Tag stress

Moi, stressée ?

Le fameux stress : la cause de bien des maux selon plusieurs livres

Le fameux stress : la cause de bien des maux selon plusieurs livres et études. Cancers, problèmes de santé mentale, troubles de sommeil et j’en passe. Cependant, c’est aussi le stress qui nous donne cette dose d’adrénaline qui nous pousse à agir rapidement lors de situations urgentes. Une vie sans aucun stress serait sans doute aussi calme qu’un lac sans vent lors d’une belle journée estivale. Vous en rêvez peut-être lorsque tout va trop vite ou lors de périodes très intenses au travail, mais pourrait-on vivre sans stress?

Personnellement, j’ai toujours été une fille assez anxieuse et stressée. Je me mets beaucoup de pression. En 2002, j’ai vécu une grave dépression qui m’a fait prendre conscience que personne (oui, personne!) n’est irremplaçable et que comparativement aux héros de jeux vidéo, je n’ai pas de deuxième vie si je ne prends pas soin de moi. Maintenant, je relativise beaucoup et lors de situations très stressantes, je fais doublement plus attention à moi. Bien manger, dormir assez, prendre un bain chaud, recevoir un massage, lire quelques pages d’un roman avant d’aller au lit ou écouter de la musique me permet de relaxer.

Vous allez me dire que c’est la base, mais honnêtement, il faut prendre le temps de s’arrêter, surtout AVANT une période de vie stressante qu’on peut planifier (par exemple, un déménagement, un changement de boulot, un accouchement…) et aussi APRÈS. En fait, peu importe l’activité qui vous fait du bien : aller courir dix kilomètres ou encore magasiner un nouveau vêtement, il faut savoir décrocher avant et après.   Fixez-vous un but pour passer à travers une période très intense : vous savez que vous allez travailler quatorze jours sans arrêt pour un gros projet au boulot? Prévoyez de partir trois ou quatre jours en congé avant si c’est possible et dès le lendemain, offrez-vous une journée dans un spa.

N’oubliez jamais de relativiser les drames. Personne n’est encore mort d’un délai demandé à son employeur quand on n’arrive pas à finir un gros dossier à temps ou d’un retard de dix minutes à une rencontre de parents! Une chanson que j’adore et qui m’aide à me calmer : Human de Christina Perri. Elle parle justement du fait que nous pouvons faire beaucoup, mais que nous sommes des humains et non des robots. Cette chanson me fait du bien et je vous invite à l’écouter la prochaine fois que vous vivrez un grand stress.

 

Véronique Hébert

 

Pour tous vos commentaires : V23hebert@icloud.com

Être un adolescent, plus difficile que je ne le croyais

Pourquoi personne ne m’avait dit de me préparer ? Pourquoi ne m

Pourquoi personne ne m’avait dit de me préparer ? Pourquoi ne m’avait-on pas avertie que ce serait si difficile ? Depuis déjà deux ans, je suis définitivement une adolescente. Tout le monde me disait que ce serait une des plus belles périodes de ma vie. Alors pourquoi j’en pense le contraire ?

Je sais ce que maman pense. Elle se demande pourquoi j’agis ainsi, pourquoi je lui pique des crises existentielles sans aucune raison, pourquoi je suis sensible vis-à-vis de certains sujets qui lui semblent pourtant tout à fait normaux, etc. Eh bien, maman, pour moi, l’adolescence est une étape de ma vie où je ne me reconnais plus.

Si tu savais à quel point le secondaire, au 21e siècle, est difficile et stressant. Peut-être que cela ne se voit pas à travers mon bulletin, mais en moi, tout est si compliqué. Si seulement tu savais quel poids nous avons sur les épaules, nous, les premiers de classe. On ne veut jamais faire d’erreurs par peur d’être jugé. Pourtant, nous savons très bien qu’il faut se tromper pour s’améliorer, mais ce n’est pas ce que tout le monde sous-entend.

Ensuite, plaire. Satisfaire mes professeurs par mon comportement et par mes notes est un travail très complexe. Toujours conserver une moyenne en haut de 85 % et me taire en classe semblent beaucoup plus évident que ça en a l’air. Plaire est plus stressant que tu ne peux l’imaginer.

Puis les frères et sœurs. J’essaie souvent de me concentrer sur mon travail, mais c’est sans succès. Souvent, les cadets veulent seulement que leur grande sœur vienne jouer avec eux. Ils ne font rien de mal, je le sais. Mais c’est parce que je suis tellement frustrée d’avoir été dérangée que je pique cette crise incompréhensible. Je sais, ils n’ont rien fait. Ils croient peut-être être la cause de mon comportement, mais ils n’y sont pour rien. Je te promets, maman, j’essaie de me contrôler, mais c’est toujours sans succès…

Pourquoi ne m’avait-on pas dit que tous ces sentiments allaient jouer sur mon comportement ? Peut-être que dans deux ans, ce sera comme avant. J’aurai peut-être compris que tout ça ne devrait pas me stresser.

Pour l’instant, comprenez chers adultes, qu’être adolescent n’est pas si facile.

Juliette Roy

 

Votre vision de MA dépression

Le verdict est tombé. Épuisée, fatiguée et larmoyante. On m’av

Le verdict est tombé. Épuisée, fatiguée et larmoyante. On m’avise que je ne suis pas folle, que je fais tout bonnement une dépression. Enfin, pour le médecin tout ça semble commun, voire anodin.

– C’est plate une dépression, mais ne t’en fais pas. Deux, trois pilules et dans quelques mois, tu seras sur pieds.

On m’explique de long en large que la dépression se passe au niveau du cerveau et que parfois on ne peut rien y faire. On ne peut que consulter et souhaiter tomber sur le bon antidépresseur pour que la vie redevienne comme avant. Quelques séances chez la psychologue vous seront nécessaires, me dit le médecin. Franchement, si une thérapie et des pilules peuvent me rendent le bonheur qui m’habitait, je saute à pieds joints dans le projet.

Et puis, le temps passe et les gens autour de moi savent. Et je vous entends, vous savez! Toutes les raisons sont bonnes pour me culpabiliser d’être en dépression. Parce qu’être en dépression ce n’est pas ‘’normal’. Être en dépression c’est faire partie des faibles.

Combien de fois j’ai pu entendre “manges mieux, fais plus d’exercice, gère plus ton temps… À vous tous, pensez-vous que vous êtes les premiers à penser à ces aspects? Pensez-vous que moi-même je n’y ai pas pensé? Ce serait pas mal plus simple de manger deux pommes, de la viande, des produits laitiers, des légumes et puis de partir courir pour terminer la journée par un p’tit 5km et un grand verre. Je me donnerais ensuite une bonne tape sur l’épaule d’avoir réussi à gérer ma dépression. Mais vous savez quoi, chers apprentis médecins? Vous n’avez pas tout faux, mais votre super approche naturelle n’est qu’une mince partie de la solution.

Moi, ce que je vous propose, c’est de me laisser respirer un peu.  D’arrêter de me sur-analyser. Parfois, je vais être fatiguée au point de vouloir juste m’asseoir par terre et pleurer. Puis ça n’aura pas de lien avec ma dépression. Juste la fatigue. Juste mon côté humain. Parce que sous ce mot DÉPRESSION, il y a une personne qui vit toujours. Un peu plus difficilement, mais, qui vit quand même. Si je me réveille toute croche, ce n’est pas l’effet d’un quelconque médicament prescrit par mon charlatan de médecin qui veut seulement me bourrer de médicaments pour avoir sa cut.

Je me réveille toute croche, parce que tu le fais toi aussi des fois. Pis à ce que je sache, t’es pas en dépression non?  Si je pogne les nerfs après les enfants et que j’ai moins de patience, ce n’est pas la dépression. C’est parce que je suis humainement incapable d’entendre deux enfants hurler à tue-tête pour rien et que comme tout parent, j’ai ma semaine dans le corps!

Vos mots ne m’aident pas. Vos mots m’éloignent de vous. Vos paroles me blessent et me donnent envie de partir parler avec des gens qui ne savent rien de moi et qui m’aimeront comme je suis sans me juger et sans faire référence au fait que mon cerveau fait des siennes. J’ai un nom, vous savez. J’ai des sens. Je vous vois, je vous entends et, parfois je me dis que j’ai juste envie de redevenir une humaine normale. Pas une dépressive de foire.

 

 

  • Crédit photo jesuisbipolaire.com

J’ai accouché de l’anxiété – partie 1

Il y a quelques mois, je me suis levée, un bon matin de semaine, av

Il y a quelques mois, je me suis levée, un bon matin de semaine, avec un goût amer dans la bouche. Pourtant, la veille, je n’avais rien fait de vraiment spécial. J’avais commencé ma journée à 6 h. Je m’étais habillée avec mes vêtements choisis la veille, maquillée pour avoir l’air moins blanche que je ne l’étais déjà et aplatis mes cheveux entre deux gorgées de café. Puis, j’avais réveillé les enfants afin de débuter leur journée avec cette routine à la fois usée et rassurante : habillage, déjeuner, lavage des dents et tout le bataclan.

Puis, vint le moment de cette dernière gorgée de café froid pour aller les déposer à la garderie, leur seconde demeure.

La journée s’était déroulée comme à l’habitude. Mais je me souviens d’avoir partagé mes pensées entre la tâche demandée et mes enfants qui me manquaient effroyablement. Plus qu’à la normale.

Je vous évite la routine du soir entre le retour à la maison, les cris de supplice d’enfants affamés qui semblaient n’avoir rien mangé depuis trois semaines et le concours de celui ou celle qui aura la lourde tâche de baigner dans le bain en premier.

Petite routine d’un parent qui tente de bien concilier la vie de famille et le travail. Néanmoins, ce jour-là, j’avais une écœurantite aiguë de ce train de vie. J’avais un poids sur les épaules. Une belle grosse brique qui semblait vouloir m’accoter au mur l’instant d’une inspiration. Au point où les étourdissements venaient me troubler sans cesse et que le cœur ne demandait qu’à fuguer de mon corps. J’ai voulu reprendre mon souffle, mais j’avais mal.

Il se passait quoi avec mon corps? Je n’avais jamais vécu de tels symptômes physiques. Étais-je malade? Non, je n’avais pas le temps de l’être. Je devais me ressaisir.

Les semaines ont passé. Et un soir, les palpitations ont recommencé de plus belle. Plus intenses, plus douloureuses. Ce même goût amer dans la bouche aussi. Comme du métal.

Je me souviens d’avoir tourné en rond, dans le grand lit, à me demander si j’étais en train de faire une crise cardiaque. J’étais jeune et j’avais pourtant l’impression d’être sur mes derniers miles. Et plus j’avais cette idée en tête, plus j’avais cette pression constante sur mon abdomen. Je ne voulais pas mourir.

Laissez-moi vous dire que j’ai rapidement pris rendez-vous avec ma médecin de famille pour qu’elle puisse me diriger vers un cardiologue. Prenant ma demande au sérieux, la secrétaire m’a offert un rendez-vous dès le lendemain. Bien heureusement, elle avait compris ma détresse.

Après un examen complet, une panoplie de questions et une seconde vérification de mon cœur (à ma demande!), la médecin pose son diagnostic.

« Votre cœur va très bien! Je ne vous réfère pas en cardiologie puisque ce que vous avez ne provient pas directement de là. »

Oh… Intérieurement, j’ai le cœur en chamade. Des chaleurs et des palpitations et elle prétend que mon cœur n’est en rien en cause de toutes ces manifestations physiques!?

« Vous faites de l’anxiété, madame! »

Quoi? Un trouble anxieux? Mes inquiétudes constantes, c’était ça? Le cœur qui me sort littéralement de la poitrine, c’était ça aussi? Et toutes les fois où je n’ai pas réussi à faire face à une situation parce que la nausée me prenait?

« Oui, et ça vient de tout ce que vous avez vécu, madame. Dont les naissances difficiles de vos enfants… Des traumatismes qui ont laissé des traces »

(…)

Une prescription plus tard, les questions dansaient dans ma tête…
L’anxiété, c’est génétique? Est-ce que mes enfants auront le même trouble que moi? Comment bien m’outiller et les aider si c’était le cas? Mais comment allais-je trouver la sérénité pour vivre à travers cette anxiété?

Je réalisais maintenant la complexité de ce trouble, auquel j’avais donné naissance, en même temps que mes enfants…

Méditer en famille

La rentrée est terminée. Les premières secondes de festivité de

La rentrée est terminée. Les premières secondes de festivité de l’école sont bien chose du passé. Nous avons les deux pieds fermement ancrés (et il faut le dire, la broue dans le toupet) dans le tourbillon des lunchs, devoirs, activités de nos chéris. Mais où est passée notre paix intérieure?

Je vois bien que je tourne ma couette (oui, cela s’appelle la tricotillomanie) plutôt intensément ces temps-ci. Chéri mari se ronge les ongles, grande fille aussi, elle qui avait réussi tout l’été à les faire pousser. Ma mini et ses mille et une inquiétudes et remises en question. Si je me fie à ce que j’entends ici et là, nous ne sommes pas la seule famille à vivre cela.

Nous sommes des méditants. Cela veut dire que chez nous, tout le monde médite. Oui oui, même les enfants. Les enfants sont dans le moment présent. Ils ne pensent pas aux devoirs, à l’heure du bain ou à rien d’autre lorsqu’ils font quelque chose. Alors ils ont une facilité à méditer. Mes enfants ont souvent été mes maîtres, moi la séquentielle faiseuse de liste !

Je me rends compte que depuis quelques semaines, nous avons oublié de méditer. Nous nous sommes plongé dans la piscine à vague de la vie sans notre bouée et cela se ressent. Ce moment de paix, de calme que nous nous offrions, nous manque cruellement. Il est temps de nous rechoisir.

Plusieurs types de méditation existent pour chaque type de personnalité. Des courtes, des longues, des guidées, des actives, des fréquences, des pour adultes comme pour enfants…

On laisse aller le stress d’une méditation parfaite. Ce moment est une offrande qu’on se fait alors ce sera parfait. Plus nous pratiquons, meilleur nous devenons.

Il n’y a pas d’endroit pour méditer ni de moment précis. Dans son lit, sous la douche, en marchant, le matin au réveil, l’après-midi, le soir…

Méditer, c’est tout simplement respirer. Respirer consciemment et lentement. Si la tête part dans l’action, nous pouvons que reporter notre attention dans le moment présent. Ce n’est pas grave. Tout est parfait.

Ce qui est important, c’est de laisser nos enfants choisir leur moment. Par contre, il doit être planifié. Cela permet aux autres membres de la famille de permettre au méditant de profiter au maximum de cette méditation. Lorsque tout le monde est capable d’être à l’intérieur de soi, pourquoi ne pas méditer ensemble ? Un membre de la famille peut s’improviser narrateur d’une méditation guidée que l’on aime bien. On peut aussi tout simplement écouter et travailler la méditation préférée de l’un d’entre nous, tous ensemble.

J’ai lu quelque part que si les enfants apprenaient tous à méditer dès leur jeune âge, nous ne viverions plus de guerre. J’aime croire que cela est vrai. En attendant, pourquoi ne pas leur offrir les outils qui leur permettent d’éviter….leur guerre intérieure ?

 

Une journée au spa avec les enfants? Pourquoi pas!

L'été arrive déjà à sa fin. Bien-sûr, ce n'est que le 21 septembre que nous pourrons officiell

L’été arrive déjà à sa fin. Bien-sûr, ce n’est que le 21 septembre que nous pourrons officiellement proclamer la venue de l’automne. Mais comme tout bon parent, la fin de mon été sonnera au même moment où la cloche d’école retentira pour me faire savoir qu’une année de plus s’est écoulée sans que je ne puisse m’en rendre compte. Ça va vite la vie hein? Nos enfants deviennent de minis adultes et on passe trop souvent à côté de petits moments qui pourraient bien être marquants pour eux. Dans ce court article, j’aimerais vous proposer quelques activités hors du commun ET relaxantes pour toute la famille.

Crèmes de massage pour enfants

Comme je viens de la campagne, je prône beaucoup les produits du coin. Récemment, j’ai eu la chance de discuter avec la propriétaire de la boutique Les Soins Corporels l’Herbier située à Mont-St-Grégoire.  J’étais déjà adepte de leurs crèmes de massage pour enfant, et elle m’a envoyée plusieurs petits exemplaires de crèmes de massage Bambino Spa faites expressément pour les enfants. OMG l’odeur… Je les aurais toutes mangées. Et je ne dis même pas ça pour rire 🙂 Vous savez, vos enfants aussi sont stressés, eux aussi sont fatigués… Alors pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable? Une sortie massage à deux? Oui, oui, vous avez bien lu! Certains endroits acceptent de faire des massages pour papa/maman et enfant. Ça c’est le summum du bonheur non?

– Il y a des massages bambino pour les 2 ans et plus à partir de 39$/30min;

– Massage pour femme enceinte (On ne se laisse pas masser par n’importe qui lorsqu’on est enceinte d’accord? Ça prend du matériel spécialisé).

La plupart de leurs produits sont faits directement sur place!!!

Sortie au spa en famille – région de Montréal

strom spa famille

Ensuite, pour les gens qui habitent dans la région de Mont-Saint-Hilaire ou de l’Île-des-Soeurs, il y a le Strøm spa Nordique qui offre un forfait de style brunch familial. Afin de partager des moments uniques en famille, c’est l’occasion idéale pour faire découvrir les bienfaits de la détente à vos enfants.

Les brunchs familiaux ont lieu les dimanches, de 7h30 à 10h.

Menu des mini-soins à la carte :

  • Mini-manucure ou mini-pédicure (application du vernis seulement) | 15$
  • Massage sur chaise de 15 minutes | 20$
  • Mini-soin du visage en duo parent-enfant de 20 minutes | 30$ chq
  • Massage sur table en duo parent-enfant de 30 minutes | 40$ chq

Réservations par téléphone: 514-761-2772

À SAVOIR :  La température des installations thermales est adaptée pour vos tout-petits et il est possible de discuter sur le site. La présence d’un adulte accompagnateur est requise.

Sortie au spa en famille – région de Québec

sky spa famille

Ohhhh et gens de Québec , je ne vous oublis pas 🙂 Le SkySpa situé sur le boulevard Laurier à Québec fait partie des spas qui ont compris que des moments privilégiés en famille, ça peut aussi être reposant 🙂

Venez vivre une expérience unique avec vos enfants au SKYSPA de Québec, tous les dimanches de 8h à midi. Initiez-les à la thermothérapie avec les bains chauds californiens, saunas finlandais et la chute nordique. C’est GRATUIT pour le premier enfant, profitez-en !!!

Une détente ultime… pour les enfants et les parents.  Ajoutez un massage à votre journée et celle de votre enfant.

  • 30 minutes détente: 50$ / enfant
  • 30 minutes détente : 80$ / adulte (comprenant l’accès aux bains)
  • 60 minutes détente: 80$ / enfant
  • 60 minutes détente: 110$ / adulte (comprenant l’accès aux bains)

Alors avant que le stress de l’école ne recommence, pourquoi pas prendre du bon temps en famille et aller relaxer. Je suis certaine que vous en ressortirez ressourcer!!!

Quand je serai grande, je veux avoir des poules !

C’est quoi la vie aujourd’hui ? Est-ce que c’est vraiment de c

C’est quoi la vie aujourd’hui ? Est-ce que c’est vraiment de courir le matin avec les enfants pour être certains d’être à temps au coin de la rue pour l’autobus ? De passer d’une à deux heures sur la route chaque jour pour se rendre au travail, de gérer les dossiers et le stress au bureau et de vite revenir à la maison à temps, avant la fermeture du service de garde ? De faire le souper en vitesse, de manger, faire les devoirs, les bains et le dodo ? De voir ses enfants seulement deux heures par soir ?

Je suis essoufflé de cette vie-là moi… Je suis à bout de souffle et énormément déçu de ne pas pouvoir profiter du moment présent et des beautés du quotidien autant que je le voudrais. Pour être honnête, j’ai souvent le goût de tout lâcher. Pas que je n’aime pas mon travail, au contraire. J’ai un emploi super stimulant, qui me passionne, je rencontre des gens que j’adore et où j’apprends tous les jours. J’ai un compte Facebook et Instagram et je me promène sur les réseaux sociaux de temps en temps. Mais oui, souvent, j’aurais vraiment le goût de revenir à la base … Je suis probablement une extra-terrestre dans une vie moderne qui n’en peut plus des cellulaires, des tablettes, des écrans … Mais où sont passées les vraies relations humaines ?

On parle beaucoup ces temps-ci dans les médias du stress, de la vie qu’on ne veut pas, de certains changements que l’on pourrait faire. J’étais à l’épicerie hier soir, et en attendant à la caisse, j’ai lu la première page du Journal de Montréal qui racontait qu’une famille avait tout quitté pour aller s’installer en campagne, dans les champs, là où la vie va moins vite et où ils peuvent faire leur élevage de vache comme bon leur semble. Oui,c’est du travail, mais ils n’ont plus d’horaires, plus d’autoroutes à franchir pour aller au boulot et surtout, ils sont dehors ! Ils profitent …  Ils se sont donné le coup de pied que ça prenait pour avoir la vie qu’ils voulaient. Pourquoi on ne ferait pas la même chose ? Pas nécessairement une vie sur une ferme, je suis consciente que ce n’est pas pour tout le monde, mais au moins, se donner le coup de pied nécessaire pour avoir la vie qu’on veut.

Et bien moi, je pense que je ne suis pas née dans la bonne époque ! J’aurais aimé avoir beaucoup d’enfants, rester à la maison pour cuisiner et coudre moi-même le linge de ma famille, aller ramasser les œufs de mes poules, aller cueillir les légumes de mon jardin, accrocher mon linge à l’extérieur, pas de télévision, pas de cellulaire. Juste la nature, juste la vraie vie. Je suis consciente que ça ne devait pas toujours être facile, que c’était beaucoup de travail et que ceux et celles qui ont vécu cette époque vont me dire qu’on est tellement chanceux aujourd’hui d’avoir toutes les commodités qui nous rendent la vie plus facile. Mais est-ce qu’il y aurait une façon d’avoir le juste milieu ? Je pense que oui. Revenons à de vraies conversations, de vraies émotions, de vraies relations, du vrai temps de qualité, la vraie vie finalement ! Prenons les bonnes décisions, celles que nous voulons pour notre bien-être et celui de notre famille.

Ce printemps, je ferai un jardin dans ma cour, je vais m’installer une corde à linge et le projet d’avoir un tout petit poulailler est en train de faire son bout de chemin dans ma tête. Et vous ? Qu’allez-vous faire pour réaliser vos rêves et échapper au stress du quotidien ?

Un chausson intelligent!

Lors des premières nuits d’un nouveau-né, combien de fois vous vous êtes levés pour vérifier

Lors des premières nuits d’un nouveau-né, combien de fois vous vous êtes levés pour vérifier si votre bébé respirait encore ou si son cœur battait normalement ? Plusieurs fois, j’en suis certain ! En tant que nouveau parent, il est fréquent de vivre du stress concernant l’état de santé général de notre enfant ou encore concernant le syndrome de mort subite du nourrisson.

Avec l’aide et le soutien financier de la « National Institues of Health », la compagnie Owlet a mis au point un gadget intelligent qui permet de mesurer différents paramètres vitaux des tout-petits : le chausson Owlet.

chausson01

Connecté à un téléphone intelligent via une application, il transmet les fréquences cardiaques et le niveau oxygénation de l’enfant en temps réel. Il vient aussi avec une base qui s’allume et émet des sons si le bébé est en difficulté. Jacob Colvin le fondateur de l’entreprise, affirme qu’il espère que cet appareil permettra aux parents de réaliser que quelque chose ne va pas avant qu’il ne soit trop tard.

chausson02

Le dispositif fonctionne de la même façon que les petits moniteurs que les médecins placent au bout des doigts, mais dans ce cas, c’est placé sur un chausson au pied du poupon.

chausson03

On peut acheter l’« Owlet Baby Heart Rate & Oxygen Monitor » pour environ 250.00$. C’est assez dispendieux si l’on compare à d’autres types de moniteurs déjà existants sur le marché. Ça comprend la base lumineuse et sonore, le capteur qui peut se placer sur 3 chaussons de grandeurs différentes afin de suivre la croissance du bébé jusqu’à ses 18 mois.

chausson04

En espérant que ce nouveau « gadget » permettra à certains parents de réduire leur stress et de mieux dormir !

À chaque enfant, son sport

Le sport n’apporte que du positif…faux! Le sport qui NOUS convient n’apporte que du positif, n

Le sport n’apporte que du positif…faux! Le sport qui NOUS convient n’apporte que du positif, nuance très importante. Tranche de vie : J’ai un léger choc post-traumatique de mes cours d’éducation physique à l’école (j’avais la «shape» et l’endurance d’une quenouille). Je ne suis pas sportive de nature et je ne suis pas compétitive, aucun visou et ma tête est depuis toujours un aimant à ballon : mauvais mélange. Ce qui fait en sorte que dans un gymnase, je suis aussi gracieuse et à l’aise qu’un chevreuil qui essaie de traverser l’autoroute à l’heure de pointe. Alors pour les bénéfices que ce supplice m’a apporté…on repassera!

J’ai longtemps cru que le sport n’était pas pour moi. Jusqu’à ce que je trouve MON sport, celui qui convenait à mes aptitudes et à ma personnalité. Quand j’ai essayé le zumba…surprise! J’ai de la coordination! J’ai alors ressenti ce que le sport pouvait apporter (en plus d’une bonne forme physique). Parce qu’au-delà des bienfaits au niveau de la santé, il ne faut surtout pas oublier tout le côté émotionnel. On se fait des amis, on peut travailler la collaboration, le sentiment d’appartenance, l’empathie, l’esprit d’équipe, la tolérance à la frustration, attendre son tour, notre rapport à l’autorité, nos limites, l’humilité, l’autodérision, etc.

Alors, pour nos chers cocos, on doit faire la même chose et leur trouver le BON sport. Se baser sur leur personnalité pour l’associer à une activité. S’il est solitaire et calme, la natation est peut-être une bonne idée. S’il chante et aime la musique, la danse ou le zumba pourrait lui convenir. Elle aime grimper partout, elle va aimer l’escalade. Les enfants changent rapidement, un sport peut leur convenir pendant un temps et moins par la suite. Plus l’enfant va varier ses expériences, plus il va apprendre à se connaître et à savoir ce qu’il aime ou ce qu’il aime moins. On peut aussi se fier à l’âge de notre enfant: vers 2 ans le ballon est habituellement gagnant, vers 3 ans le tricycle par exemple.

Pour éviter le décrochage en cours de session, on peut généralement avoir un essai gratuit ou encore se pratiquer à la maison, assister à un cours, regarder des vidéos et en discuter avec notre enfant. On parle de nos attentes à notre enfant, on l’avise du nombre de cours et que dans un monde idéal, on termine ce que l’on commence. On reste à l’écoute de ses besoins. Après l’activité physique, on peut demander à notre enfant s’il est fier de lui, s’il pense qu’il aurait pu faire mieux, comment il se sent et ensuite on peut lui faire part de notre opinion. Notre attitude influence beaucoup sa perception.

Patin, soccer, hockey, frisbee, escrime, plongeon, course, trampoline etc…laissez aller votre imagination! L’important, c’est d’avoir du plaisir!

 

 

Crédit photo : Femmesactuelles.fr

Astuces pour survivre à l’épicerie avec les enfants

Lorsqu'on fait les courses avec des enfants, on se rend compte à quel point c’était rapide et si

Lorsqu’on fait les courses avec des enfants, on se rend compte à quel point c’était rapide et simple avant d’en avoir! Je vous donne quelques trucs pour vous simplifier la tâche et même avoir du plaisir!

  • 1-Timing! On y va quand il y a moins d’achalandage, comme la semaine ou en avant-midi. Parce que plus il y a des gens, plus il y a d’attente et plus il y a de spectateurs pour que notre enfant fasse une fabuleuse scène digne du film l’exorciste pour avoir LA bouteille-de-jus-super-pas-santé-avec-un gros-minion-jaune-dessus.
  • 2-Liste! Quand on planifie notre liste d’épicerie, on en profite pour y inscrire nos attentes envers notre enfant et les règles qu’on veut qu’il respecte : On marche à l’intérieur, on achète seulement ce qui est sur la liste…même si tu pleures etc. Mais on lui dit par formalité, on sait qu’il est capable et champion! On lui dit le tout avant d’entrer au supermarché.
  • 3-Gargouillis! Vous savez sûrement déjà entendu qu’on déconseille de faire l’épicerie le ventre vide parce qu’on a le goût de tout acheter…et bien les enfants aussi! On peut même apporter une petite collation en cas d’urgence pour calmer son appétit et lui changer les idées.
  • 4-Plan B! L’enfant veut pousser le seul petit panier du magasin et nos prières sont exaucées, il est disponible! On se prend quand même un gros panier au cas où il ne voudrait plus le pousser en plein milieu de la rangée des chips. Pour transférer les aliments…et l’enfant.
  • 5-Alerte rouge! Malgré tout ce qui est énuméré plus haut, tout petit se transforme en Hulk? Ça nous arrive à tous. On reste calme et ferme, on l’embarque dans le panier et on termine rapidement de prendre ce qu’on doit acheter (crise ou pas on doit se nourrir…et au moins nous ne sommes pas en avion…il y a toujours pire!), on l’ignore dans la mesure du possible. Il se lève? On le rassoit. Il crie? On l’avise une fois, qu’on ne comprend pas quand il crie, qu’on se parlera quand il aura retrouvé sa petite voix. On passe à la caisse en restant calme (on est capable ça achève!) et en chantonnant un «Bonjouuuur» rempli de complicité à la caissière. Dans l’auto ou à la maison, Hulk devrait baisser d’intensité. Une fois la crise terminée, on repart à neuf. Il se souviendra avec l’expérience que même s’il se fâche, ça ne rapporte pas grand-chose.
  • 6-On choisit nos batailles! Si notre enfant à tendance à s’opposer au supermarché, on est mieux de commencer graduellement avec une petite liste d’épicerie lorsqu’on a du temps devant nous, plutôt que la commande pour le temps des fêtes à faire en 10 minutes par exemple, pour vivre des réussites et diminuer le stress.

Voici quelques idées de jeux à faire à l’épicerie, parce que tous les prétextes sont bons pour s’amuser :

  • Cherche et trouve : On implique l’enfant et on le fait bouger en cherchant les aliments sur notre liste. On peut même apporter la circulaire ou d’autres images pour avoir un support visuel.
  • Devinettes : on fait deviner à l’enfant l’aliment que l’on cherche. On peut aussi le faire travailler un peu en lui demandant les ingrédients manquants à une recette.
  • Camion de poubelles : Le panier se transforme en camion de poubelles. L’enfant se tient sur le devant du panier à la manière d’un éboueur et doit (délicatement) mettre les aliments dans le camion…c’est le moment de sortir nos effets sonores!
  • Mission : On se transforme en équipe d’agents double et nous devons trouver tous les aliments qui sont sur la liste avant que la minuterie sonne.

À vous de jouer! Transformez cette corvée en moment de qualité, laissez aller votre imagination!

 

 

Crédit photos: nannysecours.com et migrosmagazine.ch