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Prendre le temps d’être heureux

Vous rappelez-vous la dernière fois où le temps s’est arrêté a

Vous rappelez-vous la dernière fois où le temps s’est arrêté autour de vous? Un simple moment où vous réalisez à quel point vous êtes heureux d’être au bon endroit, au bon moment, entouré des bonnes personnes. Ces petits moments que nous savourons pleinement parce que nous PRENONS LE TEMPS tout simplement.

C’est quelque chose qui se veut de plus en plus difficile dans notre société exigeante. Prendre le temps de profiter de chaque moment. Que ce soit d’aller au parc avec votre enfant, de lui lire un livre avant de le mettre au lit, d’aller au restaurant en bonne compagnie ou de promener votre chien, soyez reconnaissant. Sincèrement.

Prenez le temps de réaliser à quel point la vie peut être belle malgré les embûches. Chaque moment est important et c’est souvent dans la maladie ou face au deuil que nous en prenons conscience. Parfois, nous vivons des moments plus difficiles, mais il faut en sortir grandis, tenter de voir le côté positif de chaque situation. Parce qu’il y a bel et bien quelque chose de positif quelque part, même si vous n’arrivez pas à le voir immédiatement. Gardez espoir, rien n’arrive pour rien.

Trouvez quelque chose qui vous permet de vous sentir bien. Parce qu’encore une fois, il faut prendre du temps pour soi. Prendre le temps d’être heureux. Vous savez pourquoi? Parce qu’en général, lorsque les parents sont heureux, les ENFANTS sont heureux. Bien sûr, il y a des exceptions, mais il sera beaucoup plus facile de pouvoir aider votre enfant si à la base, vous êtes heureux.

S’il était possible, je servirais du bonheur sur les toasts de mes enfants au petit déjeuner. Parce qu’à l’inverse aussi, un enfant heureux égale (la majorité du temps) des parents heureux. Parfois, tout ce qu’il faut pour panser nos blessures d’adultes est un beau sourire d’enfant. Ou encore mieux, un simple : Je t’aime maman/papa! Suivi d’un tendre câlin.

Oui, il m’est arrivé de verser quelques larmes silencieuses dans les bras de mes enfants en disant que j’étais simplement fatiguée. Et c’est NORMAL! J’ai beaucoup de difficulté à pleurer devant mes enfants parce que je souhaite qu’ils aient l’image d’une femme forte et qu’ils réalisent que pleurer à tout moment n’est pas la solution aux problèmes. Mais j’accepte aussi la défaite, les deux mains levées devant moi. Oui, parfois, les parents pleurent aussi et les enfants doivent être conscients que tout n’est pas toujours rose.

Il y a de magnifiques moments dans une vie, ainsi que des moments particulièrement pénibles. C’est la vie dans toute sa splendeur! Pour chaque grande émotion, nous garderons un souvenir précieux. Bon ou mauvais, peu importe.

Alors, prenez le temps d’être heureux, accumulez vos petits bonheurs afin de pouvoir surmonter les problèmes à venir. Parce que soyons réalistes, une vie sans obstacles n’existe pas. Vivons une vie heureuse afin de chasser du revers de la main nos malheurs. Pour pouvoir passer au prochain bonheur avec anticipation.

Souriez, la vie est belle… Complexe, mais belle.

Geneviève Dutrisac

 

En attendant l’équilibre du retour au travail

Je retournerai travailler bientôt. J’ai eu la chance d’avoir un

Je retournerai travailler bientôt. J’ai eu la chance d’avoir un beau congé de maternité. J’ai bougé en masse (merci, Bébé Cardio!), joué avec mon bébé d’amour, fait des siestes collés, vu des amies, passé du temps en famille. J’ai même pu lire et commencer à écrire. Cinquante semaines dans une bulle d’amour et de bonheur qui se terminent très (trop) bientôt… Je suis sentimentale, eh oui! Il y a eu des défis, c’est certain, mais ç’a surtout été beau.

J’aime mon travail. Je m’y épanouis et j’ai la chance d’évoluer dans un milieu où je peux me dépasser et me réinventer. J’ai déjà des idées et des projets plein la tête sur lesquels j’ai hâte de travailler. Je pense déjà à la manière de les mettre en œuvre. Des collègues en or m’ont aidée à préparer mon retour pour qu’il se fasse plus en douceur. Je me trouve chanceuse.

Nous avons une super garderie en milieu familial. P’tit loup s’y sent bien et adore ses nouveaux amis. Nous avons entièrement confiance et l’y laissons la tête tranquille. C’est précieux, j’en suis consciente et je l’apprécie.

Mais…

J’ai quand même une boule dans le ventre. Non, un trou. Un immense trou qui ne cesse de se creuser à l’intérieur de mon cœur depuis quelques jours. Je vais terriblement m’ennuyer de ma boule d’amour rigolote. Juste à y penser, j’ai les yeux pleins d’eau et mon écran devient tout embrouillé.

Je sais que des milliers de mamans sont aussi passées par là, que je ne suis pas la première, qu’on n’en meurt pas…

Je sais que j’ai de bonnes capacités d’adaptation et que je vais trouver notre équilibre. Après tout, ça fait déjà un petit bout que je travaille mon lâcher-prise, ça me sera bien utile!

Je sais, je sais… Mais c’est dans ma tête tout ça.

Je ne l’écris pas pour essayer de me convaincre. Je le sais vraiment. J’ai confiance en moi, en mon homme et en mon fils qui a le bonheur facile. Je sais que nous nous ajusterons et que ça ira.

Mais de savoir tout ça n’empêche pas ce trou de me gruger le cœur. De le savoir ne me fait pas me sentir mieux, n’amoindrit pas ma tristesse à l’idée de ne plus être tout le temps avec mon enfant fabuleux.

Je sais aussi que ça va finir par passer, par se placer.

D’ici là, comment faire pour avoir moins de peine et être moins stressée? (Je pensais gérer mon stress, mais mon psoriasis est crampé!) Est-ce que ce serait ça, appréhender le changement?

Alors, en attendant que ça passe, que le trou se referme tranquillement, j’écris. Justement parce que je sais que je ne suis pas la seule. Et mon chum me flatte les cheveux pour que j’arrive à dormir…

On est belles, on est bonnes et on est capables. Le chaos se transforme, il ne sera plus le même, mais on va l’amadouer quand même. On va y arriver les filles! Bon retour au travail, les mamans!

Et si le vrai bonheur était plus simple à trouver que l’on pense?

Je fais un constat de plus en plus flagrant. Je ne vous apprendrai r

Je fais un constat de plus en plus flagrant. Je ne vous apprendrai rien en vous disant qu’on se compare constamment avec nos proches, nos partenaires de travail ou nos voisins. Eh! boy, regardes-y donc la nouvelle maison, lui! Ouf! As-tu vu le nouveau camion du voisin? Wow! Il s’est acheté telle montre ou encore, elle est rendue avec telle sacoche. Ses quatre enfants vont à l’école privée, l’autre va dans le Sud quatre fois par année et pas n’importe où, dans un cinq étoiles. As-tu vu sa piscine creusée ou son spa huit places?

Avec les médias sociaux qui envahissent notre quotidien, il est quasiment impossible de ne pas savoir ce que font Pierre, Jean ou Jacques et quelle nouvelle acquisition ils ont faite. On peut voir le « bonheur » des autres dans leurs messages sur Facebook ou encore leur page Instagram. Et à lire les cinquante-deux commentaires d’amis qui disent « Oh! Mais vous êtes vraiment trop chanceux » ou encore « Vous avez tellement l’air heureux », on finit par croire que le bonheur se trouve dans tout ce que les autres ont et font. Alors on travaille pour essayer de s’offrir ce que tout le monde veut, la dernière mode, la grosse maison, le gros camion, le manteau de telle marque… et voilà qu’on va enfin pouvoir devenir heureux comme eux! On passe notre vie à désirer et non à profiter de la vie et à apprécier ce qu’on a.

Mais si le vrai bonheur était plus simple que ça à obtenir? Si je vous disais que le vrai bonheur frappe à vos portes quotidiennement, mais que votre vie virtuelle ou votre tourbillon professionnel vous empêche souvent de le voir passer? Votre désir d’avoir et de faire comme les autres vous aveugle et les rayons de bonheur passent sous vos yeux. Le vrai bonheur est là, tout près de vous. Oui! Oui! Juste là.

Prenez le temps d’apprécier le moment présent. Je dis souvent à ma fille en riant : « Tu sais, le moment que tu es en train de vivre là, présentement, il ne se reproduira plus jamais de la même manière, alors prends le temps d’apprécier ». Le vrai bonheur c’est d’apprécier qu’on soit en santé, apprécier qu’on soit capable de marcher, bouger, s’exprimer, communiquer. A-t-on vraiment besoin d’aller au département de trauma à l’hôpital pour se rappeler qu’on est chanceux?

Le vrai bonheur, c’est tout plein de petites choses banales. Pour moi, en voici quelques exemples :

– Prendre un bain chaud avec de la musique qu’on aime. Et pourquoi ne pas y ajouter des bulles de bain où une bombe de bain? (Sans leur faire de publicité, aller voir les bombes de bain LUSH, vous allez adorer.) Vous pouvez même lire un bouquin avec un petit verre de rosé tant qu’à y être!

– Quand le ménage de la maison est fait (ma blonde va sourire en lisant celle-là). Eh! oui! Quand la maison est propre, propre, propre, moi, ça me rend heureux. Même le faire me rend heureux.

– Jouer à un jeu de société en famille. Prendre le temps de sortir nos vieux Monopoly, notre YUM, nos jeux de cartes. Retourner en enfance et s’amuser sans penser à rien d’autre.

– Garder un tout petit bébé et le cajoler. Quoi de plus agréable que de prendre un bébé dans ses bras, l’endormir, lui parler et le bercer? Prendre le temps de le regarder et d’apprécier le moment présent.

– Marcher dans la nature. Nous avons tous un parc régional ou un espace semblable près de nos maisons. Prendre le temps de respirer l’air frais, marcher avec ou sans musique dans les oreilles (la nature joue elle-même sa propre musique), faire un pique-nique avec une bonne vieille couverture. Prendre le temps de regarder autour.

– Prendre un verre entre amis et refaire le monde.

Bon, je pourrais vous pondre des pages et des pages de petits bonheurs faciles. Mais la conclusion de tout ça, c’est que le vrai bonheur, on l’a tous déjà autour de nous. Il faut le créer, il faut l’entretenir, il faut le VOIR. Prenez le temps de vous demander ce qui vous fait vraiment plaisir et vous rend heureux. Prenez le temps de le faire et de l’apprécier. Pensez à vous, juste à vous de temps en temps. Une fois ces petits bonheurs identifiés, assurez-vous de vous en offrir de temps en temps, au lieu d’aller fouiner sur Facebook pour voir celui des autres (souvent artificiel).

Et vous, qu’est-ce qui vous apporte du bonheur et que vous ne faites pas assez souvent?

“Mamie” ça rime avec magie !

<img class=" wp-image-6711 alignleft" src="http://www.mafamillemonch

mamie-ca-rime-avec-magieOui, oui, je crois que les Mamies ont été inventées pour apporter de la magie dans le cœur des petits‑enfants. En tout cas, c’est la mission que je me suis donnée. Je veux mettre un sourire sur chaque visage de mes petits-enfants dès leur entrée chez Mamie. J’essaie de toujours leur servir des plats qu’ils aiment, faire de chaque repas un événement magique, les écouter, les deviner, montrer à quel point leur grand-maman tient à eux !

Je n’ai pas besoin d’une prestidigitatrice pour faire naître un beau sourire ou initier un câlin pour Mamie…je sais comment gagner leur petit cœur et je crois sincèrement que c’est pour cette raison que les Mamies ont été inventées. 

Noël arrive à grands pas et le personnage tant aimé des enfants s’affaire à remplir les commandes que lui font parvenir les petits…et peut-être …les plus grands également. Je sais que cette période est triste pour plusieurs. Ma propre mère est décédée un 14 janvier`1987 et était en perte de vie  à Noël 1986…mais la maman que j’étais a tellement travaillé fort pour faire scintiller cette fête à travers la maison.

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Elle a su nous transmettre la façon d’extraire l’extraordinaire d’une situation bien courante. Halloween, Noël, St-Patrick, St-Valentin, Pâques – toutes ces fêtes étaient autant de raisons pour elle de fêter et de nous entraîner dans sa folle rengaine de joies multiples et de petits plats adaptés. Mes propres enfants n’ont pas eu le plaisir de la découvrir sous cet angle; elle est partie semer son enthousiasme et son amour des enfants sur d’autres planètes. Mais si j’en juge d’après la grand-maman qu’elle a été je suis certaine que les Mamies sont ici pour semer de la magie.

Chez Mamie il n’y a pas de grandes règles strictes pour les petits-enfants. Je prône le relâchement, j’égrène avec eux les heures de façon agréable tout en respectant l’espace de l’autre. Je veux qu’ils ressentent chez Mamie le bonheur qu’on ressent en dégustant une barbe à papa……!

Pour certaines et certains, Noël c’est une démesure de consommation, pour moi c’est féérique. Je trouve que nos enfants développent de moins en moins le sens de l’émerveillement. Le pitonnage ne stimule pas l’imagination comme la fée des étoiles, le Père Noël, la fée des dents, le bonhomme Sept-Heures, l’halloween, les lapins de Pâques, la St-Valentin, et j’en passe. Donner à nos cocos le goût de rêver, de fabriquer dans leur petite tête des scénarios où ils se donnent de beaux rôles!

Tous n’ont pas la même chance, certes, mais quand on peut le faire, injectons donc chez nos touts petits l’amour de la vie et le goût et la capacité de rêver.

Moi je dirais que tout est possible pour celui qui rêve et c’est pour cela que les Mamies ont été inventées. Oui, c’est certain les Mamies sont ici pour semer de la magie !

Passion à la puissance 1000!

« Tu ne peux plus dessiner » AAAAAAAAHHHH!!!! Pourquoi cette r

« Tu ne peux plus dessiner » AAAAAAAAHHHH!!!! Pourquoi cette réaction? Parce que c’est ma passion. Oui, passion. Une passion, c’est une activité, un animal ou autre qu’on adore à un point où si quelqu’un nous disait qu’on ne peut plus pratiquer cette activité, voir cet animal, etc., on pleurerait jusqu’à la fin de nos jours.
Mais à quoi ça sert? Je ne pourrais pas dire en quoi une passion est bénéfique pour vous, mais pour moi, je peux. J’ai plusieurs passions (eh oui, ça se peut!) et leurs effets sont quelque peu différents. La comédie musicale me donne un boost d’énergie, le dessin me calme ou m’anime selon la journée, et la lecture, c’est pareil. Par contre, toutes mes passions me donnent la motivation de me lever le matin et d’entamer la journée avec un sourire dans le visage, même si j’ai un examen de maths.
Une passion, ça peut aussi faire évoluer une personne. Par exemple, avant de faire mon premier camp de théâtre, j’étais la petite fille la plus gênée du monde. Cette passion a fait de moi une adolescente qui n’a pas peur de s’exprimer (et qui a tellement d’histoires à raconter que parler pourrait presque être une passion pour moi!). Ça peut aussi aider à combler le besoin d’appartenance d’une personne si elle fait une activité qui se fait en groupe, comme les cadets ou les scouts.
Une même passion peut être partagée par les membres d’une famille, ou pas. Ma grand-mère, ma mère et moi adorons l’art, mais malgré les années de cours d’échecs et les nombreux tournois, mon père n’a pas réussi à partager sa passion pour les échecs avec moi…

Une passion n’est pas éphémère. Ça peut même mener à une carrière. Même si je ne sais pas ce que je vais faire plus tard, l’espoir de devenir professeure d’art ou de théâtre me fait vivre avec bonheur!

Le bonheur éphémère

Au moins une fois par jour, j’embrasse mes enfants sur le front, e

Au moins une fois par jour, j’embrasse mes enfants sur le front, en me disant que tout va beaucoup trop vite. Parfois, j’ai même peur qu’un malheur frappe et que mon précieux bonheur me soit cruellement arraché. Vous savez lorsque vous êtes comblé, que tout va pour le mieux et que soudainement vous vous dites : « C’est trop beau pour durer, quelque chose va certainement arriver…»

 

Je ne suis pas pessimiste de nature, au contraire, je vois toujours le positif de chaque situation, de chaque personne. Mais lorsqu’il est question de mes enfants, malheureusement, c’est tout le contraire.

Vous savez lorsque votre enfant est malade, qu’il tousse la nuit et que vous vous retenez d’aller mettre votre grosse face de maman inquiète (ou de papa inquiet) au-dessus de la bassinette ? Juste pour voir si tout va bien. Et voilà qu’une idée tel un éclair vous traverse la boîte crânienne… Et si votre précieuse progéniture ne se réveillait pas? Et du revers de la main vous balayez cette macabre pensée de peur qu’elle n’arrive pour de vrai.

Est-il possible de trop aimer ses enfants? Parce que sous toute logique, si je les aimais moins, je ne serais pas aussi craintive face à leur destin! Faudrait sérieusement penser à inventer une «Switch à off» pour tous les « Et si… ? » Et s’il ne revenait pas à la maison? Et s’il tombait du gros module de jeux? Et si j’avais un accident d’auto? Et si… Et si… Et si… ????

Une Switch à off s’il-vous-plaît!!! Je parais anxieuse, mais en réalité, je ne le suis pas. Sauf encore une fois, s’il s’agit de mes enfants. Mais pourquoi? Pourquoi je n’arrive pas à faire confiance à la vie comme je l’ai fait pour la mienne? Je m’en sors très bien! Bon ok, j’ai été égratignée, je dirais même écorchée en cours de route, mais résultat : je me suis relevée et je suis plus forte que jamais.

Le problème est exactement dans ces dernières lignes. Quelque chose arriverait à mes enfants que je ne serais pas capable de me relever. Je serais vide, détruite, anéantie.

Moi qui n’étais même pas sûr de vouloir des enfants, me voilà transformée en vraie maman poule! Je couve mes petits poulets avec une telle passion qu’ils se transformeront peut-être en œuf brouillé!

Mais vous savez quoi? Même si j’ai souvent envie de dire “non” à leur demande, je réponds “oui”. Parce que je les aime trop pour les étouffer. Parce que je pense à leur bien-être avant le mien. Ce sont les combats silencieux d’une mère aimante.

 

Nos jeunes enfants, notre santé, notre jeunesse, tout est éphémère! Alors, profitons-en comme si c’était toujours la dernière fois. Parce que viendra le jour où vous pourrez vous dire : j’en ai profité au maximum et j’ai fait de mon mieux! Tout simplement. Sans vous dire : « Et si… »

 

 

5 trucs pour survivre avec un ado

L'adolescence est une période tumultueuse et difficile à vivre, et ce, pas seulement pour les enfa

L’adolescence est une période tumultueuse et difficile à vivre, et ce, pas seulement pour les enfants! Être parent d’un ado est la chose la plus bizarre et terrifiante au monde!

 

Tu ne sais jamais comment réagir et interagir avec ce tyran qui vit dans ta maison et t’en fait voir de toutes les couleurs ?!? Alors pour vous, chers parents, voici…

 

5 trucs pour survivre avec un ado


1- Le nourrir
L’ado a toujours faim. Il n’est jamais rassasié! Il faut absolument lui donner à manger! Je vous assure qu’avec l’estomac plein, il sera vraiment de meilleure humeur. Prévoyez avoir toujours à disposition du gruau, des pâtes ou du riz. Un truc qui colle bien dans le ventre!

Avec un peu de chance, il aura même de l’énergie!

2- L’écouter
L’ado argumente tout le temps. Et surtout : il a raison! Et il trouve que vous êtes la personne la plus ignorante du monde… Objectif : Garder le dialogue ouvert avec un être fermé!!! Waou! Tout un défi, n’est-ce pas ? Alors, inspirez, expirez, et laissez donc croire à cet enfant qu’il a raison! Après tout, c’est peut-être vrai ? Écoutez ses arguments et acceptez de vous remettre en question.

Vous allez gagner une grosse dose d’admiration!

3- Lâcher prise
L’ado fait tout le temps des trucs vides de sens… C’est facile quand ça arrive aux enfants des autres, mais on dirait que lorsque c’est le mien (celui qui est sorti de mon ventre, mon ptit bébé que j’aime tant)… je ne suis capable de rien! Ce n’est pas mon cerveau qui réagit, se sont mes entrailles! Pourtant, je vous assure que si vous voulez survivre… il faut lâcher prise!

 

Comment ?

  • Allez prendre l’air! Mes chiens n’ont jamais autant marché que depuis que j’ai trois ados à la maison! 
  • Sortez! Allez au cinéma, au théâtre, allez voir des concerts (criez comme une folle, sautez, dansez!), allez souper avec vos amis… Bref, l’ado n’a pas le monopole des sorties, vous l’avez aussi! Vivez votre vie!
  • Décompresser! Buvez un bon verre de vin ou une ptite frette, allez fumer une cigarette, mettez la musique à fond et dansez dans le salon!

Tous les moyens sont bons pour vous aider à lâcher prise : c’est vital!

4- Bannir sa chambre
L’ado a toujours une chambre en bordel! Toujours! Ça pue et il y a du stock partout. Parfois tu ne sais pas comment il fait pour traverser la pièce sans se blesser. Son bureau n’est plus un endroit où il fait ses devoirs, submergé par le linge, les emballages et les bébelles… Les livres et les cahiers sont dans le lit accompagnés de boites de biscuits et de résidus de chocolats… Quand j’ouvre cette porte, l’odeur nauséabonde, c’est mon enfant qui sent ça??!, me lève le cœur et le chaos me donne envie de pousser un hurlement sans fin! Alors… Je n’ouvre plus la porte! C’est SA chambre. Qu’il se débrouille. Qu’il fasse son ménage, lave son linge, range ses trucs… Je ne veux plus voir ça.

Et s’il vient pleurer qu’il n’a plus rien à se mettre… je le retourne dans la pièce bannie!

5- Couper le wifi
Un ado collabore peu. Parfois, nous n’avons pas le choix que d’utiliser les grands moyens. Sans crier, sans se fâcher, sans négocier. Je coupe le wifi à 22h tous les soirs. Je coupe le wifi quand il me manque de respect, m’envoie promener ou qu’il est insolent. Je coupe le wifi si ses notes baissent à l’école.

Je remets le wifi quand sa chambre est ENFIN ramassée, quand le repas est prêt, quand je reviens de la job, quand l’épicerie est rangée, quand les chiens sont nourris…

C’est incroyable le nombre de choses que mon ado est capable de faire pour avoir accès au net! Alors pourquoi s’en priver?!

 

J’espère que vous vous en sortez avec vos ados, je sais à quel point c’est parfois difficile au quotidien. On se sent souvent démunis. Mais dîtes-vous qu’il vous reste seulement quelques années à vivre avec ce drôle de phénomène qui finira par prendre son envol et vous manquer… Me manquer ? Vraiment ?? Vous croyez ???

 

Lâchez pas chers parents !!!

Objectif : Parents heureux ? Ayez au moins quatre enfants!

Non non, ne vous étouffez pas avec votre gorgée de café. Vous ave

Non non, ne vous étouffez pas avec votre gorgée de café. Vous avez bien lu. Pendant que vous vous demandez comment survivre avec votre héritier ou vos cohéritiers, je vous dis que vous devriez continuer de peupler le Québec.

Est-ce un retour des prêtres catholiques des années 50? Non plus! Ce sont plutôt les conclusions d’une équipe de chercheurs de l’Edith Cowan University en Australie. D’après l’étude, les familles comptant quatre enfants et plus apparaissaient comme étant les plus satisfaites et celles qui profitaient davantage de leur famille.


La question est : MAIS COMMENT ÇA?!?!

 

Nous pourrions croire qu’au contraire, ce sont les familles qui se sentent le plus dépassées par le chaos familial. En questionnant des centaines de familles sur une période de cinq ans, l’équipe de Bronwyn Harman a mesuré différents éléments contribuant au bonheur parental. Il a été demandé à chaque famille d’évaluer le soutien social qu’ils ont reçu et s’ils étaient satisfaits de leur vie. Aussi, ils devaient partager leur perception de leur résilience, de leur confiance et de leur estime personnelle.

En comparant les résultats entre les différentes structures familiales, il semblerait que les familles nombreuses profitent d’un plus grand soutien. Non seulement de l’aide extérieure, mais aussi, car les membres de la famille entre eux collaborent beaucoup. Les jeunes enfants, par exemple, semblent intégrer rapidement le sens des responsabilités. En revanche, les plus vieux aident également les plus jeunes.

Ensuite, les familles ayant beaucoup d’enfants semblent également s’amuser beaucoup. Il n’y a jamais d’ennui! Les périodes de fous rires sont nombreuses ce qui semble contrebalancer le stress financier et le manque de temps en général. Ces parents semblent accepter leur «folie» familiale, car ils perçoivent qu’ils retirent beaucoup plus de positif.

 

Pas si vite…

 

Il faut préciser que les parents des familles nombreuses rapportent l’avoir désiré dès les débuts. C’est donc dans certains cas un rêve devenu réalité, ce qui vient également expliquer une partie de leur satisfaction.

Il est toutefois important de souligner, avant que vous ne vous lanciez dans un “projet-bébé”, que les résultats complets de l’étude n’ont pas été publiés, uniquement une partie. Il est donc impossible de valider avec certitudes les conclusions de l’équipe.

Aussi, les trois sphères mesurées par l’équipe de chercheurs (la résilience, le soutien social, l’estime de soi) ne définissent pas à eux seuls le bonheur parental. En laissant de côté d’autres facteurs, par exemple la satisfaction conjugale, les résultats sont à interpréter avec nuance.

 

De toute façon…

 

Que vous ayez un, quatre ou dix enfants, l’important ce n’est pas le nombre. L’étude ne rapporte pas que les enfants sont plus ou moins heureux. Au final, l’important c’est aussi ça : le bonheur des enfants! Donc, peu importe la structure de vos familles, tant qu’il y a beaucoup d’amour, tous y seront gagnants!

Quand grand-maman offre du répit aux nouveaux-parents

Quand ma fille m'a dit : « Maman , je suis enceinte », j'étais fo

Quand ma fille m’a dit : « Maman , je suis enceinte », j’étais folle de joie. Je serai grand-maman, youhou! Bébé arrive enfin, je cours à l’hôpital. Même si ce n’est pas l’heure des visites, je m’en fous, JE suis la grand-maman, ce n’est pas rien!

image144En prenant ce bébé tout neuf dans mes bras, je suis revenue 29 ans en arrière… Wow! J’ai maintenant la chance de revivre les beaux moments que j’ai vécu avec mes enfants. Oui, les « beaux moments », parce que les moins beaux; coliques, nuits blanches et compagnie seront réservées aux parents .

Après les premières semaines d’euphories, je remarque que les parents sont cernés jusqu’aux joues. Lorsqu’ils se lèvent pour partir, dès leur dernière bouchée terminée parce qu’ils sont à boutttte, je me dis que je vais leur offrir un petit répit.

 

« Que penseriez-vous d’avoir un week-end off ? »

Ho boy, d’après leur réaction, je pense qu’ils ont mal compris, je ne viens pas de leur dire qu’ils ont gagné le gros lot! Oui oui, ils ont bien compris. Je viens, en fait, de leur offrir le gros lot … ils vont pouvoir dormir une nuit complète.

Bébé débarque à la maison avec ses bagages.

– Mon dieu me semble que j’en avais moins que ça quand je suis partie un mois en voyage!

– Couches de jour et couches de nuit ….

Ben oui voyons, les couches de nuit absorbent plus et pourquoi? Je me demande si bébé se réveille aussi souvent que dans le jour?

-Aussi, les serviettes humides ….

-Une débarbouillette ne fait pas l’affaire?

-Oui, mais prends pas un savon ordinaire avec la débarbouillette.

-Ben oui je sais, j’ai du Dove… Ha non? Pas ce savon?

-Il faut du savon pour bébé d’une boutique de bébé spécialisée voyons!

-Ha ben oui, on est 30 ans plus tard!

J’ai donc acheté une caisse de serviettes humides chez Costco!!

Nous voilà maintenant devant l’horaire détaillé des boires de bébé. Une liste que maman m’a collée sur le frigo, pour comprendre qu’en fait, bébé n’a pas vraiment d’horaire! J’écoute les consignes des parents…  « Oui oui, oui oui, OK, c’est beau ». J’ai déjà eu des enfants quand même! « Bon ben, allez-vous coucher», que je leur dis avec bébé qui dort dans mes bras. L’auto sort de la cour… bye bye!

Bébé commence à pleurer!!! Il doit avoir faim, ou il est fatigué, ou il a besoin que je change sa couche, ou… Ma nuit sera longue. Pas grave, ce ne sera qu’une nuit, pour moi.image1

Après avoir bercé Bébé une partie de la nuit et vu le soleil se lever, je me demande : « Comment je faisais pour tenir le rythme quand mes enfants étaient petits? » Ah oui c’est vrai,  j’avais 30 ans de moins!

Les parents arrivent, après avoir profité d’un déjeuner en couple. Contents de retrouver Bébé et voir de leurs propres yeux si je tenais encore debout. Même si ma fille m’avait texté trois fois en soirée et dès son réveil, elle avait hâte que je lui raconte les dernières 24 heures.

La petite famille est repartie et j’ai déjà hâte à la prochaine fois, mais pour le moment, une sieste s’impose!

Mamou ❤️

Mon coup de coeur pour La Maison Lavande

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Depuis toujours, j’aime les endroits qui ont une âme. Prenez-moi pour une folle, mais quand j’arrive quelque part, je ressens automatiquement l’énergie qui se dégage de l’endroit et des gens. Ma mère est, elle aussi, comme ça. Ça doit se transmettre de génération en génération. Appelons donc cela notre petit don familial. Vous savez, j’ai une famille tissée serrée et, pour moi, c’est très important. Je sais qu’à tout moment, j’ai quelqu’un derrière moi disposé à me prêter main forte et c’est pareil dans mon cas, je suis toujours là pour les gens que j’aime. Comme dirait mon chum ”I got your back bro” haha!

Avant même ma naissance, ma grand-mère et mon grand-père se sont lancés dans la restauration. Un tout p’tit restaurant à Marieville, sur le bord de la 112. Un restaurant familial qui a évolué au fil des ans au même rythme que la famille s’agrandissait. Ça s’appelait le Braconnier et c’était le resto du coin. Mes oncles étaient aux cuisines et ma mère et ma grand-mère servaient les clients. Pendant ce temps, je mangeais en cachette du sucre à la pelletée dans le “backstore”, haha! Et tous se demandaient comment je pouvais avoir autant d’énergie… Et bien voilà, le secret est dévoilé. En écrivant ces lignes, et je dois admettre être nostalgique. Ce fut une belle époque…
Avec les années, ma mère est devenue courtière immobilière, mon oncle Dominic a parti sa compagnie de lettrage Média-Banc et j’ai pris la place de ma mère pour devenir la p’tite serveuse du coin 🙂

Vous devez vous demander pourquoi je vous parle de tout ça? Et bien parce qu’il y a quelques semaines, j’ai redécouvert l’émotion qui m’habitait lorsque je rentrais dans le restaurant de ma grand-maman. J’ai ressenti cette belle énergie que seule une entreprise familiale peut avoir. Oui Oui, je suis tombée sous le charme de la Maison Lavande à St-Eustache.

Pour ceux qui ne connaissent pas l’entreprise, je vais être brève parce que, ce n’est jamais très intéressant d’en connaitre tous les détails. Ce qu’on veut surtout savoir c’est ” Ok, mais c’est quoi la Maison Lavande?” 🙂
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La Maison Lavande est née de l’union entre Nancie et Daniel et de leur passion commune pour la lavande et l’entrepreneuriat. À la recherche d’un projet de culture, pour remplacer leur verger de pommiers, c’est en sillonnant les routes de Provence que l’idée d’une lavanderaie a vu le jour, en 2006.

Aujourd’hui, l’entreprise familiale propose plus de 70 produits pour le corps, la maison et l’ambiance, en plus d’une trentaine de produits gourmands dans 5 boutiques dont une, en ligne. Toujours soucieuse de mettre en lumière les nombreuses vertus et bienfaits de la lavande, la famille Ferron-Joannette accueille des dizaines de milliers de personnes par année et propose un décor bucolique qui embellit désormais le paysage des Basses-Laurentides.

De plus, et c’est ce que j’adore, ils travaillent tous de concert avec leurs deux filles qui sont très actives sur les réseaux sociaux FACEBOOK/SNAPCHAT/INSTAGRAM.

Quand nous sommes arrivés sur place, nous avions l’impression de faire partie de leur famille. Et pas seulement parce que nous étions la famille Boulay, au contraire. J’ai vu des dames aller voir Nancie pour la remercier de sa gentillesse et du bienfait de ses produits. Ce genre de commentaires d’une dame d’un certain âge ne s’invente pas. Après avoir fait la connaissance de Nancie et de ses filles, nous avons croisé, en vitesse, Daniel qui partait chercher les oeufs frais dans le poulailler. Vous savez quoi, je me sentais chez moi. Je sentais que je pouvais relaxer et m’asseoir parmi les allées de lavande et simplement être moi.

Du côté des enfants, ont a eu droit à des courses effrénées dans les champs de lavande, à des dégustations de limonades à la lavande ( On devient accroc très vite!!!) Et, ce qui est extraordinaire, c’est qu’ils nous laissent emmener nos chiens. On s’entend que si votre chien est incontinent, ce n’est peut-être pas l’idéal pour les pauvres marcheurs (Quoique je suis certaine que les couches d’entrainement pour bébé ferait l’affaire, hahha! Je me trouve bien drôle parfois).

Un énorme merci à Véronique Moisan photographe qui sait toujours si bien capter nos moments 🙂
La maison lavande, ce n’est pas seulement une expérience à vivre sur place. C’en est une qu’on peut continuer à la maison dans le confort de son foyer. Tout juste en entrant, il y a deux boutiques distinctes: une pour la confiture et les thés et une autre pour les soins corporels. Ceux qui me connaissent savent que j’ai perdu la tête dans les produits corporels. Sérieusement, j’ai même acheté un parfum pour mon chien 100% bio et qui sent divinement bon (comparativement à son haleine eurk). Mes coups de coeur pour l’instant?

– Diamants de sels de rose (favorisent la relaxation et réduisent la fatigue musculaire).

-Gel fraicheur pour soulager la fatigue musculaire (ça entre dans le sac à main, yé!)

– Poudre lactée pour le bain pure lavande. Elle préserve l’élasticité de la peau. Bref, mes enfants CAPOTENT sur ça. Ils disent que leur peau n’a jamais été aussi douce. C’est bon signe non :)?

– Poudre pour le corps fleurs blanches et lavande qui peut aussi servir de shampoing sec.

– Pour les homes, crème après rasage sous-bois et lavande

– Huile 100% naturelle de lavande qui est un excellent répulsif contre les poux à l’école

Comme je n’ai pas gagné à la lotto, je n’ai pas pu acheter l’ensemble du magasin. Mais si vous avez la chance d’aller faire un tour, allez-y! Quand la propriétaire vous explique les ingrédients contenus dans ses produits et que vous voyez ses yeux briller… vous ne pouvez faire autrement que de tomber en amour avec la belle grande famille de La Maison Lavande.

Merci d’avoir jouer avec nos enfants, comme si c’était les vôtres. Merci pour vos fabuleux bonbons à la lavande. Merci d’être des gens avec un aussi grand coeur. Au plaisir.

**Pour les intéressés, il est possible de commander directement sur le site www.maisonlavande.ca**

 

Comment être heureux dans son chaos ? La réponse des scientifiques

Demander à n'importe quel parent ce qu'il souhaite le plus pour son enfant et il vous répondra, pr

Demander à n’importe quel parent ce qu’il souhaite le plus pour son enfant et il vous répondra, presqu’invariablement, qu’il soit heureux !

Or, des chercheurs auraient fait une avancée majeure dans l’identification des gènes du bonheur. Et on parle ici d’une recherche hyper sérieuse et approfondie : près de 200 chercheurs répartis dans 17 pays ayant étudié les variations génétiques liées au bien-être, à la dépression et au neuroticisme* de près de 300 000 personnes.

*Nous avons, nous aussi, appris ici un nouveau mot. Le neuroticisme est une tendance persistante qu’ont certains individus à expérimenter des émotions négatives comme l’anxiété, la colère, la culpabilité ou la déprime.

Et semble-t-il que c’est principalement dans le cerveau, la moelle épinière, les glandes surrénales et le pancréas que ça se passe et que les chercheurs ont pu observer des différences entre les gens heureux et ceux qui le sont moins. Autrement dit, certaines personnes seraient génétiquement plus disposées au bonheur que d’autres !

Mais rassurez-vous, ça ne veut pas dire que c’est une fatalité et qu’on ne peut rien faire ! Ce qui est intéressant, c’est que cette découverte pourrait permettre éventuellement d’améliorer les traitements contre, par exemple, la dépression ou l’anxiété. Aussi, et ce sont les chercheurs eux-mêmes qui le précisent dans leur étude, l’environnement joue un rôle tout aussi important que la génétique dans le sentiment de bien-être d’un être humain. On a donc beaucoup plus de pouvoir qu’on le pense sur notre niveau de bonheur et celui de nos enfants !

Maintenant, comment on fait ça augmenter notre niveau de bonheur ? Et bien, c’est qui nous emmène à vous parler de la plus longue étude jamais réalisée sur le sujet. Menée par la très prestigieuse Université Harvard, elle est en cours depuis 1937 !!! Le résultat final n’est donc pas encore connu mais un des chercheurs a décidé de briser le silence en novembre dernier. Qu’est-ce qui en ressort ? Et bien, oubliez l’argent, la gloire, l’apparence physique et la maison propre et bien rangée. Le dénominateur commun des gens heureux et en santé, c’est…(roulement de tambour)…la qualité des relations qu’ils entretiennent avec leur entourage ! Relations réelles et nourrissantes, on s’entend. Autrement dit, les amis Facebook et les relations de couple ou d’amitiés que vous “endurez”, ça ne compte pas.

Et pour ce qui est de nos enfants, nous ne vous apprendrons rien en vous disant que nous sommes leurs modèles et qu’ils apprennent, d’abord et avant tout, en nous imitant. Alors, on donne l’exemple ! On lâche nos écrans, on les se serre dans nos bras, on les écoute, on s’intéresse à leur monde, on s’arrange pour devenir des adultes matures, épanouis et responsables et tout le monde s’en portera mieux. Ce sera encore le chaos mais heureux ! Et selon les chercheurs, c’est ce qu’il y a de plus important 🙂