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Mon Halloween contre Mme C-19

Cette année, comme plusieurs Québécois, nous avions décidé de f

Cette année, comme plusieurs Québécois, nous avions décidé de fêter l’Halloween différemment… Nous avions fait le choix de ne pas offrir de bonbons, de ne pas passer de maison en maison et de faire une journée spéciale à la maison avec nos enfants. Raclette, films d’horreur, jujubes et chips.

Mon Halloween à moi, pendant cette pandémie, ce ne fut pas seulement de passer du temps avec mes enfants. Non, ce fut aussi de prendre part à une importante surveillance de milieux avec des cas confirmés ou suspectés de COVID-19. Un enchaînement d’interventions à distance afin de limiter la propagation de ce virus et de limiter les éclosions par des recommandations exemplaires en prévention et contrôle des infections.

Depuis le début de cette pandémie, le système de santé redouble d’efforts à tous les niveaux. Malheureusement, ce virus à des particularités qui font de lui un ennemi des plus importants. Il a cette caractéristique particulière de s’attaquer à plusieurs groupes d’âge et d’entraîner des symptômes des plus inusités. Il faut se le dire, elle ne manque pas d’originalité, cette COVID-19 ! Elle peut passer d’un extrême à l’autre en s’attaquant au système nerveux central en passant par les nerfs olfactifs, les papilles gustatives, les poumons, le cœur et j’en passe. Et le plus extraordinaire, c’est qu’elle peut passer comme un simple fantôme en ne laissant aucune trace de son passage ! Tout de même rusée, cette Mme C-19…

Ce qui est particulier dans cette histoire de pandémie, c’est qu’il y a encore du monde qui croit à la théorie du complot. Un faux virus, un contrôle du gouvernement, une façon d’appauvrir l’humanité. Ces gens, je les implore de passer ce ne serait-ce qu’une journée avec moi afin de constater l’ampleur des dégâts de Mme C-19. Des milieux déstabilisés, des gens impuissants, des usagers malades et confinés dans leur chambre, des professionnels et des responsables de milieux épuisés… Ce ne sont que quelques exemples de tous les impacts négatifs de ce virus dans le système de santé. Évidemment, il y a tous les dommages collatéraux dans la population en général : augmentation des troubles liés à l’utilisation de l’alcool, des drogues, d’Internet… Sans oublier les problèmes de santé mentale : la dépression, les idées suicidaires, le suicide…

Ceci étant dit, je constate actuellement un état de fatigue et une fragilité émotionnelle importante autour de moi. Des gens impatients, aigris, déprimés et nostalgiques de l’avant COVID. À ces gens, je dis que nous sommes tous dans le même bateau, mais que nous nous devons de garder la tête hors de l’eau pour passer au travers de cette époque qui marquera l’histoire à tout jamais. Une époque où nous aurons été en mesure de démontrer notre résilience et notre grande capacité d’adaptation.

Ce soir, je termine ma fin de semaine de garde en me disant que depuis le début de cette pandémie, j’aurai peut-être aidé à limiter les dommages de la COVID-19 en contribuant au meilleur de mes connaissances. Des connaissances que je n’avais même pas avant l’arrivée de Mme C-19…

Sérieusement, il faut continuer nos efforts collectifs afin de limiter la propagation de ce virus. Ce que nous faisons actuellement n’est pas en vain même si cela demande beaucoup de sagesse. Il ne faut donc pas hésiter à demeurer chez soi au moindre symptôme d’apparence COVID, continuer à maintenir le 2 m entre les personnes qui ne se retrouvent pas dans notre bulle familiale et porter le masque dans les lieux publics et au travail. Ceci fera en sorte de diminuer les éclosions et donc de diminuer les heures supplémentaires de plusieurs personnes du réseau de la santé. Dont moi !

Amélie Roy

Astuces pour une Halloween plus verte

L’écologie fait de plus en plus partie intégrante de nos vies. C

L’écologie fait de plus en plus partie intégrante de nos vies. Chaque petit geste peut faire la différence. Aujourd’hui, je vous suggère quelques alternatives afin d’avoir une soirée d’Halloween un peu plus écoresponsable.

Costume

En ce qui concerne les costumes, plusieurs alternatives s’offrent à vous. En premier lieu, vous pouvez récupérer les costumes de l’année précédente. Vous pouvez aussi vous en procurer de seconde main auprès d’amis ou bien dans les friperies. Profitez-en donc pour aller porter tous vos vieux costumes qui ne vous font plus. Vous pouvez aussi faire des échanges de costumes avec votre entourage ou grâce à vos contacts sur les réseaux sociaux. Pour ceux qui se sentent plus motivés, je vous suggère de fabriquer vos costumes avec les enfants. Tout le matériel se trouve sûrement déjà à la maison. De vieux vêtements, des boîtes de carton ou de conserve qui traînent dans le recyclage, etc. Laissez aller votre imagination ! Il y a aussi plusieurs compagnies qui font la location de costumes. Cela revient moins cher et il ne vous encombrera pas pour le reste de l’année.

Maquillage

Optez pour des maquillages naturels plutôt que de les acheter en boutique. Les palettes de maquillage pour enfants regorgent de produits toxiques. À la place, fouillez sur Internet et vous trouverez plein de recettes afin de réaliser le maquillage parfait et surtout, tout ce qu’il vous faudra sera probablement déjà dans votre garde-manger. Par exemple pour faire une barbe, il suffit d’un peu de vaseline et de café moulu ! Pour du faux sang, il vous faut du miel, du colorant et du café. Renseignez-vous sur Internet, ça vaut la peine.

Décorations

Pour les décorations, à la place de remplir de feuilles mortes des sacs poubelles aux couleurs d’Halloween pour mettre au bord du chemin, optez pour vos sacs en papier de l’épicerie et décorez-les avec la famille avant de les remplir de feuilles.

Au lieu d’acheter des citrouilles en plastique, prenez de vraies citrouilles et des courges et éclairez‑les avec des chandelles de cire d’abeille, qui ne contiennent pas de pétrole contrairement aux chandelles ordinaires sur le marché. Vous pouvez aussi utiliser des bouquets de fleurs séchées ou bien aller dans les bois à la recherche de branches mortes et de cocottes pour fabriquer vos propres couronnes de porte. Avec un peu d’imagination, on peut faire de grandes choses. Vous pouvez opter pour une décoration d’automne plutôt qu’une décoration d’Halloween. Elle risque de durer beaucoup plus longtemps à travers les années.

Je vous propose d’aller faire un tour dans des ressourceries. Il y a plein de décorations usagées en très bon état qui n’attendent qu’à servir. Vous devriez opter pour des décorations en tissu et en métal, par exemple une banderole faite de tissu rembourré, afin d’éviter que vos décorations ne se déchirent ou se brisent pendant l’entreposage.

Ma dernière idée est de fabriquer vos décorations et si vous manquez d’imagination, Pinterest est votre meilleur ami !

Bonbons

Les bonbons sont souvent vendus en petit format, ce qui génère plus d’emballages et donc plus de déchets. Cette année, je vous propose d’acheter de plus gros formats, mais en plus petite quantité. Vous allez peut-être en donner à moins d’enfants, mais ça vaut le prix. Vous pouvez aussi opter pour des bonbons emballés dans du papier ou dans du carton recyclable comme des Smarties. Si vous avez l’habitude de faire des petits sacs de bonbons, faites‑les avec des petits sacs en papier. Essayez d’opter pour des bonbons faits localement ou bio. Si vous recevez à la maison pour Halloween, optez plus pour des gâteries faites à la maison (biscuits, muffins, gâteaux) à la place d’acheter des desserts déjà tout prêts et souvent suremballés. Encore une fois, vous trouverez tout plein d’idées de menus d’Halloween sur Pinterest.

Collecte

Profitez de la soirée d’Halloween pour prendre une marche en famille. Invitez les amis et faites la collecte des bonbons à pied. Après tout, les enfants vont se bourrer la face. Autant le faire en dépensant un peu d’énergie ! Au lieu d’acheter un petit seau pour amasser les bonbons, servez‑vous d’une taie d’oreiller que vous avez à la maison. De plus, elles sont plus grosses et peuvent donc accueillir plus de bonbons. Ce sont quelques idées, mais si tout le monde fait un petit effort, cela va changer les choses. Si vous avez d’autres propositions ou idées pour passer une Halloween plus écolo, je vous invite à me les écrire en commentaire. Sur ce, bonne préparation d’Halloween !

 

Anouk Carmel-Pelosse

 

Mon intensité dans ma déco d’Halloween 

Partage du Livre de Samuel

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Partage du Livre de Samuel

J’adore décorer, créer et confectionner. Plus précisément en fait, j’ai réalisé que j’aimais me dépasser. Mais seule et sans enfants, je ne le faisais que rarement. Depuis ta naissance, comme tu le sais, toutes les occasions sont bonnes pour s’amuser à créer un monde magique.

Certains diront que je suis un peu trop intense (comme ton papa hihi), mais j’ai la chance qu’il respecte mon intensité et je le remercie infiniment pour cela. Il m’aide même à tout installer, car c’est le pro de l’installation. On forme une super équipe, chacun avec ses forces.

L’émerveillement dans nos yeux, c’est pour lui son bonheur.

Depuis ton tout premier anniversaire, mon désir de faire de chaque événement une tradition et un souvenir inoubliable est monté en moi. Ton papa ne comprend pas pourquoi je fais cela, car ça me stresse tellement et parfois, j’y passe des heures. Bref, il n’a pas tort, mais la satisfaction, le dépassement, le résultat et le fait de te voir APPRÉCIER et AIMER autant les résultats, ça me comble de bonheur.

Parfois, c’est moi seule et d’autres fois, ce sont nos créations mutuelles. Plus tu vieillis, plus tu donnes tes idées et tu crées aussi toi-même énormément. Alors, mon intensité a amené en toi une belle complicité entre nous et a contribué à créer un garçon très artistique qui m’épate de plus en plus chaque jour.

Pour Halloween 2020, maman s’est dépassée dans tous les sens. À chaque pièce de la maison que tu as découverte, tu t’exclamais « Ohhhhhh wowwww! 😳 C’est crazy maman ! » Pour moi, ce sont mes bonbons et mon bonheur. Cela me fait oublier le temps que je mets à créer et mon stress à vouloir que tout soit parfait.

Chaque année, une pièce de plus s’ajoute à ma décoration. Cette année, le salon a aussi été envahi par madame intense et même une partie de l’escalier. La seule contrainte était que ce soit assez haut pour que papa qui mesure 6 pieds et 4 pouces ne soit pas dérangé par la déco lorsqu’il se promène dans la maison, car notre déco commence tôt et on l’enlève tard. Je me croise donc les doigts pour son approbation, car avec mon 5 pieds 3 pouces, il n’y a aucune difficulté pour ta maman. Prochainement, tu remplaceras déjà ton papa pour l’approbation de la hauteur, puisque déjà à 7 ans et demi, tu arrives à la hauteur de mon cou.

Merci à toi, champion. Grâce à toi, j’accepte de vivre avec mon intensité créative au lieu de la refouler. Tu es émerveillé et tu as même commencé à prendre les plis de maman (ou on pourrait dire sa qualité et son talent). Tu as également hérité de mon intensité et de mon souci du détail qui a du positif et du négatif. Je n’aime pas le mot négatif, mais disons plutôt un côté de notre personnalité qu’on doit équilibrer, puisqu’on s’arrête seulement lorsqu’on est entièrement satisfaits.

Voilà, j’avais envie de vous partager notre bulle, notre monde, nos idées et qui sait, notre intensité de vouloir VOUS dépasser. Mon but dans nos multiples créations est que ça coûte toujours le moins cher possible.

Je vous dévoile un secret. On a un sous-sol où on peut à peine circuler, car je garde tout. Pour mon fils, c’est sa caverne d’Ali Baba. Il adore descendre au sous-sol et chercher des trouvailles. Nous sommes bien choyés d’avoir papa Taschereau dans nos vies, car il nous accepte pleinement dans toute notre intensité, sauf parfois lorsqu’il va chercher quelque chose dans le congélateur et qu’il a de la difficulté à y arriver. Je vous laisse maintenant imaginer ce fameux sous-sol.

Si vous en avez envie, écrivez-moi. Une prochaine fois, je vais vous partager l’importance de l’anniversaire de mon garçon, pour lui et moi. Chaque année, il a un thème pour le gâteau. En 2020, la thématique était les Lego. En réalité, toutes les célébrations possibles sont pour moi une opportunité pour laisser aller mon imagination que ce soit Noël, la fée des dents ou le lapin de Pâque. Croyez-moi, je ne dépense pas beaucoup, je recycle et me réinvente chaque année. Les traditions sont très importantes pour nous.

Par curiosité, êtes-vous comme moi ?

En attendant, si vous avez envie, montrez-moi vos décorations d’Halloween.

Amusez-vous avec votre créativité et JOYEUSE HALLOWEEN !

Eugénie Miron

 

Voici une petite visite en photo.

Entrée

Salon

Salle à manger

Cuisine

Passage

Mascarade

  Sommes-nous vraiment rendus là?

Des dirigeants municipau

 

Sommes-nous vraiment rendus là?

Des dirigeants municipaux vont décider pour nous. Gérer notre vie familiale. Tout simplement, ils nous disent sans masque que nous n’avons aucun jugement. Juste ça. Mais tout ça!

Aujourd’hui c’est le 31 octobre. C’est l’Halloween!

Pas hier, pas demain. Que la météo soit favorable ou non. Noël non plus, ce n’est pas le 24 décembre ni le 26. Qu’il y ait tempête de neige, verglas ou toute autre catastrophe naturelle.

Les enfants — les miens, les vôtres, en fait — seraient déçus si la fête était impossible, qu’ils nous répondent. Mieux vaut remettre le tout à demain. Leur sécurité doit primer. Sans dire que la météo, pour demain, c’est à peine mieux.

Mais quand avons-nous voté pour que les élus décident à notre place de tout ce qui concerne la sécurité de nos enfants?

Je crois, vous aussi sans doute, avoir suffisamment de jugement pour en décider. Et, à écouter certains reportages sur les délibérations de nos élus, je suis certain d’avoir souvent plus de jugement qu’eux. Sur une multitude de sujets.

Quand on constate la gestion des travaux routiers, on peut également rire d’une telle préoccupation pour la sécurité de tous, enfants inclus.

À tous les dirigeants de municipalités qui veulent changer la date de l’Halloween, je dis non merci! Je n’ai pas besoin de vous pour décider pour moi. Si je décide que cette année, c’est juste les trois maisons d’à côté, juste celle de mamie ou qu’il faut rester à la maison, ça sera mon choix!

Après tout, comme quand ils sont malades, c’est moi qui devrai les gérer. Personne d’autre.

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Des bonbons ou des sorts

Des bonbons ou des sorts...?

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Des bonbons ou des sorts…?

Octobre bien entamé, nous voilà le du 31. Ma fête préférée. Ce n’est pas des blagues : s’il pouvait y avoir deux… trois, voire quatre répétitions de cette fête par année, ce serait à MES yeux le paradis sur Terre!

J’adore littéralement cette fête, les déguisements, les maquillages, le porte-à-porte en marchant à même les rues de notre quartier; le tout en s’exclamant devant les costumés que l’on croise et les décorations si ingénieuses de certains donateurs!

 

Mea culpa, je l’avoue, déjà, sur le chemin du retour nous discutons de la prochaine Halloween et du choix de nos costumes! Oui, je suis folle de même!

OUI c’est demandant. OUI nous dépensons. OUI nous tombons bien malheureusement sur LA journée pluvieuse depuis quelques années. MAIS la magie de revêtir une identité fantastique, de jouer ce rôle le temps d’une journée, d’une veillée, J’A-D-O-R-E!

Je suis de ceux qui font les costumes home-made et je n’y vais pas de mainmorte! Je passe plusieurs semaines à planifier, construire, coudre. Mais j’aime tellement ça! J’ai dû être costumière ou amatrice de carnaval dans une autre vie!

Par CONTRE, car oui j’ai un petit bémol à cette si géniale fête, je m’ennuie des Halloween de mon enfance. Celles qui nous offraient bien plus de décorations dans les rues, les maisons toutes plus illuminées les unes que les autres dans le thème du jour. Je m’ennuie de passer de l’une à l’autre alors que la nuit s’installait. Il faut se l’avouer, l’Halloween en pleine clarté, ce n’est pas aussi magique!

Les gens passent de plus en plus tôt! C’est bien malheureux, car je crois que cela a contribué au désintéressement de certains. Comprenez-moi bien. Les parents finissent rarement leur journée de travail avant 17 h. Alors, lorsque je vois des marcheurs sonner aux portes à peine 15 h 30 sonné… je comprends la pénurie de donateurs. Il ne faut pas oublier que les vampires ne sortent que la noirceur installée! Les loups garous attendent la lune et les sorcières volent au milieu du brouillard. Même Cendrillon allait au bal de nuit!

Lorsque j’étais enfant, nous revenions de l’école. Nous soupions vers 16 h ou 16 h 30, et ma mère nous passait l’un après l’autre à la table des costumes et du maquillage. Ce qui faisait que nous partions bien souvent passé 17 h 30. La noirceur était déjà installée à notre arrivée à la première porte éclairée de sa traditionnelle citrouille édentée. Il était notoire que ce soir‑là, nous revenions à la maison passé 20 h et oui, nous nous couchions bien souvent plus tard que les autres jours, école le lendemain ou pas.

MAIS CE N’EST QU’UN JOUR DANS L’ANNÉE!

Nous passions bien souvent plus d’une heure assis à même le sol à trier sous l’œil attentif des parents notre immense sac débordant de notre cueillette. Nous échangions et goûtions plusieurs de nos sucreries. Que nous avions en bien plus grande quantité qu’aujourd’hui. Je me rappelle avoir rempli des taies d’oreillers, même des sacs à ordure noirs que nous peinions à traîner d’une porte à l’autre.

Nous étions envahis de cette excitation de la magie épeurante des fantômes, sorcières et vampires. Les costumes étaient tantôt cutes tantôt affreusement épeurants. Mais ce n’était certes pas le concours du plus sexy non plus!

Autre bémol pour moi : sérieusement, avez-vous remarqué que la plupart des costumes à vendre pour les femmes sont attifés de mini-jupes et de décolletés? Ma foi, ce n’est pas un jour pour parader au Moulin Rouge… c’est l’Halloween! Fête des morts, des cris et de la petite coccinelle toute mini qui regarde d’un regard incertain ce qui l’entoure. Mais qui comprend bien vite que ce n’est qu’un jeu.

Un jeu. Voilà. Simplement. Laissons-nous prendre par le jeu et profitons de ces quelques heures d’évasion pour explorer les joies de l’imagination.

Je sais que plusieurs n’aiment pas autant que moi ce jour. J’arrive à comprendre certains arguments, mais quand même. J’aimerais que vous m’expliquiez votre avis sur la question.

AIMEZ-VOUS L’HALLOWEEN OU PAS ET POURQUOI? À bientôt… de moi, cette fanatique finie de l’imaginaire.

Simplement, Ghislaine

 

Les dilemmes de l’Halloween

Peu importe notre degré d’organisation, la folie entourant la fê

Peu importe notre degré d’organisation, la folie entourant la fête d’Halloween apporte son lot de questionnements. Chaque année, les mêmes dilemmes reviennent à l’approche du 31 octobre :

  • À partir de quel âge nos enfants passent-ils l’Halloween? Personnellement, dès la première Halloween, on était dehors avec notre bébé déguisé et on prenait une marche en visitant quelques maisons. On s’entend, la dizaine de bonbons recueillis cette année-là ont abouti dans l’estomac des parents (et éventuellement dans le lait maternel…), mais c’était surtout pour créer une tradition que nous l’avons fait. Et aussi parce que des photos de bébé schtroumph, c’est toujours mignon.
  • Déguisement ou non à l’école? Facile : suivez les règles établies par l’établissement. Même si les déguisements sont interdits, rien n’empêche de porter du orange et du noir ou encore un chandail avec une grosse toile d’araignée! N’oubliez pas que l’enfant portera le déguisement du matin au soir, donc assurez-vous que ce soit confortable (et sécuritaire, bien sûr) et aussi qu’il a une rechange au cas où il se tannerait pendant la journée.
  • Le soir venu, quel parent restera à la maison pour donner les bonbons? Il nous est arrivé de placer des bonbons dans des bols devant la porte avec un mot disant qu’on profitait de l’Halloween avec nos petits monstres. L’an dernier, j’étais seule avec les enfants, donc j’ai apporté avec moi un gros sac de bonbons que je distribuais dans les rues.
  • Le manteau : sous le costume ou par-dessus? Blanche-Neige qui a pris vingt livres à cause de sa doudoune, c’est moins chic, mais c’est plus confortable et ça ne dégénère pas en chialage (j’ai froiiiiiid!) ni en rhume (atchoum!). Un truc : transporter un sac à dos avec des tuques-mitaines-foulards supplémentaires; l’enfant qui refusait de porter ces accessoires (Come on! Les Pyjamasques sont des héros et les héros n’ont jamais froid!) vous remerciera d’y avoir pensé. Celui qui trouve que son sac rempli de bonbons est rendu trop lourd aussi!
  • Quand on a des grands et des petits, à quel rythme marche-t-on? L’ado qui veut faire le plus de maisons possible est ralenti par le plus jeune qui traîne son sac de bonbons de peine et de misère… Quelques options possibles : apporter une poussette, permettre à l’ado de faire le trajet (ou une partie du trajet) avec un ami ou avec un des parents une fois que l’autre parent est retourné à la maison avec les plus jeunes, faire une maison sur deux avec les plus jeunes.
  • Qu’est-ce qu’on fait avec la montagne de bonbons après la récolte? Évidemment, on épluche la cueillette pour s’assurer que rien de dangereux ne s’y trouve (les aiguilles dans le chocolat, ce n’est pas une légende urbaine). J’adore cette partie de la soirée : on se réchauffe les mains sur une tasse de chocolat chaud (tant qu’à faire une surdose de sucre), on s’émerveille devant la quantité de bonbons et de sacs de chips, les enfants partagent (« Veux-tu qu’on échange? Je sais que tu aimes plus les chips que moi ») et choisisse cinq bonbons qu’ils peuvent manger le soir même. La balance va dans des sacs et, selon la personnalité de l’enfant (plus ou moins accroc au sucre, plus ou moins capable de se contrôler), le sac va dans la chambre ou dans un coffre secret (et barré).
  • Et nos enfants allergiques? Pour les plus jeunes, on peut bien sûr s’arranger avec le gars des vues et passer dans les maisons de gens de notre entourage qui auront prévu un sac de bonbons sans allergènes ou de surprises différentes. Vous connaissez votre enfant, son degré d’allergie et sa capacité à résister à la barre de chocolat au beurre d’arachide qui a été placée dans son sac. Sachez aussi que les maisons décorées avec une citrouille turquoise offrent des surprises non alimentaires pour les enfants allergiques : balles, crayons, autocollants… Vous pouvez aussi participer à cette initiative ! http://dejouerlesallergies.com/une-citrouille-turquoise-pour-lhalloween/

Amusez-vous en cette belle journée d’Halloween!

Nathalie Courcy

Halloween : jouer le jeu des rituels

Quand on a fréquenté les hôpitaux et les salons funéraires autan

Quand on a fréquenté les hôpitaux et les salons funéraires autant que je l’ai fait étant plus jeune, il se peut que la mort, les zombies et les fantômes ne soient pas des sujets rigolos à nos yeux. Une momie enrubannée dans du papier de toilette, ça me fait penser aux bandages qui enturbannaient le crâne de mon papa mourant. Les pierres tombales qui ornent les parterres me rappellent les trop nombreux enterrements auxquels j’ai assistés. Et la mariée sinistre qui se promène avec une plaie ouverte au cou me plonge dans une mémoire qui déborde de suicides et de meurtres. Faque… l’Halloween, c’est émotif. C’est bouleversant. Ça vient me chercher les tripes et ça les zigouille en petite bouillie dégueue.

Je l’avoue, chaque année, je dois me botter le derrière pour affronter la soirée d’Halloween. C’est exigeant pour moi, mais j’aime l’ambiance festive, l’esprit communautaire de toutes ces familles qui rient et partagent un bon moment. Déguiser quatre enfants et deux parents (ben oui, nous aussi on se barbouille!) tout en empêchant le chat de sortir quand on répond aux Halloweeneux précoces (ceux qui sonnent chez toi à 16h41, quand toi, tu essaies de faire souper tes enfants pour que la méga dose de sucre frappe moins fort en soirée), ça fait suer, littéralement! Une excellente façon de perdre cinq livres en quelques heures.

Mais, mais… je joue le jeu quand même. L’Halloween est une belle fête. C’est une occasion de célébrer une folie qu’on s’autorise trop rarement. C’est une fête d’artistes, de maquillages, de déguisements et de surprises. Chez nous au sous-sol, il y a de gigantesques bacs de déguisements que les enfants et leurs amis visitent (et dévalisent!) régulièrement. Il y a de tout là-dedans : cowgirl, épouvantail, poussin, princesse, chevalier, ours polaire… Autant de déclencheurs d’imagination, que ce soit le 31 octobre ou pas.

Malgré tous ces déguisements déjà prêts, on est assez fous pour en confectionner de nouveaux chaque année. Quand j’étais petite, ma mère et moi faisions mes costumes, et j’essaie le plus souvent de recréer cette tradition avec mes enfants. Mes filles sont maintenant autonomes et cousent elles-mêmes leurs costumes! Une Circus Baby et une princesse asiatique-indienne (je les laisse choisir leur costume, et le résultat est toujours… disons… original?) Pour ce qui est de mes petits bonhommes, je les oriente vers des costumes non violents, parfois dénichés dans un comptoir de vêtements usagés, parfois récupérés d’une autre année ou fabriqués de mes mains. Cette année, j’aurai un Scoobidoo bien au chaud et un… je ne le sais pas encore. J’imagine qu’on décidera d’ici le 31 octobre!

Même si je ne trippe pas sur les terrassements transformés en cimetières desquels des bras ensanglantés et des crânes défoncés surgissent, j’aime l’Halloween. J’aime voir mes enfants planifier leur prochain déguisement un an d’avance (et changer d’idée soixante fois). J’aime voir mes enfants s’entraider pour finaliser leur maquillage ou mettre des mitaines par-dessus leur costume de Spiderman. J’aime créer avec eux des souvenirs heureux d’un rituel qui a sa place. Comme toute tradition, l’Halloween peut être rattachée à des souvenirs et à des sentiments plus ou moins heureux, mais c’est à nous de prendre soin de ce rituel et de le rendre beau. C’est pour ça qu’encore cette année, même si je n’ai pas particulièrement le cœur à la fête, je me déguiserai le soir de l’Halloween. Et promis, je n’aurai pas besoin de maquiller un sourire sur mon visage, je serai heureuse pour vrai.

Nathalie Courcy

Je déteste l’Halloween !!

« Voyons Evelyne, une maman ne peut pas faire son coming out</e

« Voyons Evelyne, une maman ne peut pas faire son coming out et dire qu’elle n’aime pas l’Halloween. D’un point de vue marketing, c’est autant, sinon plus populaire que Noël. »

Cependant, c’est cette notion d’obligation vis-à-vis cette fête que je trouve lourde. J’en ai eu la confirmation la plus profonde lors du week-end de l’Action de grâce. Ma mini-moi, devant la vitrine du Dollorama, regardait les décorations d’Halloween et me dit : « maman svp, il faut acheter de nouvelles décos… » J’ai comme eu mal au cœur. Je vous le dis, je trouve que les décorations pour cette célébration sont laides, mais vraiment laides!

Il n’y a rien à faire, je n’aime pas l’Halloween, mais ceci dit, je la souligne, malgré tout, avec ma fille. Je ne lui fais pas manquer ce moment magique à ses yeux. Je lui permets aussi de manger les fruits de sa cueillette (et de les partager avec moi,bien sûr 😉 ). Son costume, s’est réglé depuis le début du mois d’octobre et je vais être à ses côtés pour la passer. Cependant, il n’y aura pas de gros maquillage, tout comme il n’y en avait pas les autres années. Je peux paraître plate, mais pour moi, l’effort s’arrête au costume.

Je me suis questionnée sur les raisons qui font que je n’aime pas l’Halloween.   Jeune, ma rue était remplie d’enfants et nous pouvions passer facilement de maison en maison sans problème. Notre cueillette était énorme, tout le monde décorait sa maison et l’accent était mis sur les lumières. C’était festif et lumineux! Puis, avec les années, mes petits voisins étant devenus grands, passer l’Halloween n’était plus d’actualité, alors certains de leurs parents ont tout simplement arrêté de décorer et de contribuer à la récolte de friandises des petits halloweeniens.

Puis, moi aussi ayant vieilli, mon intérêt y était moins. Moi, me déguiser à 20 ans pour un party « non merci!!! », disons que ce n’était pas mon fun. À un certain moment, j’avais tellement hâte que l’Halloween finisse afin que je puisse profiter de la beauté que nous offre la fête de Noël.

Finalement arrivent notre première maison (avec mon amoureux) et notre première Halloween. Une mini fièvre m’avait envahie, car je me disais qu’il fallait bien redonner ce que j’avais reçu étant enfant. Je me suis rendue compte à quel point ce n’était plus ce que c’était, sauf que oui, je continue d’acheter des citrouilles, des lumières pis des fantômes à coller dans les fenêtres afin de continuer à répandre la magie à mon tour.

Puis, notre premier bébé, notre fille, est née et la vie étant ce qu’elle est, elle a vieilli et bang, on se retrouve à devoir passer l’Halloween nous aussi! J’ai participé à toutes ses récoltes de bonbons avec elle, déguisée et joyeuse (elle, pas moi…), sauf une fois, elle avait deux ans et demi et la gastro… (Zut!!!).

J’ai l’impression que c’est tabou de ne pas aimer l’Halloween. C’est genre une règle non écrite qui dit qu’on doit aimer et donner des bonbons afin de faire vivre une belle fête d’Halloween aux enfants.

Je termine en vous disant à quel point j’ai trouvé lumineux et réconfortant de voir la vitrine du Véronneau ce matin, lorsque j’étais prise en otage dans le bouchon de circulation. Les magnifiques lumières dans les sapins, c’était réellement beau.

Alors voilà, je m’assume : je n’aime pas l’Halloween, mais je serai dehors avec ma fille ce soir… Ç moins qu’elle soit malade!!!

Voici pourquoi l’Halloween devrait toujours être un samedi

Cette année, l’Halloween tombe malheureusement un lund

Cette année, l’Halloween tombe malheureusement un lundi. Je suis certaine que tout comme moi, beaucoup de personnes se demandent : « Pourquoi la récolte des bonbons ne se fait-elle pas toujours un samedi? »

 

Voilà 5 raisons pour lesquelles l’Halloween devrait toujours un samedi 

 

1- Possibilité de faire la grasse matinée le lendemain

Pour la plupart, le dimanche c’est congé! On se sentirait moins coupable de coucher nos enfants plus tard, car bien sûr, on n’arrive pas à la maison pis hop au lit : il faut donner les bains, faire le ménage, trier les bonbons… Au fond, on pourrait tous se permettre d’être fatigué pis de passer notre avant-midi en pyjama le lendemain.

2- Profiter de l’occasion pour se réunir et célébrer entre amis

Ce serait une bonne occasion de célébrer entre amis, vu que l’on pourrait veiller plus tard. Mon plan: on fait souper les enfants tôt, on fait la récolte des bonbons tous ensemble ou encore, on se sépare en deux groupes :  les femmes font la récolte avec les kids, les hommes donnent les bonbons en essayant de suivre la game de hockey à la télé (ou «équipe» mixte). On peut ainsi se permettre de prendre un (ou deux…) bon petit verre de vin ou drink entre amis tout en vérifiant les bonbons de nos beaux trésors! Juste vérifier là… pas manger hein!?

3- Vivre une soirée plus zen

Nous ne serions pas à la course! Probablement le point le plus  reproché de l’Halloween en pleine semaine. On a à peine le temps de revenir du travail que nous devons partir faire la récolte. D’ailleurs, beaucoup d’employeurs voient leurs employés ayant des enfants partir plus tôt. On oublie ce soir-là le souper santé cuisiné avec amour. Go, on lance la pizza dans le four, on les maquille du mieux qu’on peut, on mange vite vite, on enfile les costumes pis on part. En plus, maintenant, l’Halloween commence tôt. À 16h45 des fois les premiers commencent à passer pis rendu à 19h00 le monde n’ont pu rien à donner! N’empêche qu’on recommence à courir une fois revenu à la maison avec tout ce que nous avons à rattraper.

4- Possibilité d’être et d’avoir des donateurs plus généreux.

Ça donne plus le goût, selon moi, de donner des friandises. En n’étant pas épuisée de ma journée et en n’ayant pas à travailler le lendemain, l’idée de donner des bonbons m’est plus tentante. Qu’on soit seul, entre amis ou en famille, voir les tout petits avec leurs beaux costumes, c’est vraiment le fun et leur faire plaisir est un bonheur.

5- Tant qu’à ne pas respecter sa véritable tradition, changeons la date de sa célébration

Mais au fond, c’est quoi l’Halloween? La plupart du monde ne sait même pas ce qu’elle signifie (à commencer par moi qui ai dû faire des recherches). Initialement, elle était fêtée en Irlande, en Écosse et dans le pays de Galles. Elle est apparue au Canada avec la venue de nombreux Irlandais et Écossais. C’était une fête religieuse, la célébration des fidèles défunts (les Saints), et elle avait lieu la veille de la Toussaint.

Bref, pour les Canadiens et les Américains, elle est devenue avec le temps, une simple tradition : l’espace d’un soir (le 31 octobre), on se déguise, on amasse des bonbons et on écoute des films d’horreur. Alors pourquoi cette date (n’importe quel soir d’octobre ferait l’affaire…) et non pas le dernier samedi du mois? Après tout, l’Halloween est rendue une simple tradition et puis, la Toussaint reste le 1er novembre…

Quelques signes que l’Halloween, ce n’est pas pour toi

L'Halloween est dans quelques jours! Les enfants trépignent d'impat

L’Halloween est dans quelques jours! Les enfants trépignent d’impatience et certains parents aussi, mais pas nécessairement pour les mêmes raisons.


Voici 7 signes que l’Halloween, ce n’est pas pour toi

 

1-Peu importe la date en octobre, tu trouves toujours une bonne raison pour repousser le moment des décorations. Pour toi, de belles citrouilles et quelques courges suffisent.

2- Tu espères secrètement que ta fille te demande de se costumer en princesse. Comme son bac est plein de robes, tu vas t’éviter une séance de magasinage.

3- Tout aussi secrètement, tu espères que ta plus jeune accepte de porter la robe de princesse que ta plus vieille a déjà portée, il y a deux ans!

4- Le soir de l’Halloween, tu es rapidement à court de compliments quand les enfants, costumés, sonnent à ta porte. (Bruits de criquets)

5- Tu as hâte de faire le tri des bonbons avec tes enfants pour voir combien de chocolats tu pourras manger en cachette.

6- Le soir de la collecte, tu as plus chaud que ton enfant; tu passes ta soirée à gérer les escaliers et les entrées en craignant que ton petit se fende la tête en trébuchant. (Pas évident de se balader avec un costume par-dessus un habit d’automne…)

7- Tu es outré(e) quand tu ouvres la porte à des ados/jeunes adultes qui repoussent leur « dernière » Halloween… Tsé quand ton pinch, c’est un vrai…

À vous tous qui combattez vos démons pour aimer un peu plus l’Halloween chaque année, je vous souhaite une soirée terrifiante…

4 champs de citrouilles à Québec!

J’ai toujours aimé l’automne. J’y trouve quelque chose de ré

J’ai toujours aimé l’automne. J’y trouve quelque chose de réconfortant, de rassurant avec la vie qui reprend son cours normal après avoir vécu un été à trop vouloir « en profiter » en raison de sa trop courte durée. Depuis que j’ai des enfants, la cueillette de notre citrouille familiale fait partie du rituel automnal sacré. Je vous propose donc 4 endroits à Québec pour aller sélectionner l’élue qui scintillera près de votre porte le soir de l’Halloween.

Ferme le Comte de Roussy

J’ai vraiment un coup de cœur pour cette charmante ferme située à l’Ange-Gardien, sur la Côte-de-Beaupré. J’adore la magnifique terrasse adjacente à la boutique; elle offre une vue époustouflante sur le fleuve. Avant ou après la cueillette, j’aime bien m’y attabler pour savourer une pointe de pâté à la viande mitonné sur place. Je ne suis vraiment pas une grande fan de ce met, mais impossible de résister à l’odeur qui embaume les lieux. Les petits produits gourmands et l’étalage de bons légumes frais sont aussi attrayants. La ferme comporte un grand verger pour l’autocueillette des pommes, quelques poiriers, mais aussi un grand champ de citrouilles. On peut donc facilement combiner les activités. Une mini-ferme avec des petits animaux vient ajouter au plaisir des petits.

Où? 6167, avenue Royale, L’Ange-Gardien, QC

Quand? Tous les jours de 10h à 16h.

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Ferme Bédard et Blouin
Dans l’arrondissement Beauport, la Ferme Bédard et Blouin offre un superbe spectacle chaque automne avec son immense champ de citrouilles. Une navette en tracteur amène la marmaille en haut du champ où on peut faire notre choix de la cucurbitacée qui égayera notre décor. Un labyrinthe de paille et quelques jeux sont aussi installés sur place.

Où? 2157, boulevard Louis-XIV, Québec
Quand?
Tous les jours de 9h à 16h30

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Ferme Genest
Si on aime qu’il y ait de l’action, on prend la direction de la Ferme Genest à St-Nicolas. L’endroit est fourmillant de vie à l’automne. En plus des pommes, on peut y cueillir des citrouilles et la ferme est le plus important producteur de citrouilles et courges de la province. On se rend au champ en navette et une foule d’activités vient enjoliver la sortie : tours avec le petit train des vaches, trampoline (jumping pillow), mini-ferme, aire de jeux et sentier pédestre parsemé de quelques modules d’hébertisme. On y apporte son pique-nique et on peut aussi se procurer des produits transformés à la boutique.

 

Où? 2091, route Marie-Victorin, Lévis (secteur Saint-Nicolas)

Quand? Tous les jours de 8h à 18h

Ferme Roberge
Malheureusement, je ne l’ai pas encore visité, mais j’ai beaucoup entendu parler de la Ferme Roberge située sur la splendide Île d’Orléans. La ferme est spécialisée en courges de toutes sortes et en citrouilles. On peut d’ailleurs remplir une grande brouette pour 40$. L’endroit dispose d’un grand labyrinthe de maïs et de modules de jeux.

 

Où? 1895, Chemin Royal, St-Pierre-de-l’île-d’Orléans, Île d’Orléans

Quand? Lundi au vendredi de 10h à 17h, samedi et dimanche de 9h à 17h.

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Bonne cueillette!