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Le syndrome du plus pressé…

Dans notre monde d’aujourd’hui, ce monde où le temps c’est de

Dans notre monde d’aujourd’hui, ce monde où le temps c’est de l’argent et où tout le monde ne regarde que son petit nombril, il y a toujours des gens plus pressés que les autres. Encore aujourd’hui, j’étais au lave-auto en train d’attendre que les gentils et patients jeunes hommes terminent de frotter mon luxuriant SUV de banlieusarde pressée. Ça faisait déjà plus de quarante minutes que j’attendais dans mon véhicule avec mon fils de dix ans full allergies et ils en étaient à terminer leur travail quand une jeune fille est entrée en trombe dans ledit lave-auto. Elle a dit au commis : « Je veux faire laver ma voiture, mais je n’ai vraiment pas le temps d’attendre. Est-ce que vous pourriez me passer tout de suite? » Le commis lui a répondu bien poliment que c’était premier arrivé, premier servi. La demoiselle de renchérir : « Oui, mais MOI, je suis pressée! » Bon, bon, bon… On va se dire les vraies affaires, ne sommes-nous pas tous pressés?

Qu’est-ce qui justifie dans notre quotidien que certaines personnes ont le droit, où que ce soit, de s’immiscer et de dépasser les gens qui eux, attendent patiemment? C’est comme ça partout de nos jours. Ça nous arrive à tous. Que ce soit à l’épicerie, à la pharmacie, dans le trafic… On a tous vu ces gens tellement pressés venir couper une file à la dernière minute pour ne pas faire comme le bon peuple qui attend dans sa ligne parce que la madame ou le monsieur ignorait qu’il y avait du trafic. Il y a du trafic tous les jours dans la région métropolitaine, alors fais comme tout le monde et LÈVE-TOI PLUS DE BONNE HEURE! On a tous une bonne raison d’être plus pressés que les autres en toutes circonstances. Et ces personnes qui, innocemment, passent devant les autres dans l’espoir de ne pas être vues et que ça passe… La réplique du « Oh, excusez-moi, je n’avais pas vu la file » est tellement trop facile.

Dans mon cas, je dois dire que j’ai une vie très bien remplie. Mère soloparentale de deux enfants, une maison à entretenir, un travail, un entraînement de demi-marathon aux quatre mois pour garder la forme, des amis. Mais j’ai pour mon dire qu’on ne connaît pas la vie de tout le monde. Oui, peut-être que c’est vrai des fois que dans une file d’attente, la personne qui est derrière moi est plus pressée. Mais qu’est-ce qui justifie que son temps vaut plus que le mien? Et comment fait-on pour savoir qui a le temps qui vaut plus que les autres? J’avoue que pour moi, quand il s’agit d’une jeune maman avec un bébé en crise dans une file d’attente, j’ai comme une petite tendance à la laisser passer, mais pour le reste, si tu es en ligne seule ou avec des enfants assez grands pour leur faire comprendre qu’on a tous notre temps à faire, et bien fais comme tout le monde… ATTENDS!

Annie Corriveau

 

Être l’idole de quelqu’un

Ça y est, c’est fait : je suis l’idole de quelqu’un! Oui, ou

Ça y est, c’est fait : je suis l’idole de quelqu’un! Oui, oui! Ce soir, en révisant l’examen d’écriture de mon fils, j’ai découvert que j’étais son idole… Sujet d’écriture pour la 2e étape de sa deuxième année du primaire : Décris-moi ton idole. Un petit velours et une petite tape sur l’épaule pour me rappeler que j’ai probablement fait un bon boulot de maman depuis sa naissance.

Mais être l’idole de son enfant, ça veut dire quoi au juste, Zach? Je suis fière de toi et d’être ton enfant, m’a-t-il dit. On passe beaucoup de temps ensemble et j’aime faire la cuisine avec toi. Hey boy… Moi qui avais l’impression de ne pas avoir assez de temps à lui accorder… Toujours occupée avec le travail, le ménage, le lavage et les transports pour les autres enfants de la famille. Ça m’a permis de constater que le temps accordé à mes enfants n’a pas besoin d’être long pour être significatif pour eux. Ce sont les petites activités de la vie quotidienne où on implique les enfants qui les marquent de façon significative, et ce, au fils de années.

Alors, attention chers parents : si vous voulez devenir « l’idole » de vos enfants, plusieurs options d’activités s’offrent à vous! Cinéma popcorn et piquenique au salon, jeux d’eau avec arrosoir et ballounes d’eau à l’extérieur, jouer aux cartes sur le grand lit de papa et maman (surtout au jeu du trou de cul), bataille de neige et guerre de forts, cabanes avec divans et couvertures, guerre de coussins, jouer à Just dance sur la Wii… Bon, j’avoue que la plupart du temps, je sirote mon café pendant que les enfants s’amusent. Malheureusement, ça ne dure pas très longtemps… La chicane est au rendez-vous chaque fois… ou presque. Ça prend toujours une éternité pour choisir un film, il y en a toujours un qui arrose l’autre dans le visage avec l’arrosoir ou qui défait le fort de neige du plus petit, sans oublier que tout le monde veut sa grande chambre dans la cabane en couverture et que le perdant au jeu de cartes ne veut jamais être le « trou de cul »… Oui, chez nous le jeu du « trou de cul » est devenu le must des jeux de cartes… un peu trop même! Alors, l’idole de Zach finit souvent par se fâcher et siroter son café froid après être intervenue à mille reprises dans leurs nombreuses chicanes.

La bonne nouvelle dans tout ça, c’est que malgré les chicanes, les enfants sont toujours heureux de passer du temps entre eux et de suggérer de nouvelles activités. Alors, sincèrement, l’objectif n’est pas de devenir l’idole de nos enfants, mais plutôt un modèle de parents impliqués dans leurs activités. Les possibilités d’activités sont infinies et tout le monde y met sa touche personnelle selon l’âge et le nombre d’enfants dans la maisonnée.

 

Amélie Roy

Dans mon temps: les commentaires envers les nouveaux parents

« Dans mon temps, ça prenait pas autant d’affaires pour avoir des enfants! » « Mes en

« Dans mon temps, ça prenait pas autant d’affaires pour avoir des enfants! »

« Mes enfants ont dormi sur le ventre dès leur plus jeune âge et ils ne sont pas morts! »

« Dans mon temps, j’en donnais du miel à mes bébés et il n’est jamais rien arrivé! »

« Dans mon temps, le Mieux-Vivre n’était pas aussi épais! »

Et j’en passe. C’est sans parler des commentaires sur les types de poussettes, les positions d’accouchement autres que sur le dos, les porte-bébés, le co-dodo (ou pas), les showers mixtes et TOUS les sujets touchant la parentalité.

Je me retiens chaque fois que j’entends un commentaire du genre pour ne pas répondre quelque chose comme : « Eh ben… veux-tu une médaille? »

C’est comme si certaines personnes vivaient comme un jugement tous les choix un peu différents des leurs.

La science et les connaissances dans divers domaines évoluent. Les spécialistes effectuent des recherches poussées et en viennent à ajuster ou même à corriger certaines informations. Il me semble que c’est fabuleux!

Non, personne ne t’en veut d’avoir mis tes enfants dans des bains tièdes, voir froids pour faire baisser leur fièvre. On le sait très bien que tu suivais les conseils du médecin, que tu faisais de ton mieux, que ton cœur se serrait à les voir trembler, congelés. ET qu’ils ne sont pas morts. Mais on (excluant totalement la personne qui écrit) a compris que l’effet recherché était en fait de très courte durée parce que le corps grelotte pour remonter sa température quand il a froid, ce qui mène totalement au contraire de l’objectif. C’est un exemple parmi tant d’autres.

Sauf que, si je suis ta (non-) logique, je devrais faire geler mon enfant dans le bain quand il se sent déjà très mal, alors que je sais que ça ne fonctionne pas, seulement parce que c’est ce que tu faisais dans ton temps?

Je devrais aussi avoir mal au dos à porter mon bébé dans un porte-bébé de mauvaise qualité, pas du tout ergonomique, parce que c’est tout ce que tu avais et, par le fait même, nous priver, mon bébé et moi, des avancées technologiques rendant cette pratique plus sécuritaire, plus confortable et meilleure pour notre corps? Je suis bien ta logique là?

Ah! Et quand je parle de mon retour au travail difficile parce que je m’ennuie de mon fils et que j’apprivoise notre nouveau chaos, me répondre avec un petit air supérieur que toi, tu n’en avais pas de congé de maternité… Ça n’apporte RIEN de constructif et ça ne fait pas que je m’ennuie moins de mon bébé. Au contraire, j’éprouve énormément de compassion pour toi juste à imaginer le sentiment que tu as dû vivre en retournant travailler si tôt… tout en ayant un peu le goût de t’envoyer promener!

Ce sont des commentaires entendus de la part d’étrangers ou de vagues connaissances, ou que des mamans que je côtoie se font dire par des proches. Même si ça ne me touche pas directement, ça me fâche! C’est un stress et du négativisme dont les nouveaux parents n’ont pas besoin.

Je me considère super chanceuse. Mon entourage ne correspond pas du tout au phénomène décrit plus haut. Ma mère respecte nos choix, me conseille avec amour et ne m’en tient pas rigueur si je choisis une autre avenue que celle qu’elle m’a proposée. Elle continue de m’écouter, de prendre des nouvelles et de s’intéresser à nous. Quand on relève les différences d’époques, c’est plutôt pour s’étonner, s’intéresser et trouver formidables ces différences et ces améliorations. Cependant, quand je pense aux nouveaux parents n’ayant pas un réseau d’entraide très fort et qui reçoivent ces commentaires, je trouve ça triste qu’ils soient rabaissés plutôt qu’encouragés.

Il me semble que je souhaite le meilleur pour mes enfants et que je vais me réjouir s’ils ont de meilleurs outils que ceux que j’ai eus pour affronter la vie. Il me semble qu’on devrait trouver ça merveilleux que le monde de la parentalité ait évolué, que les papas soient plus impliqués, qu’il y ait du matériel plus adapté!

Soyez positifs, réjouissez-vous pour les autres au lieu de chercher des critiques où il n’y en a pas. Vous vous sentirez mieux, promis!

 

 

Jessica Archambault

 

 

 

Prendre le temps d’être heureux

Vous rappelez-vous la dernière fois où le temps s’est arrêté a

Vous rappelez-vous la dernière fois où le temps s’est arrêté autour de vous? Un simple moment où vous réalisez à quel point vous êtes heureux d’être au bon endroit, au bon moment, entouré des bonnes personnes. Ces petits moments que nous savourons pleinement parce que nous PRENONS LE TEMPS tout simplement.

C’est quelque chose qui se veut de plus en plus difficile dans notre société exigeante. Prendre le temps de profiter de chaque moment. Que ce soit d’aller au parc avec votre enfant, de lui lire un livre avant de le mettre au lit, d’aller au restaurant en bonne compagnie ou de promener votre chien, soyez reconnaissant. Sincèrement.

Prenez le temps de réaliser à quel point la vie peut être belle malgré les embûches. Chaque moment est important et c’est souvent dans la maladie ou face au deuil que nous en prenons conscience. Parfois, nous vivons des moments plus difficiles, mais il faut en sortir grandis, tenter de voir le côté positif de chaque situation. Parce qu’il y a bel et bien quelque chose de positif quelque part, même si vous n’arrivez pas à le voir immédiatement. Gardez espoir, rien n’arrive pour rien.

Trouvez quelque chose qui vous permet de vous sentir bien. Parce qu’encore une fois, il faut prendre du temps pour soi. Prendre le temps d’être heureux. Vous savez pourquoi? Parce qu’en général, lorsque les parents sont heureux, les ENFANTS sont heureux. Bien sûr, il y a des exceptions, mais il sera beaucoup plus facile de pouvoir aider votre enfant si à la base, vous êtes heureux.

S’il était possible, je servirais du bonheur sur les toasts de mes enfants au petit déjeuner. Parce qu’à l’inverse aussi, un enfant heureux égale (la majorité du temps) des parents heureux. Parfois, tout ce qu’il faut pour panser nos blessures d’adultes est un beau sourire d’enfant. Ou encore mieux, un simple : Je t’aime maman/papa! Suivi d’un tendre câlin.

Oui, il m’est arrivé de verser quelques larmes silencieuses dans les bras de mes enfants en disant que j’étais simplement fatiguée. Et c’est NORMAL! J’ai beaucoup de difficulté à pleurer devant mes enfants parce que je souhaite qu’ils aient l’image d’une femme forte et qu’ils réalisent que pleurer à tout moment n’est pas la solution aux problèmes. Mais j’accepte aussi la défaite, les deux mains levées devant moi. Oui, parfois, les parents pleurent aussi et les enfants doivent être conscients que tout n’est pas toujours rose.

Il y a de magnifiques moments dans une vie, ainsi que des moments particulièrement pénibles. C’est la vie dans toute sa splendeur! Pour chaque grande émotion, nous garderons un souvenir précieux. Bon ou mauvais, peu importe.

Alors, prenez le temps d’être heureux, accumulez vos petits bonheurs afin de pouvoir surmonter les problèmes à venir. Parce que soyons réalistes, une vie sans obstacles n’existe pas. Vivons une vie heureuse afin de chasser du revers de la main nos malheurs. Pour pouvoir passer au prochain bonheur avec anticipation.

Souriez, la vie est belle… Complexe, mais belle.

Geneviève Dutrisac

 

Résolu… quoi?

Début janvier, cette foutue période où tu crois que tu vas change

Début janvier, cette foutue période où tu crois que tu vas changer ta vie d’un bout à l’autre parce que tu prends des résolutions…

Lettre à moi-même sur mes résolutions.

Bon! La grande, on va se dire les vraies affaires à propos de tes résolutions.

1. Perdre du poids

Te rends-tu compte que ça fait maintenant sept ans que tu prends cette résolution? Est-ce que ça marche? Pantoute. Tu te mets à faire un régime draconien ou tu ne peux manger que des fruits secs et boire de l’eau. Tu t’entraînes chaque jour, tu sues ta vie. Et là, au bout de deux semaines, tu abandonnes, parce que c’est juste pas réaliste, ce que tu t’es imposé. Fait qu’oublie pas ça : tu sais parfaitement que tu vas faire pareil cette année.

2. Prendre du temps pour toi

Quelle bonne blague! La grande, tu as trois enfants de moins de huit ans et un ado à moitié à toi. Et tu crois vraiment pouvoir prendre du temps pour toi? Entre le lavage, le ménage, l’épicerie, la bouffe, les activités parascolaires, les devoirs, ton chum et ta vie de couple, tu le trouves où, ce temps-là? Malheureusement, les journées ont juste vingt-quatre heures et tu en dors sept ou huit là-dessus. Écoute, tu n’arrives même pas à trouver cinq minutes pour aller faire caca sans que la Quatrième Guerre mondiale éclate. Fait que, à moins que tu trouves une formule magique pour rajouter du temps aux jours qui passent, je ne crois pas que tu vas y arriver. Oublie ça pour les vingt prochaines années. Quand tes enfants seront partis, tu en auras trop de temps pour toi.

3. Mieux manger

Ça veut dire quoi, ça! Tu manges pas de la scrap tant que ça. Ben oui, des fois, tu fais un Hamburger Helper. Puis après? Tu as eu une journée de merde, tu es brulée ben raide. Fait que commencer à faire un souper impliquant tous les groupes alimentaires, ben ça te tente juste pas. Tes enfants devraient survivre même en consommant un peu trop de sodium dans un repas.

4. Arrêter de culpabiliser

La culpabilité, ça apparaît la première fois que tu deviens maman. Tu culpabilises de ne pas allaiter, de ne pas faire de cododo, de ne pas donner des aliments bio, de ne pas suivre le guide alimentaire, de donner du 3.25 avant l’âge d’un an, de ne pas passer assez de temps avec tes enfants, de négliger ton chum, de prendre un bain moussant pendant que tes filles s’arrachent les cheveux de la tête, de succomber aux lamentations de tes enfants et d’acheter des Froot Loops au lieu du gruau chaud plein de graines de chia. Tu culpabilises pour tout et pour rien. Fait qu’à moins que tu retournes dans le temps et que tu choisisses de rester seule et sans enfants, la culpabilité, ça va faire partie de ta vie.

5. Apprendre quelque chose de nouveau

Tu t’es essayé avec la guitare. Dois-je te rappeler les résultats? À part avoir eu terriblement mal au bout des doigts et utiliser tous les mots de l’église pour exprimer ta frustration, ça n’a rien donné. Que veux-tu? Tu n’as pas l’oreille musicale. Tu as aussi essayé le tricot. Une maille à l’endroit, une maille à l’envers… Juste d’y penser, l’envie de vomir te reprend… Fait que, exploite les talents que tu as et oublie la nouveauté.

Tes résolutions devraient être celles-ci : continue de sourire à la vie, comme tu le fais si bien chaque jour. Continue de jouer avec tes filles, d’avoir des fous rires, de leur dire que tu les aimes plus que tout au monde et que tu es tellement fière d’elle. Continue de manger de la poutine parfois, ben oui! C’est pas santé, pis après? Si ça peut te faire du bien! Continue de dire des niaiseries et de faire rire les gens autour de toi, ça te fait du bien et à eux aussi. Continue d’exploiter ton talent d’écriture. Après tout, ta vie te donne de maudites bonnes histoires à raconter.

La vie est beaucoup trop courte pour s’en faire avec des résolutions…

Mélanie Paradis

Dix façons de donner au suivant dans le temps des Fêtes et toute l’année

1 — Vêtements pas troués, pas tachés. Les pan

1 — Vêtements pas troués, pas tachés.
Les pantalons de vos petits rejetons ont de l’eau dans la cave? Donnez, prêtez, vendez à petit prix, que ce soit à votre belle-sœur enceinte jusqu’aux sourcils, à la St-Vincent (les conteneurs qu’on voit dans les stationnements de certains commerces) ou à une famille qui a perdu son logement à cause d’un incendie. Même chose pour les vêtements de maternité, des pantalons post perte de poids ou la collection de cravates qui ne serviront plus, mais qui sont encore en bon état.
2— Des cartes qui font du bien.
Les enfants sont survoltés après être tombés dans le plat de bonbons? Ils vous achalent à grands coups de « Je m’ennuiiiiiiie! Je ne sais pas quoi faireuuuuhhhh! »? Pourquoi ne pas leur faire faire des cartes pour des militaires canadiens qui servent à l’étranger ou pour des personnes âgées qui seront seules la nuit de Noël? Quand j’étais ado, mes amis et moi avions écrit et monté une pièce de théâtre que nous avions présentée dans une résidence pour personne âgée. On était loin du talent de Robert Lepage, mais c’était une façon créative de se conscientiser aux besoins de la société.
3— Les garderies et les écoles se démènent pour tenir les enfants occupés malgré le niveau d’énervement croissant et le mercure en chute libre. Que vous soyez parents, grands-parents ou voisins, vous pouvez offrir votre aide pour superviser un dîner pizza, animer une activité ou préparer un bricolage.
4— Le repas du quêteux.
« J’aurais pas dû manger autant, mon bouton attache pu. » Plutôt que de rouler jusqu’à notre lit et d’avoir de la misère à dormir tellement on a mangé, on peut partager notre repas avec des voisins esseulés ou même des inconnus. La caissière de l’épicerie qui travaille jusqu’à 17 h parce que de toute façon, sa famille habite loin, ça lui plairait peut-être de manger une bonne bûche de Noël faite maison en bonne compagnie. Si vous vous sentez mal à l’aise d’ouvrir votre porte aux inconnus, ouvrez-leur votre cœur et apportez jusqu’à eux vos talents de cuistot en popotant des muffins ou des sandwichs. Ils seront reconnaissants.
5— Distribution de livres et de bonheur.
Dans plusieurs villes, des petites cabanes ont fait leur apparition au bord des rues pour recueillir des livres usagers en quête de nouveaux propriétaires. On peut y laisser les livres qu’on a lus ou ceux qu’on a achetés, mais qu’on ne lira jamais, et prendre ceux qu’on aimerait lire. On peut aussi aller porter des revues et des livres pour enfants dans des cliniques dentaires, des banques, des concessionnaires… vous savez, tous ces endroits où attendre avec un enfant tanné d’attendre peut être pénible…
6— Donner de son temps, parce que le temps, c’est précieux.
Si vous demandez aux jeunes parents ou aux mourants ce qu’ils voudraient comme cadeaux, plusieurs répondront « du temps ». Les enfants veulent plus de temps pour jouer, les ados pour dormir. On peut donner du temps à un organisme (scouts, cadets, pompiers volontaires, groupes d’entraide, cuisines collectives, etc.). On peut s’impliquer dans une association sportive ou caritative ou offrir notre support lors des campagnes de financement. On peut même prêter nos bras pour bercer des nouveau-nés à l’hôpital ou pour garder les plus jeunes d’une famille du quartier pendant que les parents font une sortie spéciale avec les plus vieux.
7— Lire pour ceux qui ne le peuvent pas.
Depuis l’avènement de l’éducation obligatoire, on a l’impression que l’analphabétisme a disparu. Mais non! Que ce soit une personne âgée qui a dû arrêter l’école en troisième année pour travailler à la ferme, une personne malvoyante qui veut poursuivre ses études, un père de famille immigrant qui connaît trop peu le français pour se débrouiller au quotidien ou un enfant qui a des difficultés en lecture, lire pour les autres peut faire une réelle différence. Votre tante qui adorait faire ses mots croisés chaque matin et qui est maintenant trop faible pour tenir son crayon aimerait peut-être que vous l’aidiez à solutionner sa grille! Je vous garantis de belles histoires de vie à écouter.
8— Vous n’êtes pas trop du type social avec les humains? Les chiens vous attendent à la SPCA!
Les refuges pour animaux et les SPCA ont besoin d’adultes et de jeunes pour promener leurs pensionnaires. En plus, c’est bon pour la santé!
9— Si vous êtes croyants, vous ferez des heureux en vous impliquant dans votre communauté religieuse, que ce soit pour réciter des prières, servir pendant les cérémonies, animer une activité avec les jeunes ou jouer d’un instrument. Ces communautés sont souvent en lien avec des organismes de charité qui peuvent vous aiguiller vers les besoins les plus pressants.
10— Soyez créatifs et faites-en bénéficier les autres!
L’artiste en vous peut organiser une collecte de fonds pour une cause qui vous tient à cœur. Vous préparez quelques toiles ou des cartes illustrées ou vous annoncez un atelier dont les profits iront à la cause choisie. Ma mère coud même des vêtements pour les enfants morts-nés, afin que les parents gardent un doux souvenir de leur petit ange. Vous pouvez « vendre » vos cheveux pour LEUCAN, vos muscles de cycliste ou de skieur pour différentes causes, votre empathie pour un téléthon, vos compétences de conducteur pour Nez rouge.
Vous imaginez, si chaque personne faisait un petit geste chaque jour ou chaque semaine, comme la Terre tournerait mieux?

Qu’est-ce que VOUS faites pour redonner au suivant?

Ton premier Noël vide. Le deuil dans le temps des Fêtes

Cette année, Noël goûte bizarre pour toi. Une saveur flat qui manque d’assaisonnement.

Cette année, Noël goûte bizarre pour toi. Une saveur flat qui manque d’assaisonnement. Des Fêtes qui sentent la mort et la place vide.

Cette personne qui embellissait ta vie depuis tellement d’années est partie en 2016. Ton conjoint, ton épouse, ta mamie ou ton père adoré, ton petit frère ou ta princesse, ton chum de gars ou ta best est décédé. Celui pour qui tu as cuisiné tes meilleures tourtières ou que tu as observé dormir chaque soir en cachette t’a dit adieu. Et ça fait mal.

Depuis que l’annonce de la mort est tombée, tu as mal au cœur. La nausée de la vie sans lui, sans elle. Mais là, Noël approche et les Ho! Ho! Ho! du gros bonhomme rouge te donnent des frissons. Sans parler des tounes de Noël omniprésentes à la radio (je t’avertis, à partir du 26, les rigodons seront encore pires pour ton moral! Une vraie masse qui massacrera le bout de deuil que tu avais fait. Tu ferais peut-être mieux de barrer toutes tes radios à double tour, histoire de t’empêcher de les garrocher de rage).

Tu as bien eu quelques jours de congé pour faire ton deuil (comme si ça se faisait en si peu de temps!). Tu t’es peut-être même senti(e) soulagé(e) (et coupable!) si la personne aimée est morte au bout d’une interminable maladie. Tu t’es tapé le supplice de la file de monde qui te serre la main au salon funéraire. Tu as reçu des tonnes de courriels et quelques cartes de condoléances. Il t’est arrivé de ressentir l’amour et la tendresse qui t’entouraient. Mais toi, tu aurais voulu garder l’amour que tu as cessé de recevoir le jour où la faux a frappé.

Quand tu t’es rendu compte que tu faisais grimper les revenus de Scotties à force de remplir tes poubelles de mouchoirs, tu t’es ressaisi(e). Tu t’es presque convaincu(e) que tu étais plus fort, plus forte que ça. Mais en ce décembre 2016, le Monsieur Muscle du moral ou la Madame Hop-la-Vie est en train de s’émietter et hibernerait s’il s’en donnait le droit. L’avouer ressemble trop à un échec, à une rechute. Un cancer émotif qui prend toute la place.

Alors tu dis oui aux invitations (« Viens donc! Ça va te changer les idées! »). Mais pendant que tu mets ta petite robe noire ou ta cravate de Snoopy de Noël, tu te demandes pourquoi tu fais ça. Tu te rappelles que la dernière fois que tu t’es habillé(e) chic, c’était aux funérailles. Tu te demandes ce que cette personne que tu aimais/aimes tant penserait de toi qui oses essayer de t’amuser. Quand est-ce qu’on revit malgré le vide?

Laisse-moi te dire que devant l’assiette vide à la table familiale, tu vis. Devant la place vide dans le lit, tu vis. Devant le siège vide dans l’auto, au bureau ou au bar, tu vis. Même si tu as l’impression que le vide prend toute la place, tu vis. Et tu le fais de ton mieux et à ton rythme.

Depuis le décès, chaque occasion de célébrer est une obligation de se rappeler et de revivre ton deuil. Une étape à traverser. Et Noël est pour plusieurs endeuillés la pire fête à affronter parce qu’elle signifie tellement, parce qu’elle rassemble tellement de gens. Ça devrait être festif alors que toi, tu as juste le goût de t’enfermer pour écouter « Le Noël au camp » de Tex Lecor en boucle.

Le 26 décembre, tu ne te réveilleras  pas en te disant « Oh! Yes, le deuil est terminé! » Mais tu auras vécu une autre étape de ton deuil. La place à côté de toi sera aussi vide que la veille, mais toi, tu auras avancé d’un pas. Tu lanceras peut-être ta radio bourrée de rigodons dans le mur (tu aurais dû m’écouter et la ranger!), mais sais-tu quoi? 2017 s’en vient. Tu auras tout le temps et tout l’espace dont tu as besoin pour réparer tes murs et soigner ton cœur.

En attendant, laisse les autres t’aimer et te le montrer. Je t’envoie un gros câlin réconfortant comme une doudou en polar sur le bord d’un foyer. Et une épaule si tu as le goût de pleurer.

http://citrac.ca/accompagnement-du-deuil/
http://www.deuil-jeunesse.com
http://www.aqps.info/comprendre/deuil.html

Renverser la vapeur

Il y a quelques années, j’ai mis en place, à la maison, une phas

Il y a quelques années, j’ai mis en place, à la maison, une phase de renversement de la vapeur. Vous pouvez aussi dire « plan d’évacuation du trop-plein presto ». Vous saisissez l’image. Vous savez ce moment où vous ne pouvez faire autrement que faire un virage à 180.

Chez-moi, j’ai donc décidé que nous arrêtions de vouloir répondre à des standards édictés par je ne sais qui et je ne sais où.  On a cessé de vouloir bien paraitre aux yeux des autres et on a arrêté de courir après notre queue. Le seul grand prix récolté à cette course; une fatigue familiale générale. Wow ! Méchant beau cadeau !

Alors, chez-moi, avec mon mi-adulte et ma mi-ado de 9 ans, j’ai établi nos nouvelles règles. J’ai été inébranlable, solide comme le roc !

Chez-nous, c’est ICI et MAINTENANT. Chez-nous, on fait des activités, on fait du sport de compétition, on est organisé ET chez-nous on pratique l’art de ne rien faire avec un grand R.

Chez-nous, on EST davantage et on FAIT moins. La bonne nouvelle ? Notre niveau de stress a joyeusement baissé, notre énergie est remontée en flèche, on sourit davantage et on communique mieux.

Chez-nous, en début de semaine, on ne planifie pas le samedi suivant au quart de tour. On laisse place au moment présent, à ce qui nous est offert. Nous n’avons jamais eu autant de belles surprises, autant de moments uniques.

Bref, chez-moi on dit souvent « non » à des invitations qui ne nous plaisent pas réellement et qui servent seulement à plaire aux autres. Ma phrase fétiche : « on peut tout faire, mais pas tout en même temps ! » Alors parfois, on passe une journée en pyjama et on mange à n’importe quelle heure juste parce que ça nous tente. Je mets aussi mes limites aux demandes des enfants et ils ne rouspètent même plus.

Mon plus grand retour sur l’investissement ? Ma fille de 9 ans qui fait une présentation orale sur les gens qu’elle admire, qui choisit sa maman parce qu’elle lui apprend à prendre son temps !! Vous n’avez pas idée le bonheur intense d’entendre ceci. Vous imaginez, elle n’a retenu rien de matériel, non, mais un concept essentiel qui lui servira toute sa vie.

Je vous souhaite d’essayer, persévérer et ressentir tout ce bien-être !

N.B. j’ai mis 2 ans à voir les bénéfices, soyez patients et solides, ça arrivera.

Une journée au spa avec les enfants? Pourquoi pas!

L'été arrive déjà à sa fin. Bien-sûr, ce n'est que le 21 septembre que nous pourrons officiell

L’été arrive déjà à sa fin. Bien-sûr, ce n’est que le 21 septembre que nous pourrons officiellement proclamer la venue de l’automne. Mais comme tout bon parent, la fin de mon été sonnera au même moment où la cloche d’école retentira pour me faire savoir qu’une année de plus s’est écoulée sans que je ne puisse m’en rendre compte. Ça va vite la vie hein? Nos enfants deviennent de minis adultes et on passe trop souvent à côté de petits moments qui pourraient bien être marquants pour eux. Dans ce court article, j’aimerais vous proposer quelques activités hors du commun ET relaxantes pour toute la famille.

Crèmes de massage pour enfants

Comme je viens de la campagne, je prône beaucoup les produits du coin. Récemment, j’ai eu la chance de discuter avec la propriétaire de la boutique Les Soins Corporels l’Herbier située à Mont-St-Grégoire.  J’étais déjà adepte de leurs crèmes de massage pour enfant, et elle m’a envoyée plusieurs petits exemplaires de crèmes de massage Bambino Spa faites expressément pour les enfants. OMG l’odeur… Je les aurais toutes mangées. Et je ne dis même pas ça pour rire 🙂 Vous savez, vos enfants aussi sont stressés, eux aussi sont fatigués… Alors pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable? Une sortie massage à deux? Oui, oui, vous avez bien lu! Certains endroits acceptent de faire des massages pour papa/maman et enfant. Ça c’est le summum du bonheur non?

– Il y a des massages bambino pour les 2 ans et plus à partir de 39$/30min;

– Massage pour femme enceinte (On ne se laisse pas masser par n’importe qui lorsqu’on est enceinte d’accord? Ça prend du matériel spécialisé).

La plupart de leurs produits sont faits directement sur place!!!

Sortie au spa en famille – région de Montréal

strom spa famille

Ensuite, pour les gens qui habitent dans la région de Mont-Saint-Hilaire ou de l’Île-des-Soeurs, il y a le Strøm spa Nordique qui offre un forfait de style brunch familial. Afin de partager des moments uniques en famille, c’est l’occasion idéale pour faire découvrir les bienfaits de la détente à vos enfants.

Les brunchs familiaux ont lieu les dimanches, de 7h30 à 10h.

Menu des mini-soins à la carte :

  • Mini-manucure ou mini-pédicure (application du vernis seulement) | 15$
  • Massage sur chaise de 15 minutes | 20$
  • Mini-soin du visage en duo parent-enfant de 20 minutes | 30$ chq
  • Massage sur table en duo parent-enfant de 30 minutes | 40$ chq

Réservations par téléphone: 514-761-2772

À SAVOIR :  La température des installations thermales est adaptée pour vos tout-petits et il est possible de discuter sur le site. La présence d’un adulte accompagnateur est requise.

Sortie au spa en famille – région de Québec

sky spa famille

Ohhhh et gens de Québec , je ne vous oublis pas 🙂 Le SkySpa situé sur le boulevard Laurier à Québec fait partie des spas qui ont compris que des moments privilégiés en famille, ça peut aussi être reposant 🙂

Venez vivre une expérience unique avec vos enfants au SKYSPA de Québec, tous les dimanches de 8h à midi. Initiez-les à la thermothérapie avec les bains chauds californiens, saunas finlandais et la chute nordique. C’est GRATUIT pour le premier enfant, profitez-en !!!

Une détente ultime… pour les enfants et les parents.  Ajoutez un massage à votre journée et celle de votre enfant.

  • 30 minutes détente: 50$ / enfant
  • 30 minutes détente : 80$ / adulte (comprenant l’accès aux bains)
  • 60 minutes détente: 80$ / enfant
  • 60 minutes détente: 110$ / adulte (comprenant l’accès aux bains)

Alors avant que le stress de l’école ne recommence, pourquoi pas prendre du bon temps en famille et aller relaxer. Je suis certaine que vous en ressortirez ressourcer!!!

Le vrai sens des vacances, c’est quoi?

Un énorme merci à notre photographe attittrée d'avoir accepté de nous prêter ce si

Un énorme merci à notre photographe attittrée d’avoir accepté de nous prêter ce si beau texte qui porte réellement à réfléchir

Ça fait si longtemps que je pense à ces images et je suis contente de les avoir enfin faites. Surtout parce que ces images viennent avec un message spécial.

Plusieurs facteurs étaient contre nous. Joaquim a fait une crise du démon (oui!) 30 minutes avant ces photos parce que tsé, maman voulait lui enlever son écharde. Mes enfants à moi couraient et criaient en arrière plan. Ça l’air que tout leur linge était au lavage (quand c’est l’été on slaque sur le lavage ici aussi)! Les planchers d’Annick étaient sales (C’EST ELLE QUI L’A DIT PAS MOI)… Pour rajouter à la folie, on a fait quelques photos avec Joanie, la soeur d’Annick, et sa fille parce que why not elles étaient là.

Et malgré ça, qu’est-ce que vous voyez dans les photos? Du bonheur et de l’amour. Alors les excuses que vous construisez dans votre tête ne sont que ça, des excuses. Parce que du beau il y en a dans chaque famille et dans chaque journée. C’est pas vrai que vous n’êtes pas assez cool, que votre maison n’est pas assez belle, que vous n’êtes pas photogéniques. Vous n’êtes pas une famille traditionnelle? So what! C’est quoi ça une famille traditionnelle de toute façon? La famille c’est ce qu’on décide qu’elle est et avec qui on décide de la faire.

Il faut cesser de vouloir tout planifier et contrôler, la beauté réside dans le vrai et dans les petits moments spontanés. Arrêtez de vous comparer et pensez à ce qui vous fait du bien. Quand votre plus jeune vous dit “mmmm c’est bon” et “merci maman” après le souper (ça arrive pas souvent ça, am I right?). Quand votre plus vieille ramène le doudou ou la suce de sa petite soeur égaré(e) dans la pile de jouets. La façon dont votre enfant se tient après vous par la poche de votre short, ou bien quand ils se mettent les pieds en l’air à table et que vous tentez très fort de ne pas rire pour ne pas encourager un comportement “négatif”.

Votre famille est unique, votre famille est belle, que vous soyez deux ou dix. Ces moments que vous vivez vont rapidement passer et vous manquer. Même les soirs de découragement parce que la petite bande de tannants se relève 1001 fois dans la soirée et que vous voulez juste faire du Netflix-and-chill en couple, même les après-midis durant lesquels vos cocos se mettent à sauter dans une flaque de bouette alors que vous leur avez mis leurs “bons shorts propres”.

C’est correct.

C’est beau.

On va profiter de l’été, du soleil, de la famille, de se coucher tard et manger trop de crème glacée.

On fera le lavage à l’automne, ok?

 

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**Pour voir le magnifique (ok je suis vendue à son talent) de Véronique, allez au www.veroniquemoisan.com

L’ABC d’un été réussi

L’été est à mes yeux la plus belle saison de l’année. Les fleurs colorées aux

L’été est à mes yeux la plus belle saison de l’année. Les fleurs colorées aux multiples parfums viennent chatouiller nos narines, la clarté nous accompagne jusqu’à près de 21 heures et le soleil brille de mille feux plus souvent qu’à son tour. Durant cette saison lumineuse, je me sens le cœur plus léger, l’esprit plus libre et je me laisse porter par la vague.

Voici donc cinq trucs qui vous permettront de profiter pleinement de cette saison formidable :

Cuisiner des mets simples et rapides

Contrairement à ce qu’on pense, les repas n’ont pas besoin d’être très élaborés pour être savoureux. En effet, il est possible de cuisiner de bons petits plats légers et colorés qui sauront plaire aux petits et aux grands. L’été, c’est la saison de l’abondance, la période où les fruits et les légumes sont à leur meilleur. Profitez-en pour les ajouter dans toutes vos recettes, que ce soit dans une simple assiette de pâtes à l’huile d’olive et au citron ou dans vos salades. Prenez soin d’ajouter à votre repas une protéine qui saura vous soutenir et le tour est joué. Poisson, viande, œufs, noix ou graines (lin, chia, chanvre…), je vous le dis, c’est du bonheur et des saveurs plein la bouche!

Bien faire sa liste d’épicerie

Quoi de pire que de retourner sans cesse au marché du coin pour se procurer les petits ingrédients qui nous manquent pour le repas! Pour ma part, je DÉTESTE ça. Voilà donc pourquoi à chaque semaine, je fais un petit plan des différents repas de la semaine. Ensuite, je dresse une liste complète de ce que je dois me procurer et je fais le marché une seule fois par semaine. De cette façon, vous récupérerez de votre précieux temps pour faire autre chose de bien plus agréable.

Préparer les fruits et les légumes d’avance

Lorsque vous revenez du marché les bras chargés de sacs de provisions, prenez le temps de laver et de couper vos fruits et vos légumes avant de les ranger dans le réfrigérateur. De cette manière, lorsque le moment sera venu de préparer le repas, vous sauverez encore du temps et cuisiner deviendra alors un jeu d’enfant.

Prévoir des moments consacrés au ménage

Ménage, ménage, ENCORE LE MÉNAGE! Eh bien savez-vous quoi? J’ai peut-être un petit truc pour vous. J’essaie de l’appliquer dans ma vie personnelle (j’y arrive peu à peu) et c’est vrai que ça fait toute la différence. Prévoyez des moments dans la semaine à consacrerez au ménage. Nul besoin de tout faire d’un seul coup, l’idée c’est de répartir la tâche pour qu’elle devienne moins lourde. Par exemple, vous en faites un peu le matin et ensuite, hop, on sort profiter du beau temps! Aussi, quelques brassées de lavage en soirée pendant que vous sirotez votre verre de vin dans la cour est une autre solution et ensuite, vous pliez le tout quand vous avez un moment de libre. C’est la même chose pour l’aspirateur et le nettoyage de la salle de bain. On en fait un petit peu par-ci par-là et en bout de ligne, tout est fait!

Faire une promenade après le souper

On casse les oreilles de nos enfants avec l’importance de bouger, n’est-ce pas? Eh bien, pourquoi ne pas appliquer ce concept pour nous également? Le simple fait de sortir après le souper pour faire une petite balade à vélo ou une promenade en famille dans les rues du quartier contribue à nous détendre et à passer un agréable moment avec ceux qu’on aime. Nul besoin d’être très long pour être bénéfique. Le simple fait de sortir de la maison suffira pour mettre notre cerveau momentanément au neutre.

Voilà donc pour les petits trucs personnels que je souhaitais partager avec vous.

Alors, ça vous dit d’essayer?