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Fatiguée pas à peu près

Selon ma montre intelligente, ma nuit moyenne compte à peine plus d

Selon ma montre intelligente, ma nuit moyenne compte à peine plus de trois heures de sommeil et l’équivalent de sommeil agité. Beau temps, mauvais temps. Avec des somnifères dans le système, je me rends parfois à cinq heures. Si je suis chanceuse.

Ça a quand même des avantages. Je ne me fais jamais réveiller par le beep beep beep agressant du réveil matin. Je souffre assez peu des nuits écourtées par les petits bobos des enfants ou par les insomnies temporaires. Au lieu d’avoir seize heures d’éveil quotidien pour être efficace, j’en ai une vingtaine. Yé! Yé?

Pourtant, je me suis améliorée. Il n’y a pas si longtemps, ma nuit normale commençait systématiquement par trois heures d’insomnie, de virage de bord, de tirage de couvertures, de jambes agitées. Gros party disco de hamsters dans le cerveau. Non-stop. Ça arrive encore, mais c’est rare. Et seulement quand je m’en donne la permission. Parfois, ça fait du bien de perdre le contrôle.

Quand j’étais une petite jeunesse, ça pouvait toujours aller. Le corps suivait, la tête réagissait au quart de tour. Mais à la longue, ça use, des nuits aussi courtes! Ça brise l’énergie, ça fragilise l’humeur, ça nuit à la famille, ça affaiblit le système immunitaire. Exit, la concentration. Ciao bye, les idées claires. Attention! Chute de quotient intellectuel à l’horizon!

Quand je suis devenue maman la première fois, je me souviens avoir pensé que c’était impossible de mourir de fatigue. Donc, le sommeil était LA chose à sacrifier pour survivre. Résultat : je me suis poussée à bout. Ma fille aînée se réveillait à 5 h du matin. Sa petite sœur vivait la nuit. Dans les quelques heures pendant lesquelles elles dormaient en simultané, je préparais mes cours et je corrigeais les travaux de mes étudiants. Et j’essayais de dormir. En réalité, je ne dormais pas : je m’effondrais.

Pendant plusieurs années, j’ai fonctionné sur le pilote automatique. Un robot. Gauche, droite, gauche, droite. J’avais l’impression que je contrôlais ma vie, j’étais efficace, je réussissais, je jonglais avec tellement de projets en même temps! On ne meurt pas de fatigue, n’est-ce pas?

Puis, les maladresses et les erreurs d’inattention se sont mises à s’empiler dans mon quotidien. Je portais mes jeans à l’envers et je m’en rendais compte en les enlevant le soir (merci, pull-up pants!), j’entendais mes collègues me dire : « Euh… ton chandail… les coutures sont en dehors…» Je portais deux souliers différents et je passais la journée à me demander si une de mes jambes avait grandi pendant la nuit. Je faisais des accrochages mineurs en auto…

Un jour, je revenais de chez ma mère. Cinq heures de route. Les quatre enfants endormis dans leur siège. Je venais de traverser le pont entre l’Ontario et le Québec. Il me restait moins de dix minutes de route avant d’arriver à destination. J’avais combattu le sommeil pendant tout le trajet. Je ne pouvais quand même pas louer une chambre d’hôtel en plein jour et y stationner toute la famille pendant que je ronflais! Lumière rouge. Je me suis endormie. Deux fois. La vie de mes enfants et la mienne entre les mains, juste à la place du volant. Je me suis endormie. Contre ma volonté. Contre la loi.

Je suis arrivée tant bien que mal chez moi. J’ai réveillé les enfants pour les faire entrer dans la maison. Et je me suis réveillée pour vrai. Il était plus que temps que je me repose. Que je prenne soin de moi. Que j’enfonce les freins à fond. Avant qu’il soit trop tard.

J’ai pris une pause de conduite automobile pour un bout. J’ai appris à faire des siestes. Je me suis forcée à me coucher un peu plus tôt, progressivement. J’ai regardé dans les yeux ma peur de ne pas m’endormir. Je me suis convaincue que j’avais du pouvoir sur mon sommeil et sur mon niveau de stress.

Je n’aurai probablement jamais besoin de huit heures de sommeil en ligne. Mais rien ne m’empêche de gérer mon repos autrement. Quelques minutes de calme sur l’heure du dîner, cinq minutes de méditation au retour du travail, un câlin de bonne nuit prolongé après l’histoire du dodo : ça maintient mon niveau de repos dans une zone sécuritaire, autant pour ma santé physique et mentale que pour mes enfants. C’est pas mal plus facile d’être heureuse et de prendre de bonnes décisions quand on est reposé!

On ne meurt pas de fatigue. Mais la fatigue peut nous tuer. Et je refuse.

Nathalie Courcy

 

Devenir un cyberparent ! Texte: Gabie Demers

En tant que parents, nous sommes souvent démunis face aux nouvelles

En tant que parents, nous sommes souvent démunis face aux nouvelles technologies. Certes, nous utilisons tous l’ordinateur et Internet dans notre quotidien, mais connaissons-nous vraiment la face cachée du web ? Comme n’importe quel outil, l’utilisation d’Internet devrait venir avec un mode d’emploi, pour nous-même, mais surtout pour nos enfants. En tant que parent, il est essentiel de respecter et d’expliquer les règles de bonne conduite d’Internet. C’est à la fois une immense mine d’informations, un réseau social planétaire, une ouverture et une connaissance inégalée, mais c’est aussi un lieu sombre et obscur.

Premièrement, mettez vos enfants au courant des dangers d’Internet. Vous leur apprenez bien à regarder des deux côtés avant de traverser la rue, et bien, avec Internet, c’est la même chose. Internet est une rue peuplée d’inconnus. Mieux vaut être vigilant ! Pas besoin d’alarmer les enfants, mais il faut qu’ils comprennent qu’il y a des images mauvaises, des gens mal intentionnés, que certaines personnes se cachent derrière leur écran pour voler de l’argent, se venger, espionner et profiter… Les méchants d’Internet sont loin d’être ceux qu’on pense, alors il faut toujours se méfier (pédophiles, recrutement de djihadistes, harcèlement…) Apprenez à vos enfants à ne jamais rien révéler de trop personnel sur Internet (adresse, école, horaire ou emploi du temps).

Deuxièmement, n’ayez pas peur de vérifier leurs faits et gestes. De toute manière, tout se sait et Internet garde tout en mémoire ! Soyez administrateur des ordinateurs de la maison ; vous éviterez ainsi de laisser trop de droits à vos enfants à travers leur session personnelle. Vous pouvez aussi activer un contrôle parental. Ce principe sert à filtrer certains mots dans leurs recherches Internet.

Passé un certain âge, le contrôle parental ne suffit plus et est souvent inefficace sur les réseaux sociaux. Assurez-vous avec votre adolescent que son compte Facebook est sécurisé ; dans les paramètres de configuration, optez avec lui pour un compte qui n’est visible que par ses amis. Expliquez-lui les différences entre un compte ouvert (paramètre par défaut) ou fermé (https://www.facebook.com/help). Vous limiterez ainsi les intrusions possibles. Vous pouvez aussi informer votre enfant qu’il est possible de signaler ou de bloquer un utilisateur ayant un comportement déplacé. Votre enfant n’a pas à subir des commentaires ou le comportement d’un individu sur le net. Facebook se fait un point d’honneur à aider les utilisateurs à se sentir en sécurité. https://www.facebook.com/communitystandards

Pour savoir ce que votre enfant dévoile sur Internet, vous pouvez aussi googler son nom dans un moteur de recherche. Vous verrez ainsi ce qu’il laisse ouvert et visible sur la toile. Si vous avez des doutes ou des craintes, vous pouvez aussi vérifier l’historique de navigation sur les appareils utilisés par votre enfant et voir les sites qu’il fréquente. Cela vous donnera une bonne indication de son utilisation du web. Pour les enfants en bas âge, mettez toujours les ordinateurs et tablettes au salon, à la vue de tous.

Les enfants doivent aussi comprendre qu’il faut faire attention à ce qu’ils mettent sur Internet : photos, commentaires, messages. Internet est une immense toile où tout est relié. Même s’ils pensent avoir effacé leurs traces, c’est déjà sur d’autres serveurs, sur d’autres sites, utilisé par d’autres utilisateurs. On n’efface jamais vraiment sa trace sur le net. Donc attention à leur réputation virtuelle ! Toutefois, si vos enfants sont victimes d’images ou de vidéos à caractère sexuel, ils peuvent se faire aider via https://needhelpnow.ca/app/fr/ ou https://www.cyberaide.ca/app/fr/about.

Informez aussi vos enfants du mal que peut faire Internet : l’intimidation, le harcèlement. Ils doivent comprendre que même derrière leur écran, la police peut les retrouver. Chaque ordinateur porte une identité propre qui s’appelle une adresse IP. Elle est facilement repérable par des experts. Les actes peuvent avoir de lourdes conséquences.

De manière générale, et cela vaut bien aussi pour vous, en tant que parents et utilisateurs : sécuriser toujours vos ordinateurs ! Choisissez différents mots de passe, choisissez des mots de passe difficiles, pas des mots entiers, mais des lettres, des chiffres et des caractères spéciaux. Vous diminuez ainsi les risques de piratage. Pensez à avoir un antivirus, et surtout à activer les mises à jour. Cela vous protègera des malfaiteurs qui voudraient prendre votre ordinateur à distance, voler vos identités numériques ou simplement s’immiscer dans votre foyer. Changez les mots de passe par défaut de vos appareils, votre wifi par exemple.

Déconnectez aussi le plus possible les objets ou jouets connectés. S’ils n’ont pas besoin d’Internet pour fonctionner, inutile alors de les laisser à la merci de n’importe qui. Ces objets dits intelligents ne sont souvent pas munis d’un système de sécurité. Pensez aussi aux jeux en ligne ; avec qui joue et échange votre enfant sur les jeux vidéo (un des moyens utilisés par les djihadistes pour recruter des adolescents). Déconnectez aussi les GPS des téléphones portables ou des montres connectées : personne ni aucune application n’a besoin de géolocaliser ou de suivre vos enfants. Enseignez à vos enfants à lire avant de cliquer sur un pop-up, d’être vigilants avant d’ouvrir des pièces jointes puisque ces gestes anodins ne sont pas sans conséquence.

J’espère qu’avec ces quelques astuces, vous deviendrez un cyberparent ! À lire pour plus d’informations : http://parentscyberavertis.ca/app/fr/

 

* Un gros merci à mon mari chasseur de pirates informatiques pour ses commentaires et conseils pour l’écriture de ce texte !

Gabie Demers

Moi aussi j’ai peur pour toi, ma fille

Il pleut ce soir, et j’ai les blues. Mes trois enfants — toutes

Il pleut ce soir, et j’ai les blues. Mes trois enfants — toutes de sexe féminin — dorment et rêvent d’être grandes, sans se douter de ce qui les attend.

La récente pluie de #MoiAussi qui se dynamise sur les réseaux sociaux depuis quelques jours donne malheureusement l’impression à certains hommes pleins de mépris que les femmes sont toutes des saintes-nitouches en quête d’attention. Plusieurs grandes intellectuelles bien mieux outillées que moi pour leur répondre ont pris la parole. Pourtant, j’ai envie aujourd’hui de déposer mon petit grain de sable dans ce sablier médiatique. Et ce grain que je dépose a les couleurs et la texture d’une mère de trois petites filles qui rêvent au prince charmant.

Tout d’abord, j’aurais envie de dire que j’ai toujours été féministe, mais que je le suis devenue de façon encore plus appuyée le 11 décembre 2012 lorsque ma belle Lilianne est née. Les batailles livrées par ces clans de femmes fortes sont alors devenues les miennes, car je ne supportais pas l’idée que ma fille puisse être traitée différemment à cause de son vagin. L’idée qu’elle soit moins payée à cause de lui m’horripilait (et m’horripile toujours), l’idée qu’elle puisse se faire prendre moins au sérieux dans un contexte hiérarchique à cause de lui me hantait (et me hante toujours), l’idée qu’elle puisse être considérée comme une agace parce qu’elle se montre sympathique me damnerait…

Et je me suis rendu compte que je serais détruite que mes filles vivaient des situations semblables à certains événements de mon passé de jeune adulte. Avant de rencontrer l’homme de ma vie et le père de mes enfants, j’ai vécu un an de célibat durant lequel j’ai été pas mal sur le party, et durant lequel j’ai fait beaucoup de rencontres : des merveilleuses comme des affreuses. Durant cette année, j’ai appris à me méfier des buissons et des coins sombres dans les bars, des hommes intoxiqués aux mains baladeuses et aux paroles vicieuses.

Ces souvenirs, déposés sur mes filles plutôt que sur moi-même, auraient le potentiel de me tuer. Pourtant, à voir le nombre de #MoiAussi, peut-être vaut-il mieux que je me prépare psychologiquement à cette triste probabilité. Car même si la majorité des hommes ne sont pas des harceleurs et des agresseurs, les cas récents mettant en scène des vedettes montrent que pour un seul prédateur, il y a un nombre écrasant — et écrasé et écrasable, du moins à leurs yeux — de proies.

Sommes-nous rendus là, à préparer nos filles à cette traque ? À préparer nos filles à cet assaut plutôt qu’à préparer nos garçons à l’amour ?

Ma fille, tu rencontreras un ou plusieurs hommes significatifs dans ta vie. Ces hommes des amis, des amoureux t’adoreront, te chériront. Tu te marieras peut-être avec l’un d’eux, et vous aurez peut-être même des enfants.

Mais il est fort à parier qu’au moins une fois dans ta vie, un homme glissera soudainement sa main dans ton chandail pour empoigner tes seins durant un 5 à 7 à ta résidence cégépienne.

Il est fort à parier qu’un autre soulèvera ta jupe dans un bar pour te pogner le cul en te murmurant à l’oreille une cochonnerie que tu n’as jamais même entendue même dans un film porno.

Un autre essayera peut-être de glisser sa main dans tes culottes pendant que tu dors sur le sofa d’une amie à la fin d’un party.

Oh ! Peut-être aussi qu’on essayera de te forcer à faire une pipe à un gars que tu connais ni d’Ève… et ni d’Adam surtout.

Il y a aussi des risques que tes signaux de détresse ne soient pas pris en compte au moment d’expérimenter une nouvelle pratique sexuelle avec un gars qui visiblement ne te respectera pas tant que ça — ton petit chum d’une certaine époque.

Tu seras harcelée. Traquée, objectivée, agressée.

Tu seras peut-être même violée.

Et j’ai peur pour toi, ma fille.

Et après, on te dira que tu n’avais qu’à rester chez toi en pyjama.

Toutes ces expériences sont les miennes. Si elles n’ont pas été traumatiques pour moi, j’ai peur qu’elles le soient pour elles — et le mot peur est une atténuation. Je préfèrerais revivre mille fois ces intrusions si ça pouvait épargner une seule de ces situations à une seule de mes filles. Ces expériences ne sont pas les plus sensationnalistes que vous pourrez trouver lors de cette ruée médiatique : elles sont somme toute banales dans ce contexte, et c’est justement ça qui fait peur. Des mains glissantes et des bouches sales prêtes à susurrer des dégueulasseries, il y en a partout.

Je ne sais pas trop quelle conclusion je veux donner à ce billet, car je n’ai pas inventé la roue à trois boutons et ne prétends donc pas avoir quelque chose d’original ou d’inédit à proposer pour dénouer ce nœud sociétal. Je ne suis pas une journaliste établie, une chercheure en études féministes, une politicienne de gauche engagée. Je ne suis qu’une maman inquiète, qui souhaite un monde meilleur pour mes enfants : pour mes filles.

Véronique Foisy

 

 

Les idées exprimées dans ce texte appartiennent à l’auteure. Elles ne représentent pas l’opinion générale véhiculée par Ma Famille Mon Chaos ou par les responsables du blogue.

Noyades: quand ton bambin sombre au fond de la piscine.

Chaque année au Québec, le nombre de noyades d’enfants est trist

Chaque année au Québec, le nombre de noyades d’enfants est tristement en augmentation… La noyade est la première cause de mortalité chez les enfants âgés de un à quatre ans. La majorité se noie dans les piscines résidentielles. Pourquoi? Comment réagir si votre bambin sombre au fond de la piscine?

L’été, la joie de vivre, la chaleur, les partys… Parfois, ça tourne au cauchemar… Ça se passe toujours de la même manière : l’enfant échappe à la vigilance de ses parents (gardiens ou grands-parents). Ils sont les champions du monde, nos petits chéris, pour courir après le ballon apporté par le vent dans l’eau ou pour retourner faire trempette! Sur son dos, il n’a plus son gilet de flottaison (mais il n’en a pas conscience! L’enfant se sent en sécurité!) Et toi, parent, ami, oncle, tante, grand-parent, tu as pris un verre, deux verres… Tes réflexes sont moins bons. Tu es trop détendu…

Je peux vous le raconter parce que je l’ai vécu… J’ai vu mon enfant de deux ans sombrer en silence. Tu penses qu’il va crier et se débattre dans l’eau? Eh bien non! Il ne bougeait pas. Il ne pleurait pas. Ses yeux étaient grands ouverts. Son visage restait sous l’eau… Je n’oublierai jamais la panique dans son regard. Je n’oublierai jamais que personne n’a compris pourquoi je plongeais dans l’eau en tenue de soirée en laissant mon verre de vin se briser à terre. Je n’oublierai jamais que la personne responsable de sa sécurité ne lui tournait le dos. Personne n’a réalisé. Mon enfant m’a lancé un dernier regard, je ne sais pas pourquoi à ce moment précis, je l’ai vu. Il mourait sans un bruit…

Depuis ce jour-là, une piscine est pour moi un danger. Pour toujours. Ça arrive si vite… Combien de temps pensez-vous qu’un bébé peut tenir en apnée sans perdre conscience et s’enfoncer au fond de l’eau? Moins de vingt secondes… Combien de temps peut-il rester là et s’en sortir sans séquelles? Moins de trois minutes…

Une fois que le bambin est sorti de l’eau, s’il ne répond pas, vous devez faire signaler immédiatement le 911. Vous avez une chose à observer. Une seule chose! Est-ce qu’il respire normalement?

S’il respire, installez-le sur le côté et attendez les secours.

S’il ne respire pas normalement : installez-le sur le dos et poussez fort et vite dans le milieu de son thorax. Si vous avez un doute : poussez! Vous ne pouvez pas nuire! Faites circuler son oxygène vers son cerveau!

Informez-vous sur les gestes qui sauvent : http://www.mafamillemonchaos.ca/on-sinforme/gestes-peuvent-sauver-vies/

En prévention, il est très important de faire sécuriser toutes les piscines et de les rendre inaccessibles aux enfants. De plus, il est primordial d’enseigner à son enfant comment survivre dans l’eau (cours en piscine, Croix-Rouge canadienne), il faut lui interdire de courir autour d’une piscine, et vous devez surveiller votre enfant en tout temps (s’il sort de votre champ de vision aux abords d’une piscine, appelez-le immédiatement).

Parce que ça n’arrive pas qu’aux autres et que les séquelles des noyades sont dramatiques pour nos jeunes enfants, soyons vigilants en tout temps!

Gwendoline Duchaine

 

Mon petit marcheur n’est pas en sécurité!

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Mon garçon est un marcheur, et ce depuis toujours. Pour se rendre à l’école, il suit les petits points bleus sur le trottoir et traverse la route quand le brigadier lui en donne la consigne. Sauf que chaque année, c’est le même constat : mon petit marcheur n’est pas en sécurité aux abords de l’école!

Et j’ai bien l’impression que c’est le même combat dans toutes les écoles. La vie des marcheurs (ou des enfants qui se rendent à vélo, à trottinette ou sur une planche) est mise en péril par des parents. Ces derniers déposent leurs chers enfants en voiture devant l’école, sans tenir compte des consignes de sécurité ni des panneaux de signalisation!

Chaque mois, la direction envoie à tous les parents une lettre de rappel afin que tout le monde respecte la signalisation aux abords de l’école. Sauf que les gens sont pressés et égoïstes… Notre brigadier travaille fort chaque jour pour la sécurité de nos enfants, il se fait souvent insulter par des parents frustrés. Je lève mon chapeau à tous les brigadiers si dévoués et présents autour des écoles du Québec!

Parents… Au-delà du fait que la vie des autres ne vous intéresse pas, quel exemple donnez-vous à votre enfant en mettant en danger ses amis? En ne respectant aucune consigne? Nos enfants sont les citoyens de demain, que leur enseignez-vous?

Dans cette société où tout va toujours trop vite, où chaque humain est si pressé le matin, on oublie de prendre soin de l’autre, de le protéger. Et ce dès le plus jeune âge. C’est tellement triste. Et c’est révoltant! Combien de drames il va falloir, dans nos zones scolaires, avant que le monde se conscientise?

Mon petit marcheur n’est pas en sécurité! Je ferme les yeux, je serre les dents et j’arrête de respirer à chaque voiture qui ne marque pas le panneau d’arrêt, qui roule au-delà de 30 km/h, qui se stationne sur la piste cyclable, qui passe tout droit sur le passage piétonnier sans voir cette fillette qui était déjà engagée… Chaque jour, je tremble… Chaque jour, je donne les consignes de sécurité à mon enfant, en espérant qu’il ne suivra pas votre exemple, chers parents pressés… et qu’il les respecte…

Par votre faute, mon petit marcheur n’est pas en sécurité. Et si c’était votre enfant?

 

Gwendoline Duchaine

 

Vos enfants aiment-ils les policiers?

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De nombreuses fois dans ma carrière de policier, j’ai vu ou entendu des parents dire des commentaires très douteux à leurs enfants à propos des policiers. J’ose espérer que la plupart de ces parents ne comprenaient pas l’importance de ce qu’ils disaient des policiers aux yeux de leurs enfants. Je suis loin de détenir la vérité et je n’ai aucun diplôme en éducation quelconque, mais je tenais quand même à vous parler de ce sujet en vous donnant quelques exemples.

Comme parents, nous savons tous qu’aux yeux de nos enfants, nous sommes des exemples et détenons la vérité. Nous pouvons leur faire croire n’importe quoi quand ils ont deux ou trois ans, ce qui est magnifique quand c’est le temps de leur raconter des histoires. Nous pouvons les émerveiller avec un rien et c’est aussi à nous de leur apprendre le bien et le mal, connaissance qui leur sera essentielle tout au long de leur vie. Voilà dans mon article où ça se gâte : l’apprentissage du bien et du mal. 

Il m’est arrivé de donner une contravention à un parent trop pressé le matin qui passait sur un STOP ou qui roulait un peu trop vite dans une zone scolaire. J’ai entendu à quelques reprises des adultes dire à leurs enfants devant moi : « Tu vois comment ils sont méchants les policiers? » ou encore me dire devant eux : « Gang de chiens sales, vous êtes là pour écœurer les honnêtes citoyens au lieu de les aider! »

J’ai aussi eu des demandes d’adultes qui voulaient discipliner leurs enfants à ne pas se détacher dans la voiture : « Pouvez-vous dire à mon enfant que s’ils se détachent pendant qu’on roule, vous pouvez l’emmener en prison? » ou encore « Vous allez le chicaner. »  J’ai aussi eu le droit à un « Si tu te détaches et que la police attrape papa, papa va aller en prison et tu resteras tout seul. »

J’ai même eu droit, lors de visite communautaire dans les parcs pour enfants, à des « Tiens les cochons, vous cherchez des tickets à donner? », tout cela devant les enfants qui glissaient et se balançaient, mais qui écoutaient également. Moi qui ne voulais qu’aller parler aux enfants et leur montrer la voiture de police.

Bref, des exemples comme ceux-là, la plupart des policiers que vous connaissez ou que vous pouvez rencontrer vous diront qu’ils en ont vécu.

Je me souviens également d’un dossier d’enfant disparu. Je tentais de rassurer la mère en lui disant qu’on inondait le secteur de véhicule patrouille et que son fils verrait tôt ou tard une voiture de police et qu’il irait leur dire qu’il est perdu. La maman tout à l’envers me dit qu’il n’ira jamais voir une voiture de police, car il a peur des policiers. Devinez pourquoi cet enfant avait peur des policiers!

Chers parents, vous êtes-vous déjà posé la question de l’image des policiers qu’ont vos enfants? Les enfants qui entendent des commentaires comme ceux cités plus haut à propos des policiers se font une image négative de la police. Ces enfants ne penseront jamais à contacter les policiers ou à aller rencontrer un policier s’ils sont en danger ou s’ils ont peur de quelque chose. NON, car vous avez décidé de créer cette image (volontairement ou, je le souhaite, involontairement).

Personnellement, je crois que généralement, les enfants sont fascinés par les policiers. À la base, ils les aiment. Je pense qu’ils doivent apprendre que nous sommes là pour les aider et qu’en cas de besoin, nous sommes les premières personnes qu’ils doivent aller voir et à qui ils peuvent faire confiance. J’adore quand les parents arrêtent voir l’auto-patrouille afin d’expliquer à leurs enfants ce qu’est un policier. Sachez que les patrouilleurs se feront un plaisir d’allumer les gyrophares et de leur faire entendre la sirène. J’aime quand les enfants voient une voiture de police passer et envoient la main aux policiers. Je pense que les parents de ces enfants vont gagner à long terme sur le comportement de leurs enfants.

Il y a des adolescents qui détestent les policiers sans aucune raison. Simplement parce que c’est la police et que les policiers sont les ennemis. Il y a également des adolescents qui adorent nous parler et nous remercient pour notre travail. Quel genre d’adolescents voulez-vous que vos enfants deviennent? C’est le temps d’y penser pendant qu’ils sont tout petits. Je ne pense pas que les simples commentaires négatifs des parents devant leurs jeunes enfants décident du genre d’adolescents qu’ils deviendront, mais pourquoi ne pas mettre les chances de notre côté? Loin de moi l’idée de vous dire comment élever vos enfants, mais je tenais quand même à sensibiliser certains d’entre vous qui n’auraient peut-être pas pensé aux conséquences de ces commentaires gratuits et inutiles.

Qu’en pensez-vous? Et vous, collègues, en avez-vous des histoires comme celle-là? 

 

Yan Bissonnette

L’enfant seul dans la rue

Je m’autoproclame aujourd’hui la femme la plus m

Je m’autoproclame aujourd’hui la femme la plus maman-poule de ma rue. Je suis témoin, chaque semaine, de situations qui me serrent le cœur comme une orange dans un étau. Et je reste toujours dans la même situation, un peu éloignée comme témoin, pas trop impliquée comme inconnue… juste une observatrice bienveillante.

La semaine dernière, je faisais mon épicerie. Seule. Avec mes trois enfants. Bon okay, pas si seule que ça finalement #plusjamaisseule. On tourne le coin d’une nouvelle rangée. Je vois une petite fille d’environ trois ans dans la rangée. Elle, elle était seule pour de vrai. J’observe. Pas de parents autour. Pas de parents autour? Moment de panique intérieur. Mais la petite, elle, ne semblait ni apeurée ni traumatisée. Alors j’ai continué d’observer, pour voir. Je me disais qu’au moins, si je la surveillais, il ne lui arriverait rien de mal jusqu’à ce que ses parents se rendent compte de sa disparition soudaine. Pis oui, j’ai eu peur d’avoir l’air de la pédophile cinglée si je la prenais par la main, juste pour l’amener au gérant de l’épicerie. Faque je suis restée immobile, à gérer mes trois enfants qui ne comprenaient pas pourquoi je restais là comme une dinde à lire l’étiquette du pot de mayonnaise. Ça a dû prendre trois minutes avant qu’un papa affolé retentisse dans notre rangée, avant d’empoigner la petite fille et de la sermonner sur l’importance de tenir-le-panier-tout-le-temps. T’sais, personne n’est mort. Personne n’a été kidnappé. La petite fille avait juste profité d’une seconde d’inattention pour partir à l’aventure, en quête de chocolat. Mais moi, dix minutes après, j’avais encore le cœur qui battait à cent milles à l’heure!

Il y a quelques semaines, je suis allée mettre de l’essence. Parce que la lumière du voyant d’essence était allumée depuis tellement longtemps qu’elle faisait maintenant partie de la famille. Bref, fallait que j’aille gazer. Faque je suis debout à côté de ma voiture, pompe à la main, et je remarque un bébé dans la voiture d’à côté. Un petit loup de quelques semaines à peine. Mon réservoir était bien plein. J’avais fini de payer. Mais je n’arrivais pas à partir. Je voyais de loin la mère qui jasait au commis dans le dépanneur. Loin de moi l’idée de la juger, c’était peut-être son seul moment pour parler avec quelqu’un de la journée, ou même de la semaine… Mais j’étais incapable de quitter. Mes pieds étaient fixés au sol et le vortex de la culpabilité parentale m’empêchait de bouger. Faque j’ai attendu là, plusieurs minutes, le temps que sa mère ne revienne à la voiture. À son retour, je l’ai vu déposer son sac en ouvrant la portière arrière et ça m’a confirmé que les portières n’étaient pas verrouillées. Je suis partie chez moi, le cœur de mère tout à l’envers. Je venais peut-être de sauver une vie, tu sais pas. Arrête de me juger. On l’sait pas ce qui aurait pu arriver à ce bébé!

Hier encore, la petite voisine est passée devant la maison. En marchant. Seule. Juste pour te mettre en contexte, on habite sur une rue où les voitures roulent à 60-70 km/h, sur laquelle il n’y a même pas de trottoir. Pis pour faire exprès de me faire flipper, la rue bifurque aux trois maisons, alors tu ne peux pas suivre le chemin des yeux. La petite voisine, elle a sept ans. Moi, je trouve ça jeune en maudit pour marcher seule dans la rue. Mais bon, je te l’ai dit, je suis la pire maman-poule d’la rue, ça d’lair. Faque j’ai angoissé, pis oui, je l’ai suivie du regard le plus longtemps que je pouvais, comme si ça pouvait l’empêcher de se faire frapper ou enlever par un monstre…

Faque c’est ça. Je me demande encore si je suis normale. Je ne laisse pas mon bébé seul dans l’auto. Ma grande n’a pas le droit de partir seule chez une amie à pied… en voiture non plus, parce qu’elle a six ans… Pis je ne lâche jamais, jamais, jamais, la main de mes enfants dans un magasin. Parce que ça ne prend que deux secondes… Deux secondes d’inattention pour qu’un pervers immonde #zérotolérance attrape un enfant et lui arrache la vie. Pis des pervers, y’en a partout…

Heureusement, y’aura toujours des mères-poules vraiment intenses comme moi pour surveiller tout le quartier. Faque la prochaine fois que tu laisses ton enfant seul, dis-toi que t’as une chance sur deux. Une chance qu’il tombe sur un pervers incorruptible ou une chance qu’il tombe sur une maman-poule. T’as vraiment envie de prendre le guess?

Peut-être que c’est juste moi qui ai besoin d’une longue séance chez un psy, aussi…

 Joanie Fournier

Même pas peur!

Il m’est arrivé de crier devant mes enfants. De sortir mes gros y

Il m’est arrivé de crier devant mes enfants. De sortir mes gros yeux menaçants. T’sais, une mère à boutte, c’est une mère à boutte. Et quand c’est arrivé, j’ai vu dans le regard de mes enfants une peur, une inquiétude qui m’a fait peur. Je ne veux pas être cette mère-là qui règne parce qu’elle est crainte et se croit toute-puissante. Dans ce temps-là, j’aurais le goût de m’auto-dire : « Vade retro Satanas! »

Mais la plupart du temps, je me contrôle, je gère mes trop-pleins comme j’aimerais que mes enfants gèrent leurs émotions. Un travail de chaque instant.

Ce soir, mes enfants m’ont donné à tour de rôle la petite tape dans le dos qui me félicite de mes efforts et qui renforce mes bons comportements.

***

Belle cocotte : « Maman, c’est quoi, les règles? Pas comme les règles d’école ou les règles de discipline, là… » Après explications d’usage, elle me dit : « C’est l’fun, maman, parce que toi et moi, on est toutes les deux scientifiques. Ça fait que si j’ai des questions, je peux te les poser, et toi aussi, tu aimes ça quand je fais ma “minute scientifique!” »

Les discussions existentielles, ce n’est pas obligé d’être compliqué et cousu de malaises.

***

Moi : « Est-ce que quelqu’un a vu le LeapPad de Coco? Je pense qu’il aimerait jouer avec dans les prochains jours et il est encore ‘disparu’ »

Silence radio.

Trente minutes plus tard, Tiloup vient me voir : « Tiens maman, j’ai trouvé la tablette de Coco. Elle était en dessous de mes couvertures. Je voulais aussi te donner ton colleux bonne nuit. »

Il aurait pu cacher la vérité et la tablette, mais non. Il savait que je ne le chicanerais pas, alors il m’a simplement rapporté le jeu de son frère.

***

Tiloup : « Guliana et moi, on a le même projet pour plus tard. On veut se marier ensemble. »

Cette déclaration sortant de la bouche de mon bonhomme de six ans m’a charmée. C’est parfois si difficile pour les petits garçons de révéler leurs émotions!

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Grande Peanut, après deux mois à refuser de prendre la médication qui l’aide à gérer son anxiété et ses sautes d’humeur explosives : « Maman, j’ai décidé de recommencer à prendre mes médicaments. Ça n’a pas d’allure, quand je ne les prends pas. Je suis vraiment désolée de tout ce que je vous ai fait vivre dans les dernières semaines. »

Après un câlin mère-fille, je lui dis : « On va appeler cette période, un test? »

Elle : « Oui, un test échoué. »

Moi : « Je parlerais plus d’un test concluant. Ça me soulage que tu choisisses de prendre soin de toi. »

Elle aurait pu continuer à s’enfermer dans un entêtement tiré des plus chaudes luttes de pouvoir. Mais non. Elle a corrigé le tir et m’en a parlé ouvertement.

***

Dix minutes après s’être couché, mini Coco s’est relevé et est venu me voir dans ma chambre : « J’ai juste oublié un petit quelque chose. Ton câlin et ton bisou. » Et il est retourné faire dodo, le cœur rempli de sérénité et de sécurité.

***

Ce sont des petites bulles d’instants, des câlins qui chatouillent le cœur et le font sourire. Après une soirée aussi bien remplie de confiance mutuelle, au dodo! Satan est retourné dans son trou pour y rester.

Vélo en famille: conseils de sécurité

Avec le beau temps, plusieurs parents ont sorti les vélos de la remise. Voici donc quelques conseil

Avec le beau temps, plusieurs parents ont sorti les vélos de la remise. Voici donc quelques conseils de sécurité pratiques concernant les casques de vélos, les remorques et les sièges de vélos pour enfant.

Un casque pour les petits et les grands
On le sait, les chutes à vélo peuvent causer de graves blessures et peuvent même entrainer la mort. Même si nous avons l’habitude d’enfiler un casque de vélo sans trop y penser, il y a quelques conseils à suivre afin de s’assurer qu’il est bien ajusté et qu’il sera vous protège en cas de chute. Dans un premier temps, lorsque vous portez un casque et attachez-le. Même lors de courtes distances. Si le casque n’est pas attaché, vous le perdrez et vous n’aurez plus aucune protection en cas de chute.

casque

Un casque bien ajusté doit :
– être est placé au milieu de la tête. Mesurez la largeur de 2 doigts entre les sourcils et le casque.
-Avoir les sangles tendues formant un Y sous le lobe de l’oreille.
-Permettre de passer un doigt entre la sangle et le menton une fois le casque attaché.
-Ne pas basculer ou bouger une fois placer sur la tête.
-Ne pas être trop serré ou être inconfortable.

Les enfants ne doivent rien porter sous leur casque: ni casquette ni barrettes, car cela en modifie l’ajustement. De plus, les queues de cheval doivent être attachées à la base du cou sous le casque.

Avant d’acheter un nouveau casque, assurez-vous que le casque a été approuvé par l’un des organismes suivants : CSA, CPSC, ASTM, EN ou SNELL. Quand le nom d’un de ces organismes est apposé à l’intérieur du casque ou sur l’emballage, cela garantit que le casque répond à des normes de performance, dont la résistance à l’impact.

La SAAQ ne recommande de ne pas d’acheté un casque usagé. Il pourrait avoir été endommagé et avoir perdu de son efficacité.

Remorques à vélo
remorque
Pour profiter des joies du vélo en famille, plusieurs parents ajoutent à leur vélo des remorques pour faire des balades avec leurs enfants. Voici quelques conseils pour plus de sécurité.

Pour rendre la remorque plus visible, il est conseillé d’installer un fanion à l’arrière de la remorque du vélo. De plus, lors de l’installation, il est important de suivre les instructions d’installation et les conseils de sécurité du fabricant.

Lorsque vous venez d’installer la remorque, prenez le temps de faire quelques essais routiers. Comme la remorque ajoute une charge supplémentaire, il est possible que ça modifie sa maniabilité et le freinage. Pour se faire, chargez la remorque ou le siège de vélo avec un poids proche de celui de votre enfant (ex. : avec un sac de pommes de terre). Commencez par de courts trajets dans des rues calmes et testez les virages et le freinage.

Siège de vélo pour enfant
siege
Par mesure de sécurité, il est fortement conseillé de choisir un siège muni d’un appui-tête et d’un protège-jambe. Il faut aussi s’assurer que le modèle du siège est compatible avec sa bicyclette. D’ailleurs, il faut toujours s’assurer que le poids du bébé ne dépasse pas le poids maximal du siège.

Un enfant installé de façon sécuritaire dans un siège de vélo devrait :
-Avoir un casque bien ajusté
-Être dans une position dans laquelle il a le dos droit, les épaules soutenues et les pieds reposant sur le repose-pied.
-Sa tête appuyée sur l’appui-tête
-Bien attaché par les ceintures bien ajustées.