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Se faire des amis, un jeu d’enfant… vraiment?

Votre enfant a peu d’amis et vous souhaitez l’outiller afin quâ€

Votre enfant a peu d’amis et vous souhaitez l’outiller afin qu’il soit en mesure d’agrandir son réseau social? Voici quelques pistes pour l’aider!

Pour un enfant, tisser des liens affectifs avec des camarades de la garderie ou de l’école n’est pas toujours aisé. Cela implique de trouver des personnes avec qui il pourrait avoir des atomes crochus et choisir la meilleure façon de l’aborder. Pour y parvenir, certains enseignements et de la pratique développeront ses habiletés sociales. D’ailleurs, se faire des amis peut constituer une épreuve même pour les adultes!

Entrer en contact avec l’autre

Regarder l’autre dans les yeux, lui sourire, le saluer, évaluer s’il souhaite être approché et l’aborder tranquillement sont, entre autres, des habiletés déterminantes pour se faire des amis. En tant que modèle, vous pouvez décrire à votre enfant comment vous faites pour approcher quelqu’un. Par exemple : « Regarde Joliane, Noémie est au parc! Nous allons nous avancer doucement d’elle en souriant. Si elle nous sourit en retour, c’est qu’elle accepte qu’on lui parle. Nous pourrons ensuite lui proposer gentiment de jouer avec elle. »

Mettez régulièrement votre enfant en contact avec les autres. Plus il aura d’occasions d’améliorer ses habiletés sociales, plus facilement il développera une complicité avec certains copains.

Partager

Vers quatre ans, un enfant devrait avoir la maturité nécessaire pour être en mesure de prêter des objets à ses amis. Évidemment, il n’apprendra à le faire que s’il s’exerce et s’il interprète positivement ses expériences de partage. Reflétez à votre enfant à quel point il fait plaisir à l’autre en lui cédant son jouet. Il en retirera une satisfaction qui devrait l’inciter à partager à nouveau.

L’apprentissage du partage implique également d’accepter d’attendre son tour. Vous pouvez aider votre enfant à pratiquer sa patience en jouant à des jeux de société et en attendant quelques minutes avant de répondre à ses demandes.

Verbaliser ses intentions

Vous pouvez épauler votre enfant qui est en apprentissage en nommant ses intentions lorsqu’il aborde maladroitement un autre enfant. Par exemple : « Alexandre, je remarque que tu t’es assis tout près de Karen, aimerais-tu jouer avec elle? Veux-tu qu’on le lui demande ensemble? »

Avoir l’air désirable

On ne peut pas forcer un enfant à jouer avec un autre. Un jeune qui insiste pour jouer avec ses pairs peut provoquer son propre rejet, alors qu’un enfant qui demande de jouer avec un ami avec un plan B en cas de refus devient souvent beaucoup plus intéressant. Un jeune confiant attire les regards. Aidez votre enfant à développer une bonne estime de soi!

Les amitiés se forment et se rompent régulièrement chez les enfants; ce qui est tout à fait normal puisque ces derniers se développent à une vitesse fulgurante et changent rapidement de champs d’intérêt. De plus, certains enfants n’ont pas envie d’avoir un grand nombre d’amis. Restez à l’écoute et soutenez le vôtre en fonction de ses besoins affectifs.

Laury Boisvert

Nanny secours

Mon premier weekend de filles

Parce qu’il y a une première fois à tout, il aura fallu que j’

Parce qu’il y a une première fois à tout, il aura fallu que j’atteigne quarante ans avant de vivre une escapade entre copines.

Parce que la maman en moi ne se l’autorisait pas.

Parce que je me disais que ce temps que j’allais prendre pour moi toute seule, je le passais loin de mon homme, loin de mes filles. Le fameux bouton de la culpabilité.

J’ai finalement compris.

J’ai compris que cette escapade, elle me recentre. J’ai compris qu’elle me permet de retrouver mon équilibre. Du coup, j’ai le sentiment de faire un cadeau à ma famille puisque je rentre à la maison ressourcée et épanouie.

Jusqu’à ce weekend, j’ignorais que j’allais avoir la piqûre; trois jours entre amies, dans un chalet luxueux, en nature, à ME dorloter… Juste wow!

Manger beaucoup, manger bien.

Cuisiner dans la rigolade, sans trop réfléchir.

Chanter (fort), danser (mal), faire des folies (plus que d’habitude).

S’autoriser à faire un petit roupillon, à lire.

Se faire des confidences, s’écouter… Constater qu’on vit toutes nos chagrins, nos épreuves, nos déceptions.

Partager nos bonheurs. Réaliser la chance qu’on a.

Faire une séance de yoga, en toute modestie. Compléter la détente par un sauna et une douche froide.

Et comme si ce n’était pas suffisant, se retrouver dans le spa avec un cocktail qui annoncera le début d’une soirée qui, comme la précédente, sera mémorable.

Ne pas se prendre au sérieux, mettre son cÅ“ur d’enfant au premier plan et s’attendre à tout! Se laisser aller…

Mon premier weekend de filles s’achève et j’ai déjà réservé ma place pour l’an prochain.

J’ai consolidé des amitiés, fait des rencontres inoubliables. J’ai surtout retrouvé la femme que j’étais et je rentre chez moi le cœur léger, prête à prendre soin de mes filles et de mon homme.

J’ai compris qu’avant de prendre soin des autres, je dois d’abord prendre soin de MOI.

Namasté

Karine Lamarche

 

Ding! Dong! C’est le voisin!

Le printemps cogne à notre porte. Et avec lui, tous les voisins du

Le printemps cogne à notre porte. Et avec lui, tous les voisins du quartier!

Avec mes filles heureuses d’être contentes avec elles-mêmes, j’ai peu connu les joies des amis de quartier. À l’occasion, un coup de téléphone : « Maman, Ariane demande si je peux aller dormir chez elle… Pleaaaaaaaaaaaase! » Même encouragées par des parents bienveillants (et qui auraient aimé que les jouets restent rangés plus que deux minutes et quart), nos filles résistaient à l’appel de la petite voisine à vélo qui cherche une copine. « Maman, je suis trop gênée » ou encore « C’est même pas mon amie! » Mais rarement un toc-toc-toc imprévu.

Avec mes gars, c’est une tout autre histoire. Ils sont populaires. Ils sont des leaders. Même parmi les plus grands, ils se taillent une place : « Salut tout le monde! Je m’en viens jouer avec vous autres! Est-ce que je peux être le gardien de but? Mon petit frère va faire du vélo proche de nous, ok? »

Alors quand le beau temps se pointe le bout du gazon, on plonge dans un tout nouvel univers.

Jeudi matin, 6 h 47. Je me lève. D’habitude, à cette heure, j’ai déjà reçu une quinzaine de câlins de petits bonhommes heureux. Mais là, je les cherche. Pas de bottes dans l’entrée. Pas de manteau sur le crochet. Un pantalon de pyjama laissé à l’abandon. Du deuxième étage, je ne les vois nulle part. Je m’habille en quatrième vitesse, direction : la cour des voisins. Ah! Ben! Des vélos que je connais… et des petits gars que je connais… J’ai eu le goût de les ramener à la maison par le fond de culotte. J’ai plutôt opté pour un rappel à l’ordre ferme (« Awèye à’ maison! » et une explication brève et convaincante sur l’importance de m’avertir avant de quitter notre terrain. Je n’avais jamais eu besoin de formuler cette règle avec les filles, donc pour mes gars, cette règle n’allait pas de soi.

Vendredi soir, 18 h 45. J’ai reporté ma séance de yoga à ce soir. Me voilà en position chien tête en bas, fesses dans les airs, au milieu du salon. Et qui arrive face à face avec mon popotin? Les petits voisins! Je jure que la seconde avant, toute la marmaille du quartier s’amusait dehors. Pas dans ma maison! « Qu’est-ce qu’elle fait, ta mère? » « Ah, son yoga… » (bruit de criquet embarrassé…)

Vendredi soir, 19 h 37. Je prépare le bain. Je m’apprête à me mettre en pyjama. J’ai eu une seconde de lucidité au moment où j’ai touché la poignée de ma porte de chambre. Une intuition qui me disait de passer ma robe de chambre avant de passer dans le corridor. Ouf! Parce qu’un des petits voisins passait justement par là. « S’cuse, la chambre des parents est hors zone pour vous. Et là, c’est le temps de retourner chez vous, d’accord? »

Samedi matin, 7 h 52. Je suis en pleine séance de ménage. Mais ledit ménage est loin d’être complété (il est quand même juste 7 h 52!). Tas de poussière au milieu du corridor en attente du porte-poussière. Couette parapluie sur le top de la tête. Tuyau de balayeuse qui serpente d’une pièce à l’autre. Ça ne sonne pas, ces petites bébittes-là! Non! Ça fait le code du système d’alarme! Et ça entre! Comme dans un moulin! Ok, là, on va mettre une chose au clair, parce que clairement, mes enfants ont oublié de vous passer le message (trop occupés qu’ils étaient à partager le code secret) : ça va me faire plaisir de vous accueillir chez moi si, et seulement si, vous sonnez et que je vous dis d’entrer. Vous êtes chanceux parce que je suis matinale, mais attendez-vous à ce que ça change quand l’homme de la maison sera de retour. Parce que lui, il y tient, à ses heures de sommeil!

« Désolés… On ne recommencera pas ». Bon. Une chose de réglée. Jusqu’à ce même samedi, 13 h 10. J’avais amené ma gang se bourrer dans le popcorn au cinéma [ben oui, je suis indigne de même!], alors les petits voisins, ils étaient en sevrage avancé. Deux longues heures sans leurs nouveaux meilleurs amis fusionnels (et j’ai nommé mes fils)…

Ding! Dong! « Allo! On vient jouer chez vous! »

Pendant une seconde, j’ai été fière d’eux. Ils avaient respecté notre entente.

« Attendez donc un ti-peu, vous deux! C’est parce que mes garçons sont en train de jouer dehors… et vous, vous pensez que vous allez venir jouer dans notre maison pendant ce temps‑là? » C’est bon, à l’occasion, de leur mettre leurs contradictions en pleine face.

Ils sont repartis. Et ils sont revenus. Et repartis, et revenus, et ressortis. Parfois avec une barquette de fruits de plus dans l’estomac, parfois en transportant la moitié des jouets de leur maison sur notre terrain. Mais toujours en faisant tellement plaisir à mes deux garçons. Et à moi par le fait même! Quand mes gars sont avec eux, j’ai le temps d’écrire! Et de finir de passer la balayeuse…

Nathalie Courcy

Êtes-vous un rouleau d’essuie-tout?

Vous vous demandez sûrement où je m’en vais avec une question co

Vous vous demandez sûrement où je m’en vais avec une question comme celle-là… J’ai tout simplement envie de vous faire un parallèle entre les types de guenilles qu’on utilise et nos relations interpersonnelles. Bien que ça puisse vous paraître farfelu à première vue, laissez l’idée faire son chemin et vous verrez que ce n’est pas bête du tout. 😉

Commençons par faire un inventaire des guenilles dont il sera question dans ce texte. Je vous parlerai des essuie-tout, des guenilles de ménage, de celles pour le comptoir et des serviettes décoratives. Faites-vous déjà des liens dans votre tête? Moi, j’en ai une tonne, mais je vais me contrôler et vous faire mes comparaisons le plus simplement possible. Allons-y!

1-Les essuie-tout : On en a toujours sous la main. On s’en sert pour les gros dégâts. On en utilise beaucoup trop; parfois, le rouleau y passe. Pas besoin de les entretenir, on les jette lorsqu’ils ont fait leur job. Maintenant, posez-vous la question suivante : êtes-vous cet ami qu’on appelle seulement en cas de problème? Avez-vous l’impression que votre téléphone sonne uniquement quand un proche est dans la mar** jusqu’au cou? Vous mettez alors tout en œuvre pour apporter votre aide parce que les amis sont là pour ça. Puis, une fois la solution réglée… pouf! Plus de nouvelles, comme si vous n’existiez pas! Ils ne s’informent pas de vous, de votre vie. Le silence radio jusqu’à la prochaine crise nécessitant vos qualités de scott towel. D’un autre côté, êtes-vous la personne qui traite ses proches comme un essuie-tout? Si oui, une petite réflexion s’impose pour vous.

2-Les guenilles de ménage et celles de comptoir : On les choisit avec soin, chaque guenille a sa spécialité. Certaines servent tous les jours (comptoir), d’autres chaque semaine, chaque mois (no judging here). On les entretient, car ce n’est pas facile de trouver LA bonne guenille pour chacune de nos tâches. Elles sont indispensables. Ici, on peut faire le lien avec les amitiés qui nous sont très utiles et dans lesquelles on investit de notre temps. Vous avez sûrement des amis que vous voyez une fois par mois, d’autres chaque jour et même certains que vous ne pouvez passer une journée sans texter. Il y a aussi les amis à qui on confie nos peines de cœur, ceux à qui on parle des enfants, du travail, de nos rêves, etc. Nous en prenons grand soin, car ils sont essentiels et si difficiles à trouver de nos jours.

3-Les serviettes décoratives : On a souvent un coup de cœur pour elles en magasin. On se dit qu’elles vont parfaitement s’agencer avec notre style. On les achète, car elles sont belles, mais au final, on se demande si on en avait besoin tant que ça. On réalise que, bien qu’elles soient jolies, elles ne servent pas à grand-chose finalement. Réfléchissez à votre cercle d’amis… Avez-vous au moins un ami qui s’y retrouve sans que vous sachiez pourquoi? Vous vous dites amis, vous pouvez même parfois être fiers de le dire. Oui, oui, ça vous est probablement déjà arrivé d’être tout content de dire à quelqu’un : « Ben oui, untel, c’est mon ami! » Mais, dans le fond, passez-vous du temps ensemble? Avez-vous des discussions enrichissantes? Partagez-vous des intérêts communs? Vous souciez-vous l’un de l’autre? Si vous avez répondu non, il se pourrait bien que votre amitié soit superficielle comme une serviette décorative. Rien de mal à ça si votre ami et vous vivez bien avec la situation et n’avez pas d’attentes différentes vis-à-vis de votre relation. Par contre, il serait bien de vérifier afin d’éviter les malentendus.

Loin de moi l’idée de vous faire la morale et de vous faire sentir cheap dans vos relations. Je suis loin d’être une amie parfaite! Tant mieux si mes réflexions vous ont permis de voir sous un nouveau jour la façon dont vous considérez vos relations interpersonnelles. Mon objectif premier aujourd’hui est de vous conscientiser à la façon dont les gens vous traitent. Vous ne devriez jamais être l’essuie-tout de quelqu’un. Ni même la serviette décorative (mon opinion). Vous valez plus que ça! Entourez-vous de gens qui se soucient de vous, qui vous apprécient. Soyez cet ami sincère et loyal qui est présent pour ses proches. Faites de bons choix pour vous, pas pour les autres. Souvenez-vous, vous n’avez pas de pouvoir sur les autres. Quel est le point de départ de tous les changements? Tout part de soi, tout simplement. Vivent les guenilles!

Myriam S-Fortin

Je suis une mauvaise amie

Je l’ai pas, je l’avoue : en amitié, je suis vraiment nulle! J

Je l’ai pas, je l’avoue : en amitié, je suis vraiment nulle! J’essaie, je fais des efforts, mais rien à faire, je suis une mauvaise amie. Je voudrais tellement être digne des Sex and the city et La Galère de ce monde, mais rien à faire!

Si Facebook n’existait pas, c’est à peu près certain que j’oublierais ta fête, mon amie. Je le sais, parce que si ma mère et mon chum n’avaient pas la même date d’anniversaire, un des deux se retrouverait très certainement aux oubliettes. Je suis comme ça, faut pas m’en vouloir : j’arrive à me rappeler toutes les affaires insignifiantes et inutiles, mais le jour de ta fête, impossible, et ce, même si je te connais depuis toujours.

Le téléphone, les visites… encore là, je ne l’ai pas! Je n’appelle jamais pour prendre des nouvelles, je suis vraiment désolée. J’y pense, mais je ne le fais pas. Je passe devant chez toi plusieurs fois par semaine et chaque fois, je me dis : « Faudrait tellement que je lui rende visite ». Et je continue mon chemin…

Si j’entretenais mon couple ou ma famille comme j’entretiens mes amitiés, je serais certainement célibataire et mes enfants ne me parleraient plus. Le pire? J’ai tellement de volonté! Je me dis : « Ok là, ça suffit, tu fais des efforts », et là, je téléphone, je texte, je passe faire un tour et au bout de quelques semaines… nada! Je retrouve mon rôle d’amie poche et le confort de la loi du moindre effort.

Et pourtant, je décrocherais la lune pour une amie. Je la décrocherais en pleine nuit sous la pluie, je la décrocherais pieds nus en pleine tempête de neige. Je la décrocherais même si ça ne me tente pas et je ne me poserais même pas la question! Je ferais tout et n’importe quoi (tant que ça n’implique pas des araignées, j’ai mes limites!), mais au quotidien, je suis la pire des amies.

J’ai de l’amour à revendre, j’ai l’oreille attentive et les conseils qu’il te faut, mais juste une fois de temps en temps. À temps plein, tu te retrouverais à me confier tes états d’âme dans ma cuisine, entre de la vaisselle sale et du linge pas plié. Tu te ferais couper la parole par deux p’tits tannants (et je doute que ce soit ce que tu recherches) et je finirais par te mettre à la porte parce que je dois me rendre à une réunion. J’ai tout ce qu’il faut pour être une bonne amie, mais je suis prise dans mon rôle de maman et de blonde, et c’est tout le reste qui prend le bord… toi comprise, chère amie.

Mais je t’aime, je t’aime tellement, tu me connais si bien, peut-être même trop, et je t’aime surtout parce que tu sais et que tu comprends. Je m’en veux souvent d’être une mauvaise amie, mais comment je pourrais me passer de toi, et ce, même si je te vois une fois par lune. Je suis là, quelque part je ne sais pas trop où, mais je suis là, et je sais que toi aussi. En pleine nuit, en plein jour, au milieu de la semaine ou le soir de Noël, quand c’est la fin du monde ou le plus beau jour de ta vie, je ne suis jamais plus loin qu’un coup de téléphone.

Et plus j’y pense, plus je me dis que c’est peut-être ça, l’amitié idéale : savoir que l’autre est là même quand nous, on n’y est pas!

Karine Arseneault

Ces gens-là

Ces gens-là. Ceux qui se disent tes meilleurs amis

Ces gens-là.
Ceux qui se disent tes meilleurs amis pis qui te poignardent au moindre faux pas.
Ceux qui drainent toute ton énergie et qui s’accrochent à toi telles des sangsues.
Ceux qui brisent ton cœur qui sera bien long à réparer et qui anéantissent ta confiance.

Ceux qui te font sentir comme une mauvaise personne parce que tu n’es pas à la hauteur de cette amitié si envahissante.
Ceux qui manipulent, mentent et parlent dans ton dos.
Ceux qui font mal.

Ceux qui sont jaloux, qui n’acceptent pas que tu voies d’autres gens.
Ceux qui ne respectent ni ton intimité ni tes valeurs.
Ceux qui critiquent ta façon d’être, de penser et d’élever tes enfants.
Ceux qui trouvent pathétique ton amour avec l’homme de ta vie.

Ils puent la jalousie, ils sentent la trahison. Ils laissent ce goût amer sur ton cœur.

Une rupture d’amitié, c’est comme un couple qui explose. Les dommages collatéraux sont immenses et dévastent trop de cœurs.

Une rupture d’amitié, ça fait pleurer. Il faut du temps pour ouvrir son âme à nouveau. Et sans doute qu’on ne le fera plus jamais si sereinement.

Une rupture d’amitié, ça fait mal. Longtemps.

À ces gens-là qui ont pressé tout le sang qu’il me restait dans le cœur, je voulais vous remercier. Vous m’avez donné une arme : la méfiance. Je voulais vous dire que je vous ai pardonné, car finalement, vous êtes sans doute très malheureux, dans votre vie où vous consommez les gens et les jetez comme de vieux mouchoirs quand ils ne sont plus utiles.

À ces gens-là : tenez-vous loin de moi. Laissez mon cœur continuer de s’amuser comme si demain n’existait pas!

Le temps effacera ce goût amer.

Une rupture d’amitié, ça fait mal.

 

Gwendoline Duchaine

 

Les amis

Les amis. Ils sont précieux. Certains sont pour la vie, d’autres

Les amis. Ils sont précieux. Certains sont pour la vie, d’autres sont seulement de passage. Certains sont retrouvés et d’autres sont perdus. Certains sont proches et d’autres sont si loin. Ils sont mon oxygène, ma force, ma béquille, ma joie de vivre. Ils sont là. Toujours là.

Dans les pires moments de mon existence, je peux compter sur eux. Ils me ramassent, recollent les morceaux de mon âme dévastée et me réapprennent à marcher.

Ils ne me jugent pas, ne parlent pas dans mon dos, ne me salissent pas, ne m’attaquent pas, ne me fusillent pas du regard au détour d’une rue. Quoi que je fasse, ils acceptent, ils aident, ils supportent, ils soutiennent. Ils me prennent comme je suis. Avec eux, je peux être moi, sans maquillage, sans chichi et je suis libre de dire ce que je pense.

Je peux débarquer n’importe quand, les yeux rougis, le regard perdu : leur porte sera ouverte et leurs bras réconfortants. Souvent, je n’ai pas besoin de parler. Ils savent. Nos regards suffisent à nous comprendre.

Ils sont tous différents, mais ils ont ce point commun : ils font partie de ceux qui partagent mes passions, ma folie, mes angoisses, mes réussites, mes secrets.

Toute ma vie, j’ai été entourée, très entourée, d’amis si précieux. Parfois, je me suis trompée, bien sûr… J’ai donné mon amitié à des personnes malsaines qui n’ont pas hésité à me rouler dans la boue. La méchanceté n’a pas de limites chez l’humain. Une peine d’amitié est une véritable peine d’amour. Mais on en ressort plus fort, moins idiot, un peu moins généreux aussi.

Les amis me font oublier cette méchanceté et me montrent chaque jour que la race humaine est belle. Ils me donnent de l’espoir. Oh! Que oui, j’ai toujours été choyée et entourée d’amis! Et je crois au plus profond de moi que, sans les autres, on n’est rien.

Merci à tous les amis qui ont croisé, qui croisent ou qui croiseront ma route. Chacun de vous a une place unique dans mon cœur.

Gwendoline Duchaine

 

L’amitié à l’âge adulte

Quand on demande à un jeune enfant pourquoi Jérémie est son ami,

Quand on demande à un jeune enfant pourquoi Jérémie est son ami, il donne tout plein de raisons qui sont pour nous irrationnelles : il a un beau camion rouge pour jouer, il a une piscine, ses parents me donnent de la crème glacée, etc. Pour eux, c’est ça, un ami. À mesure que les enfants grandissent, leur perception de l’amitié change. Un jour, ce même enfant dira qu’il est ami avec Jérémie parce que Jérémie est gentil avec lui. Puis, il dira que Jérémie est son ami, car il était là pour lui lors de sa première peine d’amour. La perception de l’amitié change avec l’évolution et la maturation de la personne. Mais si on me demande, à l’âge adulte, pourquoi quelqu’un est mon ami, je vais répondre quoi?

L’amitié à l’âge adulte, c’est une tout autre paire de manches. On ne peut plus dire que c’est notre ami parce qu’il a une belle voiture. Ça ne fonctionne plus ces réponses-là. Il faut chercher plus loin. Parce que c’est puissant. Mes amis, je les compte sur les doigts de mes mains, mais je les ai choisis. La quantité n’a plus d’importance à l’âge adulte. Les fake friends, c’est non.

Dans mon cas, je considère qu’il y a deux types d’amis quand tu es un adulte : ceux qui ont un parcours semblable au tien et ceux qui ont pris un chemin différent. Après le secondaire, beaucoup d’amitiés éclatent. Sans le vouloir, on s’éloigne les uns des autres, même s’il y a quelques mois seulement, nous étions inséparables. Un déménage, l’autre étudie, l’autre travaille, l’autre voyage. Difficile de se voir à cause des horaires parfois fous, parfois surchargés. Certains restent tout de même nos amis à travers tout cela. Après, on rencontre de nouvelles personnes à notre nouvel emploi, dans nos cours au cégep et à l’université. Des gens qui ont des points communs avec nous. Certains plus que d’autres. Plusieurs deviendront des amis. Avec ces deux types d’amis, on a des conversations différentes. Des passe-temps et des sorties différentes. Toutefois, ils sont tout de même nos amis. On organise parfois des rencontres entre ces personnes, on les invite lors de notre fête, parce qu’on en est fier. C’est fini le temps où on était ami avec quelqu’un parce qu’il nous aidait dans nos devoirs de maths.

Pour moi, mes amis doivent être honnêtes. Si c’est laid ce que je porte, je veux qu’ils me le disent. S’ils trouvent que le gars sur lequel le trippe n’est pas bon pour moi, je veux qu’ils me le disent. Je veux aussi qu’ils ne dépendent pas de moi et je ne veux pas dépendre d’eux. Les chiens de poche du secondaire, c’est fini. On peut chacun vivre notre vie sans avoir ABSOLUMENT notre ami avec nous. Ah! Et je suis capable d’aller à la toilette toute seule. Je n’ai pas besoin de mes amis pour m’accompagner.

Je veux aussi qu’ils acceptent mes choix, mais ils peuvent toujours me donner leur opinion. Je veux qu’ils comprennent qu’on peut être des semaines sans se parler, mais que je les aime pareil, que je ne les ai pas oubliés. On est en confiance les uns avec les autres. C’est un peu ça, l’amitié. Une relation réciproque de confiance. Un partage. Une épaule sur laquelle pleurer. Un regard parfois trop objectif sur nos décisions. Un souci du bien-être de l’autre. Une empathie inconditionnelle. Une joie excessive pour un projet mené à terme. Un rêve accompli. Des projets qui n’aboutiront pour la plupart probablement jamais, mais qui procurent tant de plaisir à planifier.

Une amitié, ce n’est pas sans difficulté. Cependant, l’amitié, c’est aussi de savoir se relever, travailler ensemble pour créer des liens encore plus solides malgré l’adversité. C’est de tenir tellement à l’autre que ça fait parfois mal. C’est de faire des compromis sur nos valeurs communes parce que ben, on les aime, nos amis. Pour moi, une amitié n’est pas une question de matériel, d’argent, de cadeaux. C’est plus de savoir que l’autre est là pour moi si j’en ai besoin, et que moi, je serai aussi au rendez-vous en retour.

Ce texte est dédié à mes amies Chloé, Katrine, Amélie, Audray, Julie, Véronika, Katherine, Amélie, Emilie et Kathy. Je vous aime à l’infini!

steph

Stéphanie P.

 

Ces méchantes petites filles

C’est connu depuis des années que les petites filles sont méchan

C’est connu depuis des années que les petites filles sont méchantes entre elles. Il y a d’ailleurs eu un documentaire de Jasmin Roy sur ce phénomène : BITCH : Les filles et la violence. Le documentaire met en lumière le caractère méchant des filles entre elles. Il parle des ados, mais ce phénomène se produit très tôt. Ma fille de onze ans est d’ailleurs victime de ce genre de méchanceté entre fillettes.
Depuis la quatrième année, une petite fille de son niveau a décidé de prendre ma fille en grippe. Elle s’en prend à elle pour un tout et pour un rien. Avant le début de l’année scolaire, j’avais décidé que je réglerais le problème en discutant avec la mère et la fille. J’avais décidé que je ne voulais pas que ma fille vive sa sixième et dernière année de primaire comme la méchante de leur petit groupe de filles. À la première journée d’école, la petite manipulatrice est venue voir ma fille pour s’excuser de la méchanceté dont elle faisait preuve envers elle. Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes jusqu’à aujourd’hui, lorsqu’en groupe, elle insulte ma fille, fait semblant de tomber en disant aux autres que ma fille l’a poussée et réclame l’aide des autres qui elles accourent pour l’aider. Je ne suis pas témoin de ces épisodes, mais je lis les textos que la petite lui envoie. Elle exige qu’elle s’excuse sous peine de se retrouver seule et sans amies. Elle la traite de bébé et d’autres insultes.

Bon, je ne dis pas que ma fille n’a aucun tort, qu’elle n’a rien fait pour mériter cela, car je ne suis pas avec elle à tout moment. Par contre, les gens qui la connaissent savent très bien que ma fille n’est pas méchante pour cinq sous. Elle aime rire et faire des blagues. Elle a une bonne oreille et est toujours prête à aider tout le monde. Lorsqu’elle va chez des amies, il n’y a que des bons mots pour elle. Alors pourquoi cette petite agit ainsi et pourquoi réussit-elle à convaincre toutes les autres que c’est ma fille qui est dans le tort? Est-ce que ce serait par jalousie?

Ça vient tellement me chercher de voir ma fille pleurer et se demander si le lendemain, à son retour à l’école, ses amies lui parleront. Je me demande vraiment ce que ça donne de mettre les autres à part et d’être méchante entre elles. L’an passé, j’avais même fait appel au prof de ma fille pour qu’il intervienne dans la cour d’école parce que ma fille était mise à l’écart.

Dernièrement, ma fille m’a réclamé d’avoir un compte Instagram. Je le lui ai refusé, mais je lui ai accordé Snapchat avec accès à son compte. Ses amies ont toutes un compte Instagram. Avec tout ce qui se passe en ce moment, je suis contente de lui avoir refusé, car qui sait, peut-être que ça se poursuivrait sur ce réseau. Est-ce que les parents des autres petites filles de onze ans vont voir les textos de leur fille tout comme moi? Et si oui, comment accepter que leur enfant soit si méchant avec d’autres? En tout cas, jamais je n’accepterais qu’un de mes enfants en insulte un autre verbalement, physiquement, par écrit ou sur les réseaux sociaux. Les conséquences des actes posés à cet âge peuvent avoir un impact sur la vie de ces jeunes. Je me demande vraiment pourquoi les petites filles agissent de cette façon. J’ai aussi un garçon et les chicanes de BFF, de « sa mère m’aime plus que toi », de « tu n’as pas le droit de jouer avec elle », ça ne se produit pas. Mon fils joue avec plusieurs amis à la fois ou même séparés, et ces petites chicanes de possession ne se produisent pas.

Ma consolation dans cette histoire, c’est que l’an prochain, c’est le secondaire. Les amies seront donc séparées. Ma fille ira dans une autre école par choix et par hasard, car elle n’a pas été acceptée dans la même école qu’elles. C’est un hasard, mais parfois, le hasard fait bien les choses. C’est extrêmement difficile pour une maman de voir sa fille démolie comme ça. Un jour, tout va bien et le lendemain, c’est la crise de larmes. Comment la consoler, la rassurer? J’espère vraiment que ces épisodes n’ébranleront en rien la confiance en elle que j’essaie de bâtir depuis qu’elle est toute petite. J’espère que ce n’est pas une petite de onze ans qui réussira à détruire ce que je bâtis depuis maintenant onze ans.

Groupes d’entraide sur le web : Quand les amitiés virtuelles deviennent réelles

Seriez-vous prête à donner votre lait maternel au bébé d’une v

Seriez-vous prête à donner votre lait maternel au bébé d’une voisine qui en a besoin? Accueilleriez-vous dans votre maison une personne que vous n’avez jamais vue? Oseriez-vous réserver une cabane à sucre pour quinze mamans et autant d’enfants atteints de terrible-two aigu?

Dans les dix dernières années, j’ai rencontré des humains magnifiques en dedans comme en dehors (le cliché n’est même pas subtil, mais c’est quand même ça) sur les pages virtuelles de forums de soutien. Pendant les années afghanes, je m’étais inscrite à un forum de discussions regroupant des conjointes de militaire. Il y a six ans, j’avais commencé à discuter avec un groupe de mamans qui allaient accoucher en janvier 2011 et qui échangeaient sur le site de Canal Vie. Ces groupes ont fermé. Les relations ont duré.

Nous sommes encore une vingtaine de femmes, conjointes de militaire, ex-conjointes de militaire ou conjointes d’ex-militaire, à rester en contact. Nous nous sommes rencontrées à l’occasion, nous avons approfondi notre relation avec certaines. Il nous est arrivé, lors d’un déploiement ou d’une mutation hors province, de développer des amitiés plus solides et un soutien concret.

Garder un bébé pendant que la maman visite des maisons dans une nouvelle ville. Apporter un sac rempli de bons petits plats pour la famille grippée. Donner une référence pour une compagnie de ménage ou pour l’homme à tout faire le plus fiable du coin. Accourir dès que le téléphone sonne : « Je ne sens plus mon bébé bouger et mon mari n’est pas là » ou « ça ne feel vraiment pas ce soir, j’ai les blues ». Clavarder sur Facebook jusqu’aux petites heures du matin parce qu’on sait qu’on est comprise sans jugement. Des femmes en or, chacune avec sa personnalité et son histoire. On ne s’entend pas bien égal avec tout le monde, bien sûr. Mais c’est une grande famille avec des liens tissés avec du barbelé.

Certaines ont perdu leur mari à cause d’un divorce, d’une mine antipersonnel ou des cauchemars provoqués par le syndrome de stress post-traumatique. Certaines se sont mariées et ont invité des amies du forum. Plusieurs nous ont annoncé en primeur qu’elles étaient enceintes, en attendant de pouvoir partager la nouvelle avec leur amoureux par Skype quand il reviendrait à la base principale. Nous avons tout vécu ensemble, mais à distance. Nous comprenons nos hauts, nos bas, nos délires d’humour et nos histoires d’amour.

Aux alentours de janvier 2011, le forum des mamans de janvier a explosé d’histoires d’accouchements, toutes uniques et touchantes. Les conseils, les questionnements et les photos se faisaient aller sur les écrans d’ordinateur! Pendant qu’une allaitait son bébé pour la vingtième fois de la nuit, le regard perdu et le sommeil oublié, une autre lui rappelait que c’était un pic de croissance et que ça passerait. Deux mamans se donnaient rendez-vous pour aller user les pneus de leur poussette plutôt que de s’isoler chacune de son côté. Un petit groupe préparait une fête au resto ou au parc, histoire de parler autrement qu’en bébé.

J’habitais en Alberta à ce moment, mais l’énergie des mamans se rendait jusqu’aux Rocheuses. Le forum, c’était comme un service d’appel vingt-quatre sur vingt-quatre. Avec en prime, des rires, des émotions (mettez cinquante mamans post-accouchement ensemble… ça se remplit d’hormones assez vite!), des idées, de l’entraide.

Nos bébés de janvier 2011 viennent d’entrer à la maternelle. Le défunt forum a laissé place à une page Facebook et à des rencontres en personne. On partage les photos de nos cocos, on constate jusqu’à quel point ils ont grandi, on annonce la première dent perdue ou le premier petit chum. C’est léger et profond à la fois.

Il y a quelques semaines, un des bébés de janvier 2011 a eu en cadeau une petite sœur, belle comme une pivoine et pétante de santé. Mais voilà, la petite sœur a été hospitalisée d’urgence il y a quelque temps. Diagnostic : malformation cardiaque. À quelques reprises, elle a failli quitter sa famille en emportant avec elle tout l’avenir qu’elle représentait. Panique. Incompréhension. Épuisement. La petite ne pouvait plus téter, la maman n’avait pas de réserve de lait, le stress diminuait sa production…


Dites-moi…

 

Ça vous étonne qu’une des mamans de janvier 2011 qui venait aussi d’accoucher ait offert de donner son lait à la petite cocotte, le temps que la maman se remette de ses émotions ?

Et que les amies virtuelles se soient cotisées pour faire livrer des repas chez les parents éprouvés ?

 

Le lien peut bien être virtuel, mais l’amitié, elle, est bien réelle.

 L’entraide va bien au-delà d’un « www. Les forumeuses. Je vous amitié! »

13 faits sur les soirées de filles

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Tu sais que t’es dans une soirée de filles quand…


1- Il y en a une qui est en retard.
    Souvent, c’est moi, mais il y en a des pires dans ma gang…

2- Il y a du vin blanc (pis pas du cheap) et des petits cocktails.

3- La vaisselle fancy est sortie.

4- Il y a un tas de sacoches dans l’entrée.

5- Tout le monde parle en même temps.

6- Ça rigole beaucoup. Parfois très trop fort ?!?

7- À un moment dans la soirée, il y en a une qui pleure. Souvent moi… Et une autre qui pleure par empathie! C’est moi si ce n’est pas moi la fille qui pleure en premier.

8- Ça chiale contre leur chum qui ne sait pas faire un sac à couches. Ça raconte LA fois où il a envoyé sa fille le pantalon à l’envers à l’école (hi!hi!). Ça se plaint de ne pas recevoir suffisamment de fleurs… Mais ces conversations se terminent toujours par une reconnaissance sans fin pour tout ce que leurs amoureux font pour elles! Tsé, quand il manque juste des fleurs…

9- Dans une soirée de filles, il y a toujours TROP de bouffe et c’est très varié.

10- On se complimente, on se dit qu’on s’aime, qu’on ne se voit pas assez…

11- Les filles, ensemble, ça parle de leurs enfants et ça oublie de profiter du fait que, justement, ils sont absents; ça s’ennuie. ♥

12- Après quelques cocktails et plusieurs verres de vin (ou parfois, ça n’en prend pas tant que ça), ça parle de s***… Ben oui, les gars! SURPRISE!

13- Il arrive assurément un moment dans la soirée où on met la « switch à b*** ». Oui, oui! Vous le faites toutes!

Moi, j’ai une belle soirée de filles qui m’attend demain; du pur bonheur!

J’ai hâte les filles! Qui va pleurer la première ? 😀

Et on sait toute laquelle sera en retard… 😉