, ado qui rentre tard… Sans compter le travail qui nous demande de nous lever (trop) tôt et la course infernale de la vie qui fait que notre tête s’arrête rarement de cogiter.

 

Alors comment faire pour bien dormir?

Chaque personne est différente, mais en moyenne un adulte a besoin de sept heures et demie de sommeil par nuit. Sept heures et demie!!!!!
Arrivez-vous à dormir assez, selon vos besoins?

Voici quelques conseils qui ont changé mes nuits, ont changé ma vie!

1. On se couche tôt!
Pour calculer l’heure du coucher : regardez à quelle heure vous vous levez et enlevez huit heures. Hop, au lit! Il n’y a pas de miracle. Si vous écoutez en boucle des séries jusqu’à minuit et que vous vous levez à 6h, vous allez manquer de sommeil.
Et bien sûr, il faut faire des exceptions parfois, sinon la vie ne sera pas amusante!
2. On relaxe!
Avant d’aller se coucher ce n’est pas le temps de courir dans la maison, de stresser sur les lunchs du lendemain ou les devoirs oubliés.
Chacun a sa petite routine. Prenez quelques minutes, juste pour vous. Écouter des bandes sonores de relaxation a changé ma vie : je pose la tête sur l’oreiller, je mets mes écouteurs et en moins de deux minutes je dors profondément! Je ne pense ni à la sale journée que je viens de passer, ni à la mort, ni à ma réunion de demain… La qualité de mon sommeil est parfaite!
3. On coupe les appareils électroniques!
Ce n’est surtout pas le temps d’utiliser un petit écran lumineux (Ah! Tiens, j’ai des notifications sur mes réseaux sociaux, des messages et c’est quoi la météo demain?)… En faisant cela, on vient de perturber notre cycle de mélatonine (hormone du sommeil). En effet, la lumière de nos tablettes et cellulaires réveille et active notre cerveau! De plus les ondes émises par nos téléphones sont puissantes et perturbent notre équilibre électrique (nous sommes faits d’eau et d’électricité!). En les mettant en “mode avion” on dort tellement mieux!
4. On se relaie!
Bébé se réveille la nuit? Chacun son tour!
J’allaite? Papa va chercher bébé et me l’apporte dans le lit.
Bambin pleure encore? Je ne pense pas que ça va le tuer de dormir dans mon lit, sécurisé, et heureux. Sinon, c’est au tour de papa d’aller le réconforter, moi je mets mon casque antibruit!
L’ado n’est pas rentré? Demain je le réveille à 5 heures! La prochaine fois, il rentrera plus tôt!
La fin de semaine : maman se lève le samedi matin et papa le dimanche, chacun son tour, on récupère et on prend du capital dodo!
5. On bouge!
Faire du sport dans la journée, libérer le trop plein d’énergie : ça favorise la qualité du sommeil. Amusez-vous! Choisissez une activité qui vous plait. Fatiguez-vous! Votre nuit sera encore plus reposante.

 

Je vous souhaite une bonne nuit, faites de beaux et doux rêves!

Je suis une maman avec des maladies mentales

Je suis une maman qui souffre de maladies mentales. Neuf, pour être

Je suis une maman qui souffre de maladies mentales. Neuf, pour être exacte. Tous ces beaux diagnostics m’ont été faits par des médecins spécialistes et une psychiatre. Je ne me suis pas autodiagnostiquée un beau matin en me disant « me semble que ça manque de piquant par icitte! » ou encore pour attirer l’attention. Les maladies mentales, ce n’est mauditement pas une partie de plaisir, surtout quand tu es maman.

 

Voici ma liste 

 

Troubles anxieux

  • L’anxiété généralisée (TAG)
  • Le trouble panique
  • Le trouble obsessionnel compulsif
  • Le trouble de stress post-traumatique

Troubles de l’humeur

  • La dépression

Troubles du comportement alimentaire (TCA)

  • La boulimie
  • L’hyperphagie boulimique
  • L’anorexie

Syndrome de déréalisation (DR)

Du plus loin que je me souvienne, j’avais trois ans. Je sentais que ma tête était à côté de mon corps, que mon âme n’était plus là. J’essayais tant bien que mal d’expliquer ça à ma maman, mais dans les années ’80, les maladies mentales « ça n’existait pas ». Elle n’avait jamais entendu de propos comme les miens auparavant. J’ai donc appris très tôt à ne pas parler de mes états d’esprit bizarres. Dans ma tête de petite fille, je sentais que quelque chose clochait, mais qu’il ne fallait pas que j’en parle.

Dans ma maison de jeunesse, toute la nourriture était contrôlée. J’ai souvent volé du p’tit change à mon père pour aller acheter un gâteau McCain au dépanneur et le bouffer au complet dans le parc. Mes crises de boulimie n’étaient pas toujours liées à des gros binges. Parfois, une pomme pouvait être « de trop » et déclencher des épisodes de vomissements. Et vers 17 ans, j’ai cessé de manger puis j’ai débuter l’entrainement excessif, soit environ plus de quatre heures par jour, à tous les jours. J’étais en surpoids XXL et en quelques mois à peine, j’avais perdu plus de 100 lbs. Pis un matin, j’avais faim. Je suis allée à l’épicerie et j’ai acheté tout ce qui s’y trouvait. C’est assise dans mon char que j’ai tout engouffré jusqu’à ce que la culpabilité embarque et que la poubelle d’un parc accueille mes vomissements. L’engrenage a ainsi commencé.

Fastforward ça à l’automne 2007. C’est assise ben amochée, sur un coin de rue dans un quartier quelconque de Manhattan, avec mon amoureux (futur mari et père des deux fruits de mes entrailles) que j’ai avoué, pour la première fois, souffrir de troubles alimentaires. À notre retour à Montréal, nous en avons reparlé et il a dit une phrase qui restera marquée forever dans mon esprit « Imagine si nous avons des filles plus tard et que tes troubles alimentaires deviennent les leurs… » #BestHusbandEver

C’est alors que j’ai entrepris ma première thérapie à vie. Au début, je l’ai faite pour lui et pour nos futurs enfants, mais éventuellement, je l’ai faite pour moi. Une thérapie qui a duré deux ans et qui m’a coûté 15 000 $. J’étais à la clinique, en thérapie de groupe ou individuelle de 9 h à 16 h , puis à 17 h, je travaillais comme barmaid au centre-ville jusqu’aux petites heures du mat’, du lundi au vendredi. Faut VRAIMENT vouloir guérir. Mais en guérit-on vraiment? À 36 ans, mon problème principal est l’hyperphagie boulimique, qui est officiellement reconnue dans le DSM-5 comme une entité clinique distincte tout comme l’anorexie nerveuse et la boulimie. En gros, il s’agit de compulsion alimentaire. S’empiffrer de 40 biscuits soda, suivi de 400g de noix pis de la plus grosse portion de salade que t’as vu dans ta vie, en moins de 15 minutes, c’est du déjà-vu pour moi. Suite à la recommandation de ma psychiatre, je vais commencer une thérapie dans les prochaines semaines au CLSC avec une psychologue spécialisée en TCA.

C’est suite à l’accouchement de ma deuxième que l’anxiété refoulée depuis 30 ans s’est décidée à sortir, chapeaux et trompettes, pour faire une entrée crissement remarquée. J’ai tellement eu peur de mourir de complications post-accouchement… Faque quand ta plus grande peur en tant que TAG est de mourir, le cocktail n’est pas super winner. À l’hôpital, j’ai eu des moments de névrose, où j’étais certaine qu’un maniaque viendrait tous nous tuer dans notre chambre. Tout ça se passait dans ma tête et ce n’est que beaucoup plus tard que j’ai avoué à ma psychiatre ces moments de folie. Malgré que je fusse médicamentée depuis environ quatre ans et que je croyais mes crises sous contrôle, ce choc post-traumatique a éveillé en moi du gros caca mou dans l’cerveau.

J’ai consulté une psychologue qui traitait l’anxiété par l’hypnose. Ça n’a rien à voir avec ce que Messmer fait sur scène, là. Je n’ai jamais fait le poulet en criant des mots bizarres. Je suis plutôt retournée très loin en arrière et j’ai fait la paix avec ben ben des bibittes que je trainais depuis trop d’années. J’ai aussi consulté une deuxième psychologue, cette fois en méditation pleine conscience. Cette technique peut paraître bien simple, genre « Vis le moment présent, allumes de l’encens pis chantes kumbaya », mais c’est complexe pas à peu près de s’arrêter un moment quand ton brain lui, pourrait faire 74 marathons les uns en arrière des autres. Ces deux thérapies ont changé ma vie.

Après avoir passé l’été dernier à tester différents médicaments (call me : Rat de laboratoire), nous avons finalement trouvé LE grand gagnant. Ma dose de médoc est forte, pis c’est À VIE. J’entends souvent « Ça va passer, c’était une période difficile! », mais je vous confirme que non, ça ne passe pas. Il y a un déséquilibre chimique dans mon cerveau. Je suis née comme ça et je vais mourir comme ça. Le côté positif est que je suis à l’écoute fois 1000 de mes filles. Je connais ça l’anxiété, la souffrance mentale, l’hypersensibilité et la pauvre estime de soi. J’ose croire que la vie m’a choisie pour être la maman de ces deux grenouilles pour une raison simple : je suis la meilleure pour elles. Elles sont LA raison pour laquelle je me bats contre la stigmatisation.

Ce que je comprends des maladies mentales, c’est qu’elles font partie de moi, mais je ne suis pas elles. Ce qui me pousse dans le dos tous les jours, ce sont mes enfants. Je ne veux en aucun cas minimiser la maladie mentale chez un « non-parent », LOIN DE LÀ. La réalité est simplement différente. Faire une crise de panique où tu es certaine que tu vas mourir dans les dix prochaines secondes, en face de tes kids, ce n’est pas super évident à gérer. Les palpitations cardiaques excessives, les tremblements, les douleurs thoraciques, les nausées, les étourdissements, les engourdissements et picotements, ce sont tous des symptômes de mon quotidien. Ma grande sait que maman a des bobos dans sa tête et je ne lui cacherai jamais ces derniers. La petite, elle, ne comprend pas encore. #CestBeaulInnocence

Depuis deux ans, je réalise tous les tabous derrière les maladies mentales. Je me trouve souvent chiante de parler tout haut de ce dont personne n’ose parler, mais c’est important. La stigmatisation doit cesser. Il faut de tout pour faire un monde, peu importe ton sexe, ton orientation sexuelle, ta religion, ta stabilité psychologique, ton handicap ou ta couleur de peau. Si nous avions un peu plus de compassion les uns pour les autres, la terre se porterait beaucoup mieux.

 

N’hésitez pas, allez chercher de l’aide :

Clinique BACA

ANEB Québec

Mindspace clinic

Psychologie Montréal

Calm

 

 

 

Canapés à la goberge et à l’avocat

En manque d’idées pour un lunch rapide ou une collation simple, bonne pour la santé et souten

En manque d’idées pour un lunch rapide ou une collation simple, bonne pour la santé et soutenante?

Ces craquelins à la goberge et à l’avocat sont la collation par excellence.

Ils sont tellement bons que vous ne voudrez même pas les partager avec vos tout-petits 😉

Pour une dizaine de craquelins.

Ingrédients

  • 2 bâtonnets de goberge
  • 1 avocat
  • 1 c. à soupe de mayonnaise
  • 1 c à thé de jus de citron
  • Sel et poivre au goût

Préparation

  • Couper les bâtonnets de goberge et l’avocat en petits cubes.
  • Mélanger dans un bol tous les ingrédients.
  • Séparer le mélange sur des craquelins style breton.

ASTUCE : Vous pouvez même mettre le contenu de cette recette sur un toast le midi et vous avez un lunch rapide!

Une journée au spa avec les enfants? Pourquoi pas!

L'été arrive déjà à sa fin. Bien-sûr, ce n'est que le 21 septembre que nous pourrons officiell

L’été arrive déjà à sa fin. Bien-sûr, ce n’est que le 21 septembre que nous pourrons officiellement proclamer la venue de l’automne. Mais comme tout bon parent, la fin de mon été sonnera au même moment où la cloche d’école retentira pour me faire savoir qu’une année de plus s’est écoulée sans que je ne puisse m’en rendre compte. Ça va vite la vie hein? Nos enfants deviennent de minis adultes et on passe trop souvent à côté de petits moments qui pourraient bien être marquants pour eux. Dans ce court article, j’aimerais vous proposer quelques activités hors du commun ET relaxantes pour toute la famille.

Crèmes de massage pour enfants

Comme je viens de la campagne, je prône beaucoup les produits du coin. Récemment, j’ai eu la chance de discuter avec la propriétaire de la boutique Les Soins Corporels l’Herbier située à Mont-St-Grégoire.  J’étais déjà adepte de leurs crèmes de massage pour enfant, et elle m’a envoyée plusieurs petits exemplaires de crèmes de massage Bambino Spa faites expressément pour les enfants. OMG l’odeur… Je les aurais toutes mangées. Et je ne dis même pas ça pour rire 🙂 Vous savez, vos enfants aussi sont stressés, eux aussi sont fatigués… Alors pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable? Une sortie massage à deux? Oui, oui, vous avez bien lu! Certains endroits acceptent de faire des massages pour papa/maman et enfant. Ça c’est le summum du bonheur non?

– Il y a des massages bambino pour les 2 ans et plus à partir de 39$/30min;

– Massage pour femme enceinte (On ne se laisse pas masser par n’importe qui lorsqu’on est enceinte d’accord? Ça prend du matériel spécialisé).

La plupart de leurs produits sont faits directement sur place!!!

Sortie au spa en famille – région de Montréal

strom spa famille

Ensuite, pour les gens qui habitent dans la région de Mont-Saint-Hilaire ou de l’Île-des-Soeurs, il y a le Strøm spa Nordique qui offre un forfait de style brunch familial. Afin de partager des moments uniques en famille, c’est l’occasion idéale pour faire découvrir les bienfaits de la détente à vos enfants.

Les brunchs familiaux ont lieu les dimanches, de 7h30 à 10h.

Menu des mini-soins à la carte :

  • Mini-manucure ou mini-pédicure (application du vernis seulement) | 15$
  • Massage sur chaise de 15 minutes | 20$
  • Mini-soin du visage en duo parent-enfant de 20 minutes | 30$ chq
  • Massage sur table en duo parent-enfant de 30 minutes | 40$ chq

Réservations par téléphone: 514-761-2772

À SAVOIR :  La température des installations thermales est adaptée pour vos tout-petits et il est possible de discuter sur le site. La présence d’un adulte accompagnateur est requise.

Sortie au spa en famille – région de Québec

sky spa famille

Ohhhh et gens de Québec , je ne vous oublis pas 🙂 Le SkySpa situé sur le boulevard Laurier à Québec fait partie des spas qui ont compris que des moments privilégiés en famille, ça peut aussi être reposant 🙂

Venez vivre une expérience unique avec vos enfants au SKYSPA de Québec, tous les dimanches de 8h à midi. Initiez-les à la thermothérapie avec les bains chauds californiens, saunas finlandais et la chute nordique. C’est GRATUIT pour le premier enfant, profitez-en !!!

Une détente ultime… pour les enfants et les parents.  Ajoutez un massage à votre journée et celle de votre enfant.

  • 30 minutes détente: 50$ / enfant
  • 30 minutes détente : 80$ / adulte (comprenant l’accès aux bains)
  • 60 minutes détente: 80$ / enfant
  • 60 minutes détente: 110$ / adulte (comprenant l’accès aux bains)

Alors avant que le stress de l’école ne recommence, pourquoi pas prendre du bon temps en famille et aller relaxer. Je suis certaine que vous en ressortirez ressourcer!!!

Collation glacée framboise et lime

Avec la chaleur vient le temps des "popsicles"... Mais je ne peux concevoir consommer une si grande

Avec la chaleur vient le temps des “popsicles”… Mais je ne peux concevoir consommer une si grande quantité de sucre dans une si petite collation. C’est pour cette raison que je vous donne une recette de sucettes glacées à la framboise et à la lime qui ne contiennent presque pas de sucre. Et je vous garantis que personne ne s’en rendra compte. Avec le yogourt, la texture ressemble même à celle d’un fudge.

Voici donc la recette pour trois sucettes :

Ingrédients

100g de yogourt grec à la vanille

15 framboises écrasées à la fourchette

½ c. à thé de jus de lime

Préparation

Mélanger les tois ingrédients dans un pot et séparer le mélange dans trois moules à sucette glacées.

ASTUCE : Si vous voulez que vos sucettes soit surette, vous n’avez qu’à ajouter 1 c. à thé de jus de lime et le tour est joué!

Vieillir, c’est pas facile!

  1. Dans 60 jours, j'aurai 30 ans. Eh oui..TRENTE ANS, 30 ans, XXX ans!!!
Est-c
  1. Dans 60 jours, j’aurai 30 ans. Eh oui..TRENTE ANS, 30 ans, XXX ans!!!

Est-ce que ce chiffre m’angoisse ? Sincèrement, non. Est-ce que soudainement je me cherche ? Je pense que oui…
Je ne sais pas si chaque décennie apporte sont lot de questionnements, mais, pour moi, c’est le cas.
J’ai l’impression de me retrouver entre deux âges, deux générations. Pas tout à fait assez jeune pour m’associer à Gigi Hadid et encore trop jeune pour penser à adopter des styles à la Demi Moore. Vous voyez ce que je veux dire ?
Je revis mon adolescence. Quoi ? C’est totalement ça ! Mon esprit change, mon corps aussi (merci grossesseS) et les réactions de mon corps face à certains produits ne sont plus les mêmes.
À 16 ans, je faisais de l’acné dès que je mangeais mal et, à presque 30 ans, je fais des méga giga migraines. C’est le seul signe que mon corps a trouvé pour me punir de l’encrasser avec autant de malbouffe, depuis des années… Oups ! Oh et que dire de manger de la ”scrap” avant de dormir!!! Auparavant, je pouvais engloutir l’ensemble du menu de la belle province et dormir comme un bébé (oh et je ne prenais pas une livre). Maintenant, si j’ose manger mal avant de dormir, je vais faire de la rétention d’eau toute la nuit et avoir un sommeil épouvantable. Sans compter les livres qui augmentent sur la balance et la graisse qui se loge au niveau de mon ventre et de mes cuisses.

Avoir 30 ans, c’est devoir passer de ma crème hydratante à une crème pour peau mûre (et ça, c’est la madame des crèmes au SkySpa qui me l’a dit: “PEAU MÛRE!” J’en fais encore de cauchemars, haha).
En plus, c’est l’été ! Qu’est-ce qui arrive l’été ? On a besoin de changements. Alors ça n’aide pas l’ado-future-trentenaire qui ressurgit en moi.
Certaines personnes ont envie de changer de vie et beaucoup décident que c’est le temps de devenir célibataires. Croyez-moi, le printemps et l’été sont tout, sauf bons pour les couples en déficit d’amour. (Je me mets une note afin de vous écrire sur ce sujet.) Heureusement, vous n’avez pas à vous en faire pour mon couple. La trentaine qui arrive et l’été ne viendront pas à bout d’Étienne et de moi qui vivons avec un tas de p’tits problèmes, comme tout le monde ! On a bien trop une tête de cochon pour se laisser. (Je touche du bois !)
Bref, dans ma super recherche de moi-même, j’ai décidé de vous écrire et de vous parler de mes essais-erreurs au niveau vestimentaire/culinaire/beauté/couple… Qu’en pensez-vous ?
Je suis certaine que plusieurs personnes sont comme moi et ont envie de perdre du poids, de retrouver un style vestimentaire beau/bon/pas cher, de découvrir des activités à faire en famille, à moins de 30 minutes de la maison et qui aideront à sortir de la routine familiale!

Alors d’ici au 4 septembre, je tiens à préciser que j’ai ENCORE 29 ans OK? 🙂 !
Et je continuerai à dire que j’ai 29 ans jusqu’au 3 septembre à 23 h 59 et 59 secondes, haha !
Au plaisir de vous lire et d’échanger avec vous 🙂
P.-S. j’ai ouvert un groupe facebook qui se nomme MFMC Bien-Être. Je me suis dit qu’on pourrait toutes échanger nos trucs afin d’être bien et heureuses. Je repartagerai aussi les articles de Ma Famille Mon Chaos qui ont un lien avec le bien-être… Je pense que c’est une super idée, non? Et je tiens à préciser que je ne suis pas coach beachbody ou quelque chose du genre. Juste une femme/maman qui veut s’entourer et échanger avec vous sur des sujets ! Aucune publicité ne sera tolérée sur la page. Pour ma part, je commencerai demain, le 4 Juillet, à prendre soin de moi et faire du sport (Il est à noter que le seul sport que je pratique présentement est le métier de maman/courtier immobilier haha. Mon seuil d’endurance est donc de nul)  Je vous donnerai  mes petits trucs, et je prendrai avec plaisir les vôtres 🙂

P.S2 Le groupe sera ouvert pour quelques jours et ensuite fermé. De cette façon nous pourrons échanger en toute confidentialité.